Prologue:

"On se reverra a coup sûr." Ce sont les dernières paroles que j'ai entendus sortir de tes lèvres, alors que je tenais ce bébé que nous avions sauvé dans mes bras je te regardais t'éloigner au loin...

Shion point de vue:

Je répète dans ma tête ce moment depuis déjà deux ans... Chaque fois que je croise une souris j'espère qu'elle est là pour m'apporter de tes nouvelles... Mais ce n'est jamais le cas... Je reste assis des heures devant l'endroit où nous nous sommes séparé, fixant l'horizon... Tu sais à cet endroit ils ont construit un parc pour enfants, c'est un endroit joli maintenant. La petite Flora m'accompagne aujourd'hui, cela fait deux ans jours pour jours que nous nous sommes quittés. Ton image est très présente dans ma tête et mon coeur chavire en entendent ton nom "Nezumi" ... Même si ce n'est pas le plus joli prénom au monde, pour moi il me semble magnifique..

Nezumi point de vue:

Depuis que je suis partie, je n'ai de cesse de te surveiller.. Je pense chaque jour à-toi, chaque heure chaque minute, même tes gestes idiot me manque... Les souris que tu poursuis sont les miennes, mais tu ne le sauras pas, j'ai décidé de rester caché.. Aujourd'hui cela fait deux ans jours pour jours que je suis partie, que je t'ai laissé..

Je suis caché dans l'angle mort derrière le parc je regarde une enfant s'amuser derrière elle un jeune homme, toi... Mes yeux on était submerger de larmes, je me sentais si faible, je ne pouvais pas venir te voir.. Pas comme ça... Je le regardais s'occuper de cet enfant, m'étant promis de ne pas l'approché à nouveau je me tourne pour partir...

Puis...

- Nezu... Nezumi!

Je vis le jeune homme aux cheveux blanc courir hors du parc et je partis vite la tête basse en sens inverse à lui... Je ne voulais pas qu'il me rattrape. Que sa main atteigne mon bras, qu'il puisse m'effleurer, car si cela venait à se produire je ne pourrais plus être l'homme fort qu'il connaissait... Il se mit a crié plus fort, mon prénom raisonné dans tout le parc, il se mit a pleuré en comprennent que je le fuis..

Quand je fus à l'abri de mes craintes et de l'homme que j'aimais, je m'étais surpris à-moi aussi pleuré, je l'avais blessé et j'en étais désolé, mais je ne pouvais pas faire autrement...