Une présentation s'impose, n'est-ce pas ?

Il était une fois...

Une petite Alice, statique devant son miroir, à épier les cartes qui jouent avec les pots de peinture rouge. A force d'imiter les voyageurs dans le temps, petite fille un peu paumée au pays des Merveilles, au pays du Possible. Sévère envie d’incompréhension et de liberté dans ce monde de chiffres. Qu'est-ce qui nous empêche d'inventer un monde de sens, n'est-ce pas ? A trop faire confiance au chat du Cheshire, à trop écumer les ruelles de Jack l'inventeur, dépoussiérer les invités du Chapelier épuisé... Si le monde n'a de sens...

Alice, c'est mon nom, celui que j'emprunte à Mr le professeur Carroll. Je suis une grande romantique (comprenez XIXème), ce qui me force à tomber amoureuse à tous les coins de rues et à pousser mes sentiments à l'extrême. De fait, il ne se passe pas un jour sans que je découvre un auteur ou un réalisateur dont je souhaite épouser le talent.

Liste des amoureux :

- Stefano Benni, l'incroyable héritier de Rabelais qui m'a fait aimer le football, qui m'a fait découvrir ce que "écrire" signifie

- Victor Hugo, le romantique qui m'a appris à écrire un personnage

- Louis Ferdinand Céline, parce qu'il faut bien apprendre à manier une langue

- Marguerite Duras, sans qui je n'aurais pas compris qu'écrire le "rien" pouvait être aussi intéressant que le "plein"

- Louis Aragon, le nouveau venu dont la fidélité littéraire à Drieu m'a charmé.

- Antoine de Saint Exupéry, qui a mordu mon enfance

J'écris depuis l'âge de sept ans, et les auteurs que j'ai rencontré (grands noms de la littérature ou non) ont construit mon univers, mon style. Je pense publier uniquement sur Nanazuma. Ce n'est pas tant l'histoire de Nanazuma qui me passionne, bien que j'aime le football, mais plutôt les personnages qui offrent des possibilités d'histoires monstres !

Préférences Nanazumesques :

- Jude/Kido. Pour son nom hébraïque, tout d'abord. Parce que je craque littéralement sur les petits bourgeois hautains et fragiles aux yeux surnaturels, bouffés par une enfance malheureuse, tourmentés par l'existence-même.

- Caleb/Fudo. Pour sa violente appartenance au monde de la rue, pour son côté voyou légèrement Gavroche, ses yeux à la couleur indéfinissable, sa forte opposition au jeune Jude Sharp.

- Célia/Haruna. Pour son côté lumineux, doux et frais, son amour de l'investigation, son amour à la limite de l'incestueux pour son frère.

- Byron/Afuro. Pour sa putain de classe.

Je risque d'écrire principalement sur le couple Jude/Caleb, parce que l'alchimie qui se dégage des personnages est renversante. Mais d'autre couples me plaisent, tels que Mark/Axel, Shawn/Kevin, Xavier/Jordan, Torch/Gazel... A voir !

Pour l'instant :

- Voilà les rêves, il faut des fugitives : Rongé par la violence de ses treize ans, Jude tente, tant bien que mal, d'échapper au mal-être provoqué par le traumatisme de son enfance, tente de prêter sa confiance au garçon des rues aux yeux métalliques qu'il découvre. 15 chapitres, terminée.

- Liberté : mot en déconstruction : Alors que la guerre rugit, alors que le pays se plonge dans une univers dictatorial, le jeune militaire Jude Sharp décide, pour protéger sa sœur, de retrouver ses amis d'enfance, au sein d'un réseau de résistance, afin de renverser le système, d'arrêter les morts. 20 chapitres, terminée.

- Si le Battement d'ailes : Venu de l'Est, Byron Love est un jeune étranger qui ne prend pas la peine de comprendre le monde qui l'entoure, qui ne prend pas le temps d'observer la guerre. Venu de l'Est, Byron Love est un futur résistant qui va se jeter dans la bataille par amour de la liberté, par amour pour un jeune homme. Fiction dérivée de Liberté : mot en déconstruction. 3 chapitres, terminée.

-Et tout le reste est littérature : La littérature, c'est à la fois un médicament et une maladie, ça détruit et ça grise. En proie à toutes les névroses des artistes, les douze membres du grand mouvement littéraire de l'Iléveune voient arriver à la Capitale un tout jeune écrivain qui souhaite intégrer le mouvement. Il a le talent et le goût de l'illimité... Mais au fond, qu'est-ce que c'est, écrire ? 18 chapitres, terminée.

Tracer à la craie : Les jeunes sont fous ! Tomber amoureux de son prof, à 20 ans, c'est la pire des idées. Mais Glacia n'y peut rien, devant le professeur Sharp, elle fond. Heureusement, Caleb est là pour veiller... 2 chapitres, terminée.

... et elle vécut heureuse.

Et si on finissait les présentations ?