Voila, c'est une idée de fiction que j'ai eu et donc j'ai eu envie de vous la faire partager en plus de mes deux autres fiction : détruite et un amour réparateur.


Mon nom ? Hermione Granger. J'entre en dernière année a Poudlard avec mes meilleurs amis : Harry, Ron et sa sœur Ginny. Même si Ginny est seulement en 6ème année. Je suis heureuse de finir mes études cette année. J'adore étudier mais j'aimerais passer a autre chose. 7 ans dans la même école c'est très long et j'ai besoin de changer d'air un peu. Aujourd'hui nous sommes le 18 août et c'est mon anniversaire. Je vient d'avoir 17 ans autrement dit, je suis majeur dans le monde des sorciers. Génial non ? Je peut faire de la magie, enfin pas chez moi évidemment puisque mes parents sont moldus mais je trouve quand même sa super. Ginny, ma meilleure amie, a préparée une petite fête en mon honneur chez elle. Je suis donc au terrier et en train de me faire trimballer dans tout les sens par Ginny qui me essaye tant bien que mal de coiffer mes cheveux.

- Bon ! J'abandonne Hermione. Ils sont impossible a coiffer comme sa.

- Tu vois ? Tant pis j'irais sans être coiffée.

- Hors de question ! J'ai essayer de la manière moldue maintenant laisse moi essayer avec un sort.

- Tu n'es pas encore majeur Ginny.

- Oui mais si toi tu le lance ?

- Mais, c'est pour quoi faire ce sort ?

- Tu verra une fois que tu l'auras lancer. Répète après moi en de désignant tes cheveux de ta baguette : LISEASCAPILLUS !

- LISEASCAPILLUS !

- Et voilà

Je me regarda dans le miroir et je vis mes cheveux lisse, mais vraiment lisse, je ne me reconnaissais même pas. Je laissait donc Ginny finir de me coiffer, maintenant que mes cheveux se laissait tranquillement faire. Je me retrouvait avec des cheveux joliment coiffés en tresse épi descendant sur mon épaule juste au dessus de ma poitrine.

- C'est très beau Ginny.

- Merci. Mais j'ai pas encore fini. Je dois te maquiller.

- Ginny. Ce n'est rien d'extraordinaire c'est juste mon anniversaire.

- Juste ? Tu es majeur Hermione ! Sa se fête dignement tout sa. En plus tu as un corps magnifique je ne comprend pas que tu ne le mette jamais en valeur. Tu sais quoi ? Après la fête nous irons toutes les deux sur le chemin de traverse et tu va me jurer de jeter toutes tes vieilles fringues. Je veut que tu prenne soin de ton corps et que tu le mette en valeur cette année.

- Ginny !

- C'est un ordre ! Maintenant ferme les yeux que je finisse de te préparer.

Ginny me tortura encore une bonne demi heure avant de me donner ma robe. Oui car pour c'était bien de la torture même si je savais qu'elle avait raison. Je ne me mettais pas assez en valeur mais a vrai dire tout cela m'étais égal. Je lui promis donc de faire un effort cette année mais c'était bien parce que c'était elle et que c'était ma dernière année.

La robe qu'elle m'avait était vraiment belle, Ginny avait vraiment de bon goût et de plus elle savait ce qui me plairait même si je n'aurais jamais achetée une robe pareille moi même. C'était une robe blanche fait d'un tissus fluide. J'avais une seule bride et une ceinture argentée qui affinait parfaitement ma silhouette. Coiffée, maquillée et habillée ainsi, je ne me reconnaissais pas.

Je ne savais pas quoi dire.

- Gin... je ne sais même pas quoi dire. Je suis ….

- Magnifique. Je t'en prie Hermione.

- Aller, descendons maintenant. Maman doit nous attendre pour manger.

Les garçons ne surent pas quoi me dire eux non plus. Tout le monde me regardait mais personne ne disais rien. Madame Weasley fut la première a prendre la parole.

- Tu es magnifique Hermione chérie.

- Sa valait le coup d'attendre pas vrai George ?

- Tout a fait Fred.

- Je ne t'aurai jamais reconnue si je t'avais croisée dans la rue.

- A ce point Harry ?

- Oh que oui. Tu es très belle tu devrais l'habillée comme sa plus souvent. Je ne dit pas que tu n'es pas belle d'habitude mais...

- j'ai compris Ronald. Merci. Merci a tous.

- Bon anniversaire Hermione !

Le repas était délicieux comme toujours et je fut gâter par tout le monde. Monsieur et madame Weasley m'offrirent une enveloppe avec un peu d'argent ce qui me touchait d'autant plus que je savait qu'ils n'avaient pas beaucoup d'argent. Je me sentais gênée d'accepter.

- Je, je ne peut pas accepter. C'est bien trop.

- Je t'en prie ma chérie. Accepte. Ne t'en fais pas pour nous. Arthur a eu une promotion avant hier.

- Oh félicitations Monsieur Weasley.

- Merci Hermione.

- Hermione. Ouvre mon cadeau.

C'était Ginny. Elle m'offrit une trousse de beauté avec tout le nécessaire requis pour me faire belle avait-elle dit. Ronald m'offrit le livre que je regardait dans la boutique quelques jours auparavant. Je comprenais a présent pourquoi il m'avait pressée a tel point que je n'avais pas eu le temps de l'acheter. Harry quand a lui, de mèche avec Ginny sûrement, m'offrit un bon d'achat d'une valeur de 100 galions dans une boutique de vêtements.

- Harry tu es fou. C'est beaucoup, beaucoup trop.

- Rien n'est de trop pour notre meilleure amie. Accepte. De toute manière tu n'as pas le choix.

Quand aux jumeaux fidèles a eux mêmes, il m'offrirent la dernière version de leur boite a flemme avec quelques objets de plus par ci par la.

J'étais très touchée par tout ces présents. J'eus a peine de le temps de dire merci a tout le monde, que Ginny m'embarqua sur le chemin de traverse avec les garçons même si eux ne nous suivraient pas dans les boutiques. Ils avaient quelques achats a faire pour la rentrée.

Ginny passa l'après midi a me faire essayer des vêtements et nous rentrâmes avec plus de vêtements que mon armoire ne pouvait en contenir mais comme je lui avait promis de jeter mes anciens, il y aurait suffisamment de place disait-elle. Le bon d'achat offert par Harry y était passé.

Alors que j'allais rentrer a la maison, Harry et Ron vinrent me rejoindre dans la chambre. Ils étaient bizarres. Ils ne disaient rien et se regardaient.

- Qu'est ce qu'il y a les garçons ?

- Nous avons un dernier cadeau pour toi, on ne voulait pas te l'offrir devant tout le monde.

- Quoi ? Mais vous n'auriez pas dû. Vous m'avez suffisamment gâtée.

- Celui ci est spécial.

Alors Ron sorti de sa poche un petit écrin qu'il me tendit. Je soulevait le couvercle pour pouvoir admirer un collier avec un pendentif en forme de cœur, en réalité trois petits cœur collés les uns avec les autres sur lesquels étaient gravés trois lettres H,H et R. Harry, Hermione et Ron. J'étais si émue que je ne pu retenir mes larmes. Alors le garçons vinrent me rejoindre sur mon lit et me prirent dans leur bras. Je mis un certain moment avant de me calmer puis il fut l'heure de rentrer chez moi.

Mes parents m'attendaient dans le salon. Ils semblaient inquiets. Cela m'étonnait, ils ne s'inquiétaient jamais quand je me rendais chez les Weasley.

- Papa ? Maman ? Tout va bien ?

- Nous avons reçu une lettre pour toi.

Ma mère semblait retenir ses larmes et serrait si fort la main de mon père que ce dernier était tout blanc.

- Mais ce n'est qu'une lettre. Alors pourquoi vous faites cette tête ? Quelqu'un est mort ?

- Ce n'est pas une simple lettre. Hermione nous devons te dire quelque chose. Quelque chose de très difficile a dire et crois moi ma chérie nous aurions aimés ne pas avoir a le faire mais nous n'avons pas le choix. nous te devons la vérité.

- Vous commencez a me faire peur...

- Il y a 17 ans, le jour de ta naissance pour être plus exacte, un homme et une femme nous on rendu visite. La jeune femme tenait un bébé dans ses bras. Toi. ils semblaient tellement désespérés. ta mère et moi avons cru qu'ils cherchaient un asile, mais en réalité, ils nous demandés de veiller sur toi. ils nous on confiés la personne la plus précieuse a leurs yeux. ta véritable mère était effondrée, ton père était obligé de la soutenir pour ne pas qu'elle tombe. je n'avais jamais vu quelqu'un souffrir autant et pourtant aujourd'hui ta mère et moi connaissons cette même souffrance.

- Quoi ?! Non ! Non ! C'est pas possible, je suis votre fille. Il y a des photo de maman enceinte. Je ne peut pas avoir été adoptée. Non ! Non ! Je ne veut pas y croire. Ce n'est pas marrant de me faire une blague le jour de mon anniversaire.

- Hermione, laisse moi finir. Je vais tout t'expliquer. Tes parents, tes vrais parents nous ont demandés de veiller sur toi jusqu'au jour où ils reviendraient te chercher.

- Pourquoi ?!

- Tes parents, étaient des sang purs qui, sur ordre de Dumbledore, avaient infiltrés le camp de, je ne sais plus son nom.

- Voldemort ?! mes vrais parents sont des Mangemorts ?

- Non, je crois que c'étaient des espions, pas réellement des mangemorts, ils font partis du même groupe que toi: l'ordre du phénix si je me souviens bien. Quoi qu'il en soit, ta famille est une famille très puissante et même plus puissante que Voldemort. Voldemort voulait leur enfant dans ses rang. Alors pour te protéger de tout ceci. Tes parents t'ont amenés a nous.

Il avait les larmes au yeux, il luttait pour ne pas pleurer devant moi, je l'entendais dans sa voix, alors que ma mère était effondrée et que les larmes coulaient sur ses joues et sur les miennes aussi.

- Hier soir, nous avons reçu une lettre selon laquelle ils souhaitaient que tu revienne parmi eux maintenant qu'ils avaient réussi a s'échapper de ses rang.

- Ils ont réussi a sortir des rang de Voldemort sans se faire tuer ?

- Je n'en sais pas plus que sa. ils ne disent rien de plus dans la lettre mais maintenant que tu es majeur tu n'es plus sous la protection du sort que ta mère t'avais jetée quand tu était petite. et donc ils nous ont écrit que tu était en danger en restant avec nous plus longtemps.

- Je ne veut pas les rejoindre.

- Tu n'as pas le choix ma chérie, ils vont arrivés... maintenant. crois moi nous ne voulons absolument pas nous séparer de toi. Tu est notre fille, notre bébé et tu sera toujours notre enfant. nous sommes désolés de t'avoir cachés la vérité mais c'était pour ton bien crois moi. nous t'aimons plus que tout au monde. tu a été notre soleil, notre trésor et tu feras toujours parti de cette famille. mais ta véritable famille veut te connaitre et elle le mérite.

Et au moment même, frappa à la porte. Mon père sécha les larmes qui avaient débordés et parti ouvrir la porte.

- Bonsoir monsieur Granger.

- Bonsoir. Entrez.

Une femme et un homme firent leur apparition dans le salon de, ma désormais ancienne maison.

- Tu doit être Hermione.

Elle avait les larmes aux yeux, elle me dit un grand sourire avant de venir me serrer dans ses bras.

- Vous .. vous êtes ma mère ?

- Oh .. non. Je suis ta tante Lena. Et voici ton oncle Wesley.

- Bonjour Hermione.

Contrairement a ma tante il ne vint pas me prendre dans ses bras et ne semblait spécialement touché par le fait de me voir. Mais il est vrai que dans les sang pur, les hommes ne montraient pas beaucoup ce qu'ils ressentaient.

- pourquoi ce ne sont pas mes parents qui sont venus me chercher ?

- Ils ne peuvent pas c'est bien trop dangereux pour eux. Ils sont cachés mais nous allons te mener jusqu'à eux. Fais tes bagages chérie. Nous ne pouvons pas tarder. Ta mère a hâte de te serrer dans ses bras.

Alors je monta dans ma chambre. Je tira ma valise de dessous mon lit et je pris tout ce que je pouvais mettre dedans avec un sort de rétrécissement : les vêtements achetés aujourd'hui, mes albums photos, la plupart de mes livres, mon nécessaire de magie et mes tenues d'école. Je fis voler mes bagages jusque dans le hall. Je ne réalisait pas vraiment que j'allais quitter ma maison et que je n'étais pas une Granger. Je retourna donc dans le salon. Les Granger, mes parents restaient en retrait et nous regardaient. Je ne voulais pas les quitter. Mais j'étais aussi curieuse de connaître ma véritable famille. Je couru dans les bras de mon père et je le serra aussi fort que je pouvais et je fit pareil avec ma mère qui ne pouvait retenir ses larmes. J'essayais de retenir les miennes mais c'était trop difficile. La dernière chose que je fit en passant la porte d'entrée c'est me demander si je le franchirait a nouveau un jour. Puis ma tante pris ma main, mon oncle l'autre et d'un sort il fit rétrécir mes bagages pour les mettre dans sa poche avant de nous faire transplaner.

Nous nous retrouvâmes devant un grand portail. Je ne voyais pas de maison. Seulement l'obscurité de la nuit. Nous franchîmes les portes puis nous marchâmes 5 bonnes minutes dans le noir, sur un sentier de terre. Enfin je l'aperçu, ce n'était pas une maison mais un château. C'était vraiment immense et contrairement a ce qu'on aurait penser, une certaine chaleur émanait de ce manoir. Alors qu'une elfe nous ouvrait la porte, je me rendis compte que je connaissais pas le nom de ma famille.

- je ne vous ai pas demander comment vous vous appeliez.

Je n'eus pas le temps d'avoir une réponse que nous étions entrés. Trois personnes étaient présentes dont un de mes pires cauchemars : Pansy Parkinson. Tout ce que je demandais c'était qu'on ne me dise pas que c'était ma sœur. Elle me regarda de manière assez gentille (ce qui était très étrange pour elle) et me dit :

- Bienvenue chez toi. Cousine.

La femme a son coté fondit en larmes et vint directement vers moi me serrer dans ses bras.

- Bienvenue a la maison mon bébé, tu nous a tellement manquée ma chérie.

J'en déduisait donc que c'était ma mère et que mon père était celui qui était de l'autre coté de Pansy. Ce dernier vint lui aussi a ma rencontre et nous serra toutes les deux dans ses bras en embrassant mon front. Aussi bizarre que cela puisse paraître, je ne me sentais pas étrangère. Je savais que ma place était ici.

- Bienvenue a la maison Hermione Helena Evans.

- Evans ?


Voila, j'espère que sa vous plaira. Surtout laisser des commentaires. Et dites moi ce que vous pensez de ma nouvelles fiction :D

Bisous bisous