Chapitre 6 :

Disclaimer : Fullmetal Alchemist ne m'appartient pas !

Voilà, dernier chapitre !

Envy : C'est pas trop tôt !

Eriko : Mais c'était drôle, pourtant !

Envy : NON !

Vérité : Mais si !

Moi :... breeef... Enjoy !


Une semaine après le très très étrange rhume d'Eriko et d'Envy, ils étaient de nouveau remis sur pied, et avaient échappé à la mort. D'un poil. Eh oui. Envy n'ayant jamais eu l'occasion de tomber malade, son organisme n'y était pas prêt et un simple rhume pouvait s'avérer mortel. Surtout que sous sa forme, il était au plus faible et pouvait moins lutter contre les infection que s'il avait été sous forme humaine.

La jeune fille, pas folle, ne lui avait pas donné de médicament, ne sachant pas quels effets ça aurait sur lui. Elle avait donc pris elle-même les traitements nécessaires, et à son grand soulagement, ils avaient tous les deux guéri. Lentement, très lentement, certes, mais ils étaient vivants, donc c'était tout ce qui comptait en ce moment.

Malheureusement, comme une semaine, c'est long, il ne restait plus de nourriture. Eriko dut donc se dévouer pour aller faire les courses, pendant que Rin et Ren jouaient à la PSP et comparaient leurs scores.

Avec sa liste de deux mètres, Eriko avait pris un chariot de course. Taille XXL.

Envy avait été forcé à l'accompagner. La jeune fille ne faisait pas assez confiance à ses petits frères. Elle avait raison, d'ailleurs.

Envy n'était pas le personnage que les jumeaux préféraient, qui se disputaient très souvent pour savoir qui était le meilleur entre Greed et Wrath… et qui sait ce qu'ils auraient fait au pauvre petit homonculus pendant qu'il étaient touts seuls dans le petit appartement parisien, rien que pour lui faire payer que ce soit lui, plutôt que leurs personnages préférés respectifs…

Donc, je disais, Envy et Eriko étaient en route pour le supermarché, et Envy, fourré de force dans le col du manteau de la jeune fille, sortait sa tête de temps en temps pour apercevoir les merveilles de Paris pendant quelques secondes… c'est à dire, les voitures, la fumée, et les poubelles. Plus la puanteur des cigarettes mêlées à l'odeur infecte de la fumée produite par les très nombreux véhicules.

À part ça, l'homonculus était impressionné par la modernité de la ville, et écarquillait les yeux à chaque fois qu'il la voyait.

Bon, après une dizaine de minutes à marcher (pour Eriko) et à s'émerveiller (pour Envy), les deux arrivèrent devant l'endroit tant convoité (à savoir… le supermarché).

Eriko commanda silencieusement à Envy de se cacher pour que personne ne le voie. Il protesta.

Mais enfin voilà, quoi ! Qu'est-ce qu'il en avait à faire ? Ce n'étaient que des petits humains insignifiants ! Qu'est-ce que ça changerait s'ils le voyaient ?

Ce fut ce qu'il dit, cependant il se baissa quand même pour se cacher dans le col de la jeune fille.

Il se renfrogna. Cela ne lui ressemblait pas, de se plier aux ordres d'une humaine… lui, Envy, obéissait à une humaine ?! La bonne blague ! Si les autres homonculus le voyaient en ce moment… surtout Greed… il ne voulait même pas y penser.

Mais vu l'état dans lequel il se trouvait, ce serait bizarre que l'un d'entre eux le reconnaisse…bon, il y avait quand même des chances que… mais… Enfin voilà, quoi ! C'est pas tous les jours qu'on voit un lézard à huit pattes… n'empêche, il pourrait aussi être facilement pris pour une chimère… une toute petite chimère !

D'abord passant par le rayon boissons, elle alla vite au rayon légumes, puis au rayon produits ménagers, au rayon viandes et poisson… jusqu'à avoir tout trouvé.

Quand elle passa à la caisse, le vendeur la regarda, l'air de se dire « Sauvez-moi ! Je vais y passer la journée, voire la nuit ! ». Elle lui répondit avec un regard innocent. Le vendeur se dépêcha de tout faire passer, sous les protestations des clients de derrière, qui voulaient rentrer chez eux avec leurs produits.

Le total des courses ? Environ ***,** €.

Eriko s'empressa donc de rentrer chez elle, avec son chariot, qui maintenant pesait autant qu'Envy sous sa vraie forme. La grosse forme. Celle qui ressemble à un croisement entre un lézard géant et un chien sans oreilles et des têtes mutilées qui… c'est bon ? Vous voyez ce que je veux dire ? Ok.

Après être rentrée chez elle et rangé les courses, Eriko s'affala sur son lit. Elle avait déjà fini tous ses devoirs pour la rentrée, qui commençait le lendemain.

Maintenant qu'elle y pensait… comment allait-elle faire pendant l'école, avec Envy ? Bof. Elle règlerait ce problème avec lui plus tard…


Une heure plus tard, elle était en train de déjeuner avec ses petits frères qui lui vantaient leurs exploits aux jeux-vidéos.

Quant à Envy, il regardait son plat de poisson et de riz avec salade sans trop d'appétit, se demandant comment il en était venu à cette situation.

Il avait débarqué dans la maison d'Eriko, qui avait commencé à le traiter familièrement, comme si de rien n'était. Elle savait pourtant de quoi il était capable. Comment pouvait-elle ignorer ses faits passés comme si de rien était ? C'était typique des humains, ça ! Ils pardonnaient, comme ça, en devenant amis-amis d'une seconde à l'autre. Pourquoi ? Comment ?

C'était comme avec le nabot et les autres. Ils avaient oublié leurs différents comme ça, et s'étaient tous alliés pour arrêter le colonel de flamme. Pourquoi ? Pour une stupide question de vengeance. Comme quoi, si Mustang le tuait, il deviendrait aveuglé par la vengeance, et patati et patata…

Ah, ça le rendait malade ! Les humains étaient si stupides, naïfs, ils ne pouvaient pas ne penser qu'à eux, tout le temps ? Parce qu'avec leur « amitié », ils devenaient tellement compliqués, et leurs concepts… ahh ! ça le rendait vraiment vache (petite allusion à Hiromu ? Meuh, non !) !

Il sursauta. Eriko s'était écroulée sur table. Il tourna la tête, lentement. Il aperçut la jeune fille, en train de se décomposer. Il baissa ses yeux écarquillés vers son propre corps et s'écroula à son tour.


Les deux se tenaient dans une grande salle blanche, si on peut appeler ça une salle, avec deux grandes portes aux deux extrémités. Leurs Portes de Vérité.

D'ailleurs, il était où, ce c** ?

Eriko tourna sa tête vers la gauche et aperçut Envy, sous sa forme humaine. Il la regardait avec un air complètement perdu. Qu'elle lui retournait.

Soudain, ils entendirent une voix, étrange mélange entre celle de l'homonculus et l'humaine, et son propriétaire, une figure blanche difforme entourée d'un halo noir, curieux croisement entre une fille et un androgyne.

« Bien, la première partie de l'opération est effectuée. Bravo à tous les deux ! Alors, ça n'a pas été trop dur ? »

Eriko fronça les sourcils, crispée :

« Non, on a juste failli mourir, mais à part ça, rien de spécial… et toi, tu t'es bien amusé à nous faire souffrir ?

-Je dois avouer que c'était très réjouissant… mais il reste encore la deuxième partie, qui sera, à mon avis, encore plus drôle !

-Co… comment ça, « deuxième partie » ? » cria Envy, le visage pâle… enfin, encore plus pâle que d'habitude.

Vérité se pencha vers l'homonculus, qui recula, et sourit de plus belle.

« Eriko doit encore réparer tes erreurs… et tu iras avec elle ! »

Envy écarquilla les yeux. Vérité éclata de rire avant de continuer :

« Ha ! C'est toujours aussi drôle de voir vos réactions… Bon, revenons aux choses sérieuses ! Envy ! Tu voulais retourner chez toi, non ? »

Envy ne répondit pas.

« En fait, non, mais on s'en fout… que tu le veuilles ou pas, ton payement est tout trouvé… »

Le principal intéressé leva les yeux vers Vérité, effaré. Il n'eut pas le temps d'esquisser un geste de plus qu'il fut projeté dans l'une des Portes de Vérité.

« Envy ! »

Le cri de la jeune fille résonna.

L'homonculus écarquilla les yeux. L'humaine s'inquiétait pour lui ? Elle se lançait à sa poursuite, tendait sa main vers lui. Il fit de même, et au moment où ils faillirent s'effleurer, les énormes battants se refermèrent.

La jeune fille désespérée frappa le bloc de pierre, encore, encore, sans résultat.

Au bout d'un moment, elle s'écroula par terre, les jambes fauchées par le désespoir.

Un frisson parcourut tout son corps.

« Eriko, voyons, tu sais que ça ne sert à rien… et puis de toute façon, il sortira bien assez tôt ! »

Il eut à peine le temps de finir sa phrase que la porte géante s'ouvrit, et Envy en fut projeté, de nouveau sous sa vraie forme. Les larmes aux yeux, il atterrit pile sur les genoux d'Eriko.

« Bien. Eriko, vu ton rôle dans la deuxième partie, je ne vois qu'une seule solution… je m'en excuse d'avance… ou pas ! »

Eriko serra Envy dans ses mains, et fronça les sourcils.

« Je vais te prendre ton humanité... » annonça Vérité. Il repartit dans son rire moqueur en voyant Eriko écarquiller les yeux, avant de continuer :

« Mais bien sûr, je n'ai pas besoin de ton avis… »

Les mains de charbon sortirent soudainement de la deuxième Porte de Vérité, arrachèrent Envy à la jeune fille, qui poussa un cri effrayé avant d'être tirée vers sa porte.

« Eri- » commença l'homonculus avant de se reprendre. Pourquoi s'inquiétait-il pour cette humaine ?

Il eut tout juste le temps d'apercevoir Eriko esquisser un faible sourire, avant que la porte ne se referme.

Pendant un moment, il se sentit mal. Pour avoir laissé Eriko se faire prendre. Mais que pouvait-il faire ? Surtout sous sa forme originelle, il était impuissant… puis il se reprit. Comment pouvait-il se sentir mal à l'égard d'une humaine ? Depuis toujours, il pensait que les humains étaient une race inférieure, dotée de sentiments inutiles. S'inquiéter pour un membre de cette race était le comble pour lui !

Pendant qu'il pensait, Eriko refit son apparition. Il leva la tête.

Ses cheveux châtains avaient virés au noir, ses yeux au pourpre et ses pupilles étaient verticales, comme celles d'un chat. Ses vêtements aussi avaient changé. Son pull s'était transformé en t-shirt à col roulé et ses jeans en pantalon, tous deux d'une matière élastique, moulante et noire. Des lignes rouges parcouraient son ventre et continuaient dans son dos, avent de resurgir sur ses épaules, se terminants par des cercles. Il remarqua aussi un trou dans son pantalon, juste au dessus de sa cheville gauche. Un tatouage rouge y figurait. L'ouroboros.

Eriko était devenue une homonculus.

« Bien ! Tout a fonctionné à perfection ! Maintenant, vous êtes prêts pour la deuxième et dernière partie da la mission qui vous a été confiée ! Je vous explique : Eriko, tu devras réparer toutes les erreurs d'Envy, sous ta forme d'homonculus. Ta pierre philosophale est celle d'Envy, que j'ai, disons… rechargé. Tu t'es approprié ses pouvoirs de transformation, et je veux que tu prennes son apparence pour refaire tout qu'il a fait. À quelques détails près… Bonne chance ! »

Et sur ces mots, les deux furent engloutis par un espace noir, sans avoir eu l'occasion de répliquer.


L'homonculus et l'hu... et la deuxième homonculus (ça va devenir compliqué, tout ça...) se retrouvèrent plongés dans le noir complet... mais c'était plutôt bizarre. En effet, le jeune fille pouvait voir le petit lézard vert (ou limace de mer, comme vous voulez) et celui-ci pouvait voir Eriko.

Ce fut cette dernière qui décida de briser le silence.

« Envy ? » demanda la jeune fille.

« Hum...?

-Euh... en fait... on est censés faire comment ?

- De quoi tu parles ?

-Ben, tu sais... Vérité... réparer tes erreurs... tout ça, quoi !

- Ah, ça !

- Oui, ça !

- J'en ai absolument aucune idée.

-Bon... on est bien avancés, alors... »

Envy soupira. Encore une chose qui venait de lui tomber dessus. Il n'avait rien... ah, en fait, si. Il avait tout fait pour mériter ça... et m*rde ! Il ne pouvait pas tomber plus bas, là... si ? Encore ? Y avait-il encore moyen que la situation s'empire ?

Un flash de lumière l'interrompit dans ses réflexions.


Eriko se trouvait devant une cabine téléphonique. Une vielle cabine téléphonique. Envy était sur son épaule gauche.

D'après ce dont elle se souvenait, elle était devenue homonculus. Elle leva la tête. Devant elle se tenait un homme de dos, immobile, en train de lui dire quelque chose. C'était bizarre, elle avait l'impression de le connaître. Envy, quant à lui, avait les yeux écarquillés.

« Hé hé, excusez-moi… mais ma femme et ma fille m'attendent à la maison...Je ne peux pas mourir aujourd'hui ! » cria l'homme en se retournant, un couteau à la main.

Eriko sursauta en le reconnaissant. Lui se figea.

« Mais vous êtes qui ? » demanda-t-il, complètement désorienté.

Devant Eriko et Envy se trouvait Maes Hughes. L'homme qu'Envy avait tué, provoquant, d'une certaine façon, sa mort.

FIN !


Et voilà, enfin fini. Oui, c'est vraiment la fin et non, il n'y aura pas de suite ! (Enfin, pas tout de suite... peut-être si j'ai le temps d'y réfléchir, mais je dis bien "peut-être" !)

Eriko : Heing ?!

Moi : Ben quoi ? Ils n'ont qu'à imaginer la suite !

Envy : Mais...

Moi : Pas de "mais", c'est compris ? C'est moi l'auteure, je fais ce que je veux !

Hugues : Regardez ma petite Elicia ! Elle est mignonne, hein ?

Eriko : Waahh ! Trop mignonne !

Moi : ...

Envy : ...

Mustang : Ah, Envy ! Je t'ai enfin trouvé ! Maintenant, meurs pour de bon !

Eriko : Non ! Méchant ! Va t'en ! Dehors !

Mustang : Mais... t'es qui ?

Hughes : Roy ! Regarde Elicia ! Elle est mignonne hein ? Hein ?

Mustang : Hughes ?! Tu étais vivant ?

Ling : Eriko ! Ta pierre philosophale !

Eriko : Non ! Au fait... comment tu connais mon nom ?

May : Elle est à moi !

Lan Fan : Va t'en ! Elle est au prince !

Kimbley : Bien le bonjour à tout le monde !

Pride : Mais... je pensais t'avoir mangé !

Kimbley : Oui, mais dans cette dimension, les morts reviennent à la vie...

Moi : Mais de quoi vous parlez, bon sang !?

Hayate : Waf !

Hawkeye : Couché !

Gluttony : Miam ! Un chien !

Mustang (yeux qui brillent et sourire psychopathe): J'adore les chiens !

Gluttony (bave et saute sur Hayate) : Moi aussi ! Manger !

Lust : Gluttony... n'oublie pas les bonnes manières, voyons...

Gluttony (arrête de baver et se reprend) : Désolé, Lust. Bon appétit !

Lust : Voilà, là, c'est mieux !

Moi : Pourquoi j'ai l'impression qu'il y a de plus en plus de monde dans ma chambre ?

Envy : Aucune idée. J'ai comme cette impression, moi aussi...

Eriko : De quoi vous parlez ?

Elicia : Papa !

Ed : C'est déjà la fin ? J'ai même pas pu apparaître !

Al : Moi non plus...

Père : Sacrifices !

Izumi Curtis (très, très fâchée. ne pas l'approcher) : Je vais te défoncer !

Sig Curtis (petits cœurs) : Chérie !

Izumi Curtis (idem) : Mon petit sucre d'orge !

Excalibur (Soul Eater): Excalibur~ ! Excalibur~ !

Moi : Mais qu'est-ce que tu fous là, toi ?

Gluttony : Lust, je peux le manger ?

Lust : Pas avant d'avoir identifié ce que c'est...

Greed : Le monde m'appartient ! Je veux tout ! l'argent, les femmes, les-

Winry : Ed ! Ton auto-mail !

Ed : M*rde ! J'avais oublié !

Greed : Laissez-moi finir !

Envy : Mais qu'est-ce qu'on en a à foutre, de ton p*tain de monologue...

Greed : Toi, la limace, ta g*ule !

Envy (sur le point de détruire la planète) : Tu me cherches, requin de mes deux !?

Wrath : Pourquoi la mort ?

Moi : Stop ! Je pense que ça a été un peu trop long ! Euh... Envy, Greed... vous vous défoncerez une prochaine fois, oki ? Eriko, je te confie Envy !

Eriko (sourire de psychopathe) : Aye, sir !

Envy : Eriko ! Lâche-moi !... Non, pas l'épaule, pas l'épaule !

Greed : Mouahahahahaha !

Vérité : Si vous ne reviewez pas... vous serez forcés à manger de la glace à la salade...

Moi : Stooop ! Au fait... quel est le rapport ?! Et ça existe, ça, la glace à la salade ?!

Coupé !


Pour les reviews... alors, déjà, pour ceux qui ont reviewé, merci beaucoup de m'avoir soutenue et conseillée, et merci aux timides qui passent lire mais qui ne reviewent pas. J'en profite aussi pour m'excuser de ne pas avoir répondu aux reviews pendant les chapitres 4 et 5, je corrige tout de suite !

Lilisu : non, en fait, j'y avais pas vraiment pensé, aux détails de la bave... je pense que j'aurais dû...bon, du coup, classe ce fait dans ton petit coin "WTF", ce sera mieux XD ! Sinon, oui ! Ca m'énerve, ce monde qui passe par ma fenêtre, comme ça ! Ils devraient avoir un peu de respect... par contre, je ne sais pas comment ils font pour monter jusqu'au 4ème étage (surtout Elicia !) ! Envy qui joue à Candy Crush... (moi (essaye de se retenir de mourir de rire) : humph...)(Greed : ahem...)(Envy : non... NON, ne dis rien !)(Mustang : c'est bon... je n'ai plus besoin de te tuer, finalement...)

Tiphanoushkoushki : je prends note pour le rythme, merci ! C'est juste qu'à certains moments, je ne peux pas trouver la suite, et à d'autres moments, je ne peux plus m'arrêter...mais merci quand même de m'avoir fait remarquer ça, j'y ferais plus attention pour ma prochaine fanfic ^^ ! Ne t'inquiète pas. Nous sommes toutes des folles furieuses ^^!

Kris82 : merci du conseil, je m'en aiderais si je suis à court d'idées ^^! Pour le coup de la fan hystérique... à mon avis, tout le monde l'attendait (Envy : bande de psychopathes...)...Pour le making of, c'est juste un délire (moi dans le passé en cours de maths : tiens, et si je...) mais je m'éclate à l'écrire, j'écris ce qui me passe par la tête (parfois, j'ai même dû retirer des trucs, tellement c'était pas crédible...) ! Aussi, merci pour le compliment ! J'essayerais aussi de mettre plus de "bas" dans mes prochaines relation de mes prochaines fanfics...

Ve : No, už ji maš ^^! Užij si to, je to poslední !

Merci à tout le monde ! Bye-bye !