Reviews for Un pas de côté
Mita fujoshi chapter 17 . 9/8
j ai peur que axel sois homophobe ou au moins suspicieux via la probabilité de l homosexualité de son frère
Lamourloi chapter 43 . 8/27
Bon ça y est, c'est fini. Et sur des notes heureuses, quelle chance ! Dire que j'ai aimé serait un euphémisme : j'ai angoissé, j'ai ri, j'ai pleuré, j'ai beaucoup réfléchi, fait de l'introspection, mais surtout j'ai appris. Même si j'avais quelques notions concernant les maladies psychiques, j'avoue que les découvrir de l'intérieur si je puis dire, du point de vue du patient, était très intéressant. Bien que le récit ait été romancé, on sent bien le vécu et l'authenticité des propos à ce niveau.

Ton envie de partager un peu ton quotidien d'une certaine façon permet non seulement d'apprendre mais aussi de poser un autre regard, une meilleure compréhension donc une ouverture d'esprit pour savoir mieux se comporter peut-être lorsqu'il arrive de croiser ou côtoyer les personnes qui en sont atteintes. Je pense notamment au trajet en bus qui constitue une étape importante pour Harry, sa prise d'autonomie grâce à une meilleure gestion de sa peur et de ses angoisses. Et je me dis : combien de fois ai-je pris le bus en même temps qu'une personne dans cette situation ? Est-ce que j'ai réagi correctement ce jour-là ? N'ai-je pas, sans le vouloir, été un facteur de stress par un geste ou une attitude que la personne aurait mal vécue ou ressentie ? Est-ce que la couleur des vêtements que je portais n'a pas déclenché des questions ou fait remonter une angoisse (je sais que certains réagissent parfois aux couleurs trop sombres ou au contraire trop vives) ?

J'ai aimé ta façon d'écrire, simple et fluide, même si parfois quelques mots manquaient ou que j'ai vu certains accords hasardeux. Mais ce fut majoritairement une écriture très correcte et on est jamais à l'abri d'une faute de frappe, d'une étourderie ou d'une pirouette du site internet. D'ailleurs je pense que tu as pu suivre ma lecture et mes émotions au fil des commentaires que j'ai déposés de temps en temps. Je suis certaine d'aller faire un tour sur ton profil. J'ai déjà noté Le monde d'Alexandre Snape, mais vu le nombre de chapitres, je ne suis pas sûre de me lancer tout de suite, ne m'en veux pas :D
Une dernière fois pour cette histoire, je te dis un grand merci. Pour tout ce travail que tu as bien voulu partager avec les lecteurs, pour ce scénario parfaitement construit, pour ta générosité d'avoir partager tes connaissances sans trop nous heurter malgré la dureté de certains passages nécessaires. Merci et peut-être à bientôt sur un nouveau projet, qui sait ?

L.
Lamourloi chapter 41 . 8/26
Cro mignon !
Lamourloi chapter 38 . 8/26
J'adore ces trois derniers chapitres : tellement de non-dits, tapis, blessants, grossissant dans le noir des tiroirs secrets qui ont enfin explosés. Un peu. Et puis ces journées au musée - quel plaisir de retrouver une Minerva égale à elle-même - faites de découvertes et de responsabilités aussi, tout ça fait grandir Harry, le fait évoluer, s'affermir et retrouver une certaine confiance en lui.
Et bientôt l'anniversaire avec son chéri : youpi !
Si je l'écris encore, tu ne vas pas en avoir marre ?
Non ?
Ok.
Alors merci !
Lamourloi chapter 33 . 8/26
Ohlala c'est fabuleux. Pour une fois que quelque chose de négatif - et je parle là du départ de Draco de Poudlard - a un effet positif sur Harry. Bien sûr, c'est parce que la thérapie avec Shacklebolt a mis en place certaines réflexions et mécanismes de pensée, qu'il a aussi le support de la médication qui l'aide à gérer. Mais cette fois-ci l'apparition de Voldemort et de ses sbires a pu être analysée par Harry, y compris à chaud ! Et ça, c'est fantastique parce que ça veut dire qu'il a pu prendre le recul nécessaire même quelques minutes, pour pouvoir le faire et ne pas purement et simplement se faire engloutir. Il est évident que la "discussion" qu'il a réussi à avoir avec l'horrible individu est en fait une discussion avec lui-même, avec son propre inconscient, et même s'il n'est pas conscient qu'il se parle à lui-même et frôle le dédoublement de personnalité, il enclenche un processus de séparation avec son moi profond et tourmenté pour laisser la place à sa conscience, qui en a marre de tout ça et qui veut s'en sortir.
Quelle bonne nouvelle. J'imagine que dans la réalité, cela n'arrive pas souvent voire même jamais. En tout cas peut-être pas au bout de huit mois de thérapie. Mais c'est pas grave puisque justement on est dans une fiction :D
Que dire d'autre à part merci ?!

L.
Lamourloi chapter 30 . 8/25
Hum. Le sujet Sirius est sensible, voire miné. J'ai l'impression que Remus va lui expliquer sa façon de voir les choses, à ce parrain de pacotille.
Quant à la scène de la salle de bains, eh bien, c'était chaud et j'étais tellement contente qu'Harry vive ça enfin. Et Draco a toujours cette faculté extraordinaire de dédramatiser et apaiser son boy-friend, quelques soient les circonstances. Même si lui même est rempli de doutes et de craintes. Il est vraiment celui qu'il lui faut.
Demain, je continue ma lecture, là j'ai les yeux qui partent en roue libre :D
L.
Lamourloi chapter 29 . 8/25
ouf.
Enfin.
Un petit pas contre la maladie, un grand pas pour Harry.
Yes !

L.
Lamourloi chapter 28 . 8/25
Très émouvant chapitre. Moi qui était surprise de la force de James, j'ai pu mesurer cette force par contraste avec la faiblesse (sans connotation péjorative) et l'épuisement mental qu'ils subissent en lisant la réaction de Lily. Et encore trois semaines de "dépression" c'est peu quand on pense que ça fait seize ans que ça dure !
Lamourloi chapter 27 . 8/25
Ah ben voilà. Peut-être qu'il va commencer, réellement, à aller mieux ou en tout cas stabiliser son état, faire régresser la peur, l'angoisse, et accepter de recevoir de l'aide tout en prenant conscience de l'amour que lui porte ses proches.

La peur du rejet et de la solitude est vraiment une force puissante, parfois destructrice, et pas seulement pour des jeunes atteints de schizophrénie. Enfin, c'est mon avis.

L.
Lamourloi chapter 26 . 8/25
Douloureux chapitre sur la fin, tant pour Harry que pour sa famille. Seigneur, quelle force de caractère, quel mental d'acier faut-il se construire pour être parent d'un enfant dans une telle situation ! La douleur mêlée à la rage de l'impuissance de ne rien pouvoir faire pour aider son fils doit te bouffer de l'intérieur, c'est sûr.
Et en plus, James est commissaire de police, donc il baigne déjà dans un milieu rempli de tordus en tout genre, de crimes et scènes douloureuses, des répétitions de l'enfer où la notion d'humanité est salement amochée. Comment fait-il pour ne pas craquer ? Hurler contre l'injustice du sort qui frappe la chair de sa chair ? Je doute d'être aussi solide que lui.

J'ai omis de dire jusqu'ici à quel point j'aimais ta façon d'inclure les personnages du canon de JKR dans ton histoire. Chacun trouve une place qui lui ressemble, nous rappelant la saga originale et pourtant sans que cela vienne interférer avec le scénario que tu nous proposes. C'est fluide, évident et judicieux. Et j'ai presque envie de croire que l'apparition de Luna n'est pas anodine : non seulement aux côtés de Neuville (ils vont si bien ensemble je trouve) mais aussi maintenant dans le paysage d'Harry. Peut-être que son petit air léger et doux arrivera à faire comprendre certaines choses à Harry, qu'elle le fera progresser dans la bonne direction d'une certaines façon, comme dans le canon. Qui sait ?
Je n'ai plus qu'à lire la suite pour le savoir n'est-ce pas ?
Merci encore et toujours.
L.
Lamourloi chapter 25 . 8/25
Très bon chapitre, où l'on se (re) plonge dans les premiers émois adolescents et les nouvelles expériences. Et la sensibilité exacerbée d'Harry n'est pas forcément un handicap. Je veux dire que bon nombre de jeunes ont cette double envie : expérimenter mais aussi éprouver de la crainte à le faire, voire même un certain dégoût. Et je crois que c'est de la responsabilité des parents, la façon dont eux-mêmes veulent envisage les relations charnelles, leur propre rapport au corps, qu'ils transmettent consciemment ou non, à leurs enfants. Si eux mêmes voient le sexe comme quelque chose de tabou de façon très prononcée, alors il y a de fortes chances que leurs enfants le voit de la même manière, en tout cas jusqu'à ce qu'ils puissent faire leurs propres expériences et avoir leur propre opinion sur la question. De toute façon sur ce sujet, comme sur beaucoup d'autres, seule la communication et l'ouverture d'esprit permettent de rassurer, d'expliquer, voire de poser des limites selon la personnalité de l'adolescent qu'ils ont à la maison. Dans le cas des Potter, ils ont deux caractères opposés à gérer, certes, pour autant le discours doit être le même à ce stade. Enfin, c'est mon avis.

Quant à Harry, je suis tellement navrée qu'il ne réalise pas le bénéfice que lui apporte le traitement sur ses visions et l'intrusion de Voldemort dans son quotidien. Il argumente avec lui-même et estime avoir de bonnes raisons de saboter ainsi le travail effectué par son psy, ne réalisant pas que celui-ci n'a aucun intérêt à le "droguer", que cette prescription médicamenteuse n'a pour but que de lui faciliter la vie et non pas de l'amoindrir. Il ne voit pas que c'est POUR lui et non CONTRE lui que l'équipe travaille.
En même temps, à cet âge-là, les décisions ou les règles qu'imposent les adultes sont bien souvent perçues comme des contraintes ou simplement stupides par une grande majorité de jeunes, sans qu'ils ne soient atteints de schizophrénie pour autant. C'est le propre de l'adolescence et en cela, Harry est comme les autres. Sauf que dans son cas, ça impacte sa santé (déjà fragile) et que les quelques progrès effectués risquent bien de disparaître en entraînant un retour à la case départ.
J'imagine bien que ce genre de thérapie n'a guère de chance de fonctionner si le patient ne coopère pas lui-même volontairement, s'il n'adhère pas à l'idée même de guérison donc s'il ne reconnaît pas être malade. Il me semble que c'est bien le fond du problème : pour Harry, ce sont les autres qui ne voient pas ce qui existe, ce sont eux qui ont un problème et pourtant c'est lui qu'on traite de fou, de déficient, de malade. Comment réussir à concilier les deux "visions" : d'une part celle avec les mangemorts et d'autre part, celle où ils n'existent pas ? Comment une chose peut-elle "être" et "ne pas être" en même temps ? Impossible.

C'est en cela que la réaction de Draco à Piccadilly a été géniale : il accepte que Harry voit ou entende des choses que lui ne peut ni voir ni entendre. Il ne le juge pas - en tout cas dans ses gestes et ses paroles rien ne le démontre - et prend la chose avec philosophie : c'est comme ça et pas autrement. Certains scientifiques disent qu'il existe dans l'espace - le ciel au-dessus de nos têtes donc - des trous noirs qui avalent toute la matière autour d'eux. Et pourtant combien d'entre nous en avons déjà vu un seul ? Cependant, personne ne les accuse d'être schizophrènes et les néophytes que nous sommes avons accepté le fait que les trous noirs existent. Ces scientifiques ont prouvés l'existence de ces phénomènes spatiaux par de savants calculs très détaillés. Mais est-ce que les dessins que réalise Harry de Voldemort et sa clique ne sont pas aussi détaillés ?
Où s'arrête l'imagination et où commence la vérité ? Et vice versa.

Désolée, je me suis un peu enflammée dans ma review mais je cesse mes digressions et m'empresse de conclure avec un énorme MERCI !

L.
Lamourloi chapter 21 . 8/24
Ouh, alors là, je sens que les ennuis ne vont pas tarder pour nos deux zigotos. Ils vont l'avoir à l'envers, eux, le dicton : après le réconfort vient l'effort :D En tout cas c'est bien cool de lire ça, ils ne font que les choses que font tous les adolescents depuis des générations : braver les interdits des adultes et vivre !
Merci
L.
Lamourloi chapter 18 . 8/24
Oh misère, cet entretien est d'un poignant... jamais je n'aurais pu faire ce métier, ça c'est sûr. Je crois bien que je me mettrais à pleurer en même temps que mes patients : chui pas sûre que ça les aiderait :D
Merci
L.
Lamourloi chapter 13 . 8/24
Ah ! je constate (avec une certaine satisfaction, très honnêtement) que mes ressentis concernant la médication ne sont pas si déformés ou distordus par une croyance de néophyte : elle doit être un recours uniquement lorsque il y a crise, ou si les progrès et/ou leur stabilisation sont remis en cause. Mais il vaut mieux en retarder la prise tant que cela est possible. Si j'ai bien compris. D'autant que trouver le bon dosage s'avère être drôlement compliqué : il faudrait être psychiatre ET Maître de potions voire un peu magicien (mais pas mangemorts !) pour réussir à trouver la bonne combinaison du premier coup.
En disant ça, il semble qu'on peut faire l'analogie suivante : le cerveau est comme un coffre fort, dans lequel sont enfermées les pensées, les émotions, les capacités cognitives et surtout où sont entreposés tous les apprentissages. Mais si en raison de la maladie, les étagères et les liaisons entre les différents cartons - initialement bien rangés dessus - partent dans tous les sens, créant douleurs, visions, troubles cognitifs alors on fait appel à un King-le-Perceur, spécialiste de l'ouverture des coffres-forts. Tout en douceur, pour ne pas abimer le contenu si possible et trouver la formule qui va remettre les étagères en place ou selon la pathologie, éviter que le chaos ne s'aggrave et limiter ou faire disparaître la douleur.
Bon, je ne suis pas naïve au point de croire que mon "image" de cerveau en coffre-fort soit judicieuse ni aussi adaptée, mais bon, c'est ce qui m'est venu à l'esprit en lisant ton chapitre. En tout cas, c'est très clair même si tu as simplifié le sujet pour nous, pauvres lecteurs ignorants.
Encore un merci bien mérité pour avoir partager cette histoire ainsi que tes "tripes", ce sont elles qui rendent ton récit aussi passionnant. Et les personnages de JKR aussi :D
L.
Lamourloi chapter 10 . 8/23
Ah ben voilà, j'ai ma réponse finalement, sur le pourquoi de la présence de Draco.
Et un merci, un !
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