NdT : et voilà enfin le dernier chapitre de cette fic ! Comme toujours, rien n'est à moi et cette fic est à thejigsawtimess. J'espère que vous aurez aimé jusqu'à la fin ;) Un grand merci à toutes celles et ceux qui ont suivi cette traduction ^^

Enjoy !


Epilogue

.

Ce n'est pas que Dean n'apprécie pas son nouvel environnement espagnol. Ce n'est vraiment pas ça. Hé, la vue depuis la fenêtre de l'hôtel est extraordinaire. Un ciel bleu, des vagues ondulantes, des filles en bikini allongées sur les gigantesques plages de sable – Dean est plus qu'enthousiaste.

C'est simplement que, lorsque Dean regarde à côté de lui dans le lit, il a une vue encore meilleure. Castiel ne dort pas, bien sûr, parce qu'il n'en a pas besoin – un bonus dont Dean commence seulement à envisager les bénéfices – et il fixe Dean du regard, avec ses grands yeux bleus écarquillés, comme s'il s'abreuvait de sa vue. Dean sourit et fait doucement courir ses doigts sur le torse de Cas, qui se tortille un peu.

Alors oui, certains pourraient dire que Dean gâche une rare occasion d'explorer les merveilles de Barcelone en passant trois jours enfermé, nu, dans une chambre avec son ange, mais ce n'est pas le cas. Il apprécie réellement l'environnement, c'est juste que… il a beaucoup de temps à rattraper.

« Dean, arrête de me chatouiller, ça m'empêche de me concentrer », marmonne Castiel. Son front se plisse et il continue de fixer un endroit à côté du nez de Dean.

Dean ricane et glisse la main sous la taille de Cas, et se penche pour que leurs nez s'effleurent. « Te concentrer sur quoi ?

— J'essaie de déterminer le nombre exact de taches de rousseur que tu as sur le visage. Je suis certain que tu en as plus maintenant qu'au départ. »

Dean rit, et il pince gentiment ses côtes. Cas sursaute et lui lance un regard noir. « Ouais, c'est ce qui arrive quand tu as un adorable petit ange qui t'emmène à un endroit particulièrement ensoleillé.

— Dean, je suis un ange du Seigneur extrêmement puissant. La plupart des gens seraient terrifiés en ma présence », répond Castiel en traçant de son doigt la forme de la joue de Dean. Dean hoche la tête en dissimulant à peine un sourire. « Je ne pense pas qu''adorable' soit le terme approprié pour décrire... »

Dean l'embrasse pour le faire taire, et Castiel se contente d'émettre quelques sons irrités contre ses lèvres avant de se détendre et d'attirer Dean à lui, les bras autour de son cou. Cas semble aimer tout particulièrement ce geste, de ce que Dean a pu remarquer. Dean a été très attentif, dès qu'il s'est mis à explorer Cas de toutes ces nouvelles façons, et il est un élève très, très doué dans ce domaine.

Par exemple, Dean a remarqué que Cas aime beaucoup être tenu par la taille, surtout quand ce sont les bras de Dean qui l'entourent – l'ange lui a avoué, après la première nuit, vers trois heures du matin, qu'il a peur d'y devenir accro. Il semblait réellement inquiet pour sa stabilité mentale, et Dean n'a pu que rire et l'embrasser. Comparée aux addictions que craignent les gens qu'il aime - tout particulièrement la petite histoire de Sam et du sang de démon – celle-là est plutôt inoffensive. Dean est presque sûr de pouvoir s'en sortir vivant si Cas devient un peu trop câlin.

Dean a également pris bonne note des bruits que fait Cas quand il devient incohérent, les a utilisés pour référencer tous ses points faibles – que Dean adore exploiter. Souvent. Ainsi, si Dean embrasse de la bonne façon ou mordille légèrement cette zone entre la clavicule et l'épaule gauche de Cas, celui-ci gémit d'une manière passionnée, soulève ses hanches et enfonce ses doigts dans le dos de Dean. Il faut souvent plusieurs essais à Dean pour trouver l'endroit exact – pendant ce temps, Cas arbore une petite moue irritée –, mais ça en vaut totalement la peine.

Dean brise le baiser et décide de déplacer la fête, et commence à déposer une traînée de baisers humides le long du cou et du torse de Castiel. Cas fait courir ses doigts dans les cheveux de Dean, puis sur sa nuque, laissant une traînée brûlante qui laisse l'esprit de Dean bouillonnant comme si des étincelles y explosaient.

C'est l'autre chose concernant le sexe avec Cas, un autre bonus merveilleux que Dean n'avait certainement pas anticipé, mais il en est tellement reconnaissant qu'il envisage de retourner à l'Église, en guise de merci. Cas est un ange, ce que Dean doit vraiment commencer à retenir, parce qu'il n'arrête pas de s'en rappeler et d'en rester sans voix pendant quelques secondes. Ses capacités angéliques semblent s'étendre au lit, et il arrive à faire cette chose que Dean ne peut même pas décrire ; c'est comme un toucher magique qui allume tous les nerfs de Dean. Dean rapprocherait ce sentiment d'un mini-orgasme, mais centré autour de l'endroit que Cas choisit de toucher, et…putain, Dean trouve ça fantastique.

Et s'il peut faire ça, de quoi d'autre est-il capable ? Dean a déjà entre-aperçu un ou deux avantages de la super-force de Cas ; l'ange devient un peu audacieux quand il se lâche vraiment. Il peut plaquer Dean au lit avec force ou bien lui maintenir fermement les poignets. Dean imagine ce qu'il se passerait si Cas était vraiment pris par l'intensité du moment – il jetterait Dean contre le mur et deviendrait fou (un peu comme la fois où il faillit dire oui à Michael et que Cas lui a cassé la gueule, songe Dean). Dean frissonne à cette pensée. Ses pupilles se dilatent et il arrête ses baisers pour jeter un coup d'œil à Cas, le visage au niveau de son nombril, et il sourit.

« Tu veux que je te plaque contre le mur et que je te baise ? » demande Cas d'une voix neutre. Dean en reste bouche bée, choqué.

« Comment…

— Je peux lire tes pensées, Dean, » répond Castiel, un sourire aux lèvres. Dean devrait être horrifié, furieux que Cas envahisse son intimité de la sorte. A la place, il a un sourire coquin.

« Et donc, tu vas me prouver que t'es pas un adorable petit chérubin ? »

Les yeux de Castiel s'assombrissent et il émet un son de gorge qui ressemble à un grognement. Dean essaie de ne pas déglutir, mais il sent une excitation étrange bourdonner en lui. Son cœur s'accélère.

Alors, avant qu'il ne puisse comprendre ce qui se passe, Castiel a bougé et il sent soudainement les briques froides et peintes du mur d'hôtel sous son dos nu. Castiel le tient par la taille, les lèvres effleurant celles de Dean.

« Je ne suis pas adorable », dit Castiel d'un ton acerbe. Dean ne peut s'empêcher de sourire. Ses pieds ne touchent pas le sol et ce type est génial – Cas ne fait même pas d'efforts. Il pensait que Cas aimait quand Dean était au dessus, et il suppose que c'est vrai, mais ils doivent absolument profiter des pouvoirs de Cas si ça débouche sur quelque chose d'aussi sexy.

Dean entoure la taille de Cas avec ses jambes sans quitter Cas des yeux, et son regard seul fait rougir l'ange – ce qui est étrange au vu de leur position. Il passe une main dans les boucles désordonnées des cheveux de Cas et lui sourit avec tendresse. Castiel lui rend son sourire, incapable de rester en colère contre Dean même si celui-ci a une perception erronée de l'ange. Soudain, une pensée frappe Dean et son esprit titube pendant un instant.

« Bordel, Cas... » souffle Dean, les yeux écarquillés. Castiel prend un air inquiet et Dean voit qu'il est sur le point de le lâcher, alors il caresse le visage de Cas pour l'apaiser. « Je crois que je t'aime, mec. » Sa voix n'est qu'un murmure.

Dean ne sait pas pourquoi il l'a dit à haute voix – c'est quelque chose qu'il ne disait que rarement à Cassie ou Lisa, et il pense que c'est sûrement parce que ce n'était pas totalement les aimait toutes les deux, bien sûr, mais il n'était pas… amoureux d'elles. Ce n'était pas comme ça.

Dean pense aux millions de fois qu'il a repoussé des pensées sournoises concernant Cas, sa douceur, son sens du sacrifice, sa beauté ; des pensées que son ancien lui aurait trouvé faibles, pathétiques ou flippantes. Il pense aimer Cas depuis longtemps – il lui a juste fallu plusieurs années d'émotions réprimées pour le réaliser.

Dean réalise que Castiel lui sourit, et il est sorti de sa rêverie par les lèvres de Cas qui se posent sur les siennes. Il lui rend son baiser, doucement au départ car il est un peu hésitant – bordel, il vient de comprendre qu'il aime ce mec. Castiel insiste, ses baisers sont fermes et assurés, et Dean est sans défense et l'embrasse avec tout autant de ferveur. Il resserre ses jambes toujours enroulées autour de la taille de Cas, et Cas gémit, les vibrations se répercutant dans les lèvres douces de Dean.

« Je t'aime aussi, Dean », s'épanche Cas contre la bouche de Dean. « Depuis toujours. » Castiel parle et Dean ne peut pas penser, ne peut pas se concentrer parce que les mains de Cas sont soudainement ailleurs. Il utilise ses hanches pour plaquer Dean au mur et ondule du bassin contre lui. « Toujours. »

La dernière pensée cohérente de Dean est qu'il est tellement heureux que quelqu'un doit forcément avoir tout planifié.


« Non, je dis juste que je crois être beaucoup plus flexible maintenant, » répète Sam à Gabriel, qui est en train de lécher une traînée de crème fouettée le long des abdominaux de Sam.

« Quoi, tu pense que juste parce que je t'ai poussé dans les limites de ton corps, tu es sur le point de devenir un gymnaste ? » répond Gabriel. Sam soupire, prend sa main et l'attire à lui pour qu'ils soient face à face, Gabriel sur lui.

« En gros, oui, » répond Sam en souriant. Gabriel ricane et lève les yeux au ciel.

« Tu n'as pas besoin de devenir gymnaste, bébé, » dit Gabriel. Il l'embrasse rapidement et rit quand Sam grimace devant le surnom. « J'ai plein d'entraînement prévu pour toi et moi. »

Sam ne sait pas depuis combien de temps il est dans ce lit, mais ça ne le dérange pas vraiment. Gabriel s'est assuré de le maintenir occupé ; et il est extrêmement imaginatif. Ses pouvoirs d'altération de la réalité rendent les choses plus qu'intéressantes.

« Gabe, crois-tu que Dean et Cas vont bien ? » demande Sam, soudainement un peu inquiet. Gabriel ne répond pas et se concentre sur un petit tas de crème sur le téton de Sam. « La dernière fois qu'on les a vus, ils avaient l'air un peu… craintifs. »

Gabriel avale sa bouchée de crème et ses lèvres s'attardent un instant sur la peau sensible de Sam. Sam déglutit en le regardant.

Gabriel relève les yeux en souriant. « Je sais qu'ils vont bien. Plus que bien, en fait. Je crois que ton frère est encore en train de déflorer mon petit frère. » Le visage vaguement dégoûté de Sam est suffisant pour faire rire Gabriel et rouler sur lui-même jusqu'à ce qu'il soit sur le dos à côté de Sam, qui gémit à la perte de contact. « C'est un processus qui prend trois jours, tu vois. »

Sam tend la main vers lui. Il a besoin de sentir les doigts de Gabriel entortillés avec les siens, parce que, d'accord, il est un peu accro. Hé, il a une personnalité addictive, okay?

Et ce n'est pas comme si c'était une nouveauté que Sam est émotionnellement un peu demandant. Après tout, presque toutes les personnes qu'il a aimées sont mortes, y compris Dean, même s'il ne sait pas si ça compte. Tous ceux avec qui il a été émotionnellement et physiquement proche sont partis depuis longtemps. Il a juste besoin de se rassurer, de savoir que Gabriel est toujours là, et il sait que c'est stupide parce qu'il vient de passer trois jours collé à lui, mais quand même.

« Hé », dit Gabriel d'une voix soudainement douce. Il se tourne vers Sam et enfouit ses doigts dans ses longs cheveux. Oh, pense Sam, il doit sûrement avoir suivi le même fil de pensée. « Je ne vais nulle part, Sam. Tu crois que j'ai concocté ce plan de malade juste pour me casser après avoir obtenu ce que je voulais ? »

Sam ne peut s'empêcher de sourire. Il détourne le regard, incapable de maintenir le contact visuel quand Gabriel dit quelque chose d'aussi adorable, parce que c'est Gabriel.

« Tu as été en moi, tu sais que mon esprit est complètement bordélique, » marmonne Sam. Gabriel prend un air confus avant de comprendre.

« Il va falloir travailler sur ta façon de parler, réplique Gabriel. J'ai été en toi de nombreuses façons, c'est compliqué de savoir de laquelle tu parles. » Sam le frappe et enfouit son visage dans son épaule. « Ouais, je sais, Sammy, » murmure Gabriel un instant plus tard tout en faisant courir une main dans les cheveux de Sam. « C'est le vrai bordel dans ta caboche. Heureusement, je t'aime quand même. »

Sam s'assoit et regarde Gabriel, les yeux écarquillés. « Quoi ? »

Gabriel évite son regard, les yeux posés sur le torse de Sam, puis relève innocemment le regard. « Hmm ? Je n'ai rien dit. »

Sam bafouille et pousse l'ange par les épaules, l'épinglant au lit. Gabriel ricane d'une façon qui donne envie à Sam de l'embrasser, mais il dit, « Tu m'aimes ? »

Les sourcils de Gabriel se froncent en une fausse confusion, et il regarde Sam en penchant la tête contre les oreillers. « D'où te vient cette idée ? »

Sam décide qu'il en a assez et il se penche pour embrasser Gabriel avec férocité. Il laisse ses dents et sa langue montrer à quel point il est sérieux. Gabriel rit contre ses lèvres alors qu'il continue de l'embrasser, avant de remettre Sam sur le dos en le tenant par les épaules de sorte que Sam ne puisse pas s'échapper.

« Gabriel, est-ce que tu m'aimes ? » demande Sam, furieux de voir qu'il est incapable de continuer son attaque. Gabriel fait semblant d'y penser pendant un long moment, le visage plissé en plusieurs expressions successives, ce qui ne fait que rendre Sam fou.

« J'vais devoir y penser un peu plus, » finit par répondre Gabriel. Il hausse les épaules comme s'il ne s'était jamais posé la question. Mais Sam sait ce qu'il a entendu, alors il n'abandonne pas.

Avec un sourire fugace, Sam enfouit ses doigts dans les profondeurs des cheveux de l'ange, les enroule et en tord les racines, tirant jusqu'à ce que les paupières de Gabriel papillonnent et qu'il halète.

« Dis-moi, » dit Sam. Gabriel pince les lèvres, refusant de céder. Sam sourit et continue de caresser ses cheveux, menant ses doigts sur la nuque de Gabriel, faisant courir ses ongles sur la peau douce.

Gabriel gémit et se tortille sous lui, et ça l'empêche de se concentrer – ce qui est toujours le cas avec des anges nus et demandeurs, selon l'opinion de Sam. « Dis-moi si tu m'aimes, Gabriel.

— Comment oses-tu utiliser ma seul faiblesse contre moi, Sam ? » crie Gabriel d'une voix blessée – mais il sourit. Il se mord la lèvre lorsque Sam tire plus fort ; c'est vraiment du fétichisme, à ce point-là. « Je te faisais confiance, Sam ! Comment peux-tu... »

Il est interrompu par son propre cri de plaisir quand Sam se met à utiliser ses deux mains, faisait courir ses doigts sur le cuir chevelu de Gabriel.

« Oh, putain, d'accord, d'accord, je t'aime ! » crie Gabriel. Ses yeux se ferment sous les sensations cataclysmiques qui l'envahissent. « Je t'aime, voilà, c'est dit. Pourquoi tu crois que j'ai mis en place ce plan stupide ? »

Les doigts de Sam se desserrent et ils s'éloignent des cheveux de Gabriel. Sam est sans voix. Il savait déjà, bien sûr, que Gabriel était un peu… obsédé par lui, d'une façon qu'il ne comprenait pas vraiment. Mais de l'amour ? C'est différent. C'est tellement… humain. Quelque chose que Sam sait être très puissant, voire même mortel. Il aimait Jess, le lui disait tous les jours et ça n'a pas suffit.

Et maintenant, Gabriel est amoureux de lui ? C'est bouleversant. Flatteur, et Sam sait que c'est parfaitement vrai. C'est la seule chose qui ait du sens, qui explique toutes les actions de Gabriel. Ce qui est encore plus bouleversant, c'est qu'il éprouve la même chose.

Gabriel le regarde avec prudence, un œil fermé, et Sam peut sentir battre nerveusement son cœur, là où leurs corps se touchent, clairement effrayé de ce qu'il vient d'admettre.

« Je… je t'aime aussi, » dit Sam. Il a l'air tout perdu en disant ces mots. Gabriel lève les yeux, sans y croire.

« Sam, ne…

— Je crois que je t'aime depuis que tu as sauvé Dean de cette sorcière », dit Sam, autant pour lui-même que pour Gabriel. Son front se plisse tandis qu'il essaie de comprendre ce qui se passe. « Tu es impossible. Et irritant. Et des fois, tu es un vrai connard.

— Eh bien, merci Sammy, » répond Gabriel après un silence qui laisse penser que Sam ne va plus rien dire.

« Mais tu es aussi hilarant et courageux et déterminé », continue Sam. Ses yeux reviennent vers ceux de Gabriel, qui a l'air presque aussi confus que lui, toujours plaqué au lit par Sam. « Tu as des valeurs, même si tu le caches, et tu es doux et passionné.

— N'oublie pas sexy », ajoute Gabriel en souriant.

Sam lui rend son sourire et se penche en avant, en oubliant tout le reste. Ils ont encore plein de trucs à comprendre ; et alors ? Être avec Gabriel sera toujours confus. Être amoureux de lui est… terrifiant. Mais c'est aussi faisable, probablement – plus facile que d'affronter l'Apocalypse, en tout cas. Il pose sa bouche juste à côté de celle de Gabriel et laisse ses longs cheveux chatouiller le visage émerveillé de l'ange.

« Oh, je n'oublie pas. »

Sam l'embrasse en souriant.


« Alors, Gabe… on est dans ton Paradis, là ?

— Ouais, je l'ai créé et il n'est à personne, alors je l'ai juste pris pour moi.

— Ah. Alors, est-ce que je peux voir le mien ? Ma petite tranche de paradis rien qu'à moi ?

— Hmm. Je crois pouvoir t'en offrir un aperçu.

— Qu'est-ce que tu veux dire… oooh ! Oh... »


« Cas, est-ce que je peux voir tes ailes ?

— Non, Dean.

— S'il te plaît ?

— Ce n'est pas une question de politesse, Dean. Tes sens sont trop faibles pour les percevoir.

— Mais j'ai vu leur ombre !

— Oui, je pourrais théoriquement en manifester une version tangible, mais cela pourrait créer une anomalie astronomique…

— Je te promets que ça en vaudra le coup.

— Que veux-tu dire… Oh ! Dean ! Dean… »