Coucou. Vous avez vu que vous n'avez pas eu longtemps à attendre. Je n'ai pas été sadique ce coup-ci. Ce qui fera qu'il faudra que je me rattrape la prochaine fois.^^ J'ai mis ce chap aujourd'hui parce que je suis en train de terminer certaines fics car j'ai d'autres projets qui n'arrêtent pas de tourner dans ma tête en hurlant de les taper sur ordi.^^ Alors voilà, j'espère qu'il vous plaira. Je vous fais de gros bisous.

Je voulais aussi vous dire que mon dos va mieux et du coup, j'arrive à réécrire (vu que j'arrive à m'asseoir maintenant^^). Vous aurez donc le prochain chap de Ce que veulent les hommes théoriquement demain.

Paradise Nightwish, Andadrielle, Shyrinia et Lululle, Miya Black, Wargate, Marie, Yume No Kami, Aurélia, Kisanth, Khalan, Nahamy, Valérie, Sarah Levana, Tolkiane, Kero, Emilie, Lily Ewans/Potter, Diosa, Clau, Hatori, Dega, Amano ai, Alinemcb54, Eowyn Malefoy, Cookie, Caroline Black, Crackos : Merci beaucoup pour vos reviews, vos messages de soutiens ou vos sorties de fouet.^^ Z'avez vu que j'ai été rapide hein coumême. J'aurais donc droit à tout plein de bisous.^^ Je suis d'une humeur câline en ce moment… vous me direz que ça ne change pas trop de d'habitude.^^ Poutouxes pour vous.

Onarluca : Au moins, c'est un chapitre que tu n'auras pas lu en avant première. Le suspens reste donc intact.^^ Poutouxes puce.

Magnolia : Lol. Vi c'est vrai, j'ai une part maso mais elle est minime comparée à ma part sado.^^ Mais le pire c'est que je n'arrive pas à me réfréner de faire des cliffhangers, pourtant je me dis 'non, tu vas pas encore le faire'^^ et ben si !^^ Je crois que je suis comme ça. D'ailleurs, je t'ai bien dit que j'avais eu du mal à faire 'Un devoir maudit' en une one-shot. Je me suis forcée comme une malade à ne pas couper aux endroits fatidiques. Le sadisme, c'est naturel chez moi.^^ Mais bon, vous n'avez attendu que deux jours donc j'aurais le droit à des bisous.^^

Rach33 : Je crois que je n'ai pas réussi à n'embrouiller que toi, je te rassure. On me l'a souvent dit.^^ J'espère que ce chap te plaira. En tout cas, j'ai adoré l'écrire. Bisous.

Lola Reeds : Mais c'est que ça rigole plus ici.^^ Le bazooka carrément… bah, en fait je crois que courir vite ne me servira plus à rien.^^ Et en plus, tu as raison, avec mon dos j'aurais pas pu me lever.^^ Bisous.

Lululle : Et tu sais que j'y ai pensé à Neville.^^ Mais je ne suis pas aussi sadique pour Nev et Sev coumême.^^ Bisous.

Arcadiane : Tu as vu ma Clairette, je n'ai pas mis longtemps. Pas si sadique moi.^^ Je te rassure au fait (façon de parler bien entendu), le fait d'avoir 18 ans ne change rien aux parents. Moi j'en ai 25 et c'est toujours pareil. Grrrrrrrrr. Je crois que tant qu'on a pas un appart en propre, ils nous considèrent toujours plus ou moins comme des gamins. Enfin, ça dépend des parents aussi mais bon. J'espère que tu pourras quand même profiter de ton ordi. Je sais que je suis dépendante du mien donc je te soutiens à fond puce. Je te fais de gros, gros poutouxes.

Céline s. : Je te remercie pour ta clémence miss et remarque que tu n'aimes vraiment pas Ron. J'aimerais pas être à sa place.^^ Dis donc, deux vertèbres de travers ! Tu as du souffrir ma pauvre. Je te fais de gros bisous.

Dumati : J'ai trop ri en lisant ta review et je le fais encore en la relisant.^^ Bisous.

Henna-Himitsu : Tu veux 'sortir les pièges à bip bip' mais bip bip ne se fait jamais prendre et si tu es coyote, je te plains sincèrement.^^ Bisous.

Koari : J'espère que tu l'auras ton CAPES. Je croise les doigts pour toi. Bisous.

Chapitre 11 : Mon admirateur ador

'Si tu veux vraiment me voir ouvre cette porte'.

Severus laissa échapper un petit cri en faisant tomber le message par terre. Le cœur battant, il virevolta sur lui-même et couru droit vers la porte qu'il ouvrit à la volée.

Les yeux grands ouverts, il distingua une silhouette masculine dans la pénombre. Lorsque, bientôt, ses yeux s'adaptèrent à l'obscurité du couloir des cachots, Severus pu voir qu'un jeune homme était adossé nonchalamment contre le mûr face à lui. Un sourire séducteur étirait ses lèvres.

Ses beaux yeux verts émeraudes le regardaient avec tendresse, amour et désir.

« Harry… » murmura l'homme. « Harry ! » répéta-t-il en se ruant vers son étudiant et en l'agrippant par le devant de sa robe. Il l'attira à lui et lui captura les lèvres avec une passion avide, désespérée.

Harry répondit promptement à son baiser avec une impatience semblable à celle de son amant et entoura sa nuque de ses bras caressants.

« Mmm… Oh Harry… Mmm… » gémit son professeur en continuant de l'embrasser.

« Je t'aime. Je t'aime… » murmura le jeune homme entre deux baisers.

« Harry… Je voulais tellement que ce soit toi ».

Le jeune étudiant sourit, heureux et taquina de ses lèvres celles de l'homme qu'il aimait. Sa langue se glissa dans la douce chaleur de sa bouche et goûta la sienne avec délice.

Les mains de Severus caressaient tout ce qui était Harry et ne pouvaient se rassasier de cette peau odorante, de cette chair tendre, de ce corps si chaud pressé contre le sien.

« Harry » ne pouvait-il pas s'empêcher de répéter en le dévorant de baisers brûlants. Inconsciemment et toujours en le caressant, il entraînait peu à peu son étudiant dans son bureau et en ferma la porte.

Son bureau… Tout à coup, un souvenir s'imposa à son esprit embrumé et il repoussa Harry sèchement. Celui-ci laissa échapper un petit cri frustré.

« Potter ! Vous n'êtes pas assez studieux et appliqu ! »

Harry ouvrit des yeux ronds, stupéfait et allait demander à son amour ce qu'il faisait lorsque celui-ci lui prit le menton et lui dit, « Il va falloir que je vous montre tout ce que vous devez savoir ».

Les yeux de jade du jeune homme se mirent à briller d'excitation lorsqu'il comprit ce que son professeur était en train de faire. Severus réalisait le fantasme que son élève avait écrit dans une de ses lettres. Harry pu déceler une lueur taquine dans les yeux noirs de son amant et su qu'il était tout aussi excité que lui.

L'homme poussa son étudiant vers son bureau mais ne le fit pas s'asseoir sur une chaise. Au lieu de cela, il le poussa sur le meuble et le plaqua contre le plan de bois. Il commença à déboutonner sa robe…

Lentement, tu ôtais un à un mes vêtements et tu laissais tes mains si belles et si talentueuses, glissées sur ma peau nue.

Harry était presque entièrement nu, offert, magnifique, vulnérable, adorable, ador

Tu effleurais mes lèvres encore et encore jusqu'à ce que je te supplie de les prendre...

« Je t'en prie Severus, je n'en peux plus. Embrasse-moi mon amour. Touche-moi. Je veux sentir tes lèvres sur les miennes, ta langue contre la mienne… Je t'en prie mon amour, je t'en prie… »

 … et là, tu me dévorais de baisers plus passionnés et vibrants les uns que les autres. Explorant mon corps brûlant, tu laissais mon pantalon tomber à mes pieds.

« Oh oui Severus… »

« Tu es magnifique Harry… Je t'aime tellement… Je t'aime. »

« Je t'aime aussi mon amour. Je t'en prie, prend-moi. Maintenant ! »

… Et assis sur ton bureau, tu t'enfonçais en moi en gémissant mon nom.

« Harry… »

*********************************

Etendus précairement sur le bureau, dans les bras l'un de l'autre, Severus tenait Harry fermement comme s'il avait peur de le voir disparaître. Harry lui caressait la joue, les yeux humides de larmes de bonheur et d'amour.

« C'était bien cela que tu voulais Harry ? » taquina Severus soudainement tandis que le jeune homme lui répondait en gémissant de plaisir.

« Oui… et non. C'était beaucoup mieux » ajouta-t-il vivement avant que son amant ne se pose des questions angoissantes.

Harry savait que Severus était fragile et fort à la fois. Il connaissait l'étendu de sa vulnérabilité, bien plus que l'homme ne le pensait et il était prêt à tout pour lui faire oublier son premier amant destructeur. Lui l'aimait réellement et de son amour, il balayerait les mauvais souvenirs pour ne faire place qu'aux bons.

« Je t'aime Severus » murmura Harry en lui embrassant tendrement le front.

L'homme sourit et lui embrassa doucement les lèvres. Ils se regardaient intensément dans les yeux quand Harry vit l'expression de son amant s'assombrir.

« Qu'y a-t-il mon amour ? »

« Et Zabini ? » dit Severus tout à coup en sentant une vague de jalousie et de douleur l'envahir.

« Blaise ?… Quoi Blais… Oohh, tu veux parler de mon souvenir. Oh mon chéri, j'aurais tant voulu te dire ce jour-là que ce n'était rien. »

« Que ce n'était rien ? » s'écria Severus en se redressant. « Mais je l'ai vu t'embrasser ! Te toucher »

L'expression de l'homme était des plus meurtrières et Harry sentit son cœur battre plus vite. Son ange était jaloux ! Il sourit.

« Et tu trouves ça drôle ? »

« Non mon amour, absolument pas mais… tu es si mignon quand tu es jaloux. »

« Je ne suis pas jal… »

« Oh que si que tu l'es ! » souriait encore Harry puis il enchaîna rapidement pour tout expliquer à son amour, « Un soir, j'ai entendu par inadvertance une discussion entre Malfoy et Blaise où Blaise parlait de quelque chose qui avait un lien avec  Voldemort. J'ai écouté bien entendu et j'ai appris que Blaise était espion pour l'Ordre et que Draco l'avait appris je ne sais comment. Ils étaient en train de se disputer ce jour-là et Malfoy lui a dit qu'il avait refusé d'être mangemort mais que lui ne serait pas espion et qu'il ne le dénoncerait pas… sous certaines conditions. Malfoy lui a fait du chantage. Puis quand Draco est parti ce soir-là, j'ai moi aussi eu une petite conversation avec Blaise et c'est ce jour-là qu'il m'a embrassé. Comme je doutais de lui, l'une des choses qu'il a fait pour me convaincre a été de me plaquer contre le mur et de embrasser. Ensuite, il m'a demandé si à mon avis, un véritable mangemort irait embrassé Harry Potter avec la langue et surtout en aurait l'idée » Harry éclata de rire à ce souvenir, ne voyant pas les yeux de son amant s'assombrir davantage. Il ajouta, « J'ai été tellement étonné que je n'ai rien pu dire. Et ensuite, il s'est avéré que c'était bien vrai. Il m'a sauvé la vie à plusieurs reprises en dévoilant des plans de Voldemort qui aurait pu m'être fatal. Il est devenu un excellent ami. C'est d'ailleurs lui qui m'a passé le hibou Grand Duc de Malfoy pour t'envoyer une lettre et brouiller les pistes » dit-il d'un air penaud. « J'avais peur que tu te doutes que c'était moi qui t'écrivais des lettres et je savais que tu n'étais pas prêt. Il fallait que tu t'habitues à l'idée que quelqu'un t'aimait véritablement pour toi et étant Harry Potter… »

« Et pour le papier à lettre ? » demanda Severus brusquement.

« Le papier à lettre ? »

« Seamus Finnegan ! »

« Oohh ! Oui, j'avais oublié. Oh oui, l'épisode du sac… Et bien, ce n'était pas prévu du tout surtout que Seamus était très gêné ce jour-là. Il m'avait vu écrire des lettres et m'a demandé à qui j'écrivais et je lui ai répondu à 'mon amoureux' et on a discuté et il m'a révélé qu'il était amoureux de Lavande Brown mais qu'il n'osait pas le lui dire. Je lui ai donc passé mon bloc pour qu'il le fasse par écrit. Il l'a prit sur lui et ce jour-là, lorsque ses affaires étaient éparpillées par terre, c'est Lavande qui a ramassé le bloc alors qu'il lui avait déjà envoyé une première lettre… Elle a deviné. Ils sont ensemble maintenant. »

« Et Draco ? Pourquoi me regardait-il comme cela ? »

« Blaise et moi lui avons fait un coup pour qu'il arrête son chantage. On lui a dit que tu suspectais quelque chose et du coup, il se méfiait de toi mais essayait de ne pas te le faire voir. Il te scrutait pour savoir si tu savais. Il a reçu une bonne leçon… et Ron aussi d'ailleurs ! »

« Weasley ? Pourquoi ? »

« Parce que nous ne nous attendions pas à ce qu'un effet de ce coup rapproche Malfoy de Ginny et… ils ont l'air plutôt bien ensemble depuis quelques jours. D'ailleurs, Ginny a l'air de savoir le mener par le bout du nez et ça n'a pas l'air non plus de déplaire à Malfoy… Ron en est malade… »

Severus et lui éclatèrent de rire.

Puis, soudain, Harry remarqua une petite enveloppe rose pale, abandonnée sur le sol. Il sourit et alla la ramasser en la faisant miroiter à son amant. Il s'expliqua, « Il fallait absolument que je te dise par un moyen ou par un autre ce que je ressentais pour toi Severus. Je n'en pouvais plus. Je t'aime trop ».

Severus sourit à son tour et lui tendit les bras. Harry s'y blottit tendrement avec bonheur et regarda la petite lettre, souvenir de leur passé et qui marquait désormais leur avenir.

« C'est grâce à elle que… » Mais le jeune homme ne finit pas. Ce n'était pas sa lettre.

Il s'agissait bien du même papier, du même parfum mais l'écriture sur l'enveloppe était celle de…

« Severus ? » s'étonna-t-il. Il regarda l'homme qu'il aimait avec un regard interrogateur et eut la surprise de le voir rougir. Harry décacheta alors l'enveloppe.

« Non, attends Harry… » dit celui-ci en posant une main sur la sienne. « C'était juste une lettre pour toi mais… »

« Pour moi ? » s'étonna-t-il de nouveau, en dépliant la lettre plus vivement encore.

« Harry, attends, je ne crois pas que… » protesta Severus.

« Je veux savoir ce que tu m'as écrit Sev ! »

L'homme baissa la tête, légèrement honteux et craintif. Il se sentait tellement stupide. Il avait tellement peur de ce qu'allait penser son amant !

Cette lettre, il ne l'avait jamais postée. N'avait jamais osé. Il n'avait pas voulu que Harry sache. Qu'il sache à quel point il était dépendant de lui et maintenant, le jeune homme allait le découvrir.

Oh Merlin !

Harry commença sa lecture et au fur et à mesure de la lettre, ses yeux s'embuèrent et il se blottit plus étroitement contre son amour.

Lorsqu'il eut achevé de la lire, il se tourna vers Severus, bouleversé et incapable de prononcer un seul mot. Tout ce qu'il pu faire, c'est l'embrasser en mettant toutes les émotions et sentiments qu'il éprouvait dans son baiser.

« Je t'aime » dit finalement Harry.

« Je t'aime » répondit Severus, les yeux brillant d'émotions contenues. « Je n'ai jamais aimé comme cela avant toi et je n'aimerais jamais quelqu'un d'autre comme je t'aime ».

Ils s'embrassèrent encore puis sortirent du bureau en se précipitant vers les appartements de Severus.

Là-bas, ils s'embrassèrent avec tout l'amour et la tendresse qu'ils ressentaient l'un pour l'autre, firent l'amour une seconde fois et s'endormirent dans les bras l'un de l'autre, enfin heureux.

*****

Mon Harry, Mon amour,

Tu ne peux pas savoir le bouleversement que tes lettres magnifiques soulèvent en moi. J'en ai tellement besoin. Tu es celui dont j'ai besoin. Tu me fais revivre et je peux, à nouveau, sentir mon cœur battre pour quelqu'un alors qu'il ne battait plus pour moi. Toi qui me fais tant de bien, je n'ai su te faire que tant de mal. Me pardonneras-tu mon amour ?

Si j'ai été si dur avec toi, pendant toutes ces années, c'est parce que tu me rappelais ton père que je haïssais. Il avait été, pour moi, l'être qui me torturait à l'école comme mon père me maltraitait à la maison. Il était celui qui ne me laissait pas de répit. Je sais que ce n'est pas une excuse mais que puis-je te dire à part que je regrette mon comportement passé à ton égard plus que tout ce que j'ai pu faire d'horrible dans ma vie ?

Lorsque tu es devenu un homme, je t'ai découvert différent… fascinant. Je pensais de plus en plus à toi et j'essayais de me dire que ton image allait se faner dans ma tête mais elle est restée, elle s'est gravée dans ma mémoire et s'est réfugiée dans mon cœur. Profondément. Un jour où je ne pouvais plus le nier, je me suis enfin avoué que je t'aimais, que je t'aimais comme jamais je n'avais aimé. Je me suis convaincu que tu ne m'appartiendrais jamais et me suis résigné. Quel droit avais-je de t'avoir, de te lier à moi ! Moi homme déchu, sans cœur, sans joie, sans rien à offrir alors que tu avais tout à demander de la vie. Je n'avais aucun droit de t'exiler dans ma prison.

Peut-être as-tu eu raison de dire que je n'étais pas prêt. Pas prêt à te donner ce que je pensais ne plus pouvoir offrir. Je n'étais plus qu'une âme vide, errante, hantée par son passé, désertée par l'amour.

Puis, il y a eu ces lettres. Tes lettres. Que j'attendais avec un désespoir avide. Je n'étais déjà plus moi-même. Je n'étais plus qu'attente. Je ne vivais plus que pour elles, que pour toi. Et lorsque la dernière lettre du dernier mot était lue, je n'étais plus que chagrin.

Je t'aime Harry et j'aimerais entendre ces mots de ta bouche moi aussi.

'Je t'aime'. Tu es le premier à me l'avoir dit. Ma mère m'aimait, j'en suis persuadé. Mais elle ne les a jamais prononcé… Comment pouvais-je le dire à quelqu'un d'autre ?… même si ce que mes lèvres ignoraient, mon cœur l'avait compris.

Je t'aime Harry.

Ton Severus qui n'attend plus qu'un mot de toi pour t'appartenir.

Maintenant et à jamais.

* FIN *