Alors...

Que dire sur moi? (grande question existentielle à laquelle est confronté tout auteur qui se doit d'écrire sa bio à un moment ou à un autre...)

Soyons classique:

J'aime (en vrac, hein): lire, dormir, les rillettes, mon chat, le tir à l'arc, marcher, le yaoi, les manga, les cactus, les bonsaïs, coudre, le kyudo, mes études (oui, ça existe les gens qui aiment leurs études), ma famille, mes amis, le cosplay, le cinéma, nager, le lac Nino, David Eddings, me brosser les dents, le chocolat, Roberta Gellis, l'équitation, le Mont Saint Michel, flemmarder et ne rien faire... (liste non exhaustive...)

J'aime pas: faire le ménage, les tomates, abîmer ma voiture, les couples qui se bécotent dans la rue quand on est tristement célibataire, les fleurs fanées, l'odeur de clope, miss "Jetez lui des pierres", courir, repasser, Romain Duris... (liste non exhaustive aussi...)

J'écris peu, parce que je ne suis jamais contente de ce que ça donne une fois tourné en phrases.

Et puis aussi tout simplement parce que j'aime lire des fics avant d'en écrire.

Je n'ai pas de série fétiche (malgré une grosse crise 'Chevaliers du Zodiaque' en ce moment), donc pas de couple non plus.

Je lis de tout: soft, moins soft, yaoi, yuri, hétéro...

Et on verra peut-être la suite plus tard, mais je ne sais pas si ce sera vraiment intéressant.

Bonne lecture!

Le 17/03/09:

Hé non! Contrairement à ce qu'on aurait pu croire, je ne suis pas morte! J'ai juste attaqué joyeusement un nouveau cursus estudiantin responsable d'une diminution massive de mes heures de temps libre, de mon énergie fangirlistique, et de mon courage de fanfiqueuse. Associé à une exploitation de la part de certaines amies pour faire des cosplays complexes et indécents, une soeur qui me fait découvrir des séries anglaises toutes plus chouettes les unes que les autres, et des devoirs et présentations à rendre à un rythme soutenu...

Conclusion de tout ça, mes fics en ont fortement pâti (nooon, c'est vrai ça?) dans leur (absence de) rythme de MàJ.

La bonne nouvelle, c'est que je vais avoir devant moi cinq mois de stage qui devraient me permettre de me remettre à titiller le clavier.

Sinon, vous aurez le dorit de me frapper (virtuellement, ça suffira).

Voilà, c'était les cinq minutes de ma vie...