Hey, hey, hey ! Bonjour mes loulous ! Comment ça va? Bien j'espère, parce que moi pas du tout ! 2 semaines et j'en peux déjà plus de ce foutu hiatus ! Je me demande vraiment comment je vais tenir jusqu'au 9 mars :/...

Bref ! Me voici de retour avec une toute nouvelle histoire (AU) se déroulant sur la côte West cette fois-ci ^^... Avec ce froid j'ai eu envie de prendre un peu le soleil, pas vous? ^^

Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture :)


Chapitre 1: Grosse frayeur...

Il était une fois, dans la belle ville de San Francisco, alors que la nuit était déjà bien entamée, que le vent était doux et léger, fidèle à l'été que ses habitants attendaient, que le silence et le calme étaient les maîtres dans ce quartier résidentiel, probablement le plus huppé de l'agglomération, que l'improbable se produit.

Un homme, tout de noir vêtu, une cagoule à la couleur similaire recouvrant son visage, s'introduit tel une anguille, silencieusement, dans l'immense demeure qu'il avait pris pour cible. Il monta les escaliers, passa devant une porte et s'y arrêta. Il l'ouvrit sans un bruit, passa sa tête, inspecta la pièce du regard ressorti sa tête et referma la porte.

Cherchant visiblement quelque chose de précis, il continua son chemin, et ouvrit toutes les portes qui lui se présentait à lui jusqu'à ce qu'il tombe sur LA pièce qu'il recherchait. Il y entra, redoublant d'effort pour faire le moins de bruit possible, s'avança vers ce grand lit qui n'était plus qu'à quelques mètres de lui, en fit le tour et se retrouva à 30 centimètres d'elle.

« Pas mal...» pensa-t-il. Il admira cette femme qui dormait paisiblement, rêvant sans doute, puis leva lentement une main dans sa direction. Il lui retira une mèche de cheveux qui cachait un peu son visage et la replaça derrière son oreille. Elle était encore plus belle, la lune qui illuminait le peu de lumière dans la pièce, lui donnait un teint parfait.

« En plus j'adore les brunes... ». Il se mit à lui caresser la joue lentement pour la faire se réveiller. Et au bout de quelques secondes, la brune se mit à protester, à bouger légèrement son visage, puis porta une main au niveau de sa joue comme pour chasser un moustique qui l'embêterait durant son sommeil...

Et là, elle la sentit. Cette main qui la taquinait. Et comme un déclic, elle ouvrit les yeux, totalement réveillée et paniquée, elle voulut crier en apercevant cette homme qui était debout à côté d'elle mais elle ne put puisqu'il posa son autre main sur sa bouge, étouffant cris.

- Chuuuut... ça ne sert à rien... Je ne vais pas te faire de mal... J'ai juste envie qu'on s'amuse tout les deux...

Il passa l'une de ses jambe par dessus le corps allongé sur le lit et se pencha pour lui embrassé la clavicule.

- J'adore les nuisettes... je peux les enlever en un rien de temps... Dit-il en venant agripper le bout de tissus au nouveau des cuisses de la brune.

La jeune femme tenta de se débattre tout en continuant de crier mais rien n'y faisait, l'homme était définitivement plus fort qu'elle. Il se redressa puis planta son regard dans les yeux terrifiés de sa victime.

- Plus tu te débattras, plus je prendrai mon temps... en plus, je suis sûre que tu vas aimer...

Les larmes lui montait, impuissante elle n'arrivait à rien. Et alors qu'elle pensait tout espoir envolé, elle eut une idée.

Elle arrêta de s'agiter et cessa de crier contre la paume de son bourreau. Comme inerte, elle regardait le plafond. L'homme, intrigué, se redressa. Se demandant se qu'il se passait, il posa son oreille sur la poitrine généreuse de la brune afin de percevoir un quelconque pouls puis sentit un poids s'écraser contre l'arrière de son crâne, il se roula sur le lit et voulut se redresser pour s'en prendre à la jeune femme qui était s'en nul doute responsable de ce coup. Et alors qu'il allait se jeter sur elle, elle lui vida une bombe de déodorant sur la figure. Les yeux lui brûlant, il lui était impossible d'apercevoir quoique ce soit. La brune en profita pour partir se réfugier dans sa salle de bain qui était 3 mètres derrière son agresseur. Lorsqu'il entendit le cliquetis du verrou de la porte, il se retourna, faisant confiance à son ouïe, marcha en direction de la porte, tenta de l'ouvrir, en vain. La porte était verrouillée. Il recula un peu leva son pied et défonça la porte dans un fracas terrible, la brune émit un hurlement de peur, ce qui le guida vers elle. Il réussit à l'empoignée alors qu'il recouvrait légèrement la vue.

- Tu vas me le payer espèce de...

Il releva son visage et vit dans le flou, un objet s'approcher à toute vitesse de son visage. La brune avait pris la première « arme » qui se trouvait à proximité, un sèche-cheveux en l'occurrence, et s'était acharné sur l'homme afin qu'il la lâche. Les coups étant assez violant, la brune assomma l'inconnu qui s'effondra sur le carrelage de la pièce.

Le cœur battant à tout à l'allure, ses idées se bousculait dans sa tête, que faire, que faire ?! Puis elle entendit des petits pas dans le couloir, et se mit à trembler en imaginant que cet homme n'était peut-être pas le seul.

- Maman ?

Soulagée qu'il s'agisse de son petit garçon, elle se dépêcha à sortir de la pièce, prit son petit garçon dans ses bras et le serra de tout son amour.

- Oh Henry tu n'as rien ? Dit-elle, un trémolo dans la voix.

- Non, qu'est-ce qui se passe Maman ? Dit-il à son tour tout paniqué, comprenant bien qu'il se passait quelque chose.

- Viens on va passez un coup de fil.

Elle le prit dans ses bras, et descendit les marches des escaliers, puis les emmena dans son bureau, ferma la porte à double tour, déposa son fils dans son fauteuil et se tourna vers le téléphone poser sur son socle. Elle le prit, tapa sur les touches puis mit l'interphone à son oreille, elle se retourna vers son fils qui lui agrippa la taille en plaquant son visage contre son abdomen alors qu'une voix se fit entendre au bout du fil.

- Bureau de la Police Fédérale de San Francisco, que puis-je faire pour vous ?

- Allô Madame ! Aidez-moi s'il vous plaît !

- Très bien madame calmez-vous, dites-moi votre nom et ce qu'il se passe. Répondit la femme afin de la rassurer.

La brune posa sa main sur l'oreille de son fils afin qu'il ne l'entende pas.

- Je suis Regina Mills, un homme c'est introduit chez moi, j'ai réussi à lui échapper il est à l'étage, inconscient.

- Très bien Madame, donnez-moi votre adresse, je vais vous envoyer une patrouille.

- 108, Mifflin Street.

- Très bien, ne quitter pas.

La brune attendit quelques secondes puis entendit à nouveau l'autre femme au bout du fil.

- Très bien Madame, une patrouille est dans votre secteur et devrait arriver d'ici quelques minutes. Êtes-vous seules ?

- Non j'ai mon fils de 8 ans qui est près de moi.

- Y-t-il un autre membre de votre famille qui se trouve dans la maison ?

- Non il n'y a que nous deux.

- Où êtes-vous ?

- Dans mon bureau.

- Votre porte est-elle fermée à double tour ?

- Oui.

- Y aurait-il moyen de bloquer la porte ? Une chaise, un meuble... n'importe quoi ?

- Oui j'ai une commode qui pourrait faire l'affaire.

- Alors allez-y bloquer la porte et attendez l'arriver de mes collègues. Ils frapperont à votre porte et déclineront leur identités pour que vous sachiez qu'il s'agit d'eux. D'accord ?

- Très bien. Merci.

Elle raccrocha, courut vers le petit meuble et se démena comme elle le put pour positionner le mobilier devant la porte. Elle revint ensuite près de son fils, le prit dans ses bras et s'assit derrière son bureau, puis elle se mit à bercer son fils pour le rassurer et le calmer.


Quelques minutes plus tard, elle entendit les sirènes de la police, les voitures se garer devant chez elle, les phares illuminer le feuillage qui se trouvait à l'extérieur de la maison à travers la fenêtre de la pièce. Puis elle entendit des pas silencieux s'aventurer à l'intérieur de chez elle, monter les escaliers, et quelques secondes plus tard, redescendre.

- Madame Mills ? Police Fédérale, vous êtes en sécurité, vous pouvez ouvrir.

La brune fit se mettre debout son fils, puis se redressa à son tour et se dirigea vers la porte. Elle bougea une nouvelle fois sa commode, puis déverrouilla la porte.

- Est-ce que vous êtes blessée ?

Aveuglée par la lampe de poche que le fonctionnaire pointait dans sa direction, elle mit sa main devant son visage pour protéger sa vue et hocha négativement de la tête.

- Non ça va...

Elle sentit son fils s'agripper à sa nuisette derrière elle. Elle posa une main sur la tête de l'enfant pour qu'il s'avance un peu, puis elle le prit dans ses bras.

- Et votre fils ? Demanda à nouveau l'agent de police.

- Il n'a rien non plus.

- Bien, l'homme à disparu, mais nous avons constaté des traces de lutte, voulez-vous porter plainte ?

- Oui.

- Dans ce cas je vais vous demander de nous suivre au poste de Police afin de nous faire part de votre déposition.

- Très bien. Vous permettez que je nous change ?

- Oui bien sûr faites. Répondit-il dans un sourire poli.

L'homme se recula pour les laisser passer puis elle se dirigea vers les marches de bois qui menait à l'étage afin d'atteindre le palier.

Après avoir rhabiller son fils et elle par la même occasion, ils redescendirent et se dirigèrent vers l'entrée. Elle fit comprendre aux policiers qu'elle préférait prendre son véhicule et les suivre et ceux-ci n'y virent pas d'objection.


Arrivés au commissariat, les deux agents les dirigèrent vers un bureau et leur demandèrent de s'asseoir. La brune s'exécuta en prenant son fils sur ses jambes qui se colla à elle.

- Mon collègue ne vas pas tarder...

- Bien, merci.

Elle fit le tour de la pièce de ses yeux et vit un homme d'une trentaine d'années, s'avancer vers eux.

- Madame Mills, bonsoir. Je suis l'inspecteur Graham. Dit-il en lui proposa sa main qu'elle serra brièvement. Désirez-vous un café avant de commencer ? Ou un soda pour votre fils ?

- Oui un café sera très bien. Et pour mon fils, plutôt un verre d'eau. Merci.

L'homme hocha de la tête et quitta la pièce avant de revenir quelques minutes après. Il déposa les deux gobelets sur son bureau, puis en fit le tour et vint s'asseoir sur son fauteuil.

- Bien, vous avez toutes mon attention.

Elle se redressa fit boire son fils puis lui reprit le verre d'eau.

- Henry va demander à un policier s'il peut de montrer où se trouve la fontaine d'eau, d'accord mon chéri ?

Le petit garçon ne se fit pas prier, obéit à sa mère et quitta la pièce. La brune retourna son attention vers l'inspecteur et lui narra les événements qui s'étaient déroulés une petite heure plutôt.

Le policier retranscrivait les faits sur son ordinateur tout en posant ses questions à la femme qui se trouvait en face d'elle, le tout dans le sérieux le plus total. Lorsqu'ils eurent fini, il fit imprimer la déposition et la fit signer par la brune avant de récupérer le bout de papier.

- Bien. Madame le Maire, je ne vous cacherai pas que je n'ai que peu d'indice, et qu'il m'est donc impossible de pouvoir établir le profil d'un suspect. Néanmoins, et pour votre sécurité ainsi que celle de votre fils, je peux demander à deux agents de surveiller votre maison. Et si votre agresseur refait surface, car ils reviennent toujours sur leur pas, surtout quand ils n'ont pas... obtenu ce qu'ils voulaient, nous pourrons le prendre la main dans le sac et le mettre derrière les barreaux. Qu'en dites-vous ?

- J'accepte merci.

- Très bien dans ce cas je vais vous faire raccompagner, et deux agents resteront à proximité de votre demeure, n'ayez craintes, nous seront là.

- Merci Inspecteur Graham.

Elle se leva et tendit sa main qu'il serra à nouveau avant de l'inviter à quitter son bureau. Elle prit son fils dans ses bras et se dirigea vers la sortie alors que l'inspecteur demanda à deux agents de la suivre et de la raccompagner jusque chez elle.


Le lendemain matin, Regina Mills se rendit à l'école de son fils, l'y déposa puis se dirigea vers la voiture de police qui s'était arrêtée quelques mètre plus loin. Elle leur demanda de garder un œil sur son fils plutôt que de la suivre, puis reprit sa route jusqu'à son lieu de travail.

Une fois arrivée, elle se dirigea vers son bureau privé, suivit de son assistante qui lui apporta son café comme chaque matin.

- Ruby, fermer la porte voulez-vous.

- Oui Madame.

La jeune femme s'exécuta alors que sa patronne s'assit sur son siège, les coudes posé sur le bureau de bois, servant d'appuis pour son menton.

- Ruby je vais vous demander quelque chose d'assez spécial et je vous en demanderai la plus grande discrétion.

- Bien sûr Madame.

- J'ai besoin que vous me trouviez la meilleure agence de garde du corps de San Francisco, que vous la contactiez et que vous me fournissiez leur meilleur agent.

- Bien Madame.

- Vous pouvez disposer. On se voit dans une heure pour la réunion sur le budget, je compte sur vous pour me donnez des résultats à ce moment-là.

- Entendu Madame.

La secrétaire ressorti du bureau et referma la porte derrière elle, laissant la brune se plonger, tant bien que mal, dans son travail.

L'heure de la réunion arrivée, la brune se dirigea vers la salle prévue à cet effet et s'installa au bout de table alors que ses conseillers et suppléants étaient déjà là.

- Madame le Maire, dirent-ils alors qu'elle leur fit un signe de tête pour les saluer à son tour.

- Bien commençons. O'Bryan.

Un homme se leva, et se dirigea vers le mur en face de la brune, à l'autre bout de la table, et commença à exposer son plan sur la réduction de production de sac plastique dans les supermarchés.

Tous suivirent son allocution, alors que Ruby, la secrétaire, entra discrètement dans la salle, se positionna derrière sa patronne, puis se pencha vers elle pour lui signalez à son oreille qu'elle avait rendez-vous en fin de journée avec un agent de sécurité personnel, comme demander. La brune ne répondit pas, et continua à suivre la réunion.


Au bout de 4 longues heures, la réunion fut suspendue afin qu'ils puissent tous dîner et reprit une demi heure plus tard, jusqu'aux alentour de 15h45. Une fois la réunion terminée, le Maire se dirigea vers son bureau et sa secrétaire lui signala que son rendez-vous était déjà là.

Lorsqu'elle entra, elle fut surprise de voir une blonde assise sur l'une des chaises devant son bureau. Lorsque la jeune femme en question entendit que quelqu'un était entré, elle se mit debout et s'avança vers la brune pour se présenter.

- Madame Mills, enchantée. Emma Swan.

- Qui êtes-vous ?

-Et bien le garde du corps que vous avez demander.

La brune la détailla des pieds à la tête, un sourcil arqué, puis se mit à marché en direction de son bureau.

- Je crois qu'il doit y avoir une erreur.

- Excusez-moi ?

- J'ai demander à voir le meilleur. Et sans vouloir vous vexer... Miss Swan... dit-elle en la scrutant une nouvelle fois... vous n'avez pas l'air d'être celle qu'il me faut.

- C'est parce que je suis une femme c'est ça ? Vous avez peur pour votre sécurité, et contrairement à ce que vous pouvez penser, JE suis la meilleure. Ne vous méprenez pas Madame Mills, mais je vaux plus que vous ne le croyez.

- Ah oui vraiment ?

- Oui. D'ailleurs je vous ai apporté un rapport détaillé de mes exploits passés. Faites à votre guise. Dit-elle en pointant du regard le dossier posé sur le bureau.

La brune s'assit sur son fauteuil, prit le dossier dans ses mains et le parcourut.

- Vous avez fait l'armée ?

- 3 ans, Madame.

- Vous n'avez pourtant pas l'air d'un soldat...

- Et vous, vous avez apparemment beaucoup de préavis à mon égard.

La brune ne releva pas et replongea son nez dans le rapport. Lisant les moindres lignes expliquant le passé professionnel de la blonde qui était toujours debout devant elle. Quelques minutes plus tard, elle referma le dossier et le reposa sur son bureau.

- Bien, veuillez prendre place. Dit-elle en indiquant de sa main un siège pour la blonde s'asseoir. Je dois avouer que votre parcours vous honore Miss Swan.

- Je vous remercie.

- Néanmoins, je ne sais pas si vous serez à la hauteur de ce que je pourrais attendre de vous ?

- Dites toujours et nous verrons.

- La nuit dernière, un homme s'est introduit chez moi. Il n'a rien volé, mais s'est rendu directement dans ma chambre.

Voyant le visage de la blonde se décomposer en imaginant le calvaire qu'avait bien pu vivre la brune, celle-ci continua.

- Il n'a pas eu le temps... dit-elle comme pour répondre aux interrogations de son interlocutrice. Par chance, j'ai pu en sortir indemne. Moi, ainsi que mon fils.

- Vous avez eu de la chance oui, heureusement...

- Oui et c'est pourquoi je ne peux me permettre de dormir une nuit de plus sans protection.

- Vous n'avez pas un système d'alarme ?

- Bien sûr que si... seulement, et je ne sais pas comment, il a réussi à le contourner.

- Vous avez donc besoin de quelqu'un pour vous protéger lorsque vous êtes chez vous ?

- C'est cela.

- Et bien je peux le faire. Je peux vous protéger.

Devant le regard déterminer de la jeune femme, la brune se dit qu'elle pouvait lui laisser une chance.

- Bien dans ce cas, j'aimerais que vous commenciez dès aujourd'hui.

- Très bien. Je serai là pour 18 heures

- Parfait. Votre chambre sera prête.

La blonde cru halluciné et la brune ne comprit pas son comportement.

- Un problème ?

- Non, non aucun... c'est juste que je pensais pouvoir faire mon travail depuis ma voiture.

- Écouter, deux agents de police on surveiller mon domicile le reste de la nuit c'est-à-dire 3 heures, et lorsque je leur ai parlé ce matin, ils avaient l'air complètement épuisés. Ce n'est pas de ça que j'ai besoin. Si jamais ils s'étaient endormis, ils n'auraient pas pus intervenir. Alors j'aimerais que vous vous installiez chez moi, ainsi vous seriez plus à l'aise et surtout plus près au cas où...

La blonde sembla réfléchir quelques secondes puis se redressa.

- Très bien.

- Vous acceptez ? Bien voici mon adresse, dit-elle en l'écrivant sur un bout de papier qu'elle déchira et tendit à la blonde, Nous nous verrons donc à 18 heures.

La blonde réceptionna le papier entre ses doigts, puis hocha de la tête.

- À ce soir Madame le Maire.

- À tout-à-l'heure.

La blonde prit congé et quitta le bureau de la brune. Se dirigeant vers sa voiture, pour se rendre chez elle et prendre quelques affaires.

TBC...


Voilà j'espère que ce premier chapitre vous aura plus ! Cette idée me trottait dans la tête depuis quelques mois mais ayant déjà une FF en cours, j'ai préféré la mettre entre parenthèse jusqu'à maintenant ^^

N'hésitez pas à me donner votre avis. Négative comme positive, tout remarque est bonne à prendre afin de m'améliorer ;)

Bisous les loulous et à bientôt :)