Note d'Introduction : Hi-llo amis lecteurs.

Je suis très émue de vous présenter aujourd'hui le point final de cette première longue fanfiction. Eh oui, Les Blés et les Coquelicots, c'est désormais fini... Mais ne pleurez pas, il y a encore quelques bonus (pour le moment 2) qui vont suivre pour étayer l'histoire.


Épilogue

Les Blés et les Coquelicots


Anatole fronça les sourcils lorsque une paire de chaussettes réticente empêcha la fermeture de sa malle, pleine à ras-bord de vêtements pour les vacances d'été. Il la déplaça une fois, puis deux, et repensa entièrement l'aménagement des compartiments du bagage avant de pouvoir le fermer sans utiliser la magie. Bien qu'étant un sorcier, et plutôt un sorcier prometteur étant donné qu'il avait été réparti à Serdaigle et que sa magie était vive, le jeune adolescent estimait devoir se débrouiller par lui-même le plus souvent possible et ne recourir à la magie qu'exceptionnellement. Et puis après tout, s'il était toujours dans son dortoir de Poudlard, ils n'avaient plus cours alors il n'avait pas d'excuse valable pour utiliser sa baguette, bien que la totalité des élèves de l'établissement n'aient pas ses scrupules. Parmi ces écoliers rebelles se trouvait son propre frère qu'il découvrit au pied de sa Tour en sortant, posté à côté de sa valise à roulettes moldue verte et grise. Il lui adressa un sourire discret et le blondinet lui répondit de la même manière, se retenant pour lui sauter dans les bras. Arriva sur les talons de Sylvestre, Edgar, son propre meilleur ami, qui lui colla une tape sur l'épaule de manière très virile. Anatole leva les yeux au ciel.

« Prêts pour les Grandes Vacances ? » demanda le métisse avec enthousiasme. Anatole et Sylvestre échangèrent un regard de connivence.

« Toujours. » firent-ils d'une même voix.

« Alors c'est certain ? Je ne pourrais pas venir avant deux ou trois semaines ? » maugréa leur ami avec mauvaise humeur. Anatole lui pressa le bras.

« Effectivement. » Le Zabini-Potter leur fit sa tête de chien battu mais ils ne flanchèrent pas, bien qu'Anatole intercepte le mordillement de lèvre coupable de Sylvestre. Il coupa court aux remords de son cadet et précisa :

« Ordre parental. Nous ne pouvons rien faire. Apparemment, ils nous ont prévu une surprise... » Sylvestre s'enthousiasma immédiatement :

« D'après ce qu'ils ont bafouillé, on part en vacances tous les quatre ! » Edgar haussa un sourcil surpris.

« Dans la même maison ? » Sylvestre trépignait sur place, impatient comme jamais. Incapable de répondre sous le coup de l'excitation, il laissa Anatole se charger des détails.

« C'est ce qu'ils ont dit. » L'autre Deuxième Année croisa les bras.

« Il y a quelque chose de louche sous tout ceci. » Anatole hocha la tête et Sylvestre coupa court à leurs suspicion en se précipitant vers le hall d'entrée en hurlant :

« C'est les vacaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaances ! »


RWDM


Jamais un voyage dans le Poudlard Express ne leur avait paru si long. D'habitude, ils rechignaient souvent à quitter Edgar et l'idée d'être séparés la plupart de l'été minait le moral des deux Weasley-Malfoy. Mais cette fois, leurs deux pères attendaient, côte à côte sans pour autant se toucher, sur le célèbre quai 9 ¾ et Edgar donna un coup de coude à Sylvestre en le constatant. Le petit blond changea immédiatement d'apparence, passant des longs cheveux blonds tressés qu'il arborait la plupart du temps pour naviguer entre un roux et un blond paternels plutôt courts. A l'arrêt total du wagon, il se rua vers la sortie et faisant fi des regards étonnés alentours, se précipita dans les bras de ses pères, les serrant tous les deux contre lui. Anatole se présenta devant eux d'un pas plus mesuré, mais son petit-frère l'inclut immédiatement dans l'embrassade. Il sourit dans les cheveux de Sylvestre et quelques secondes plus tard, leur père blond se décrocha d'eux et de l'autre père pour leur adresser un sourire troublé par son regard anxieux.

« Un peu de tenue voyons ! » les sermonna-t-il faussement avant de sortir un pendentif en forme de céréale par le col de sa robe de sorcier. Ronald Weasley prit le relais pour expliquer.

« Nous allons partir par Portoloin aujourd'hui. » Il donna un coup d'œil aux mains de Draco qui tenaient l'objet en question et les deux garçons hochèrent la tête, le plus jeune tenant encore la main de son père roux dans la sienne, et dans l'autre celle de son frère. Draco fronça les sourcils pour se concentrer et quelques minutes plus tard, la chaîne qui retenait le motif champêtre s'allongea jusqu'à ce qu'ils puissent tous trois la passer autour du coup en même temps.

« Accrochez vous... » prévint Draco et un tourbillon de sons et d'images les enveloppa bientôt avant qu'ils n'atterrissent quelque part au fin fond de l'Angleterre. Tout autour d'eux s'étalait une campagne ravissante et simple, composée de champs de blé et de bois aux feuilles sombres vibrant avec enthousiasme sous un soleil pâle. La rosée glissait sur les tiges pour aller nourrir la terre et les lombrics. Sylvestre bondit en avant en apercevant sur une légère hauteur une vieille maison de caractère aux volets vert et rouge. Il laissa sa valise en plan, ce qui fit tiquer l'œil gauche de Draco mais Ron se chargea du bagage en souriant, observant son cadet qui s'arrêtait brusquement pour courser un papillon en s'éloignant de la route. Anatole, plus calme, tirait son chargement en regardant attentivement l'endroit où ils allaient passer les vacances. La route qui menait à la propriété était vieille mais praticable et bordée de fossés touffus. Elle grignotait la verdure en de larges lacets et il ne semblait pas y avoir de voisin proche, du moins, aucune habitation autre que la leur n'était perceptible à l'œil nu.

Lorsqu'ils s'approchèrent, Anatole put davantage se faire une idée de là où ils allaient vivre tous ensemble. C'était une immense parcelle rectangulaire surplombée en son centre par une maison à un étage sur un monticule. Il y avait des barrières de bois comme seules clôtures mais une allée de jeunes arbres délimitait le chemin central menant de la route à l'habitation. De part et d'autre de ce sentier poussaient librement des fleurs sauvages dans de hautes herbes. A l'arrière, la nature semblait plus domestiquée : les essences de plantes présentes n'auraient pas pu pousser d'elles mêmes ainsi réunies et pourtant on n'avait visiblement choisi de ne pas aligner les plants, laissant aux pousses une liberté de développement inattendue. Un peu en marge de la maison, il y avait un petit bâtiment en pierre de forme octogonale. De l'autre côté de la maison s'étendait un étang avec un ponton auquel était accrochée une petite barque. De plus près, on se rendait compte que bien que modeste, le domicile n'était pas sans charme. Le toit était en ardoises et les murs étaient coupés de pans de bois. Il y avait quelques marches pour accéder à l'entrée et de chaque côté de la porte rouge s'alignaient deux fenêtres assez larges. A l'étage, il y avait seulement un œil de bœuf au dessus de la porte pour séparer les quatre fenêtres en deux groupes.

Sylestre trépignait à l'entrée. Ron sourit à son cadet et passa devant pour aller ouvrir la porte à l'aide d'une imposante clé. Une fois celle-ci vaincue, Sylvestre se précipita à l'intérieur pour découvrir leur nouveau domaine. Il y avait un long couloir donnant sur une salle à manger immense et s'il était revenu en arrière, le petit garçon aurait découvert sur sa gauche une cuisine et sur sa droite une bibliothèque. Anatole sourit en l'entendant s'extasier sur ce qu'il découvrait, puis, ils le rejoignirent dans le confortable espace de canapés bruns disposés autour d'une imposante cheminée. La partie droite de la pièce faisait davantage office de salle à manger et communiquait par une arche avec la cuisine. Après avoir découvertes toutes les pièces du rez-de-chaussée, tous revinrent dans l'entrée pour emprunter un escalier mal éclairé qui conduisait à l'étage. Celui-ci était scindé en deux par un couloir comportant une porte de chaque côté : une donnant sur une salle de bain, et l'autre sur la chambre des enfants.

« On a pensé que peut être vous aimeriez être ensemble pour les vacances. » suggéra vaguement Draco. Ses fils les serrèrent dans leurs bras suite à cette déclaration et se précipitèrent pour choisir leur lit, se disputant bien évidemment sur qui éviterait celui à proximité de la porte.

Ron et Draco pour leur part atteignirent le bout du couloir l'un derrière l'autre et ouvrirent en grand la porte à double battant qui marquait l'entrée de la suite parentale. Le terme était peut être un peu ambitieux pour ce que représentait l'immense pièce, mais il s'agissait d'un veste espace meublé d'un grand lit et de tables de nuits rustiques accordées aux deux larges armoires en bois sculpté, reposant sur des tapis de peaux de vaches blanc et marron. Un angle de la pièce était dévolu à une petite salle de bain composée d'un lavabo, de sanitaires et d'une baignoire et tout un pan de mur était réservé à une opulente bibliothèque. Ron se laissa tomber sur le lit avec délices, caressant distraitement le couvre-lit crème. Draco quant à lui sortait d'une de ses poches une malle miniature à laquelle il redonna sa taille d'origine et déballa des affaires qu'il entassa proprement dans son dressing.

« Tu es certain que tu devais emporter tout cela ? » demanda le rouquin, se moquant légèrement. Draco répliqua, sérieux :

« J'avais oublié les tenues d'apparat. Qui sait ? Peut être serons-nous amenés à être invités et je ne voudrais pas que nous soyons vêtus pauvrement. » Ron leva les yeux au ciel mais sourit. Rien ne pouvait changer son humeur pour l'instant.

Quelques minutes plus tard, Sylvestre et Anatole passèrent timidement la tête par l'entrebâillement de la porte et admirèrent l'ensemble élégant qui composait les appartements de leurs parents. Ils bloquèrent visiblement sur le grand lit et Sylvestre demanda innocemment :

« Vous allez dormir ensemble ? » Ron hocha la tête en souriait vaguement et Draco se tendit.

« Allez dehors la marmaille ! Y'a toute la place pour courir dans le jardin ! Je vous ai même fait installer les balais et les balles dans la malle du salon. » Sa diversion coupa court à toute curiosité et les deux adolescents foncèrent au rez-de-chaussée. On entendit bientôt les balais siffler dans l'air matinal et Ron les observa par la fenêtre de sa chambre. Il prit la peine de les avertir de ne pas voler au-dessus du lac et bien entendu, quand il eut le dos tourné, Sylvestre en profita pour désobéir. Il regretta amèrement cette écartade lorsque Draco ne lui servit pas de dessert au repas du soir, prétextant que cela lui servirait de leçon. Le garçon se demandait parfois comment son père se débrouillait pour tout savoir, même en étant absent ou occupé ailleurs. Anatole lui souffla un discret « Sortilèges » entre deux quintes de toux qui répondit amplement à cette question existentielle.

Bien que puni, Sylvestre n'échappa pas au traditionnel thé digestif de fin de souper et ce fut l'instant choisi par Anatole pour demander :

« Est-ce qu'on reviendra passer des vacances ici ? » Ron jeta un regard à son compagnon, lui laissant la liberté de répondre ou non à ce qu'il avait lui-même convenu. Draco reposa sa tasse et s'enfonça plus confortablement dans son fauteuil en cuir.

« J'ai acheté la maison. Elle est à nous quatre. » Sylvestre regarda son père avec incrédulité. Anatole croisa les bras, satisfait de la réponse. Sylvestre demanda tout de même une confirmation plus claire :

« Donc on reviendra ? » Draco darda sur lui un œil sévère mais articula presque lentement :

« Nous serons ici tous les étés et à Noël jusqu'à votre sortie de Poudlard si c'est ce que tu demandes. » Sylvestre eut alors un immense sourire, et sans hésiter, il jaillit du canapé sur lequel il était pour s'étaler sur son père blond :

« MERCI PATI ! » Il laissa Draco qui le repoussait sans grande volonté et alla serrer Ron dans ses bras à son tour. Anatole fut moins emphatique et se contenta de sourire. Les joues roses de gêne, Draco les envoya se coucher en prétextant qu'ils ne devaient pas en profiter pour veiller tard et ils galopèrent dans les escaliers jusque dans leur chambre commune. Ron et Draco n'eurent pas le cœur à les réprimander ce soir-là en les entendant babiller et rire jusque tard dans la nuit, s'endormant probablement après eux.


RWDM


Ron fouillait dans l'un des placards du cellier situé en souterrain de la cuisine de leur grande maison de campagne. Il dénicha enfin après un long moment, le pot de peinture rouge orangée qu'il cherchait, et un pinceau à sa convenance, et emmena le tout à l'étage. Il traversa le salon, où Draco discutait par cheminette avec Hermione. Ces deux-là étaient vraiment devenus bons amis.

« Oui oui, je continue à gérer mes affaires d'ici. J'ai fait installer mes dossiers dans la rotonde au fond du jardin. J'y suis tranquille. J'ai à la fois le sentiment d'être en vacances et je peux travailler au calme. Oui bien sûr qu'ils ont essayé, mais j'ai placé une barrière pour les éloigner. Ils ne doivent pas non plus aller au bord du lac sans nous. Tu connais Ron... » Le blond se retourna à ce moment là et découvrit le regard suspicieux de son amant. Il eut un faux sourire et continua, sur un tout autre ton que précédemment : « Il est si mature et vigilant avec les enfants... » Ron plissa les yeux, pas dupe, mais battit en retraite du côté du couloir pour sortir dans la cour devant l'entrée. Il entendit tout de même l'ex-serpentard rire avec complicité avec Hermione suite à son départ et il ne douta pas un instant qu'ils se moquent de sa tendance à craquer face aux yeux larmoyants de ses fils. Pour avoir pratiqué sans succès cette technique auprès de sa mère, Ron était un poil admiratif de Sylvestre et Anatole pour y parvenir si aisément.

Dévalant le chemin menant au portail, Ron sifflota gaiement un air moldu à la mode et posa son pot de peinture dans l'herbe. La veille, il avait planté à coups de masse un écriteau en bois clair à l'entrée de leur propriété. Selon lui, une maison en était véritablement une lorsqu'elle portait un nom. Que seraient les Weasley sans le Terrier ? Rien. Que seraient les Malfoy sans le Manoir ? Pas grand chose non plus... Il se mordit la lèvre pensivement, se demandant si le nom qu'il avait choisi était vraiment celui qui convenait. Il hésita un peu puis, en tremblant légèrement, il inscrivit en lettres penchées : Les Blés. Il recula pour admirer son œuvre et grimaça en constatant que la peinture sous les « s » coulait un peu. Puis, il regarda autour de lui. Il voyait les garçons se passer le souaffle en riant à une dizaine de mètres au-dessus du jardin anglais. Puis, au-delà de leur asile de civilisation, il y avait les champs. Des hectares et des hectares d'or doré. Un raclement de gorge le fit sursauter. Draco avait dû raccrocher à un moment où à un autre. Il jaugeait avec sévérité l'écriteau peinturluré. Ron pâlit. Son amant n'avait pas franchement été séduit par l'idée du nom. Selon lui, c'était une perte de temps inutile. Le vert-et-argent resta perplexe face à la pancarte pendant de longues secondes, puis, levant son regard clair, il s'intéressa lui aussi à leur environnement. Il scruta chaque détail du panorama ensoleillé qui les entourait, puis, après une moue concentrée, il prit le pinceau des mains de Ron pour s'accroupir devant la planche de bois. Il restait encore beaucoup de place sur l'écriteau. D'un mouvement souple et certain, Draco traça en lettres élégantes et rondes « et les Coquelicots. ».

Ron fronça les sourcils en fixant la mer de céréales devant lui et distingua alors les piqûres de fleurs écarlates qui se mêlaient spontanément aux cultures. Un sourire s'étala sur son visage alors que Draco remontait l'allée de peupliers argentés, la main gauche rouge-orangée.


FIN DE LA FANFICTION


Note d'Excuse : Je devais poster le 30 Juillet 2014 cet Épilogue et nous sommes le 1er Septembre et le voilà seulement. J'ai un mois de retard. Je vous prie de m'excuser de cet intolérable retard qui a pour source plusieurs facteurs que je me dois de vous développer.

Premièrement, j'ai dû faire face à des changements fondamentaux dans ma vie personnelle qui m'ont éloignée des considérations fictives pendant un certain temps, histoire que je réorganise ma vie comme je la voulais.

Ensuite, je dois avouer que je pensais écrire très rapidement l'Épilogue puisque je l'avais en tête dans son intégralité et plutôt précisément mais j'ai vraiment eu du mal avec certaines scènes qui passées par écrit ne rendaient pas ce que j'avais prévu initialement.

Mais ce n'est pas tout. En effet, j'ai eu de soudaines idées lumineuses pour le pairing inédit annoncé que j'ai pu achever et qui est en correction actuellement. Du coup, je suis un peu sortie de l'ambiance des Blés' et c'était pas facile de m'y remettre.

Enfin, je dois vous avouer que j'ai eu une redoutable chute de motivation au vu des non-réactions quant aux deux derniers chapitres qui étaient des passages essentiels pour moi et qui n'ont pas eu l'air de vous toucher. Alors attention, je ne reporte pas la faute sur le lecteur. En tant qu'auteur, je suis sensée pouvoir surmonter une baisse peut être exceptionnelle de fréquentation du site de fanfic et aller de l'avant. Seulement, aller de l'avant et être certain de ce qu'on écrit n'est pas facile quand on n'a pas de retour du lectorat. J'aimerais vraiment savoir ce qui vous plaît ou vous déplaît dans cette histoire afin de m'améliorer et de savoir quoi cibler pour mes prochaines fictions.

Tout cela pour vous dire que je suis sincèrement mécontente de moi d'avoir posté si tard mais en espérant que ce chapitre vous aura quand même séduit et qu'il conclut bien cette aventure temporelle.


Note de Fin :

-Cet Épilogue est clairement moins long que les chapitres des Blés', surtout les derniers. Il y a une raison. Je voulais finir sur une note plus légère d'une part, et je voulais renouer avec l'esprit concis du Prologue qui est extrêmement court.

-J'avais parlé dans le dernier chapitre de la Couverture des Blés'. Alors voilà, je vous explique, si je savais mieux dessiner (ou si quelqu'un me le dessine) la couverture des Blés serait une vue du panneau portant le nom de la maison avec en fond le domaine et probablement la main de Draco avec le pinceau. Et donc, cette scène du panneau, je l'ai en tête depuis que j'ai attaqué d'écrire la fic, donc je savais globalement où j'allais même si certaines choses se sont intercalées entre temps.

-Il y a, vous l'aurez probablement remarqué, quelques incohérences dans le déroulement des événements (surtout en lien avec le long Bonus sur Harry et Blaise). Je vais m'attacher à rectifier cela une fois les Bonus postés. Et je vous préviendrai via mon facebook et mon profil lorsque j'aurais corrigé l'ensemble.

-Il est probable qu'après correction je fasse un ebook (en pdf et en epub) de cette fanfiction dans son intégralité et ceux qui voudront la récupérer pourront me la demander par mp.

-Je rappelle que je réponds aux reviews par mp pour ceux qui ont un compte et sur mon profil pour les anonymes.


Remerciements : Je tiens à remercier tous les reviewers qui n'ont pas lâché l'affaire et ont fourni l'effort de reviews développées et curieuses qui m'ont permis d'avancer et m'ont fait énormément plaisir.

Je tiens également à remercier tous ceux qui ont mis Les Blés' en Favoris (ça a bien permis de faire connaître la fic) et également ceux qui l'ont suivi de manière silencieuse, en espérant qu'elle leur a plu (peut être est-ce le moment de vous manifester).


Actualité :

-Pour ceux que ça intéresserait, je précise que ce n'est pas la fin des aventures de Ron et Draco pour moi puisque j'ai plusieurs fics sur eux à venir, dont deux principales qui seront composées de plusieurs chapitres (l'une probablement aussi longue que Les Blés' et l'autre en 10 chapitres). Et puis des OS, toujours des OS...

-De plus, j'ai pleeeeeein d'OS en préparation et de fics plus longues sur des pairings peu courants (arrivée imminente du Pairing Inédit), j'espère que tout cela vous plaira:D

-5 personnes m'ont lancé des Défis (les défis sont ainsi provisoirement clos jusqu'à publication des cinq mentionnés) qui seront écrits et postés dès que possible, ce seront des OS qui ne dépasseront pas les 15-20 pages de traitement de texte normalement.

-L'OS 3 des Corps Fous à Lier est en correction, il devrait arriver sous peu.


En espérant vous retrouver sur d'autres fics ou au plaisir de vous lire:D