Bonjour à toutes ! Et bien voilà, nous y sommes... le dernier chapitre de What E'er Therein is Promised. Mais, je ne compte pas m'arrêter en si bon chemin, dès que j'ai son accord, je me mettrai à la traduction des autres fics de deeble ^^
Je voulais vous remercier de tout cœur d'avoir partager cette aventure avec moi mais aussi d'avoir lu, reviewé, mis dans vos favoris ma toute première traduction ^^ J'ai beaucoup hésité avant de publier, mais toutes vos réactions positives et vos encouragements et ce, dès le premier chapitre, m'ont vite fait oublier mes hésitations ! Donc merci, merci, merci beaucoup à vous toutes...
J'aimerais aussi remercier Deeble d'avoir écrit cette formidable histoire et surtout pour m'avoir donné son accord pour la traduction. J'espère lui avoir fait honneur avec mon travail de néophyte ^^
Et pour finir, un tout grand merci à Aësälys et à Sockscranberries pour avoir été (sans aucun doute) les meilleures bêtas !
Je ressors ravie de cette expérience et avec en prime, tout un tas de nouvelles copines et de belles rencontres à mon actif !
Réponses aux reviews anonymes :
kiotory :Merci beaucoup! C'est ce genre de reviews qui donnent encore plus envie de partager et de persévérer dans les traductions (et même si c'est beaucoup de boulot, elles mettent du baume aux coeur! )
Etoile Solitaire : Salut ^^ Merci ! Et bien, voilà, c'est le dernier... tu sais ce qu'il te reste à faire : retour au premier XD Pour te répondre, et bien oui, je compte en traduire d'autres d'ici peu ^^ A bientôt alors et merci ! ^^
Hotohori Saizo : Je t'avoue que moi aussi je suis un triste de voir arriver ce dernier chapitre... mais j'attaque très vite de nouveaux trucs et dans ce que je prévoie de traduire, il y a une mini-fic en rapport direct avec What E'er ^^ Merci encore et à bientôt.
A présent, bonne lecture...
Épilogue : A jamais.
Severus Rogue était et serait toujours un homme égoïste; pas même l'amour n'avait pu changer cette réalité des faits. Il se disputait avec Hermione le matin avant même d'avoir pris sa tasse de thé amer et fort. Il prenait beaucoup de plaisir à se chamailler à propos de petites choses: savoir de qui c'était le tour de traverser la rue jusque chez Mme Jigger afin d'acheter plus d'asphodèle, par exemple. Occasionnellement, il lui arrivait d'être d'humeur encore plus maussade à cause de ce qu'il percevait comme sa dépendance et s'en allait bouder dans la Forêt Interdite.
Mais il était, paradoxalement, un compagnon attentionné. Il semblait savoir exactement quand elle avait passé trop de temps sur les potions, et savait la presser à quitter la cave avec un puissant mélange de menaces et d'insultes. Il lui trouvait de nouveaux livres à lire qui l'intéressait et beaucoup n'avaient rien à voir avec l'alchimie. Et une fois qu'il eut établi que ne serait pas horriblement désagréable, il rendit des visites régulières à ses parents - Quoiqu'il ait mis des limites pour n'importe lequel de ses amis excepté Pénélope et même pour le professeur de Sortilèges, ce ne fut pas plus d'une fois de temps en temps.
Quand Hermione le taquinait en lui disant qu'il devenait de moins en moins Serpentard en vieillissant, il répondait que puisque son bien-être était devenu si inextricablement lié à la sorcière grande gueule et belliqueuse qu'elle était, après tout, il se devait dans son propre intérêt de prendre soin d'elle.
Et ainsi c'est lui qui remarqua qu'elle sombrait peu à peu dans l'ennui, peu avant son trente-quatrième anniversaire, et encore lui qui - bien que par un accidentel sarcasme - suggéra la solution.
ooOOoo
Elle se tenait dans la cave, regardant les ingrédients plonger dans deux douzaines de chaudrons et fronçant les sourcils devant la procédure sans faille.
Elle travaillait sur cette procédure depuis maintenant une semaine.
«Il est heureux que l'humeur du sorcier qui brasse n'affecte pas le Filtre de Paix,» dit Severus, jetant un rapide coup d'œil sur une récente et coûteuse commande de cervelles de grenouilles alors qu'elle faisait le tour des chaudrons avec sa louche d'un air contrarié. «Je ne peux imaginer qu'un Filtre de Discorde serait bien reçu.»
«Vraiment?» Dit-elle, maussade, terminant son tour et retournant à la paillasse. «Tu veux me faire croire que tu n'en a jamais bu toutes ces années?»
«Hmmm. Peut-être que je devrais te lancer un Sortilège de Mutisme.»
«Oh, va au diable.»
Il soupira théâtralement. «De toute évidence, quelque chose cloche. Comme je ne vois rien d'anormal avec ceci » - il agita une main dans la direction de ses chaudrons - « le problème, par élimination, doit être ici», dit-il, se penchant au dessus de la table pour lui tapoter le front du doigt.
«Le fait que je n'arbore pas un sourire niais -»
«Allons, allons,» dit-il, lui tendant une cervelle de grenouille, «il y a un monde de différence entre ta moue de concentration et celle de frustration.»
Elle voulut le gratifier d'un regard irrité mais décida qu'il était inutile de le punir juste parce qu'il la connaissait trop bien.
«Je ne suis pas sûre de ce qui ne va pas», dit-elle lentement, examinant les potions qui à présent bouillonnaient et essayant de mettre le doigt sur le problème. «Tout va si bien - il n'y a pas un apothicaire dans toute l'Europe qui n'ait jamais fait appel à nous, les sortilèges tiennent bien et les exhausteurs également» - ils avaient travaillé dessus ensemble six mois plus tôt, doublant la taille de la cave - «et Kirkick a envoyé un hibou pendant que tu étais sorti, promettant de publier nos deux articles le mois prochain.»
«Ah,» répondit-il doucement.
«'Ah' quoi?» Dit-elle, relevant le menton dans un geste de défi.
«Bien sûr, tu n'es pas satisfaite. C'est trop facile pour quelqu'un qui aime la complication de manière compulsive.»
«Le fait que j'aime relever les défis ne signifie pas que je sois compulsive !»
«Tu as besoin de relever des défis», dit-il, un sourire en coin.
Elle revint sur sa précédente décision et lui lança un regard noir. Puis il lui revint en mémoire que l'évidente raison pour laquelle elle avait signé son contrat d'apprentissage, une dizaine d'années auparavant était qu'elle avait désespérément eut besoin de quelque chose de nouveau et de passionnant dans sa vie.
«Ce n'est pas bien d'utiliser la Légilimencie sur moi pendant que je dors», murmura-t-elle.
«Madame, vous m'insultez. Je préfère également les défis, et rien ne se compare à celui de vous sonder la manière forte.»
«Eh bien - es-tu ennuyé par tout cela?» dit-elle en désignant le sous-sol.
«Non. Mais peut-être que j'aime la recherche sur les potions plus que toi - ainsi que toute la procédure de fabrication, je prends à cœur de faire les manipulations de façon traditionnelle. Si tu te souviens, je n'ai jamais été tenté par l'idée des Sortilèges d'Encordage.»
«Cela semble être du gaspillage de ne pas en profiter,» dit-elle, étouffant un soupir. «Mais je pète les plombs: plus un seul nouveau client sur ce continent et je ne pense pas avoir envie d'aller en chercher ailleurs - ces transplanages multiples me rendent malade et je ne peux pas imaginer un vol transatlantique en balai.»
«Ah, le problème est résolu dans ce cas: Invente une nouvelle forme de transport», suggéra-t-il, impassible, seules ses lèvres légèrement relevées le trahirent. «Cela devrait te tenir occupée pendant les prochains mois.»
Elle roula des yeux, et ensuite ajouta d'un air pensif: «J'avais inventé la production en masse dans l'unique intention de vendre aux Moldus, tu sais. Même en additionnant chaque sorcière et sorcier du monde, nous ne sommes pas encore assez nombreux pour peupler la moitié de Londres. Ça me paraît honteux -»
«Hermione,» dit-il, fronçant lui aussi les sourcils à présent et croisant les bras.
«Mais il y en a tant ! Et réfléchis,» ajouta-t-elle, s'enflammant sur le sujet, dans l'état actuel des choses, de l'argent magique s'échappe inévitablement dans le reste du monde chaque année, changé en livres ou en euros ou en yens par Gringotts, et la seule fois que cela arrive dans le sens inverse, c'est quand les enfants de Moldus viennent acheter leurs manuels scolaires et leurs uniformes. Nous avons obtenu un déséquilibre commercial en faveur des Moldus, et ça ne doit pas être une fatalité.»
«Il y a une excellente raison pour que cela le soit» dit-il sèchement.
«Je suis persuadée qu'avec le temps, nous pourrions trouver un moyen de garantir le secret sur la société magique,» dit-elle, appuyant ses doigts sur la table de laboratoire, et n'osant pas le regarder dans les yeux.
«Et t'attirer les foudres de l'ensemble de la société sorcière?»
«Eh bien, oui, cela devrait passer en premier, n'est-ce pas? Tu as absolument raison depuis toujours, je ne peux pas constamment courir après le lièvre, mettant tout le monde en danger. Je suppose que je ferais mieux de faire des recherches sur la procédure d'agrément - J'ai lu pas mal de choses sur les amendements politiques magiques quand je tentais de libérer les elfes de maison, mais ce serait probablement un peu plus complexe -»
«Pas du tout», dit-il, se redressant de toute sa hauteur et la regardant par-dessus son nez crochu. «Un jeu d'enfant. Tu auras seulement besoin de changer les lois interdisant les nés-moldus dans le Magenmagot, pour ne pas mentionner celles interdisant toute personne de moins de soixante ans; te faire élire, ce qui te donnera le pouvoir pour mettre en avant des propositions de loi; convaincre au moins la moitié du Ministère c'est-à-dire quarante-neuf membres très conservateurs que ton programme est une bonne idée, et puis présenter la recommandation officielle au ministre, en espérant bien sûr qu'il la signera plutôt que de sortir sa baguette et de la réduire en poussière.»
«Je pense plutôt me présenter comme Ministre alors,» dit-elle en souriant. «Puisque quoiqu'il arrive je dois convaincre le Magenmagot, je pourrais tout aussi bien le faire à partir d'une position de force.»
Il resta bouche bée.
«Et bien, ça devrait me tenir occupée pendant les prochains mois», ajouta-t-elle gaiement et elle se dirigea en sautillant vers l'escalier.
«Oh, non,» murmura-t-il sur un ton menaçant, attrapant son poignet et le tordant pour la retenir. «Tu n'iras nulle part.»
«Severus -»
«Commence ta campagne cet après-midi, si ça te chante, mais il y a un défi plus ... urgent qui nécessite ton attention en premier lieu.»
«Foutu pervers,» le taquina-elle, accrochant ses bras autour de son cou. «Toujours excité par une dispute.»
«Pourquoi penses-tu que je t'ai épousé?» Grogna-t-il en manœuvrant vers l'arrière en direction de la table de laboratoire et inclinant son visage vers le sien.
«Mmmph-mmph - Mmmph-mmph»
«Mais je préfère que tu ne râles pas pendant que je suis en train de t'embrasser», ajouta-t-il en la libérant.
«Les cervelles de grenouille!»
«Oh, très bien,» râla-t-il, ainsi, expédier les ingrédients dans leurs flacons, renvoyer les flacons dans le stock et lancer un sortilège pour nettoyer la table ne fut l'affaire que de dix secondes.
Elle se laissa soulever sur la surface lisse et propre avec une simple protestation symbolique. «Il y a un très bon lit juste à l'étage, tu sais.»
«Beaucoup, Beaucoup trop loin», dit-il, lui lançant un sourire carnassier alors qu'il remontait sa jupe jusqu'aux chevilles.
«Par Merlin -» Mais il choisit ce moment pour simultanément abaisser sa bouche sur son cou et insinuer ses doigts dans sa culotte, ce qui eut le dont de faire définitivement taire ses protestations. «Bon, je ... oh! ... prends en compte tes arguments.»
Elle tâtonna pour défaire les boutons de son pantalon afin qu'il n'ait pas besoin d'arrêter de faire ce qu'il faisait - honnêtement, quel est le problème avec les fermetures éclair ?- et ensuite poussa le tout vers le bas avec ses orteils, pantalon et tout.
Il glissa un bras autour d'elle pour la soutenir pendant qu'elle lui retirait sa chemise en toute hâte. Au moment où elle mit ses mains sur la peau nue, dans un murmure rauque, il dit: «Je ne prendrai plus jamais, jamais ta participation volontaire pour acquise.»
Oh, Severus.
Elle ne pouvait pas oublier, bien sûr, mais elle lui avait pardonné, davantage d'année en année. Les yeux de l'amour ont tendance à prendre du recul sur les faits malheureux - ou à les surmonter, peut-être que c'était ça - et elle avait depuis longtemps fait la paix avec ce qu'il lui avait, surtout à la lumière de ce qu'il avait essayé de faire pour expier.
A présent, quand il l'incitait au sexe, elle ressentait une bouffée enivrante d'envie mêlée à une joie intense qu'ils en arrivent à ce moment, ce moment où elle ne ressentait que du plaisir et où il se sentait suffisamment à l'aise pour prendre la tête à nouveau. Elle était devenue relativement habituée à faire le premier pas; Il s'était écoulé deux années après qu'elle soit revenue auprès de lui avant qu'il n'ose le demander, et encore moins lui proposer.
Parfois, elle se demandait ce qu'il se serait passé s'ils s'étaient retrouvés progressivement, naturellement, ensemble au lit, poussés par une attraction mutuelle plutôt que par son seul désir et son avantage sur elle. L'en aurait-elle aimé plus? Se serait-il moins haït?
Mais à quoi bon ces divagations? Il la rendait heureuse, et contre toute attente, elle était certaine qu'il dirait la même chose qu'elle.
Inclinant son visage vers le sien, elle leur donna à tous deux autre chose à quoi penser.
Quand ils retombèrent sur la table, haletant, environ une vingtaine de minutes plus tard, sa jupe était déchirée à plusieurs endroits là où elle s'était prise dans des échardes de bois et il avait encore son pantalon emmêlé autour de ses bottes.
Glorieux.
«Eh bien?» demanda-t-il un peu sévèrement, se déplaçant afin qu'elle puisse utiliser son épaule comme oreiller.
«Exceptionnel, comme toujours,» dit-elle, le caressant tendrement, habituée à son besoin d'être rassuré sur ce qu'elle avait ressenti.
Elle se tourna pour jeter un coup d'œil à l'horloge, notant avec un petit sourire que l'aiguille "Severus" marquait "Aussi heureux qu'il peut l'être", et estima qu'il s'agissait probablement du moment idéal pour continuer la conversation qu'il avait interrompue.
«Que penses-tu du fait que je veuille aller de l'avant et me présenter comme ministre?»
«Mais fais, je t'en prie», renifla-t-il.
«Ça ne te dérange vraiment pas si je tente de faire changer la loi?»
«J'étais très contrarié quand tu as tenté de contourner la loi,» murmura-t-il sans réelle agressivité, «mais si tu parviens à gagner le soutien du Ministère, ce qui signifie par définition que tu auras également à travailler avec un simple d'esprit pour trouver une façon appropriée d'assurer le secret.»
«Merci,» dit-elle doucement, touchée précisément parce qu'elle savait que c'était un sujet délicat pour tout sang-pur, et plus encore pour lui.
«Oui, et bien,» dit-il, se rapprochant d'elle d'un subtil mouvement d'épaule, «rappelle-toi que tes chances d'y parvenir sont à peu près aussi élevées que mes chances d'être accueilli à bras ouverts par la société magique.»
«Peut-être que l'un viendra avec l'autre. Peut-être que je pourrais -»
«En proposant un décret ministériel?» Dit-il sèchement. «Déclarer qu'Août serait 'Le Mois Severus Rogue' ?»
«En te mettant en charge de la Section des Potions Moldues,» finit-elle en lui mettant une petite tape. «Bien qu'apparemment tu ne sois pas assez sérieux pour le travail.»
Il rit silencieusement dans ses cheveux.
«Severus ...» dit-elle après quelques secondes de silence. «Je pensais vraiment que nous aurions fait plus de progrès sur ta réhabilitation à ce jour.»
«Ce n'est pas le cas,» dit-il amèrement.
«Es-tu très déçu?»
Il se tut si longtemps qu'elle pensa qu'il ne l'avait pas entendue. Puis il repoussa les boucles de cheveux derrière son oreille droite et y murmura:
«Honni de la Fortune, autant des hommes,
Je pleure, seul, mon destin de paria,
Le Ciel est sourd, en vain je l'importune
Je comprends qui je suis, je maudis mon sort
Et envie ceux qui ont quelque espérance
J'en voudrais les amis ou l'entregent,
J'en rêve le talent. Je ne dédaigne
Que ce qui est déjà de mon pouvoir. Et pourtant ! L'alouette au point du jour
Dénie la terre sombre ; et même dans l'état
Où je suis, ce mépris, presque, que j'ai de moi,
Mon chant de toi monte aux portes du riche, à me savoir aimé de toi,
Que j'en mépriserais le sort même des rois.»
«Shakespeare?» Devina-t-elle, glissant une main dans la sienne.
«En effet.»
«Tu ne réciteras plus jamais Faust.»
«Ma chère Lady Dédain,» dit-il, «vous l'avez rendu hors de propos.»
ooOOoo
Note de Socks : Ooooh je suis triste que ce soit déjà terminé. Enfin déjà… Ça fait déjà un moment, mais j'ai l'impression que c'était il y a une semaine que j'ai commencé à la bêtaiser… Que le temps passe vite !
Sinon, je remercie encore une fois Sevy4 pour son magnifique et chouette travail de traduction ! Merci de nous faire découvrir (à nous, pauvres petits ignorants de la langue de Shakespeare ^^) de si belles fic :D
Note d'Ae : Bon, contente d'avoir été ici sur la plus grande partie de la fic. Sev4 a fait un super travail ^^ Je tire les langues aux méchantes qui lui ont dit (il me semble que c'était ça la formule) « vu qui tu as choisi comme patronage ça ne peut être que mauvais ». 1. Deeble est géniale, 2. Sev4 au moins autant, sinon plus ^^ 3. Juger Sev4 sur sa trad parce qu'on n'aime pas les miennes, c'est… Du racisme fanficeur. Na. 4. Bien vengée, Sev4, cette idiote et toutes celles qui ont fait pareil à cause de mes propres publications profiteront pas de cette fic géniale ^^
Merci d'être ma bêta, merci de me laisser être la tienne ^^
Sev4 ? Une note de fin de ta part ? steuplééééé
Note de Sevy4eveR : MERCIIII ! les filles pour toutes ces gentillesses. J'ai été ravie de faire équipe avec vous tout au long de ces mois! Merci Aë pour ces gentils compliments et j'en profite pour rappeler à tout le monde que c'est ton excellent travail (comme auteur et traductrice) qui m'a donné envie de faire de même et j'ajoute également que toutes celles qui ont gratuitement et sans fondement critiquer tes fics et notre 'partenariat' aillent se faire *biiiiip* et aillent voir ailleurs si nous y sommes ^^
Vous avez été de super bêtas et j'ai hâte qu'on remette le couvert ^^
Notes originales de l'auteur :
1. Et voici - bel et bien - la fin. Au cas où quelqu'un se poserait la question, la première version de cette histoire (NdT : que je vais bientôt traduire ^^) était herminée avant que les derniers chapitres de "Chaos Come Again" aient été publiés, donc ma fin n'est pas une réaction à la sienne. En fait, je voulais à l'origine que ce soit une courte histoire dans laquelle Rogue obtient ce qu'il mérite pour être tombé amoureux d'une Hermione qui se réjouit de ne plus jamais le voir une fois le contrat arrivé à expiration, les personnages ne collaient pas vraiment avec mes plans, et j'ai fini par céder, tout en reconnaissant qu'il serait beaucoup plus difficile de voir si elle pouvait raisonnablement lui pardonner pour ce qu'il avait fait et si il pouvait raisonnablement se transformer en une personne à qui elle pourrait donner son cœur. (J'espère que cela semble crédible.) Je ne suis pas tellement une adepte des fins heureuses dans le sens traditionnel mais je suis pour les fins qui laissent voir une note d'espoir.
2. «Honni de la Fortune, autant des hommes, » est tiré du milieu du Sonnet 29 de Shakespeare.
3. NdT : Dans ce troisième point, Deeble remercie ses bêtas ainsi que tous ceux qui ont aidé dans la rédaction de la fic, je vous passe la longue liste de noms qui nous sont inconnus ^^
4. Je vous remercie particulièrement vous tous, chers lecteurs. Les reviews m'ont parfois effrayée et souvent enchantée, pas seulement parce qu'elles étaient nombreuses mais surtout parce qu'elles étaient si stimulantes. Cette fiction a tenu sa promesse, je crois, qu'on l'aime ou pas: une connexion entre auteur et lecteur. Certains d'entre vous ont dit que j'avais eu un effet sur eux, ainsi je pense pouvoir dire que vous avez eu un effet sur moi - ou au moins dire sur "What E'er Therein Is Promised," serait plus pertinent . Ceci n'est pas l'histoire exacte que j'avais prévue quand j'ai posté le premier chapitre. Je n'ai pas changé l'intrigue, mais j'ai ajouté de nouvelles scènes, réorganisé d'autres et fait beaucoup plus de bricolage que ce que j'en ai l'habitude à la fin, je suis habitué à faire ce genre de trucs en fin de 'match'. Je crois que j'ai amélioré l'histoire suite de vos questions, réflexions et débats, je vous en remercie. Merci d'avoir lu, je vous remercie pour les reviews et je vous remercie de m'avoir laissé entrer dans votre vie, tous les jours, pendant les deux derniers mois.
Et pour la dernière fois, voici les annotations rigolotes d'Aë et Socks :
Il lui trouvait de nouveaux livres à lire qui l'intéressait et beaucoup n'avaient rien à voir avec l'alchimie. (lol ^^)
«De toute évidence, quelque chose cloche. Comme je ne vois rien d'anormal avec ceci » - il agita une main dans la direction de ses chaudrons - « le problème, par élimination, doit être ici», dit-il, se penchant au dessus de la table pour lui tapoter le front du doigt. (Ah ben il la connaît bien quand même ^^)
«Bien sûr, tu n'es pas satisfaite. C'est trop facile pour quelqu'un qui aime la complication de manière compulsive.» (Il la connaît vraiment trop bien !) Sev4 : N'est-ce pas ? ^^
«Mais je pète les plombs: plus un seul nouveau client sur ce continent et je ne pense pas avoir envie d'aller en chercher ailleurs - ces transplanages multiples me rendent malade et je ne peux pas imaginer un vol transatlantique en balai.» (Quelle idée aussi !)
Tu auras seulement besoin de changer les lois interdisant les nés-moldus dans le Magenmagot, pour ne pas mentionner celles interdisant toute personne de moins de soixante ans; te faire nommer, ce qui te donnera le pouvoir pour mettre en avant des propositions de loi; convaincre au moins la moitié du Ministère c'est-à-dire quarante-neuf membres très conservateurs que ton programme est une bonne idée, et puis présenter la recommandation officielle au ministre, en espérant bien sûr qu'il la signera plutôt que de sortir sa baguette et de la réduire en poussière.» (En effet, rien de plus simple !)
«Puisque quoiqu'il arrive je dois convaincre le Magenmagot, je pourrais tout aussi bien le faire à partir d'une position de force.» (Carrément !)
«Commence ta campagne cet après-midi, si ça te chante, mais il y a un défi plus ... urgent qui nécessite ton attention en premier lieu.» (Owiii)
«Mais je préfère que tu ne râles pas pendant que je suis en train de t'embrasser», ajouta-t-il en la libérant. XD je les adore ^^ Sev4 : moi itou ^^
Elle se laissa soulever sur la surface lisse et propre avec une simple protestation symbolique. «Il y a un très bon lit juste à l'étage, tu sais.» (Oui mais c'est moins marrant.)
«Beaucoup, Beaucoup trop loin», dit-il, lui lançant un sourire carnassier alors qu'il remontait sa jupe jusqu'aux chevilles.
«Bon, je ... oh! ... prends en compte tes arguments.» (En même temps, elle n'a pas trop le choix non plus ^^) Sev4 : faut bien avouer qu'il s'agit là d'arguments plutôt percutants ^^
L'en aurait-elle aimé plus? Se serait-il moins haït? Sev4 : Faut toujours qu'elle réfléchisse de trop notre Hermione...
Glorieux. C'est le mot ^^
«Exceptionnel, comme toujours,» dit-elle, le caressant tendrement, habituée à son besoin d'être rassuré sur ce qu'elle avait ressentit. (C'est bien masculin ça ^^)
«Déclarer qu'Août serait 'Le Mois Severus Rogue' ?» (Quelle bonne idée ! :p)