On dit souvent que pour connaître une personne, il faut l'observer.
Soit, observez mon profil, lisez et découvrez ce que vous pouvez en déduire.
Je crains cependant, que le tout ne vous soit aussi obscur qu'il ne l'est à mon regard.

J'ai une envie.
Dans mon envie, je ne sais rien.
Je veux juste écrire un joli texte.
Un texte qui serait capable de restituer ce que j'imagine.
Toutes ces couleurs et nuances que je vois.
Capable de montrer au lecteur ce que je ressens.
Toute la magie que je vois danser derrière mes paupières en créant ces scènes immenses et mirifiques.
Je veux juste vous faire partager tous ce que je peux voir et imaginer derrière mes mots maladroits.

Si j'étais un objet - Un grimoire
Si j'étais une saison - L'automne
Si j'étais un plat - Un plat en sauce
Si j'étais un animal - Un chat
Si j'étais une chanson - La Vie est Belle - Indochine
Si j'étais une musique - Une musique celtique
Si j'étais un instrument de musique - Une cornemuse écossaise
Si j'étais une couleur - Le Rouge
Si j'étais un roman - Le Silmarillion de J.R.R. TOLKIEN
Si j'étais une légende - La fée Morgan
Si j'étais un mythe - Le mythe de Prométhée et d'Epiméthée
Si j'étais un personnage de fiction - Salazar Serpentard (Harry Potter de J.K. ROWLING) ou Fëanor (Le Silmarillion de J.R.R. TOLKIEN)
Si j'étais un film - Spiderman Homecoming (Jon WATTS)
Si j'étais un dessin animé - La Linea
Si j'étais une arme - Une hache de guerre
Si j'étais un endroit - Une forêt de conifère moussue, brumeuse mais verdoyante ou un marais
Si j'étais une devise - « Il est sage de regarder devant soit, il est bête de vouloir regarder au-delà. » ou « Le savoir c'est comme la confiture, moins on en a plus en l'étale. »
Si j’étais un oiseau - Un phénix
Si j'étais un air - Une berceuse
Si j'étais un élément - Le feu
Si j'étais un végétal - Une lycoris Radiata
Si j'étais un fruit - Un fruit de la passion
Si j'étais un bruit - Celui de la pluie
Si j'étais un loisir - Le dessin/la lecture
Si j'étais une planète - Pluton
Si j'étais un vêtement - Un corset
Si j'étais une pièce - Une bibliothèque
Si j'étais un véhicule - Un 4x4, un Defender 147 plus précisément.
Si j'étais un adverbe de temps - Jamais
Si j’étais un sport - Les claquettes irlandaise
Si j’étais une odeur - Celle du pétrichor
Si j’étais un nombre - 13
Si j’étais une boisson - Du jus d'orange
Si j’étais un mot - Libre
Si j’étais un moment - L'heure d'or
Si j’étais un jour de la semaine - Le vendredi
Si j’étais une histoire - Celle de l'Univers
Si j’étais un jeu - Tales of Vesperia
Si j’étais un légume - Une citrouille
Si j’étais un métier - Artiste
Si j'étais un symbole - Le triskel

La chanson de Durin :

Le monde était jeune et les montagnes vertes.
Aucune tache encore sur la Lune ne se voyait,
Aucun mot n'était apposé sur les rivières ou les pierres,
Quand Durin s'éveilla et marcha solitaire.
Il nomma les collines et les combes sans nom,
Il but l'eau des puits jusqu'alors non goûtée ;
Il se baissa et regarda dans le Lac du Miroir
Et vit apparaître une couronne d'étoiles,
Comme des joyaux sur un fil d'argent,
Au-dessus de l'ombre de sa tête.

Le monde était beau, les montagnes altières
Aux Jours Anciens d'avant la chute
De puissants rois en Nargothrond
Et en Gondolin, qui maintenant
Au-delà des Mers Occidentales ont disparu ;
Le monde était beau en l'Ere de Durin.

Roi il était sur un trône ciselé
Dans des salles de pierre aux milles piliers,
Aux voûtes d'or et au sol d'argent,
Avec, sur la porte, les runes de la puissance.
La lumière du soleil, des étoiles et de la lune
En d'étincelantes lampes dans le cristal taillées,
Jamais obscurcie par les nuages ou les ombres de la nuit,
Brillait toujours là, belle et éclatante.

Là, le marteau sur l'enclume frappait,
Là, le ciseau clivait, et le graveur écrivait ;
Là, était forgée la lame et fixée la garde ;
L'excavateur creusait, la maçon bâtissait.
Là, étaient accumulés le béryl, la perle et la pâle opale,
Et le métal forgé comme les écailles du poisson,
Le bouclier et le corselet, la hache et l' épée,
Et les lances brillantes.

Inlassables étaient alors les gens de Durin ;
Sous les montagnes la musique s'éveillait ;
Les harpistes jouaient de la harpe ; les ménestrels chantaient,
Et aux portes les trompettes sonnaient.

Le monde est gris, les montagnes sont vieilles ;
Le feu de la forge est d'un froid de cendre ;
Nulle harpe n'est pincée, nul marteau ne frappe :
Les ténèbres règnent dans les salles de Durin;
L'ombre s'étend sur son tombeau
En la Moria, à Khazad-Dûm.
Mais encore les étoiles noyées apparaissent
Dans le sombre Lac du Miroir privé de vent ;
Là gît sa couronne dans l' eau profonde,
Jusqu'à ce que Durin du sommeil se réveille

La Communauté de l'Anneau, livre II, chapitre 4, p.541-542
Le Seigneur des Anneaux, J.R.R. TOLKIEN

Sinon, en dehors de mes élucubrations obscurs, je serais ravie d'entamer la conversation avec vous.
Si tant est que vous êtes arrivé ici.
Ce qui voudrait dire que vous avez lu ce profil aussi inintéressant qu'inutile, mais je vous remercie d'avoir pris ces quelques minutes pour l'avoir fait.

Triple A.

Note à moi-même : Pensez à laisser plus de review, faire le ménage dans les favoris.