Bonjour ! Bonsoir tout le monde ! J'espère que vous allez tous bien !

Ceci est ma première fanfiction alors je ne vous promet rien. Surtout en ce qui concerne les fautes d'orthographes. Il y en aura tellement que vous aurez soit envie de vous suicider soit de me trucider…Je préférais éviter l'option deux alors que dites-vous de l'option 3 ? Un monde où nous serons tous vivant ?

En tout cas, j'espère que vous allez aimer.
Sur ce bonne lecture ! ^_^

Synopsis: Sawada Tamaki, Sawada Tsunayoshi et Sawada Ieyasu prétendant au titre de Vongola Decimo. Qui d'entre eux deviendra Vongola Decimo? Un, une personne qui a la gentillesse de Primo qu'on dirait une personne parfaite mais nous le savons tous que personne n'est parfait. Deux, le physique de Primo mais aucune qualité sauf la maladresse, si on peut appeler ça une qualité. Trois, le charme de Primo mais un caractère pourri. Ça, c'est le travail de Reborn de les former et de savoir qui d'entre eux deviendra Decimo.


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Chapitre 1 :

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Aujourd'hui, un homme allait demander la main de la femme qu'il aimait.

Avec ce magnifique décor, il espérait qu'elle ne refuse pas. Au sommet d'une montagne avec le soleil qui se couchait à l'horizon, elle ne pouvait pas refuser. De plus, il n'y avait qu'eux sur la place. Il avait tout planifié.

« Nana. » dit un jeune homme blond en posant un genoux par terre avant de sortir un petite boite noir.

« Oh mon dieu ! Iemitsu ! » s'étonna la jeune femme en couvrant sa bouche de surprise. Elle sentait les larmes venir.

« Hum. » Il lui fit un petit sourire avant d'ouvrir la petite boite révélant une bague avec un diamant dessus « Veux-tu m'épouser et faire de moi l'homme le plus heureux ? »

« Oh oui ! Bien sûr que oui ! » s'exclama-t-elle avant de se jeter dans ses bras, prenant son futur-mari de surprise.

« Hahaha » dit-il en la rattrapant « Je suis content. »

« Moi aussi. »

« Vraiment, j'ai cru pendant un moment que tu n'allais pas accepter. » expliqua Iemitsu avec un doux sourire en regardant le sol.

« Hahaha, idiot. » dit-elle en lui donnant un petit coup à l'épaule.

« Itaï. »

« Bien fait pour toi. Mais merci.»

« Pour ? »

« Pour avoir réalisé ma demande en mariage de rêve. Je ne pouvais pas demander de mieux. »

« Hahaha. » rigola nerveusement Iemitsu gêné des paroles de sa future femme. Sa femme, il aimait ce mot.

«Tu as réalisé mon rêve d'enfant. Être demandé en mariage par l'homme que j'aime, au sommet d'une montagne avec le soleil qui se couche. Je ne pouvais pas rêvé de mieux. Tu as dépassé mes attentes. »

« Nana. »

« Oui ? »

« Je t'aime. » dit-il en rapprochant son visage vers celui de sa dulcinée.

« Je t'aime aussi anata~~~ » dit-elle en se rapprochant aussi.

« Anata. J'aime ce mot. Anata~~~ »

« Hahaha. »

« Nana. »

« Hm ? » dit-elle en se rapprochant encore plus. Leurs nez se touchaient presque.

« Je vais faire de toi la femme la plus heureuse au monde. » Ils n'y avait plus que quelques centimètres qui les séparer.

« Je suis déjà la femme la plus heureuse au monde. » déclara-t-elle avant d'embrasser l'homme de sa vie, l'homme qu'elle va épouser, l'homme qui sera le père de ses enfants, l'homme qui a fait de ses rêves une réalité…et l'homme qui les briseras en créant un grand fossé entre elle et ses bébés.

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Taxi

« Iemitsu ! Vi-vite ! Hôpital ! »

« Nana ! Dépêchez vous ! » cria Iemitsu au chauffeur de taxi.

« J-j-je… » commença-t-elle en sanglotant.

« Ça va aller ma chérie. » dit-il en lui serrant la main tout en essuyant la sueur sur son front.

« Ça fait mal. »

« Je sais. »

« Non, tu ne sais pas ! T'es pas une femme ! C'est pas toi qui les a porté dans ton ventre ! Et c'est pas toi qui va accoucher ! Imbécile ! » s'énerva-t-elle d'un coup.

« Je t'aime Nana. Alors ça va aller. Tu es une femme forte. » Il voulait pas contrarier sa femme encore plus.

« Arr- AAAHHHH ! »

« Nana ! » Il tourna son attention vers le siège avant « Qu'est-ce que vous faîtes ?! Ma femme va bientôt avancer donc dépêchez-vous ! »

« Je suis désolé mais je ne peux rien faire ! C'est les bouchons ! »

« Tu es chauffeur alors fais un truc ! »

« Je - »

« AAAHHHH ! Mon ventre…j'ai mal au ventre. »

« Ma puce. Tout va bien se passer. Tout ira bien. Je vais te protéger. »

« Je…j'en. » elle commença à voir flou.

« Nana ! NANA ! Nana reste avec moi ! »

« Iem… »

« NANA ! » hurla-t-il à en perdre la voix en voyant sa femme s'évanouir. « Toi ! C'est de ta faute tout ça ! Je vais -»

« UN DOCTEUR ! » hurla le chauffeur « IL Y A UNE FEMME ENCEINTE ÉVANOUIE DANS MA VOITURE ! S'IL VOUS PLAÎT LAISSER NOUS PASSER ! »

« Oh mon dieu ! »

« Il fallait le dire plus tôt ! »

« Vite ! Laisser passer la voiture ! Le taxi ! »

« Merci ! »

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Hôpital

« C'est ma femme ! »

« Monsieur on sait ! Ne vous inquiétez pas pour ça ! On est médecins et c'est notre boulot de sauver des vies ! »

« Vous avez in- »

« Vous allez pas me dire comment faire mon boulot putain ?! Si vous voulez qu'on la sauve laissez nous faire ou bien elle va mourrir par votre faute ! »

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« Nana. Nana, tu m'entends ma chérie ? »

« Anata ? » répondit la femme avec une la voix sèche.

« Oui. C'est moi. » L'homme se leva pour lui donner de l'eau avant de se rassoir. Il prit sa main pour lui faire des petits baisers partout.

« Anata…les enfants ? »

« Ils vont bien. Tu as bien fait. Je suis fière de toi, anata. » dit-il en l'embrassant tendrement sur le front.

« Je…je suis…je suis tellement contente… » dit-elle en commençant à pleurer de joie et de soulagement. Tout le stress qu'elle avait supporter pendant neuf mois, pendant toute sa grossesse, était enfin retombé. Elle pouvait enfin souffler. Ces fils étaient nés et ils étaient en bonne forme.

« Tu peux pleurer » dit son mari en mettant une main protectrice derrière sa tête, tout en la caressant pour lui montrer qu'il été là « Tu as été forte. Vraiment très très forte. Je suis fière de toi. Tu peux te reposer maintenant. »

Ils étaient tellement dévastés quand ils ont su qu'avoir un enfant était presque impossible. Ils avaient tellement essayés que, au bout d'un certain temps ils avaient abandonnés. Avoir un enfant, ce rêve fut devenu impossible. Lui acheter des vêtements, décorer sa chambre, jouer avec lui, faire du shopping ensemble, aller au parc d'attraction ensemble, le voir grandir, le voir excité par son premier amour, le voir triste car il a eu le coeur brisé, le voir se marier et puis devenir des grands-parents. Tous ces rêves furent brisées au moment où le docteur leur avaient révéler la nouvelle. Mais un jour, par miracle, le docteur leur avaient annoncé qu'elle était enceinte. Ils ne pouvaient pas le croire. Tous ces rêves, qu'ils croyaient brisées, étaient maintenant possible. Et le plus heureux, c'était qu'elle n'était pas enceinte d'un mais de trois. Ils attendaient des triplés. En revanche, elle ne pourra plus jamais en avoir d'autre. Ils seront ses premiers et ses derniers. Alors, elle avait fait attention. Très attention. Ne pas se déplacer seule, faire attention à l'alimentation, à son corps, à tout. Car au moindre faux pas, leur idée d'avoir des enfants pouvait disparaîtra à jamais. Et, ils ne pourront pas se relever. Alors maintenant qu'ils étaient nés, elle pouvait enfin se reposer. Toute cette tension et pression qu'elle s'était mise, étaient enfin partie. Mais elle ne regrette rien, parce qu'ils étaient ses bébés.

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« Madame, monsieur. » interpella une infirmière « souhaitez-vous voir vos enfants ? »

« Mais quelle question ! Bien évidemment ! » répondirent-ils tout souriants en même temps.

« Tout de suite. »

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« Oh il est trop mignon ! » dit-elle en regardant son fils ainé dans ses bras.

« Regarde ces deux-là ! Ils veulent pas se séparer ! Hahahaha. » dit Iemitsu en regardant les deux derniers endormis dans le même berceau.

« Ces deux là ne voulaient pas se lâcher, hahaha. Ni les trois d'ailleurs, alors on a du les placer dans le même berceau. Exceptionnellement.»

« Hahaha, ils sont tellement mignons. Même s'ils viennent tout juste de naitre, ils se protègent déjà. »

« Hum ! Ça c'est mes fils ! Il faut se protéger entre famille ! Je suis fière de vous. »

« Madame. »

« Oui ? »

« Nous avons dû procéder à une césarienne. Alors vous aurez une petite cicatrice sur le ventre. J'en suis navré. »

« Haha, c'est pas grave. Le plus important, c'est qu'ils sont en bonne santé. » C'est ce qu'une mère doit ressentir, non ?

« Nana. »

« Je vais prendre congé alors. N'oubliez pas d'aller à l'accueil pour remplir les documents nécessaires. »

« Oui merci. » dit Iemitsu.

« Je…suis tellement heureuse anata. Rien ne pourrait me rendre plus heureuse. »

« Nana, je t'aime. »

« Moi aussi. »

« Tu es ma famille. »

« Oui. »

« Tu es ma femme. Ils sont nos enfants. Le, hahaha, les fruits de notre amour. Et tous ensemble nous sommes une famille. Vous êtes mon bonheur. Vous êtes ma raison de vivre. Vous êtes mon tout, mon paradis. »

« Oui. » dit-elle en versant des larmes de bonheur. Oui, cet homme est son mari. Ses enfants sont les fruits de leurs amour, son bonheur, sa raison de vivre. Ils sont son tout, son paradis. Mais elle ne savait pas que ses enfants, qui sont son bonheur, seraient à l'avenir son malheur. Ses enfants qui sont sa raison de vivre, seront ceux qui la briseront. Ses enfants qui sont son tout, seront sa perte. Ses enfants qui sont son paradis, seront ceux qui lui feront vivre un enfer. Et tout cela à cause d'un homme. L'homme qu'elle aimait, son mari. La personne qu'elle aimait le plus et en qui elle avait le plus confiance, sera celui qui mènera à sa perte.

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Et le temps passa.

La moitiés des choses qu'ils avaient rêvé étaient devenu une réalité.

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Des années plus tard

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Ou suis-je ? Qu'est-ce que…tout ces trucs ? C'est quoi cette chose roulante ? Et tout ces tours ? Ou suis-je exactement ?

« Les gars ! C'est pas drôle ! Deamon ! »

Bon sortons de cet illusion.

Ce n'est pas une illusion ?! Qu'est-ce que c'est exactement ?! Ou suis-je bon sang ?! La dernière chose que je me souviens est que j'étais en train de souffler les bougies. J'ai fermé les yeux un instant et puis…qu'est-ce qui se passe exactement ?!

« Arg ! »

Mon coeur ! Qu'est-ce ?! Pourquoi est-ce que j'ai mal tout d'un coup ?! Est-ce une sorte de nouvelle torture ? Je n'étais pas au courant ! Bon sang ! Qu'est-ce qu'il se passe ?! Je…je dois aller à gauche. A gauche et ça ira mieux. A gauche. Ah. Je n'ai plus mal. Qu'est-ce que ?!

Je ne comprend rien. Mais pourquoi est-ce que je n'ai plus mal tout d'un coup ? Faisons un pas à droite.

« ARRRGGG ! »

Ça fait mal ! Ça fait mal ! J'ai l'impression que mon corps brûle ! Mon coeur ! Je n'arrive plus à respirer ! A gauche ! A gauche ! Vite !

« Ahhhh. Ça va mieux. »

Bon sang, ou suis-je ? Et plus important encore, qu'est-ce qui se passe ? Vite. Vite, je dois rentrer chez moi. On..s'est peut-être fait attaquer et…et ! Toutes les hypothèses sont possible...

« Excusez moi ? » demandais-je à la jeune femme.

Je fus surpris pas sa tenue, incorrect pour une femme. La jupe était bien trop court. Je ne savais pas où poser mes yeux.

« Excusez moi ? » lui redemandais-je. Mais elle n'avait pas l'air de m'entendre.

« Excusez moi monsieur. »

Et je continuais ainsi pendant un bon moment. Je ne comprenais rien. Pourquoi m'ignoraient-ils tous ? Qu'avais-je fait ?

« Ah ! » une raffale de vent m'envoya quelque chose à mes pieds.

« Il va pleuvoir. » pensais-je en regardant le ciel.

Puis je baissa les yeux pour voir un journal. Et la date me troubla énormément.

400 ans s'étaient écoulés. 400 ans…Et pour la première fois, je remarqua mes jambes. Ils étaient transparent. J'étais devenu, ce qu'on pouvait appeler un fantôme. Ce que les anciens appelaient, un esprit errant.

Et je restais là, figé, en répétant ces même mots.

Puis un petit garçon, mon sosie complet, passa devant moi. Il avait des tâches rouge sur lui. Comme…comme du sang.

« Du sang ? Ça n'a pas de sens. Pourquoi un bambin aurait-il du sang sur lui ? »

Et mon intuition me dit de le suivre. Je n'avais plus rien à perdre. Peut-être était-il ma réincarnation ? Devais-je l'aider à trouver son chemin ? Je n'en sais rien. Je n'avais jamais voulu mourir de cette manière. Je n'avais jamais voulu mourir en premier lieu. Enfin, je savais que j'allais mourir un jour, mais pas aussi jeune. J'ai tellement encore de chose à faire. Je croyais que j'avais la vie devant moi. Si c'était comme ça…si ça allait se passait comme ça…j'aurais…j'aurais…fait plus de choses.

Mon intuition me disait de ne pas le faire. Ce n'était pas une bonne idée ce que j'allais faire. Je savais qu'il fallait toujours l'écouter mais, maintenant que je suis mort, il ne devrait pas marcher aussi bien. Alors je me suis retourner pour prendre le chemin opposée du jeune garçon. Et ce fut ma pire erreur.

« AAAAAARRRRRGGGG ! »

J'avais l'impression d'être brulé vif. J'avais l'impression qu'on me déchirait la peau. Qu'un déchirait mes intestins de l'intérieur.

J'ai su qu'à ce moment là, mon existence été lié à celle du garçon.

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Résidence des Sawada,

Le 9 septembre XXXX, 19h14,

Enfants âgés de 7 ans et demie,

Nana, regardait les informations avec crainte, son deuxième fils, Sawada Tsunayoshi, n'était pas encore rentré. En tant que mère, il était normal de s'inquiéter autant.

Je devrais prévenir la sécurité, non, attendons encore quelques minutes, pensa-t-elle.

« - Mesdames et Messieurs, merci de suivre notre programme du jour. N'oubliez pas de ne rester dehors après 19 heure. En effet, la police n'a toujours pas encore retrouvée l'auteur de tout ces crimes atroces. Le coupable s'attaque aux jeunes enfants situé entre 8 et 16 ans. La police a remarqué que tout ses victimes savaient se défendre ou étaient dans des club de combats tels que celui de la boxe, de kendo, de judo, de karaté et de tout les clubs de sports de combats qui existent dans ce pays. En outre, que ce soit une fille ou un garçon, il n'y avait aucune exception. Ce criminel n'a pas l'air de connaître l'expression 'on ne frappe pas les filles', hahaha. Je vais maintenant laisser la parole à mon collègue qui se trouve aux côtés de la dernière victime.

- Merci Ami. Je vais maintenant vous faire un petit récapitulatif au cas où vous seriez perdu. Donc, d'après les témoignage faites par les victimes, le coupable ne faisait que de dire '' C'est génial, Sugoi ne, c'est trop génial'' et ne faisait que de rigoler tel un maniaque. Par conséquent, d'après ces dires nous pensons qu'il s'agit d'un Masochiste ou d'un Sado-Maso, cela dépend comment vous décrivez ce fou, mais nous ne sommes pas encore sûr. Eh oui ! Il est possible que ce soit un échappé d'asile ! Effectivement, il y a quelque mois un grand accident a ravagé un hôpital entier faisant plusieurs morts et blesser et, le pire dans tout cela, c'est que certains ont réussi à s'échapper. Alors si quelqu'un a des informations à propos du coupable, veuillez nous contacter au 72 XXX.

Maintenant nous allons laisser la parole à -»

Bip

«Mou~ Tsu-kun prend du temps à rentrer, alors que je lui ai juste demandé d'aller acheter de la sauce pour le dîner. Et s'il s'est fait attaque par-»

Une sonnette lui coupa la parole, heureusement ou malheureusement, son fils Tsunayoshi ou Tsu-kun, surnom donné par sa mère, arriva à la maison couvert de taches rouge sur les vêtements…comme...des taches de sang.

«Oh mon dieu Tsu-kun ! » Elle agrippa les épaules de son fils et regarda s'il n'était pas blessé « Est-ce que c'est le criminel qui t'a attaquée ? Attend ici, maman va s'occuper du méchant monsieur » dit-elle, la voix remplie d'inquiétude et de colère en sachant que quelqu'un a osé blesser son Tsu-kun.

« Mais non okaa-san. Ne t'inquiète pas, c'est le sang...de...de...la viande. Oui tu vois le sac de viande était troué donc il a mouillé mon t-shirt. Voilà l'histoire: le sac de viande était troué donc cela explique pourquoi mon t-shirt est remplie de sang. » répondit celui ci avec un rire nerveux.

« Mais Tsu-kun, Ka-san t'avait juste demandé d'aller acheter de la sauce pas de la viande. » répondit celle ci perplexe par l'explication de son fils.

« Mais Ka-san, voyons je voulais dire la sauce,la sauce et puis ce qui compte c'est d'avoir la viande pour manger non, hahahahah » rétorqua-t-il en se grattant la tête nerveusement.

« Démo Tsu-kun, Ka-san t'avait d'aller acheter de la sauce vers 18h45, et la il est déjà 19h30 ça n'a pas pu te prendre une heure juste pour aller acheter de la sauce » Dit elle en le regardant avec des yeux douteux.

Ça fait 45 minutes mais bon.

« Ka-san tu vois il y avait beaucoup de monde et il fallait faire la queue et en plus il pleuvait. J'ai attendu dans le magasin pour ne pas me mouiller. Tu ne voudrais pas que je sois mouillé ? Oh et puis Ka-san tu me fait confiance non ? » Dit Tsu-kun.

« Mojiro, aller va te changer Ka-san va te faire à manger et tes frères ont déjà mangé~ » termina-elle sa phrase en chantonnant.

Pourquoi m'avoir demandé d'aller chercher de la sauce alors ? Mais bon….Ouf je l'ai échappé belle, plus belle la vie. Non ça le fait pas du tout.

Tsunayoshi monta les escaliers pour aller se changer, mais avant direction la salle de bain pour se laver les mains. Et prendre sa douche. Il était un enfant propre avec une bonne éducation après tout. En plus, ce n'est pas tout le monde qui a la chance d'avoir de l'eau courante dans sa vie, alors il fallait en profiter grandement.

Pff tout ces gens sont nuls, non mais je vous jure quoi, à peine un coup et ils sont K.O ! K.O ! Mais quand je dis K.O c'est vraiment K.O ! Et j'exagère rien. Ils sont là, gisant sur le sol et inconscient. La bouche grande ouverte avec de la bave, y en avait même qui se sont fait chier dessus. Et après ils se disent plus tard « JE VAIS DEVENIR CHAMPION DE BOXE" ou encore "PLUS TARD JE SERAIS UN GRAND SAMOURAÏ" et puis quoi encore "PLUS TARD JE SERAIS LE PÈRE Noël" aussi ? Ou plus tard je serais Batman ou Spider Man et je me ferais moi aussi piquée par une araignée ? En plus avec ces deux frère ennuyeux ça le fait pas du pas du tout. Moi, Sawada Tamaki, fils aîné des Sawada va devenir policier et arrêter les super méchants ou sinon je serais comme Bat-man, sauver les gens dans l'ombres. Ou, moi Sawada Iyetsu je deviendrais détective comme dans Détective Conan. Ok, j'aime bien Détective Conan mais ça veut pas dire que je veux devenir comme lui. J'ai pas envie de me transformer en gamin de 6-8 ans alors que j'ai 16 ans. Après ça dépend de la vie qu'il avait. Devenir un gamin puis se faire adopter par des riches, je dirais pas non.

Après ses pensées sarcastique, notre héros prit sa douche et mangea avec sa mère qui n'arrêtait pas de lui poser des questions comme: Tsu-kun peut-être qu'il vaut mieux qu'on déménage ou changer de pays comme dans les films ô soooo romantique pour rejoindre l'autre côté de la terre qui veut dire, rejoindre otou-san qui travaille dans la construction au pôle sud avec des pingouins.

Bien sûr. On y croit tous.


Namimori

Résidence des Sawada,

6h30

Le jour se lève dans la petite ville de Namimori.

Le deuxième fils des Sawada se leva et prépara son petit déjeuner en même temps que son bentô.

Et blablabla, et voilà Dame-Tsuna, le bon rien, aucune popularité chez la gente féminine et c'est de ma faute peut-être si aucune fille ne veut m'approcher, ô si seulement pour me dire: Peux-tu donner cela à Tamaki-sempai/sama de la part de ? Oups j'ai oublié leurs noms. Et ka-san dans tout ça c'est: Oh mon dieu mes fils grandissent tellement vite bientôt ils vont se marier et ohhh stop ils sont que 7 ans.


Plus tard dans les alentours de 7h, le plus grand des frères, Tamaki, qui ressemblait à leur père mais avec des cheveux en bataille mi-blond mi-bruns.

« Oh Tsuna ototo, tu es déjà réveillé ? » demanda-t-il.

Non tu sais je suis somnambule et je prépare à manger comme ça.

«Oui, je vient juste de me réveiller, il y a de cela 10 a 15 min, ni-san. Et toi ? » répondit-il à la place.

« Oh, moi aussi, juste à l'instant et tu sais si tu - » Il se fit couper par Tsuna.

« Non ni-san je n'ai pas besoin de ton aide en ce qui concerne les devoirs, mes notes sont très bien. » le coupa Tsuna.

Heureusement qu'on est pas dans la même classe. Et j'espère que ça continuera sur cette lancée.

« Oh si tu le dit » dit-il déçu de ne pas pouvoir aider son frère « Mais n'oublie pas que ton grand frère sera toujours là pour toi » Termina Tamaki avec un sourire lumineux.

Et c'est ça qui me fait peur, celui de penser que tu seras toujours la pour moi, c'est comme une déclaration d'amour. Je n'ai rien contre l'inceste ou les gens du même sexe qui s'aiment, ils font ce qu'ils veulent tant qu'ils me font pas chier mais toi…avec tout ce que tu me dis et fait…je vais sérieusement avoir une phobie avec eux.

Après cela, les deux frères mangèrent leurs petits déjeuner chacun de leurs côtés. Tamaki ne voulait pas déranger son frère qui avait l'air de mauvaise humeur. Il n'osait pas briser le silence.


Quelques instants plus tard, leur mère arriva.

«Ara, Tsu-kun et Ta-kun, vous êtes déjà réveiller~? » Chantonna la mère.

« Ka-san, j'y vais ou sinon je serais en retard. » Cria Tsuna avant de partir.

« Mou, alors Ta-kun, peux tu aller réveiller Iye-kun avant qu'il ne soit en retard aussi ? » demanda la mère à son fils aîné.

« Ok, Ka-chan. » Répondit celui-ci en soupirant.


Chambre de Ieyasu

«Ieyasu, RÉVEILLE TOI OU TU SERAS EN RETARD! » cria Tamaki.

« AHHH- ITAI itai, ça fait mal ! Tu m'a fichu la trouille, espèce d'andouille de frère ! » cria Ieyasu à son grand frère.

« Hahahahah t'aurait du voir ta tête. » dit Tamaki à son tour enfin en rigolant.

« Écoute va t'en d'ici avant que je te tue. » Dit Ieyasu d'une voix calme mais plein de sous entendu.

« Gomen, Ja ne. » répondit Tamaki avec peur avant de partir.

Après cette conversation très sympathique entre frères, Tamaki partit de la maison et Ieyasu arriva en retard comme d'habitude.


Namimori

Plus tard

Une petite personne marchait toute seule le long d'un fleuve en direction….des entrepôts. Le territoire des yakuza.

«Yo, vous allez bien ? » dit l'individu, le visage caché par sa capuche orange. « Profitez en car c'est votre dernier jour où vous pourriez vous amusez » dit ce dernier à la capuche orange. Si vous regardez bien vous pourriez apercevoir un sourire mauvais sous la capuche.

« Non mais il se prend pour qui celui là ? T'as vu sa tê-» La personne s'évanouit dû au coup de poing reçu par le nouvel invité.

« Toi ! » dit un autre gars.

Après ce coup, on entendait des bruits de tables tombés en morceaux, des voix qui criaient de les épargner, une personne qui criait génial, un rire maléfique.
Et ce rire c'était la dernière chose qu'on entendait dans l'entrepôt où il y avait, à peine quelques minutes auparavant, encore des personnes qui buvaient, mangeaient, criaient et chantaient comme des casserole ou peut être pire, si cela pouvait exister.

Maintenant, il n'y avait aucun bruit. On entendait même pas une mouche volait. Il y avait du sang partout, sur les murs, sur le sol et sur les corps inertes de ces personnes. Parmi toutes ces personnes il n'y avait qu'une seule personne debout. Le nouvel venu à la capuche orange.

Cette personne s'avança et dit : « La vie est courte, c'est pour cela qu'il faut en profiter à fond. Vous ne pouvez pas savoir quand vous allez mourrir. Donc, au lieu de passer votre temps à manger, boire et chanter non on peut pas appeler ça chanter oh et puis apprenez à chanter. Tous, sans exception...attendez je m'égare là, reprenons, donc...»

Tout le monde eurent une goutte de sueur, tous sans exception même ceux qui sont presque sur le point de partir au paradis ou en enfer. On ne sait pas. Qui sait ce qui existe après la mort ?

«Profitez de votre vie, devenez plus forts pour être un adversaire digne de ce nom. Entraînez vous tout les jours. Matin, midi, soir, nuit. C'est la seule chose qui comptera maintenant. C'est frustrant, non ? De perdre contre quelqu'un de ma taille. Alors remplissez votre tête de vengeance et de colère. Jusqu'à notre prochaine rencontre, ne pensez qu'à me descendre. Dans toutes les pires manières inimaginable possible. Je reviendrais. Donc jusqu'à ce moment, devenez plus forts. Attendez moi jusqu'à là.»

Cette personne était tellement excitée, ne pouvait pas attendre la prochaine fois de les voir, juste de penser qu'ils y avaient des gens qui allaient devenir plus fort et se venger de lui, cela remplissaient son coeur de bonheur. Après tout, les personnes qui se battent avec de la colère ou de la vengeance en tête étaient les plus faciles à craquer…donc ils deviendront imprévisible ! Non ! Il faut se retenir pour la prochaine fois, et les briser encore plus. Après tout leurs efforts, les terminer, c'est le meilleur des sentiments. Puis…leur dire les mêmes phrases. C'est tellement excitant.

Ces mots, ce sont les derniers mots que le groupe de yakuza entendirent avant de tous sombrer dans l'inconscience. Ce qu'ils n'oublieront jamais c'est cette silhouette qui leur faisait resurgir leur peur et la voix qui n'arrêter pas de dire comment c'était génial de donner des coups et d'en recevoir, c'était effrayant, typhique d'un sado-maso. Mais le pire, fut le sourire effroyable qu'ils ont pu voir après que l'agresseur leur a dit de s'entraîner et de devenir plus fort.

Le jeune homme/femme partit de cet entrepôt après avoir dit ces mots. Ce qu'il/elle n'avait pas prévu c'est que pendant le combat à sens unique l'un d'eux appela leur chef, enfin, les renforts pour venir les aider.


Fleuve

Sur le chemin du retour, l'intuition de l'agresseur, qu'il ou qu'elle a développé depuis longtemps, lui dit de faire attention car DANGER DANGER sauvez vous.

Là, surgit devant lui un troupeau de vaches, de son point de vue bien évidemment, mais non ce n'était pas un troupeau de vaches mais des hommes venus le tuer.

Comme dit le dicton, 'oeil pour oeil dent pour dent'. Cette personne s'était attaqué à leurs frères, alors ils allaient les venger ! C'est ça la famille !

« Boss, je ne pense pas que ce soit ce gamin qui a battu notre groupe. » constata un gars que nous appellerons 1.

« Moi je te dis que si que ! » nous appellerons à son tour 2.

« Et moi que non et c'est au Boss de choisir ! » s'exclama 1.

« C'est lui, avec le sang de nos frères. » dit un autre en fermant les yeux et respira douloureusement, comme s'il venait de se rappeler des souvenir affligeant. « Et posez lui la question au lieu de me regarder » termina-t-il. Il avait l'air d'être leur boss, qui ressembler à une vache en passant.

Dans la tête de la personne il/elle pensait, soit c'était:

-Des attardés mentaux

-Viennent tout juste de sortir de l'hôpital psychiatrique

-Voit un psychologue maintenant

-Pris de la drogue

-Se croient dans un drama

Ce sont les seuls pensées qu'il y avait dans la tête de la personne. En ayant marre qu'on parle de lui et font comme si il/elle existait pas alors qu'il/elle était juste là, devant eux, debout à attendre comme un imbécile, idiot, stupide, et il en passe.

« Et si vous venez vous battre au lieu de rester planter là comme des lampadaires ou devrais-je dire comme des personnes ayant peur~~~ » termina cette personne avec un sourire démoniaque.

Ce gosse je vais le tuer, c'était la pensée de toutes les personnes présente.

Là on voyait des …..comment décrire cela ? Des flash noirs venir de partout pour se rencontrer tous et se faire un câlin ? Non, tomber ? Se cogner ? S'écraser ? Peut être, hein ?

«Et bien, tomber dans un si petit piège c'est pas terrible hein les amis ? Ou les vieux? Mouhahahahaha maintenant commençons le vrai combat et faisons vite s'il vous plait, j'ai faim.»

Là, on entendait un cochon se faire écorchait ? Doit être le chef. Après ce moment affreux en à peine cinq minutes, toutes les personnes debout étaient par terre, baignant dans leur propre sang.

La personne qui leur a fait cela, enleva sa capuche et les regarda avec pitié. Il s'est s'avérait être un homme, plutôt jeune. Un petit garçon, tout adorable.

«Je suis un garçon, se faire battre par quelqu'un de plus jeune que soit, n'est-ce pas frustrant ?»

Je dis ça alors que j'adore aller contre les plus grands que moi.


Derrière la scène

Derrière , il y avait quelqu'un qui regardait cette scène avec excitation depuis le début. Ce jeune homme se nomme Hibari Kyoya. Le président du comité de discipline, qui s'occupe de faire régner l'ordre, je veux dire la paix dans cette paisible, magnifique, merveilleuse ville du nom de Namimori et craint par tout les habitants. Il est très connu par sa violence. Et aussi pour avoir son animal de compagnie toujours avec lui. Un oiseau jaune du nom de Hibird. Et l'autre raison pour laquelle il est aussi célèbre est dû au fait qu'il appelle tout le monde 'herbivore', et ça personne ne le sait pourquoi.

En voyant la fin du combat arrivé, il sortit de sa cachette. Il comptait découvrir le visage de la personne mais elle remis immédiatement sa capuche après l'avoir enlevé. Tsk. Il aurait dû se mettre de l'autre côté de la scène. Il aurait dû. Mais c'est pas grave. Il avait trouver un nouvel adversaire. «Kamikorusu, pour ne pas avoir nettoyer ce gâchis »

La personne à qui il s'adressait se retourna tout lentement comme s'il y avait un problème.

Il ne connaissait qu'une seule personne qui disait ces mots. Ce slogan.

Pourquoi, pourquoi, ohhhh pourquoi le grand Hibari Kyoya est ici ? Dîtes-moi pourquoi il est ici ? Et s'il me reconnaît et qu'il me dénonce après ? Je vais devoir rester en prison avec des vieux et je pourrais même plus me battre ! Je préfère même rencontrer un fantôme là tout de suite ou même devenir une vache...! Non, il va pas te reconnaître. Essayons d'être naturel et pourquoi je pense à être une vache. Pourquoi diable de tout les truc qu'il y avait j'ai choisis une vache ?! Je dois avoir été contaminé par ce troupeau il y a deux minute..attend je m'égare là...aller naturel, naturel, pensa le pauvre garçon.

«Yo Hibari Kyoya, que puis-je faire pour toi ? » dit le jeune homme avec la capuche orange en essayant de paraître naturel. Heureusement que j'ai remis ma capuche ! En plus depuis combien de temps il était ici ?

« Kamikorusu, herbivore » déclara Hibari Kyoya avec un sourire mauvais.

« Oh! J'ai compris, l'un d'eux est ton petit-ami et donc tu veux le venger ? » dit le chaperon orange « Non je blague. » Qu'est-ce que je suis en train de raconter moi ?! Je cherche le diable ou quoi ?! Il fallait éviter les problèmes ! Pas les chercher ! Tais-toi sale bouche !

« Herbivore, ne dis pas n'importe quoi. Pour m'avoir manquer de respect Kamikorusu. » dit Hibari énervée qu'on est pu insinuer ce genre de chose sur sa personne.

« Comme c'est mignon, se battre pour protéger son a-mou-reux ~ commençons alors » dit le jeune homme sérieux. Bon…si on est déjà dans la merde…autant aller jusqu'au bout je dirais ?

« Kamikorusu, herbivore suicidaire » déclara Hibari avant de s'élancer pour attaquer l'homme suicidaire. S'il avait besoin d'aide pour se suicider, il était là pour l'aider.


Combat

On voyait des coup de tonfas partir, des coup de poings, des coups pied, de la riposte et de l'esquive.

Le match s'est terminé en match nul, tout deux égaux.

«Herbi-, non Omnivore. Ce coup sera le dernier. » dit le premier essoufflé par le combat mais ne le montra pas.

« Espèce de fou, j'ai un nom et je gagne ce match. Je dois rentrer. Bye » dit celui a la capuche orange avant de partir en courant. Putain, faut pas que je deviens excité avec lui.

Omnivore, kamikorusu la prochaine fois. Après cette pensée, le garçon du nom de Hibari Kyoya sortit son téléphone et appela son vice-président pour nettoyer ce gâchis.

«Tetsu vient nettoyer ce gâchis devant l'entrepôt près du fleuve, entrepôt numéro 23 » dit Hibari fatiguer.

« Oui Kyo-san » dit la voix qui appartenait à l'autre personne de l'autre coté de du téléphone.


Côté du mystérieux garçon

Du coté du garçon à la capuche orange, qui s'avérait être Tsuna, l'abréviation de Tsunayoshi, s'asseyait sur un banc pour essuyer ces blessures.

« Ce mec est fort, j'ai hâte de me rebattre avec lui. » Mais…il faut pas que je deviens trop exciter sinon…ça risque de se finir comme…cette fois-là.

«Ne pense pas de cette façon ! » dit quelqu'un derrière lui.

« Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! » cria Tsuna avec son crie girly.

« Est-ce que ça va ? Je voulais pas te faire peur. » dit le quelqu'un qui était un homme transparent qui n'avait pas de jambes.

Un…un...FANTÔME ! Même si j'ai dis que j'étais prêt à rencontrer un fantôme si cela veut dire ne pas faire face à Hibari Kyoya, j'y ai fait face ! Alors pourquoi non d'une vache je fais face à un fantôme ! Et pourquoi je pense encore au vache moi !? Mais c'est pas ça le plus important ici ! Non calme-toi Tsuna, c'est le vent, oui c'est le vent...espèce de con, si c'était vraiment le vent pourquoi il est toujours là et pourquoi il me ressemble ! pensa Tsuna avant de passer en mode panique qui veut dire tourner sur soi-même, les mains sur les cheveux et la tête...tout le monde devine.

Toute personne normal flipperait, s'il voyait ça. Après tout ce n'est pas tout les jours que vous voyez un fantôme, sans pied avec un corps transparent et par dessus tout votre sosie.

Est-ce que j'ai un autre frère ? Le quatrième qui est mort et qui est venue me hanter ? Il faut le exorciser…le exorciser….MAIS J'Y connais rien moi en exorcisme ! Tsuna espèce de con il y avait des émissions sur comment exorciser quelqu'un, pourquoi t'a pas regarder ça au lieu de regarder Détective Conan ! Hein, imbécile ?! Maintenant regarde que des documentaires ! Plus important encore ! Réfléchis, réfléchis, je sais et si je lui demander pardon, pensa Tsuna avant de commencer sa cérémonie de pardon.

Tsuna s'agenouilla devant le fantôme et dit: «Ôoooo mon frère perdu, mon quatrième frère, je te demande pardon, je ne savais même pas que tu existais, je veux dire que si je le savais mais je ne savais pas du tout où tu étais. Il faut aller au paradis, ne pas rester dans notre monde. Ôooooo mon frère sacrer accepte mon pardon et si tu veux hanter quelqu'un il faut hanter quelqu'un d'autre comme mes autre frères...non attend ne te fâche pas je voulais dire nos frères.» Aller faites que ça marche, Kami-sama.

« Hahahahahahahahahahahahahahah, c'est trop hilarant ! » dit le sosie de Tsuna en s'écroulant de rire.

Qu'est-ce qu'il y a d'hilarant là-dedans ? Non Tsuna rigole avec lui comme ça il partira, pensa-t-il avec peur.

« Euh ouais, c'est hilarant hahahaha…» dit Tsuna en se grattant le cou. Aller part maintenant. Tu veux que je fasse quoi d'autre ? De l'ail ? Du sel ?

« Eh bien c'est la première fois que j'arrive à communiquer avec toi » dit le sosie de Tsuna en souriant.

La première fois que j'arrive à communiquer avec toi ? Attend, ça veut dire qu'il avait déjà essayé avant...MAMAN AU SECOURS !

«Je trouve cela très hilarant. D'habitude tu n'as pas peur, tu passe ton temps à te battre et là tu t'agenouille devant moi. Ce fut une surprise, je m'attendais à ce que tu m'insulte. »

« Hahaha. » Désolé mais peu importe à quel point je suis fort, je vais pas aller insulter un fantôme qui risque de m'achever d'un claquement des doigts ou me rendre la vie misérable car je l'ai insulté. Y a des limites à ma force.

« Mon nom est Giotto et je ne suis pas ton frère perdu hahahah » dit le prénommer Giotter roulant par terre tout en se tenant le ventre, encore une fois.

« Ouais hahahahah alors tu es quoi Monsieur le fantôme qui se proclame Giotto ? » dit Tsuna nerveux car son intuition lui disait qu'il n'allait pas du tout aimer. Il voulait juste qu'il part. Loin mais loin d'ici.

« Je suis ton grand-père et je ne sais pas du tout comment j'ai atterrie ici. » dit Giotto en regardant autour de lui comme pour échapper au regard de Tsuna.

« Ah oui je vois mon ji-chan donc salut ji-chan...attend QUOI?! Mon grand-père ?! » dit Tsuna choqué ? Comment décrire… surpris ? Effrayé ?

« Et bien tu as la preuve devant toi, je suis un fantôme et ...ton grand-père. »

C'est quoi ce bordel ?! Récapitulons tout. D'abord mon grand-père est en face de moi et en fantôme et c'est mon sosie parfait sauf pour les couleurs et je suis le seul à le voir...maman j'ai peur, pensa calmement Tsuna, enfin pas si calmement que ça.

«Enfaîte je suis ton arrière arrière arrière et arrière grand père, je date depuis 400 ans ? Je pense ? » dit Giotto qui n'avait pas l'air du tout vieux, il ne faisait absolument pas ses quatre cents ans.

« Ah ouais je vois …..de quoi ?! » dit Tsuna avec la mâchoire ...par terre.

« Mon nom est Vongola Giotto ou Vongola Primo et en japonais c'est Sawada Ieyasu » déclara Giotto tout a fait sérieux.

« C'est comme mon petit frère. » dit Tsuna la voix remplie de dégoût.

« Hélas et je n'en suis pas du tout fière de l'avoir comme petit-fils. S'en prendre aux plus faibles que soi est inadmissible et par dessus tout manquer de respect à sa propre famille. » dit à son tour Giotto la voix remplie de tristesse, de dégoût et de colère.

« Je comprends. C'est horrible et donc pourquoi je suis le seul qui peut te voir ? » dit Tsuna sérieux car c'est un très grave problème là. Est-ce qu'il allait commencer à voir tout les esprits comme dans les films ? Les aider à passer dans l'au-delà ? Faire des bonnes actions ? Devenir fou ? Crier dans la rue ? Parler tout seul ?

« Et bien comment l'expliquer...je ne sais pas moi non plus et je pensais que tu le saurais vu que tu es intelligent. » dit Giotto la voie remplie d'espoir.

« Désolé mais je ne sais pas comment, ni du pourquoi tu a atterrie ici et merci pour le compliment mais je ne peux pas t'aider sur ce point et une dernière chose. Si tu t'appelais Vongola et que t'était vraiment mon grand père, je devrais avoirs ce nom de famille aussi non ? » dit Tsuna.

« Écoute c'est long à expliquer. » déclara Giotto avant de soupirer.

« J'ai tout mon temps » déclara Tsuna avec un sourire.

« Tu disais pas tout a l'heure que tu devais rentrer ? » dit Giotto avec un sourire au coin.

« Tu m'espionnais, stalker ! » s'exclama Tsuna.

« Je suis obligé ! On est collé ensemble! Et je ne suis pas un stalker !» cria Giotto offusquer par les propos que son petit-fils avait à son sujet.

« Je t'écoute alors. » exigea Tsuna en tiquant.

« Eh bien, Vongola est un groupe d'autodéfense et je suis celui qui l'a créer, on m'appelait Vongola Primo. » dit fièrement Giotto.

« Vongola Primo ? » répéta Tsuna.

« Oui, j'ai créer un groupe d'auto-défense du nom de Vongola, en Italie quand j'avais 14 ans. » dit-il fièrement.

« Je vois ? » répondit Tsuna tandis que le visage de Giotto se dégonflé, déçu. Oups ? Il s'attendait comme même pas à ce que je félicite ?

« Mon ami Cozarto Shimon, c'est lui qui m'a conseillé de créer un groupe d'auto défense pour protéger ma famille, mes amis et la ville que j'aime tant. Il m'a dit que je suis le seul à être capable de créer un groupe d'auto défense et d'en être le chef. Et je te préviens tout suite que c'est pas moi qui a choisi le nom, Vongola, qui veut dire palourde en japonais. » Il soupira avant de reprendre « J'ai beaucoup aimé ce groupe, Vongola, il y avait mes amis avec moi pour protéger les villes, la population, les personnes importantes pour moi et c'était tout ce qui compter pour moi. Protéger les choses qui me sont précieuses. Il y avait six autres personnes avec moi dans la Vongola, on les appelait les ''Gardiens''. Chaque gardien en plus de moi pouvait utilisait des flammes. Des flammes hyper mourantes. Il y a la flamme du ciel, la plus rare, la flamme de la tempête, du soleil, de la brume, de la foudre, de la pluie et du nuage. Mais quand j'ai atterrie ici, personne ne me voyait, au début j'ai cru que c'était une blague mais après j'ai remarquer que je n'avais pas de jambes enfin ils étaient transparent et que j'étais un fantôme. Les gens ne pouvaient pas me voir et après d'autre expériences j'ai compris que j'étais mort. Je ne me souviens de rien du tout, la dernière chose que je me souvienne c'était quand j'ai fêter mon 20ème anniversaire, c'est la dernière chose dont je me souviens. Après j'ai trouver un journal par terre et c'est là...qu'il y avait marqué la date...j'étais mort depuis 400 ans déjà. Et tu es la première personne avec qui j'ai réussi a communiquer et pour te prévenir on est collé ensemble. Mais ne t'inquiète pas je connais pas tout tes secret car tout comme moi nous avons tous des secrets non ? » dit Giotto.


Pendant l'explication, le visage de Tsuna s'est transformé en couleur de l'arc en ciel, passant par de la colère, peur, excitation, trahison et bonheur.

« Donc en gros tu es en héros qui sauve les villes ? » dit Tsuna en hochant la tête.

Manquer plus qua ça. Un fou. Il devait être un magicien ou je ne sais quoi. Et si c'était comme dans les manga où je devais réaliser son dernier voeu ? Eh bah…il peut toujours rêver…comment je suis censé faire ça ?! Des gardiens ? Des flammes ? Le délire ? C'est normal qu'il est resté sur terre depuis 400 ans ! Et bien sûr, malchanceux comme je suis, il fallait que ça tombe sur moi. Il aurait pas pu aller hanter Ieyasu ou je ne sais qui d'autre ?!

« C'est tout ce que ta retenue depuis tout a l'heure ?! » demanda Giotto outré.

« Mais quand même palourde comme nom c'est pas terrible hahahahaha ça sonne mieux en italiens hahahahahah » dit Tsuna en roulant par terre avec les mains sur le ventre. Des coquillages putain !

« Écoute, comme tu l'as entendu dans mon EXPLICATION ce n'est pas moi qui ai choisi ce nom mais mon meilleur ami ! » rugit Giotto de colère et d'amusement.

« Et c'est quoi les truc là ? Avec les sept flammes ? Ciel, tempête, pluie, soleil, foudre, brouillard et nuage ? De la magie ? En bref vous êtes des héros magiciens , c'est ça ? » dit Tsuna d'un air moqueur et hautain.

« N'as-tu pas entendu mon JOLI, MERVEILLEUX, MAGNIFIQUE EXPLICATION ?! C'est des flammes ! Hyper mourantes ! » dit Giotto avec colère.

« Mais bon et ça change quoi ? » dit Tsuna naturellement, comme si l'explication n'était rien de plus qu'une mouche.

« Je sais même pas pourquoi j'essaye de t'expliquer. J'abandonne » soupira Giotto.

Un silence magnifique s'installa entre eux. Mais heureusement qu'il ne dura pas trop longtemps.

«Écoute jiji, je trouverais pourquoi tu as atterrie ici et jusqu'à là je te ferais un corps artificielle » déclara Tsuna sérieux.

Allons-y. On vas lui dire un mensonge, lui faire croire un truc, dire qu'on a échoué et là il va dire que c'est pas grave et enfin disparaître. Ça marche toujours dans les films.

« Merci et arête de me regarder aussi sérieusement ça fait peur » dit Giotto avant de former un sourire chaleureux et de poursuivre. « Je suis heureux de t'avoir comme descendant, petit fils et de t'avoir rencontré » termina Giotto en souriant.

« Eh ! C'était ma partie de gloire là ! Stupide jiji ! Moi aussi je suis content de t'avoir rencontrer jiji ! » dit Tsuna en souriant à son tour.

Absolument pas. Comment peux-tu facilement croire des gens comme ça ? Et en plus des corps artificielles ? Ça existe pas. Mais bon. Si ça peut le faire partir, tant mieux.

« Pfff hahahaha travaillons dur ensemble alors » dit Giotto avant de rigoler et bientôt suivit par Tsuna.

Ce jour, ce fut le jour où tout a changé. Où plus rien ne sera normal. Contrairement à ce que penser notre protagoniste.


Le soir même

«Tsu-kun, où étais-tu après la fin des cours ? Mama était très inquiète. » dit la mère la voix remplie d'inquiétude.

« Ne t'inquiète pas okaa-san. J'étais en train de me promener dehors. » répondit Tsuna nerveusement.

« Tsu-kun le criminel rode toujours près d'ici, peut être qu'il va t'attaquer. » dit la mère cette fois un peu en colère.

« Et alors ? Ça serait bien. Ça nous feras des vacances, n'est-ce pas dame oni-san? » Cette fois c'était Ieyasu qui parlait.

« Ne parle pas comme ça à ton frère ! » s'exclama en même temps Nana et Tamaki.

Derrière eux, un fantôme pensait avec dégoût.

Comment quelqu'un qui porte le même nom que moi peut penser de cette manière de son propre frère? N'est-ce pas un peu exagérer de penser comme ça de son propre frère? Si jamais celui là devient un mafieux ça sera la catastrophe pour le monde et il n'y aura que ça avec lui. Comment ça mafieux ? Mais qu'est-ce que je raconte moi aussi ? Je deviens fou. Mais pourquoi ne peut-il pas respecter ne serait-ce un peu son frère? Ce gamin a besoin de discipline.

Il y a une raison pour laquelle je ne dis rien Ieyasu et tu ferais bien de t'en souvenir, la raison pour laquelle je ne t'attaque pas ou riposte pas c'est parce que contrairement à toi, moi, je ne m'attaque pas aux plus faibles que moi, je suis humain après tout. J'ai encore une conscience par rapport à toi. De plus, peu importe comment je le souhaite, tu reste mon frère, pensa Tsuna lui aussi avec dégoût.

«Ka-san c'est bon, ce n'est pas grave, je vais me changer et je reviens. » dit Tsuna en essayant de réconforter sa mère.

« Si Tsu-kun le dit alors c'est bon. » dit la mère avant de partir préparer le dîner pour Tsu-kun,Ta-kun et Iey-kun.

« Tsuna ototo, tu ne devrais pas laisser Ieyasu partir comme ça ! C'est peut être notre petit frère mais il n'a pas le droit de nous manquer de respect ! » rugit Tamaki en donnant un coup à la table faisant sursauter Ieyasu.

« Eh ! Dit pas ça parce que toi aussi tu pense que Dama oni-san devrait mourir ! » cria Iyetsu sur Tamaki.

« Stop ! » cria la mère avant de parler « Iey-kun respect ton frère, les frères devraient s'aimer et pas se disputer. » ajouta-t-elle.

« Ka-san appelle moi quand ça sera l'heure du dîner. » dit Tamaki avant de partir dans sa chambre.

« Tss appelle moi quand c'est prêt. » dit Ieyasu.

« Pareil pour moi Ka-san. » dit Tsuna avant de filer dans la salle de bain.


Dans la salle de bain

Ieyasu,t'as de la chance que t'es mon frère sinon je t'aurais tuer depuis longtemps, pensa Tsuna en se regardant dans le miroir.

«Tuer ? Ce n'est pas une bonne pensée pour un gamin de huit ans. Tu regarde trop de film. Mais je suis curieux Tsuna, y a t-il une raison pour laquelle tu ne dis rien, après avoir passer des semaines à t'observer je ne comprends toujours pas pourquoi tu te fais passer pour quelqu'un d'inutile alors que tu ne l'es pas du tout » dit Giotto la voix remplie de colère.

« Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! » cria Tsuna.

« Chut ! Arrêt de faire ton crie girly où ta famille va venir ! » supplia Giotto.

« Mon crie n'est pas girly du tout au contraire il est super viril ! » déclara Tsuna avec quelque rougeur.

« Mais oui mais oui et moi je suis le roi de France » déclara Giotto en soupirant avant de rigoler.

« Haha très drôle » dit Tsuna.

«Tsu-kun que se passe t-il ? » demanda sa mère depuis la cuisine.

« Rien, rien je me suis juste cogné hahaha » s'empressa de répondre Tsuna avec un rire nerveux.

« Dame un jour, Dame toujours, t'es pas d'accord ? » demanda ou plutôt dit Ieyasu.

« Fais attention à toi ototo-kun ! » cria Tamaki de sa chambre.

Je vois donc tu peux lire les pensés, pensa Tsuna en colère en regardant son grand-père dans les yeux.

« Oui pratique, hein ? Ne sois pas si jaloux. Et comme ça pas besoin de parler car j'ai pas envie qu'on prend mon petit-fils pour le mettre dans un hôpital psychiatrique, enfin tu vois ce que je veux dire. Ça serait trop la honte. » dit Giotto en larme.

Super, je suis content pour toi, je n'aurais plus de vie privée. Pauvre de moi, pensa Tsuna en soupirant

« Oh mais ne t'inquiète pas ! Je ne peux pas le faire tout le temps ! Il faut que je me - »

« On discutera de ça plus tard. Je dois aller manger. »

Je vais même pas commenter dessus.

Après cette conversation et après avoir mangé, les frères Sawada partirent se coucher chacun de leur côtés.


Le lendemain

Après avoir pris leur petit-déjeuner, les trois Sawada partirent à l'école primaire pour leur plus grand malheur.

La routine quoi, pensa Tsuna

«Ne pense pas comme sa ! »

Maintenant laisse moi, je suis arriver à destination.

«Ne fait pas de bêtise ! »

Oui papa, je veux dire jiji !

Tsuna regretta d'avoir fait la promesse avec son grand père et heureusement pour lui il pouvait discuter par pensées sinon les gens le prendront pour un fou et l'emmènerai il ne sait où, dans un asile pour fou probablement.

Tient voilà le prezzzz du comité de discipline, et si on s'amusait un peu, pensa Tsuna avec un sourire qui ne vaille rien de bon.


Côté Hibari

Il cherchait l'omnivore pour terminer le combat. Il devait le trouver pour le tuer. Il était sûr qu'il était dans cette école, cette silhouette, il l'avait déjà vu quelque part. Maintenant qui était-ce ? Il continua à chercher quand tout d'un coup on lui toucha l'épaule et dit: «Salut Kyoya»

Quand il s'est retourner il n'y avait que des herbivores. Aucun signe de l'omnivore qui de son côté s'est mélanger avec les herbivores.

Omnivore, je te retrouverais et Kamikorusu, pensa Hibari Kyoya


Hibari Kyoya et Sawada Tsunayoshi avait un point commun: c'était la soif de combat ou plutôt la soif de sang. Et l'un deux l'était encore plus que l'autre, beaucoup plus. Il en avait à un point que c'était inimaginable, impossible. Et c'en était flippant.

Mais tout les deux aimaient se battre. Ils partagent un sentiment: l'excitation.

Ce sentiment, ils l'ont eu après leur match d'hier. Une excitation qu'ils n'avaient pas connu depuis un bon moment déjà.

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Donc j'espère que ce chapitre vous aura plu !

J'ai modifié les chapitres donc j'espère que cela sera plus lisible, compréhensible, etc. Enfin que tout soit mieux, hahaha !

Merci d'être passer !

Merci de laisser un commentaire !

Merci d'avoir lu !

Au plaisir de vous revoir au prochain chapitre !

Bye Bye ! ^_^