Author has written 30 stories for Harry Potter, Shakespeare, and Twilight. Bonjour à tous et toutes et Bienvenue ! (For possible english-speaking readers, there is a short presentation in english at the end) Deux de mes fics ne sont pas du tout finies, j'en suis désolée... Il est possible que j'y revienne (et j'aimerais bien) mais ma vie a beaucoup changé, et je préfère ne pas vous mentir ;) Cette page reste en suspens depuis des années et, rapidement, j'y mets un peu d'ordre aujourd'hui. Donc... je suis Bergère, de mon vrai nom Morgane, 27 ans ! Mon pseudo ? alors non, je suis loin de garder les moutons à la campagne dans ma robe blanche de bergère des Bucoliques de Virgile. Loin de là, malgré la poésie certaine de cette image ! Donc à vrai dire, cela ne fait que découler d'un vers, assez connu ma foi, d'Apollinaire. (Pour ceux que ça intéresserait plus avant : le fameux "Zone" tiré d'Alcools, avec son "Bergère ô Tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin" etc). Sans vous refaire l'histoire de ma vie, je suis agrégée de Lettres et je prépare une thèse en littérature française. On le devinera, je suis assez fanatique de littérature (les classiques en particulier). Je coupe ici une longue diatribe d'un gros paragraphe pour vous dire que j'aime la littérature, Proust, Chateaubriand, Gracq, Balzac, Somerset Maugham, Tolstoï, Mircea Eliade, Alexievitch, Ivo Andric, Shakespeare, Paul-Jean Toulet etc. Ceux qui m'ont déjà lue savent d'ailleurs déjà tout cela : beaucoup d'entre eux peuplent (que dis-je, polluent !) mes écrits. Mais je vous rassure, je sors de ma caverne pour procrastiner et faire un tas de choses de ce genre. De cinéma, de musique, je ne vous parle pas : je n'y connais rien ; et quand je connais mes goûts frisent souvent l'intolérable. Franchement, que diriez-vous si vous saviez que cette scène dramatique a été écrite sur Britney Spears, hein ? Quant à écrire, j'imagine que j'ai 'toujours' aimé cela, mais ce goût s'est développé plus particulièrement, ainsi que l'habitude et le plaisir de le faire, avec ma découverte de la littérature : en 2nde. Je refais le calcul aujourd'hui : le grand-âge frappant, on est à 10 bonnes années... Avant la fanfiction, j'écrivais avant tout des nouvelles, lesquelles étaient péniblement menée à une fin au bout de 5 pages, et manquaient cruellement de force et de sens - je pense que c'était d'autant plus vrai que la nouvelle n'est pas un style qui m'aille vraiment je trouve, je ne suis pas très douée en chute étonnante et en tension dramatique, mais j'essaye de m'améliorer. Régulièrement, je retombe aussi sur des pages avec des choses ou d'autres, mais rien d'un tant soit peu accompli, et encore moins de présentable. Aujourd'hui, je me suis (re?)mise à écrire de façon plus personnelle, ce qui explique en partie pourquoi je n'ai pas du tout avancé mes fanfics en cours (ça et... j'écris un thèse hahaha, voilà, le temps n'existe plus). J'ai découvert la fanfiction il y a... 10 ans. Je ne saurais trop dire pourquoi j'ai si facilement adopté ce genre. D'abord parce qu'il me fournissait une base, des personnages, un fond historique, quelque chose de défini - et cela facilitait ma tâche. Ensuite parce que, déjà attachée à certains personnages, la 'relation' que j'avais avec eux était intéressante dès le départ (de cela, je m'en suis aperçu bien après). Et puis bien sûr et avant tout parce que cela me permettait d'être lue. Et cela, ha, c'est juste génial (il n'y a rien d'autre à dire, c'est là la pure vérité) : c'est une opportunité d'avoir des avis extérieurs, des avis qui sont... c'est juste superbe de savoir ce que vous pensez, merci toujours et encore. Et puis de pouvoir je ne sais pas, ne serait-ce qu'un peu, procurer du plaisir à des lecteurs, ou autre chose, je ne sais pas, de la tension dramatique, je ne sais... c'est superbe. Ça change tout, ça ouvre des perspectives. Quant à écrire sur Harry Potter. Au départ, parce que c'était vraiment le seul fandom qui m'intéressait un peu, et que je connaissais assez. Maintenant... c'est addictif je trouve ! je suis simplement tombée amoureuse du couple sur lequel j'ai écrit pendant si longtemps et qui au départ ne me plaisait que comme cela, un peu par hasard. Rien à faire, je les vis, je les aime. Et ce monde entier est devenu comme une part de mon monde ! J'ai beau élaguer, vous n'êtes pas sorti ! Malgré tout, pour ceux qui voudraient plus de précisions ou que sais-je, voici un de ces questionnaires stupides en usage. Prénom: Morgane Surnom: Beaucoup. On comptera au nombre des plus épiques (et pour vous faire plaisir) : Mamie-Wan, Mörmör, une série de variations à partie de Mo'. Sexe: Féminin Ville d'Habitation: Lyon, désormais. Date de naissance: 27 ans. Signe astrologique: Capricorne. Couleur des yeux: Marron (non, me demandez pas des nuances... et puis après tout pour écrire mes fics ou que je vous lise, faut juste que j'ai des yeux ! Le reste, on s'en fiche !) Couleur des cheveux: Châtain (vous savez, ce truc qu'à l'air blond des fois, et brun d'autres...). A vrai dire, ce qui les rend remarquables, c'est leur frisotis bouclé. Taille: 1m71 Poids : Quelque part dans un poids acceptable (non, et puis on demande pas son poids à une dame, non mais !) Job: Haha, ça y est je peux répondre - même si en fait c'est encore une feinte. Euh, je suis agrégée de Lettres/chargée de cours à la fac. Frères/sœurs? Un frère. Traits de caractères: Euh. En général, on me dit tarée et intelligente. Le premier, je dis pas... Non, sinon, dotée d'un humour qu'il vaut mieux ne pas définir, légèrement chieuse, diplomate, survoltée... Et stressée ! ha, stressée de la vie comme pas deux. Ton plus grand fantasme irréalisable: Oh, je crains que ce ne soit... de ne pas mourir. J'aime: Euh, les bouquins, voyager (BEAUCOUP), des gens (beaucoup de gens, et de manières très diverses), le soleil, écrire... la vie je pense aussi, au sens large. Si tu pouvais rencontrer une personne de ton choix morte ou vivante: Beaucoup, ça serait pas raisonnable. Je voulais rencontrer certains d'entre eux, mais c'est fait (Alena, Lola... j'en ai eu de la chance !) Occupation préférée à la fin de la semaine: Excellente question. Dormir, voyager si je le peux, aller chez des amis comme si j'avais 18 ans puis mourir dans mon lit le dimanche... (Et écrire/lire/regarder des films en tricotant avec un petit verre de blanc/de rhum) Ton style de musique: Tous et aucun. Ta chanson préférée: J'en n'ai pas, c'est par phase... Aujourd'hui, disons "High road" de Kesha. Ton cd préféré: Il n'y en a pas. Ton menu préféré: Ça dépend. Là, j'ai envie de sushis. Ou d'indien. Miam. Ta saveur de crème glacée: Citron. Vanille. Yaourt. Euuuuh. Ca dépend en fait ! Ta boisson alcoolisée préférée: J'aime bien les vins blancs. Et la bière brune. (Et le Rhum). (Et le vrai vin rouge bien complexe). Et je me spécialise en cocktail. Couleur préféré: Rouge, ou bleu foncé mais qui ait de la couleur quand même. Ou... des choses chaudes ; et le noir parfois. Chiffre favori: 37 Ta citation favorite: Quelle torture : il y en a bien trop. Entre autre : - "D'une personne comme vous, Madame, tout est des faveurs hors l'indifférence." Mme de Lafayette ; La Princesse de Clèves. - "Si je poussais une longue plainte déchirante pudiquement cachée sous la morsure cinglante de mon humour ravageur." Desproges. - "La chaire est triste, hélas ! et j'ai lu tout les livres." Mallarmé ; Brise marine. - "They were afraid he was a snob. And of course he was. He was a colossal snob. He was a snob without shame." Maugham ; The razor's edge. - "Il se remémora ses arguments en faveur du mariage, mais au lieu de la phrase qu'il avait préparée, il laissa tomber inopinément : - Quelle différence y a-t-il entre un cèpe et un bolet ?" Tolstoï : Anna Karénine. - "Potter, take Weasley with you, he looks far too happy over there." Minerva McGongall ; Harry Potter and the Half-Blood Prince (le film). Les dialogues des Tontons flingueurs, bien entendu. Et puis beaucoup d'autres, sentences philosophiques et autres moments poétiques. Et Proust. Et puis des bons mots. Et Shakespeare. Bien sûr. Si tu étais un animal: Je serais une plante verte... Oui, d'accord, ça c'est la flore et pas la faune... Bah, disons que je serais une girafe, je trouve ça intéressant comme vie. Ou un chien de prairie. Si tu pouvais vivre à une époque: En vrai, je ne changerais pas. Mais j'irais bien visiter le XIXe siècle... à force de travailler dessus. A quoi penses-tu avant de t'endormir: Ça dépend ! Souvent je pense à la suite de mes histoires, quand je suis stressée je remâche mon stress... tout ça, tout ça ! La vie, l'amour, la mort, l'âge, et ces sortes de choses. Je pense à m'endormir, tout simplement. Que fais-tu pour te défouler: Je pleure. Je mets la musique à fond (en général avec mp3 ou du moins des écouteurs pour épargner mes pauvres parents) et je danse en me donnant le plus possible (et heureusement personne ne me voit). En cas de crise grave, je sors dehors, je cours un grand coup pour me prendre l'air froid dans le visage, et après je marche en parlant à voix haute et en morigénant le monde entier (le tout en anglais). Et les gens, dans la rue, ont peur... Le mot que tu dis le plus souvent: En ce moment j'utilise "olala" tout le temps. Voilà. Si tu pouvais avoir n'importe quel emploi ça serait quoi: Je pense auteur, ou prof de fac... un truc de ce style (les deux :p) Combien d'enfants aimerais-tu avoir plus tard? Je sais pas, 2, quelque chose comme ça. Comment appellerais-tu tes enfants? Dur dur à dire. Je voudrais leur donner des noms de héros et héroïnes, mais en même temps... et bien non. Alors qui vivra verra. Si un jour tu deviens célèbre, ce sera dans quel domaine? L’écriture j'espère... Ou la folie, qui sait. T'entends-tu bien avec tes parents? J'ai la chance (et l'âge ?) d'avoir une très belle relation avec ma mère. Première chose à laquelle tu penses en te levant le matin? Deux choix : je bosse de chez moi, et il est plus tard que prévu et donc je n'en suis pas ravie... OU il est très tôt le matin et je me demande POURQUOI je travaille dans plusieurs villes et ma vie se passe dans le train. Ton bouquin préféré : Ma réponse à cette question est vieille comme le monde ! Donc : La recherche du temps perdu (Proust), Mémoires de deux jeunes mariées (Balzac), Le Pont sur la Drina d'Ivo Andric, 'La supplication de Tchernobyl" de Sveltana Alexievitch, même si là c'est comme un mécanisme d'attraction-répulsion, etc. Ton film/ta série préféré : Série c'est facile : 'A la maison Blanche', et film... Je dirais le 'Hamlet' de Branagh, et son 'Much Ado About Nothing' ; ainsi que 'Les tontons flingueurs', et 'Love Actually'. Et d'autres. J'ajoute 'Renaissance Man'. La page web dont tu te sers tout le temps : Facebook, youtube très souvent, ma messagerie aussi. Et dernièrement, /Eurolines/Ryanair... Et, pour aller bien avec le questionnaire, les réponses stupides à des questionnaires drôles quoique tout aussi stupides sur Harry Potter : Quelle fan d'Harry Potter suis-je ? (test fait ici : http://www(.)gotoquiz(.)com/results/quel_fan_d_harry_potter_etes_vous) Je vais vous l'avouer, ce résultat me fait... peur ! Le réflexionel (mot qui n'existe que moyennement, mais bon...) : "Harry Potter c'est pour les enfants" voilà LA phrase que vous ne supportez pas ! Car pour vous, Harry Potter c'est une histoire complexe, avec une intéressante psychologie des personnages, avec des détails dont l'importance se dévoile quand on y regarde de plus près. Avant la sortie du tome 7, vous étiez de ceux qui, travail de fourmis, recherchiez n'importe quel mot, phrase, hasard, pouvant amener à dévoiler quelque chose sur le futur de la saga. Vous n'hésitez par exemple pas à passer de longues heures à rechercher l'origine des noms des personnages, choses d'apparence désuettes mais qui dans Harry Potter nous donne des indices sur leurs liens, leurs caractères ou leurs secrets. Vous aimez les théories, les indices et les analyses de la saga. Vous avez un grand coté littéraire doublé d'une certaine curiosité et le choixpeau se posant sur votre tête, envisagerait probablement Serdaigle pour votre gout de la connaissance et de la recherche" Et maintenant que nous y sommes, gros plan sur les fictions, reportage spécial ou que sais-je (et là j'esquisse un léger sourire d'excuse). Harry Potter, comme je l'ai dit, est mon unique domaine de fanfiction. Le reste ne sont que des incartades, pour le moins occasionnelles ; et même si parfois j'ai des velléités à d'autres sujets, je les mène excessivement rarement à terme. Alors oui, en ce qui me concerne, fanfiction rime avec Harry Potter. Que ce soit pour l'écriture ou la lecture d'ailleurs, car je m'aventure vraiment rarement dans d'autres parties du site. De plus je lis en anglais et en français, plus dans l'un ou l'autre selon les périodes. En ce moment j'ai tendance à m'en tenir à lire les fictions que je suis, mais ce n'est sans doute qu'une passe. J'écris aussi dans les deux langues, mais l'imperfection de mon anglais m'agace (je ne dis pas que mon français est parfait, loin de là, mais il n'y a tout de même pas de comparaison possible), et j'y éprouve un manque de liberté qui me frustre très vite ; ce qui fait que j'écris beaucoup moins en anglais, et j'hésite de plus en plus à me lancer dans quelque chose dans cette langue. Mes favoris ? C'est bien simple, Minerva, Severus, et je l'avoue, Hermione (quoiqu'elle tombe vite à côté de Minerva). - Minerva McGonagall : Au départ, je lui trouvais un quelque chose d'indéfinissable. Pas qu'elle me passionnât plus que tout, mais... Mais je ne sais pas, quelque chose restait là. En commençant à écrire et lire sur elle, je me suis véritablement attachée à elle. Elle représente pour moi, autant le dire, la féminité. Une féminité droite, puissante, maîtresse d'elle-même. Une féminité admirable. Mais sensible tout de même, d'une vulnérabilité que je ne cesse d'exploiter. Sans être parfaite, rien ne l'est, elle reste une image de la perfection à mes yeux. C'est un tournoi d'élégance et de délicatesse, de force et de faiblesse. En un mot: impressionnante. - Severus Rogue : Rien de bien original à s'enticher de lui, n'est-ce pas ? Qu'importe. Il a cette classe, tout cela. Il a ce côté mystérieux, et puis il a la voix d'Alan Rickman et son allure, et cela joue très certainement en sa faveur. Mais là encore, j'aime en lui ce qu'il ne montre pas : le cœur, la faiblesse, la peur. La sensibilité qui se cache et qui fait peur. Il incarne l'éternel problème de la puissance et la profondeur du sentiment et de l'attachement, de l'affect ; et la peur de le laisser voir. Il est cette carapace si dure à percer, si blindée et pourtant si fragile si l'on sait immiscer là où il le faut. - Hermione Granger : Mon attachement pour ce personnage est allé en décroissant avec la montée de Minerva. Hermione était plutôt le personnage de ma jeunesse (je ne suis pas vieille certes, mais tout de même). Jeune, toujours plus ou moins de mon âge, un peu plus âgée peut être, c'était la fille intelligente, jolie (rien à faire, dans le film elle n'a pas la touffe si caractéristique etc : je lui prêterait bien la mienne tiens !), intéressante. L'héroïne. Je continue à l'aimer, juste un peu moins. Ceux-là ont un vrai rôle. Car bien avant Hermione, il y a Septima Vector et Filius Flitwick : mes nouveaux amours. Car si j'aime Albus, si j'apprécie Lupin, si je n'en hais aucun en tant que personnage, je ne leur suis pas si attachée. Septima et Filius, quant à eux, sont dans mon cœur (je sais, j'ai vraiment l'air folle à lier maintenant, mais tant pis) comme le sont Minerva et Severus. Ils sont... en grande partie ma création, parce que s'ils existent chez JKR, ils ne sont là que ponctuellement et très peu développés. Alors je les chouchoute. En matière de couples, je ne vaux guère mieux. Je suis à la fois très dure et pas difficile. En gros, j'aime l'improbable, mais en fait non : j'aime l'improbable de Severus et Minerva. Non, la vérité, c'est que ce que j'aime, c'est ce qui est bien écrit, au sens où je ne m'ennuie pas, où le couple est bien mené (même s'il ne se passe rien ou presque). La langue agréable oui, et... enfin, si la fiction est ce que je considère comme 'de qualité' dans son scénario, et que ce n'est pas bourré de fautes de français immondes et horribles. Mais oui, comme tout un chacun, j'ai des favoris qu'il m'arrive de lire dans un français à couper au couteau (si la fiction est courte cela-dit) : globalement, Severus et Hermione. Pour ce qui est d'écrire... je me spécialise de plus en plus, mais n'ai pas écrit que sur mes préférés. - J'aime les Minerva/Severus, je crois que cela se sent très vite. *se cache* Il y a quelque chose dans ce couple qui me... qui me prend, m'emporte, me transporte, me ravie. Amis ils sont géniaux, amants ils sont... parfaits ? Ce n'est pas un couple que l'on trouve beaucoup, alors je tente - vais tenter - de lui donner plus de représentants. - les Albus/Minerva, malgré mon amour pour le précédent. Agréable, sympathique. - les Severus/Hermione, que j'ai lu en nombre fut un temps. Moins maintenant, mais certaines sont vraiment géniales. Et maintenant je m'y essaye personnellement. - les Hermione/Minerva, que ce soit amitié ou plus (enfin, en Romance ça dépend... j'aime bien parce que dans mon imagination j'en rajeunis une et je vieillis l'autre) - j'ajoute le Filius/Septima, à ma sauce en plus ! c'est mon petit couple mignon xD Voilà, et maintenant les fic' : je pense que je vais faire une petite présentation (je ne laisse que ce qui ressemble un peu à quelque chose), et un résumé plus développé que celui qui y est déjà, avec un extrait (plus ou moins long, voire plusieurs, selon la fiction). C'est là qu'il y a à dire et à faire. Pour commencer, celles qui sont finies : - A une passante : Un Remus/Tonks assez court sur le problème de la métamorphomagie dans le couple. C'est mon tout premier OS, ma première fanfiction même. Quelque chose de fractionné et de court. Pourquoi Rémus a-t-il eu tant de problèmes durant sa finalement courte relation avec Nymphadora Tonks ? Pourquoi ces distances et cette instabilité une fois même qu'il l'avait acceptée ? Quelques vers de Baudelaire peuvent tout expliquer... Extrait "Remus ne dort pas, Remus ne peut pas dormir, et il se promène, dans cette nuit de fin d'août, cette nuit qui reflète ce qu'il ne veut pas voir. Un pas, deux pas. Trop de pas, trop d'images." - Je ne vis que d'amour : Je n'aime pas beaucoup les personnages 'noirs' d'Harry Potter. Pourtant, j'ai bel est bien écrit ce Bellatrix-Tom, devant la télé, comme cela. Il est venu tout seul, il est là maintenant. Bellatrix est dite folle. Oui, ou non ? On la dit amoureuse de Voldemort. Voilà ce qu'elle en dit, ce qu'elle en pense. A vous de décider si elle est folle ; à vous de décider... Extrait : "Et je ris : apologie féminine totale de la haine, la cruauté, je ne vis que d'amour. Amour irréel, mais tellement vrai pour moi." - Pourquoi la frontière est-elle floue ? : Mini-recueil de 2 OS, cette fiction se centre sur Albus et Minerva, sur ce qui les lie. Sur l'amour ou l'absence d'amour. Deux points de vue, un de chacun d'entre eux. La pensée, le savoir et l'absence de savoir. Albus s'interroge... savoir s'il l'aime ou si c'est autre chose. Et pourtant, pourtant... / Minerva sait... qu'en fait-elle ? Extrait : "Amie. Pas aimée. Une lettre échangée, une lettre ajoutée : le bonheur. Pourtant, je dis non. Je refuse. Je me refuse. Je ne veux pas." - Caroline Malfoy : Ma fiction accomplie la moins sérieuse. Je m'y suis follement amusée, j'espère que vous aussi. J'ai écrit ce Draco/OC (l'OC étant Rin Uzumaki, qui est dans mes favoris) pour son anniversaire. Autant le dire, il est truffé de petites blagues sans conséquences et est tout sauf réaliste. Entre romantisme rosé et blagues alcoolisées, la légèreté d'une amourette ; et j'ai accompli ce rêve d'avoir son Draco à soi. L'histoire existe en deux 'versions' (tout français ou français et certains dialogues en anglais), et y est ajouté une vraie folie, une histoire de Gobelin sur les tons médiévaux de la bêtise. Un deuxième chapitre, le deuxième volet de ces amours irréels, est en ligne ! Les premières lignes, pour donner le ton : Extrait : "Je suis jeune, beau, grand, plein de classe, riche et adulé. Blond et au top de la mode, personne n'égale ma démarche, personne ne surpasse ma beauté, personne ne me défie. Non, je ne suis pas Claude François, je suis Draco Malfoy. Je suis arrogant, sûr de moi, cruel quant il le faut… mais si j'ai conservé tous ces traits de caractère, je suis désormais libéré de la tutelle de mon père." - To Teachers to Make Much of Birthdays: Une fiction en anglais, Albus/Minerva, que j'ai écris comme cadeau d'anniversaire, dont le but est juste d'être mignon. Un OS une fois de plus, quelque chose de léger et de doux. Today, on the 24th of July, it's Albus' birthday... and Minerva is in search for the non-existent perfect present for her boss and friend. No present, an official reception, a chessboard and a poem... what does it lead them to? Extrait : "She stared at him for a moment, wondering what he was going to invent this time. Some metaphor on the sun or the meaning of Mercury (even though she didn't quite see the link between the planet –or the Gods' messenger– and the young auror) she assumed." - Le nom, tu prononceras : Une fois encore, quelque chose de léger. Une conversation, un simple petit problème. Neville est professeur depuis maintenant un an. Tout va bien ? Presque, presque : reste à vaincre l'irascibilité de notre chère directrice. Extrait : "Neville, coupa-t-elle devant son air affolé, si vous me dites Madame la directrice avec ou sans air de déférence, je vous jure que vous allez regretter d'être né !" - Le bon moment, tu choisiras : Dans la même lignée que le précédent car découlant aussi d'une demande, ce gros drabble met en scène Minerva, et ses questionnements, et tout un raisonnement sur la forme animagus. La Grande Bataille est passée. Voilà. Et Minerva ne sait plus trop. L'histoire d'une Métamorphose du corps et de l'esprit, sous la forme d'une prise de conscience... Extrait : "Alors voilà. Aujourd'hui, elle sentait que c'était le moment. Sans doute unique. Une véritable impulsion, une pulsion, presque de l'instinct, lui disait que c'était maintenant. Maintenant ou jamais. Peut être pour une dernière fois, une ultime métamorphose. Définitivement, c'était maintenant ou jamais." - Amour inachevé, Ou la vie d'un homme froid et malheureux : Un récit de vie, un malheur, un désespoir. Un sentiment si fort pourtant. Un amour à sens unique, une admiration étrange et totale, un récit. Entrez dans le récit de la vie de Severus Rogue, dans le récit de ses douleurs et de ses sentiments : la porte est ouverte sur son cœur dénudé. Fiction sans parole, fiction de pensées, de sensations. Extrait : "Lorsque, rarement, reposé, il rêvait d'elle, il accomplissait ses fantasmes : un frôlement de main, une courte étreinte. Pas même un baiser, moins encore davantage ! Et il savait l'impossibilité de cet amour, sa débilité d'essence, sa folie. Et il allait rentrer dans Ses rangs. Et il savait qu'elle Le combattait." - Teaching is a mark of affection... isn't it? / Qui aime bien taquine bien ! Une autre fiction en anglais, un drabble qui déroule une courte conversation, sur le ton de l'humour. Une légèreté qui se veut amusante et qui ne se prend pas au sérieux. Un de ces textes que l'on écrit pendant un cours. Je l'ai donc traduite en français, sous le titre : Qui aime bien taquine bien ! Même résumé, bien entendu Extrait : "'Albus, Merlin knows I would kill you right now if…' 'Minerva, people are looking at you,' he answered in a murmur." - O Albus! my captain! A nouveau une fiction en anglais, toujours les 2 mêmes concernés. The Dark Lord is done with, he died. Surrounded with everyone else's reaction, Minerva McGonagall struggles with her own thoughts. A short insight through Whitman's words. Extrait : "Minerva McGonagall was standing as still as the walls of the castle, as silent as the dead bodies on the bleeding grass. Her happiness had no end, and neither had her sadness." - Rose tragédie : Une fiction entièrement écrite avant sa publication, et désormais totalement publiée. Septima Vector et Filius Flitwick : une histoire, d'amour. Les 5 grands moments de leur relation en 5 Actes, auxquels s'ajoutent un prologue et un épilogue. Deux personnages à découvrir dans des tableaux de vie ; une histoire comme une rose qui nait, fleurit, et fane dans la mort. Une histoire couleur rose tragédie. Ce sont deux personnages peu connus, et qu'il m'a semblé forger presque de toute pièce. Cependant, ils ne sont pas tous seuls, et ce n'est pas un vrai monde d'OC ! Extraits : Acte I : "Ils s’étaient donc rencontrés au mois de février 1984, à une époque où ils se connaissaient déjà beaucoup, très bien même pour deux collègues. Ils s’étaient rencontrés dans la salle des Professeurs, dans l’incongruité d’une scène inattendue et qui se révélerait bouleversante." Acte III : "En arrivant avec Anthony devant la porte de ses appartements, il s'était immédiatement fait refouler par Poppy, qui ne l'avait même pas autorisé à passer le pas où se poster dans son salon. Face au 'C'est une affaire de femme, vous ne feriez que la stresser davantage' de l'infirmière scolaire, il n'avait pu que s'incliner : après tout, il devait bien s'avouer qu'elle avait totalement raison. Il s'était donc rapidement retrouvé dans le couloir vide, seul avec Anthony, assis sur deux fauteuils que Minerva leur avait si diligemment fait léviter hors de l'appartement. Ne restait plus qu'à attendre que les choses se fassent ce qu'il ne parvenait pas à faire dans le calme." Acte V : "Certains avaient attendu plus de 30 ans qu'elle les lise, et c'était maintenant qu'elle les ressortait. Elle les prenait soi-disant au hasard, mais tout les romans trop heureux finissaient pas retrouver la bibliothèque : elle préférait lire des histoires malheureuses d'amours impossibles, ou qui finissaient mal. Cela s'accordait davantage avec son état d'esprit et, sans doute, se sentait-elle moins coupable de lire ces histoires funèbres et tristes. Alors, après La princesse de Clèves, roman français d'un ennui profond, et qui lui avait parfaitement convenu pour cette raison même, après La ferme africaine, qui ressemblait à un immense échec sur tous les plans, elle s'était attaquée à Othello." - Le barman reviendra, ne vous en faites pas... Un OS écrit d'abord pour Rosine, qui me l'avait demandé au cours d'une conversation (assez délirante). J'ai pas mal changé le synopsis de départ, mais enfin, nous n'en sommes pas si loin ! Marion McRosin, une cinquantenaire peut être un peu coincée ; Aberforth Dumbledore, un vieux grognant qui vit avec sa taverne et ses chèvres... Vous ne voyez pas ce qui les relie ? et bien allez lire, vous verrez ! Nous voilà donc au coeur d'une petite histoire sur cet individu si peu connu, le frère d'Albus Dumbledore ! Extrait : "« - Asseyez-vous, fit-il en désignant ce qui semblait être un tabouret – il n'était pas dans ses habitudes de faire assoir les gens autre part que sur des caisses, d'habitude. »" - Beauté de la Victoire Qu'est-ce qui m'a pris d'écrire ça ? Je ne sais même plus, pas mal de chamboulement personnels, et paf ! Fleur Delacour, la femme au sang de Vélane. On la jalouse, on la désire. Mais au fond, qui y'a-t-il ? Comment se faire aimer lorsque l'on ensorcèle ? Un parcours humain derrière un pouvoir magique. Je pense que le résumé est suffisant pour vous donner une idée convenable ! Extrait : "Des hommes vont t'admirer, te dévorer des yeux, tomber sous ton charme : seulement si tu le veux, bien sûr. Mais c'est si facile de s'y laisser aller. Dangereux aussi. Elle a prononcé dangereux sur un ton presque agressif, et elle m'a saisi le menton pour planter ses yeux dans les miens, avec une forme d'urgence inquiétante. Fais-y attention. N'oublie pas que ça n'est que de la poudre aux yeux, et que ces hommes se tuerait pour ta beauté, oui, mais pas pour toi. Ca n'est pas toi qu'ils aimeront." - Taisez-vous ! SSHG. Une petite histoire pour Noël... Tout ça parce que Minerva avait décidé de se prendre pour Albus Dumbledore ! Comment les choses changent, juste parce que... Bonne lecture, et Joyeux Noël ! Une petite histoire sans conséquence et drôle, je l'espère, sur ces deux personnages que nous aimons tant ! "Et y avait vu Hermione Granger, cheveux noués et expression sérieuse à l'appui, maquillée sans doute un peu trop, pour faire plus âgée, immobile. Quoi ? il se souvenait très clairement d'avoir manqué broyer le Choixpeau qu'il tenait à la main, et d'avoir presque hurlé sur le premier de la liste qui n'arrivait pas à s'assoir correctement sur le tabouret." - Café Crème "Il suffirait de presque rien, peut être 10 années de moins, pour que je te dise Je t'aime...". Une songfic autour d'un café crème. L'amour possible, ou impossible, d'une différence d'âge et de situation. Le second OS que j'écris au sujet de Severus et Hermione, je trouvais que cette chanson - que j'adore - leur allait trop bien. "Bien sûr, elle croirait qu'ils ont une vie aussi, ensemble. Mais il finit la sienne quand elle commence à peine à y entrer. Ils sont assis, toujours aussi immobiles. Il sait qu'elle sait à quoi il pense. Ils n'en ont jamais parlé, ils boivent seulement ce café, tous les jours, ensemble. Tout comme ils travaillent, tout comme ils parlent. Ensemble. Une sorte d'entité qui s'est créée presque malgré eux." - Quand on se torture l'esprit : Autant le dire, cette fiction est mon bébé, mon amour, ma fiction. Vraiment. L'histoire commence quand Rogue devient professeur à Poudlard. Pour lui et pour Minerva, le passé remonte avec plus ou moins de difficulté. Quoi de plus difficile ? Et puis viennent le présent, le futur, l'amour...? Oui, voilà en gros l'idée. Des vies, surtout des vies. Rien de grand, parfois des événements, petits ou grands, importants ou pas. Mais seulement ceux qui frappent les personnages, ceux qui font quelque chose, qui veulent dire quelque chose. Un longue fresque qui s'étale sur des années, avec pour personnages centraux et points culminants Minerva et Severus. Ni gai ni triste : la vie n'est ni l'un ni l'autre. C'est un peu des deux. En toute honnêteté, ma relecture d'aujourd'hui sait qu'il faudrait reprendre (beaucoup) au moins les 20 premier chapitre. Mais cette histoire, dans son ensemble, restera toujours pour moi un jalon. Quelques extraits, donc, à propos de Minerva, ou de Severus, ou d'autres : Extraits : Chapitre 1 : "Severus marchait dans les couloirs de Poudlard… Que c'était étrange de se retrouver ici, à nouveau, de son plein gré, sans aucune intension malhonnête, dans un nouveau rôle, un rôle où jamais plus il ne serait opprimé ! C'était étrange comme de ne plus être tout à fait soi, muer vers un corps différent et meilleur, celui des apparences qui sauvent de la désespérance." Chapitre 16 : "Tout au long de la lecture, elle s'était relâchée. C'était la Minerva rare, celle que l'on voit sans carapace, qui se tenait assise sur un des fauteuils de son salon. Et les larmes vinrent. Peu, dans un flot sporadique et discret, entrecoupé de quelques respirations rapides, sans cris et sans rien. Des larmes tristes et existantes. C'avait été une longue explication. Elle ne se lamentait même pas sur son sort, elle ne pleurait pas sa perte et sa tristesse. Plus tard, peut être. Mais là, elle ressentait la douleur intense, la souffrance. Elle ressentait les erreurs bien-pensantes et la honte imméritée." Chapitre 25 : " '…Canons de Chudley…' - 'Monsieur Weasley serait-il tellement préoccupé par le Quidditch qu'il ait oublié qu'une aiguille est en métal et non en bois ? fit-elle l'air sévère en se saisissant de l'objet hybride et l'observant avec attention.' - 'Excusez-moi professeur McGonagall, je me demandais si l'on pouvait métamorphoser un balais en un autre, répondit sans se démonter avec un sourire candide au possible le gamin.' - 'Votre père mentait à peine mieux, monsieur Weasley lui lança-t-elle en se retournant et ajouta : au lieu de réfléchir au prochain vainqueur de la coupe, transformer moi ça en une aiguille digne de ce nom, sans quoi votre distraction vous coutera quelques points.' " Chapitre 38 : "Après avoir jeté un rapide regard à sa droite, attirée par un éclat de voix, elle se pencha sur un des devoirs et en corrigea très sérieusement le premier exercice. Puis, à nouveau, elle releva la tête, et tourna brusquement, vers sa gauche cette fois, à la recherche de l'origine d'un bruit ou d'un autre. Après cela, elle plongea sa plume dans l'encre… mais celle-ci y resta, tandis qu'elle se mettait à fixer un point dans le vide, visiblement déconcentrée. Pendant quelques instants elle resta statique alors que sa plume, déséquilibrée, glissait lentement vers l'extérieur de l'encrier ; et elle sembla se réveiller en sursaut, la rattrapant brutalement et la plantant littéralement dans le pauvre récipient. Malgré sa tristesse, il ne put retenir un léger sourire devant ce véritable jeu d'acteur attendrissant, ce doux comique de situation." Chapitre 50 : " 'Severus ? puis-je abuser de votre gentillesse.' - 'Pas de ma gentillesse, de ma pitié, se moqua-t-il gentiment en s'asseyant face à elle. Vous n'avez pas dormi.' - 'Si… non…Peut être. Enfin, c'est sans importance. Jouez avec les pièces.' - 'Je vous demande pardon ?' - 'Donnez un ordre à vos pièces non de non ! intima-t-elle en le regardant comme s'il était un imbécile : la fatigue avait raison de sa pédagogie.' - 'Oh, et bien… cavalier en…, il observa le jeu, remis à zéro. En F3. Il regarda Minerva, mais elle n'eut rien à faire, et en face un de ses pions avança.' " Chapitre 64 : "Alors qu'elle le fixait, espérant qu'il comprendrait ce qu'elle voulait dire – pas qu'il était enchaîné à elle, non, simplement qu'il pouvait lui faire confiance – il eut la réaction que, sans doute, elle s'attendait le moins à voir. Il sourit. Un sourire léger, bien sûr, à peine perceptible et, plus encore, une lueur amusée dans le regard. Pendant un instant, elle fut tentée de croire qu'il avait bu, qu'il n'était pas maître de lui-même… mais ça n'était pourtant pas le cas. Il semblait s'être soudain apaisé, à la vue du coûteux bijou qu'elle portait au doigt. Finalement, le sourire s'agrandit, puis sa bouche retomba à son expression neutre habituelle, mais sans agressivité." Chapitre 80 : "Minerva, Je ne devrais pas être en train d'écrire ça. C'est certain. Mais je crois que jamais carnet n'a été si bourré d'enchantements, même vous auriez peut-être du mal à le lire, dans l'état où il est, alors même qu'il vous est destiné. C'est que j'ai tenu des semaines, presque deux mois. Mais je ne peux pas continuer sans savoir qu'après, quand je mourrai – oui, je mourrai, ne jouons pas au plus fort que je ne suis – vous pourrez savoir, avoir le choix de me croire ou non. D'abord, je vous aime. Et cela ne cessera pas. Ensuite, vous méritez une histoire vraie de ma vie. [...] Ces quelques mots sonnent d'une insupportable niaiserie." Cette fiction est accompagnée d'une fin alternative, What if? qui reprend à un point (proche de la fin de l'histoire pour en proposer un autre regard. Extrait : « - Oh par Merlin ! - Je suis assez d'accord. - Vous pensez que l'opinion publique va changer ? - Je n'en sais rien Minerva. Nous verrons. Mais je vous préviens, je ne refais plus jamais ça ! - Moi non plus. C'était stupide. Mais ça soulage, soupira-t-elle. Plus personne ne viendra me parler de votre manque de moralité, au moins, quand vous serez nommé à nouveau à votre poste. - Minerva ! - Servez-nous plutôt deux whisky, Severus, et buvons à nos réflexes d'adolescents ! » - Fauteuse de trouble Severus Rogue et Minerva McGonagall ne font rien de mieux que se prendre le bec, entre deux baisers. Voici qu'une élève leur donne l'occasion de se prendre le bec avec brio. Petite histoire sans grandes prétentions, un cadeau pour LyssHeap/Lola qui prend très largement appui sur ma fiction sans en faire un prérequis. De la légèreté avant tout ! Extrait : "Le petit sourire qu'avait eu Severus toute la semaine était particulièrement exaspérant. Il devint totalement insupportable lorsqu'elle prit conscience que toute friandise au café, toute forme de caféine, était hors de sa portée. Et lorsqu'elle comprit que toute grandiose et forte qu'elle était, sans un café le matin, elle commençait à mélanger les syllabes aux alentours de onze heures. Ce qui était beaucoup trop tôt. Mais elle n'avait pas explosé durant les cinq premiers jours de ladite semaine : c'était le samedi que les choses avaient légèrement dérapé." - Ne te souvient-il plus ? Severus Rogue n'est pas mort, cette nuit-là. Mais il n'est pas indemne et un long chemin l'attend dont il ne peut même mesurer l'étendue. Hermione Granger le croit mort et s'apprête, à son tour, à devenir enseignante. Mais, au détour d'un couloir, elle se trouve embarquée dans le combat contre ce manque qui le ronge. Comment pourra-t-elle l'aider ? Saura-t-elle même le supporter ? Une histoire sur cette paire-là, ma première fiction longue sur un couple qui intéresse les gens ! Chapitre 8 : "Elle ? Peut-être regardait-elle les choses de travers : après tout, elle ne pouvait s’empêcher de tenir compte d’un passé qui, pour lui, n’existait pas. Elle ne pouvait composer son tableau de la situation sans prendre en compte des souvenirs, des moments qui l’avaient marquée, qui l’avaient marqué lui aussi, sans doute, mais des années plus tôt, avant qu’il ne soit trop tard. Des choses étaient ancrées en elle qui ne l’étaient pas en lui, et l’irréductible hostilité avec laquelle elle comptait n’avait peut-être pas de sens, maintenant. Peut-être. elle restait dubitative." Chapitre 18 : "Elle se mit à parler, et il répondit, il continua, il accentua. Il fit part de ses pensées, de ses idées, de la beauté de ce moment ; il n'en fit pas part comme cela, il en fit part à la paire d'yeux brillants qui acquiesçaient, qui souriaient, qui brûlaient. Et elle parlait, la bouche rouge et intense sous son regard encore vif, sous le coup de son cœur encore tremblant. Et il demanda l'auteur, l'histoire, il demanda pourquoi ce langage parfois incompréhensible. Et elle répondait, et il aurait voulu finir de décharger l'émotion. Finir de décharger l'émotion en lui serrant la taille, en lui serrant les doigts, et lui serrant le cœur. Et le soir, chez lui, seul, il ne dormit pas. Somnolant il tenait comme on aurait tenu la main d'une femme endormie le coin de son oreiller." Chapitre 31 : "C’était la voix de Severus. C’était Severus. Quelque part, dans le noir, elle avait éteint sa baguette. Mais il allait allumer la sienne et, et, et… Elle ne pouvait pas lui parler maintenant, c’était impossible. Elle partit, à grands pas, sans un mot, tourna à l’angle du couloir au moment où Severus disait lumos. Et puis avança, avança, avança. Et soudain, il n’y eut plus de bruit, plus rien. Et à l’instant, elle se détesta de ne rien avoir dit, de ne rien avoir fait. Pourquoi agissait-elle ainsi, elle ne se reconnaissait pas ! L’Hermione Granger qu’elle avait toujours été allait au-devant des problèmes, elle. Sauf la fois où Ron est sorti avec Lavande… Ca n’avait rien à voir !" - Ghostly surprise Histoire en anglais écrite pour Lola. Severus, Minerva, un fantôme et après, il n'y a plus qu'à laisser mijoter. Même si l'histoire est en anglais, elle s'inspire fortement de ce que j'ai pu écrire en Français sur ce couple. Severus and Minerva roam the corridors as it is their duty. But as they go flirting by, something unexpected happens. Now, let's see whose fault it was, again? - Love is an alteration Esmée Platt est partie pour le front franco-allemand en tant qu'infirmière, pour aider. Elle y rencontre Carlisle Cullen, un médecin dont elle se rapproche tout en restant incapable de le cerner totalement. A mesure que le temps passe et l'amitié se lie, les deux aides médicaux traversent ensemble les épreuves de la guerre, du sang, et, peut-être, les épreuves de l'amour. AU. Une fanfiction sur la première guerre mondiale ! Et moins nombreuses les fiction en cours (voire en arrêt...) : - Et que bat, sans cause, ton coeur trop lourd. Victoire Lupin, la quarantaine, voit sa fille partir vivre sa vie. Mais ce jour là, elle met la main sur un petit carnet qui, visiblement, n'a rien à faire là. Un petit carnet qu'elle va chercher à déchiffrer, à comprendre, et qui va lui permettre de prendre un nouveau départ dans sa vie alors qu'elle découvre laborieusement ce que fût Minerva McGonagall. Retrouver un rôle de femme en découvrant la vie d'une autre. Quête et découverte de soi, ce récit est le parcours de deux histoires qui s'entremêlent à plus de 40 ans d'intervalle. Une histoire que je n'ai pas pu m'empêcher de commencer à écrire... Extrait : "Pas de réponse quant à l'auteur. Elle se remit à parcourir les pages, un peu plus doucement, mais s'interdisant de lire vraiment. Les noms Hermione, Severus Rogue, puis juste Severus, y apparaissaient de temps à autres. Souvent, même. Elle entraperçut le mot amour, et sur une page le mot regrets, plusieurs fois. Pas de nom d'auteur. Enfin, les dix dernières pages étaient vierges. Pas de nom tout à la fin, elle revint en arrière, les derniers mots étaient : « Ce que la guerre fait, la guerre le défait en un instant. »" - L'amour a ses déraisons que la raison déplore... Série de Drabbles, autour de la naissance et la vie d'un couple... plutôt inhabituel ; et des réactions des amis de la jeune femme ! UA, bien sûr, à ne pas prendre trop au sérieux ! Couple improbable, oui, mais impossible n'est pas Granger, n'est-ce pas ? Un peu de légerté à coup de drabbles... Extrait : "Et sortant en coup de vent, elle ameuta les employés de Sainte-Mangouste en déclarant qu'il se souvenait. Sans doute fût-ce ce jour-là que la légende naquit : celle qui disait que son amour si fort pour Miss Hermione Granger lui avait redonné la mémoire." - Le destin retrouvé Hermione travaille au département des Mystères et en triant les vieux objets, elle met la main sur un Fortunoscope : objet relativement inconnu il l'envoie à la rencontre de ce qu'aurait été son destin accompli. Mais quand ? comment ? avec qui ? Ce destin au début du siècle, c'est toute une vie : des amours, des amitiés, des colères, des mystères et un rôle à jouer... Une histoire de mystère, d'amour et de destin. So... I'm sorry, I'm going to do something much shorter in english (I'm not brave enough to do something that long again!) I'm a 22-year-old girl, studying literature and I'm french. My real first name is Morgane, but my alias here, Bergère, means shepherdess (and comes from a french poem). I'm very fond of literature, mostly novels, and they are a huge part of my life. I write mostly in French, and only on Harry Potter for the moment. I like the world, I like to write and read, I'd like to improve my writing (and in the case of English, simply improve my knowledge of the language). I don't write much in English since I became more accurately aware of the lack or english-ness and of... well, I don't know! I feel my english is so very improper! That's why I ceased to write in English these days, but still read it. My favourite characters are McGonagall, Snape and Hermione, plus Albus and Remus, and I of course like pairing these ones. I am also very fond of Filius Fliwtick and Spetima Vector, who are... let's say so very unknown and un-used. My special loves, though, are Snape and McGonagall who, according to me, are great as a couple! Just... great! These are my real love in terms of Harry Potter pairings. Here are nonetheless the few stories that I wrote in English : - A Minerva/Hermione friendship called I admired, I did, and I'm looking for a native-english-speaker to beta-read it and improve it ! It's finished now. I'll maybe try to improve it all. - To Teachers to Make Much of Birthdays, which is a Albus/Minerva One-Shot, just meant to be cute! It was written for a friend's birthday, and I do hope you'll enjoy it too. - Teasing is a mark of affection, isn't it? is a drabble on Minerva and Albus as friends, just aiming at being nice and maybe funny! - O Albus! my captain! Obviously based on Whitman's famous poem, this short OS deals with Minerva's struggle with Albus' death while the war is come to an end. - Ghostly surpise: a small fic on Severus, Minerva, and a surprise. Pour finir, je voudrais vous faire une demande qui, à mon avis, est la même pour tous les auteurs : dites-moi ce que vous pensez de ce que j'écris s'il-vous-plait. D'abord ça fait plaisir, bien entendu, et ça motive pour continuer à écrire. Ensuite, ça peut permettre de s'améliorer. Et, enfin, avoir un contact avec les 'lecteurs' c'est super ! ceux qui écrivent me comprendront très bien je pense (d'ailleurs 'd'auteur' à 'auteur' c'est génial aussi ). Alors je vous en prie, dites, dites. Même court ! :D Sur ce, je vous souhaite bonne lecture ! J'applaudis ceux qui ont lu jusqu'au bout, parce qu'il fallait le faire... et voilà ! En espérant que cela vous ai donné envie de lire mes fic's ! Merci à tous ceux qui me lisent, merci à certains auteurs pour de si belles histoires, et à certains lecteurs pour de si belles reviews ! Bergère. |
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