Avertissement : Les personnages, tels qu'ils sont ne m'appartiennent pas, sniff … Ah si ! Les personnages d'arrière-plan ^^ (dont on ne connaît pas l'identité TT^TT).

Résumé:

« L'enfer parait bien moins effrayant lorsqu'il est vécu avant la mort. Edward s'est jeté corps et âme dans ses cauchemars mais combien de temps cela pourra-t-il durer ? Combien de temps regardera-t-il ses rêves se briser ? »

BlaBla : Oui ça fait 6 mois ! (se cache) Donc voici le nouveau chapitre =D

! IMPORTANT !

Petit détails très important : qui sont les homonculus de mon histoire car quand je l'ai commencé, on était en dessous du tome 13 et l'anime brotherhood n'existait pas. (Et personne ne connaissait la fin de fma !) Personnellement, je n'ai pas lu la fin car j'attends de finir mon histoire pour ne pas être influencé j'ai donc imaginé comment créer la pierre et un homonculus en me basant sur une partie de l'anime n°1 et le manga. Et donc leur physique est un mélange de l'anime et du manga (par contre leurs histoires sont différentes):

Physique des homonculus :

Pride : le général des armées donc King bradley (comme dans l'anime n°1)

Lust : c'est lust comme dans toutes les versions

Gluttony : Pareil que pour Lust

Wrath : l'enfant adoptif de King bradley, Selim

Envy : c'est mon Envy d'amour version anime n°1 3

Sloth : y a eu du changement pendant l'histoire mais c'est la version du manga, le gros tas de paresse !

Greed : on en parlera plus tard mais garder son physique en tête pour le prochain chapitre (celui de lin)


Chapitre 29


Edward était sous le choc.

« Oh non… »

Il repoussa Envy qui riait intérieurement de ce qui venait dese passer. Complètement paniqué, il ne pensait qu'à une seule chose : retrouver Alphonse. Alors qu'il redescendait son T-shirt en vitesse, Envy le stoppa dans son geste.

« Qu'est-ce que tu fais, on n'a pas fini. »

Le blond n'en revenait pas, toute cette situation était un cauchemar. Il regarda Envy, les yeux vides de sens et lui répondit :

« C'est fini. Tout est fini… »

Edward avait perdu toute résistance. Qu'est-ce qu'il faisait encore là ? Pourquoi n'était-il pas en train de rattraper son frère ? Il sentit Envy l'embrasser avec douceur alors qu'il le masturbait maintenant avec sa main.

« Dis donc, c'est de voir ton frère qui te met dans cet état-là ? »

Tout en disant ça, Envy accentua sa pression sur le sexe du blond qui l'écarta violement cette fois-ci.

« Mais qu'est-ce que tu fais ? T'es malade ! »

« Pourtant ce n'est pas moi qui veut courir après mon petit frère la bite à l'air et en érection… »

N'ayant plus le temps pour ce genre de débat stupide, Edward se rhabilla un tant soit peu correctement avant de planter Envy sur place, sans un mot, sans un regard. Il devait retrouver Al. Il n'avait pas pu aller bien loin. Faisant le tour de quartier presque sans respirer, il ne le retrouva pas. Complètement paniqué, il essaya le dernier endroit où il pouvait être : le dortoir. Courant comme un damné, il ouvra le porte à la volé. Il poussa un râle de soulagement en le voyant assis sur le lit. Reprenant enfin son souffle, il entendit Alphonse lui demander :

« Dis-moi que c'est une blague, Ed. »

Edward sentit son cœur se briser en mille morceaux à cette question. Il n'avait rien à répondre, aucune excuse valable. Il ferma doucement la porte derrière lui, avant d'attraper une chaise pour se placer devant son frère. Il était temps de discuter…

« Edward… Dis-moi que ce n'était qu'un rêve, s'il te plait. »

Le blond avait envie de pleurer. Il arrivait par un miracle certain à retenir ses larmes mais il devait assumer ses actes en tant que grand frère. Ainsi, sombre, la tête baissée, il répondit :

« Ce n'était pas un rêve. »

Sur le coup Alphonse se leva et frappa dans le mur adjacent avant de hurler :

« TU TE FOU DE MOI ?! COMMENT TU AS PU ? P#T##N, C'EST ENVY ! »

Voyant son frère s'enfoncer dans son siège et baisser encore plus son regard, il continua, libérant toute la rage qu'il avait contenu jusqu'ici :

« C'est pas possible Ed ! Tu n'as pas pu faire ça ! T'es pas sérieux ? C'est un HOMONCULUS ! Il a cherché à te tuer plusieurs fois ! TE TUER ! Il a presque réussi une fois je te rappelle ! Tu t'en souviens au moins ? Mais je peux t'aider ! »

A ses mots, il attrapa violement le bras gauche d'Edward et souleva son T-shirt pour révéler La cicatrice qu'Envy lui avait gravé.

« REGARDE-LA ! »

Sans opposé aucune résistance, Edward regarda dans la direction opposé. C'était trop dur. Finalement, il n'était pas prêt pour cette confrontation. Voyant la réaction de son frère, il reprit plus calmement et fermement :

« Edward, regarde-la. »

Sentant les larmes perler au coin de ses yeux, le blond tourna son regard vers lui. Il n'avait pas besoin de la voir, il la sentait déjà. Ainsi, il lui dit :

« Je suis vraiment désolé Alphonse, vraiment… »

Al lâcha le bras de son frère puis se mit à rire tout en se déplaçant dans la chambre.

« Tu es désolé ? Désolé de quoi ? De ne pas pouvoir retenir tes pulsions sexuelles au point de coucher avec le premier venu ? Bientôt tu vas me dire que tu as couché avec Mustang pendant qu'on y est ! »

Edward ouvrit sa bouche mais la referma aussitôt pour se ratatiner sur sa chaise et regarder ses pieds. Alphonse le vit et resta bouche bée un instant :

« Non… Non, non, non… Ne me dis pas que tu as aussi couché avec le colonel ? »

Face au silence coupable de son frère, Alphonse sentit une nouvelle colère s'emparer de lui.

« NON MAIS JE RÊVE ! En fait, n'importe qui ferait l'affaire pour toi à ce stade. Ou alors tu couches qu'avec les gens que tu dis détester ? Oh mon dieu… Quand je pense que j'ai encouragé Winry pendant tout ce temps… Mais quel con je suis ! […]»

Alphonse était parti en monologue, tournant en rond dans la pièce sans même prêter attention à Edward. Jamais depuis qu'il avait été dans cette armure il n'avait été aussi proche de devenir fou. Edward ne savait plus où se mettre, s'il pouvait disparaitre, il le ferait. Dans un trou bien profond pour aller jusqu'au centre de la planète. Ça aurait été parfait pour lui, le trou à même pas besoin d'être grand en plus. Rabattant ses jambes contre son torse, il enfouit sa tête entre ses jambes ne supportant plus ce qui se passait autour de lui. Laissant Alphonse déverser sa colère et sa haine contre lui. Il l'encaissait comme il pouvait.

« […] Ou alors tu préfères les hommes ? C'est la solution la plus logique en fait. C'est pour ça que tu ne voulais pas de Winry ! Attends… depuis combien de temps ça dure avec Envy et Mustang ? Ed ? Edward ?! »

Remarquant la position de son frère, Al se plaça devant lui et lui attrapa le visage avant de lui demander très sérieusement :

« Depuis quand tu couches avec Envy et le colonel ? »

Voilà une question qu'il aurait aimé éviter. Mais n'ayant même plus la force de mentir ou de s'expliquer, le blond répondit la vérité simple et sans artifice :

« Tu te rappelles le combat en ville contre les homonculus il y a quelques mois? Ce jour-là j'ai couché avec Envy pour la première fois. Et de nombreuses autres fois par la suite… Mustang par contre ce n'était qu'une seul fois le soir de mon anniversaire. On avait beaucoup bu tous les deux. »

Alphonse resta silencieux. Choqué. Il finit par se rassoir en face de son frère, plus calmement. Il ne le comprenait plus. Il pouvait remettre dans l'ordre tout ce que lui avait dit Envy, tous ces moments où son frère avait agi bizarrement, où il était rentré plus tard. Toutes ces sorties nocturnes étaient donc pour aller coucher avec Envy…

« Ed… Pourquoi tu as couché avec Envy la première fois ? »

Edward rougit brutalement à ce souvenir. Non. Ça il ne lui dirait jamais ! Repliant ses jambes pour y recacher son visage, il répondit la voix cassée par l'émotion :

« Excuse-moi Al, je suis désolé. »

« Réponds-moi Ed ! C'est à cause de ce marché que vous avez fait ? Envy m'en avait parlé mais je ne l'avais pas cru ! »

Alors qu'Edward avait réussi à se contenir un tant soit peu, il sentit les larmes couler le long de ses joues alors qu'il s'entendit répondre :

« Non, pas la première fois. Al, Je suis désolé. Al. Al. Al, je t'aime… »

Même s'il ne pouvait pas voir son visage, Alphonse comprit immédiatement que son frère était en train de pleurer. Accablé par la culpabilité d'avoir poussé son frère à bout, Alphonse se calma instantanément. Il laissa un moment de silence passer, le temps de se remettre lui aussi de ses émotions. Ainsi, il reprit avec ton plus doux :

« Excuse-moi, Ed. J'ai été un peu trop loin aussi. Tu sais, je ne suis qu'une armure. Je n'ai pas de sang, pas d'hormone, pas de puberté, pas de cœur… Je ne sais pas ce que ça fait d'embrasser quelqu'un. Je ne ressens aucun besoin… A tel point que souvent j'ai l'impression de perdre ce qu'il me reste d'humanité chaque jour un peu plus. Il ne me reste que des souvenirs… Si c'est vraiment un besoin urgent que tu ressens, je peux faire l'affaire aussi ? »

Edward n'entendait que d'une oreille. Ça faisait longtemps qu'il n'avait pas pleuré à chaude larme. Sa vision était brouillée, ses joues étaient rosies et il avait du mal à comprendre tout ce qu'il se passait autour de lui. Ainsi, pas sûr d'avoir bien compris, il releva la tête et répliqua :

« Quoi ? »

Se prenant au mot, Al avança sa main de métal vers son frère pour faire descendre une de jambe avant d'avancer sa main tremblante vers la ceinture du pantalon du blond. Choqué, ce dernier attrapa par reflexe le poignet de son frère avant de le regarder avec incompréhension. Al lui répondit :

« Tu sais, je sais ce que c'est quand même. On a déjà pris des bains ensemble donc je te connais aussi. Et Envy m'a expliqué beaucoup de chose quand j'étais enfermé avec lui. Je pense pouvoir me débrouiller pour toi. Pour plus que tu ne sois plus dans ce genre de situation. A moins que je te fasse mal avec mes mains en métal ? Ou alors ce serait trop froid ? »

Edward qui s'était arrêté de pleurer sous le choc reprit de plus bel avant de se jeter dans les bras de son frère surpris. Ainsi, il lui dit entre deux reniflements :

« Al… merci… Mais je n'ai pas besoin de ça... Ça n'arrivera plus jamais. Plus jamais je ne coucherai avec Envy ou Mustang. J'ai juste besoin de toi à mes côtés. J'ai besoin que tu retrouves ton corps, que tu grandisses. J'ai besoin de te voir sourire, rire ! D'entendre ton cœur battre, de sentir qu'il y a du sang chaud en toi à nouveau. Je ferai tout pour toi. »

Lui rendant son étreinte, Alphonse aurait voulu pleurer avec son frère aussi. Il fallait en finir avec ces histoires. Ils avaient besoin d'avancer tous les deux, en même temps, sans plus aucuns mensonges. Ainsi, Alphonse osa demander :

« Ed, ce « marché » avec Envy, il est toujours en cours ? »

« Non. Je l'ai arrêté il y a quelque temps maintenant… »

« Alors qu'est-ce que vous faisiez aujourd'hui ? »

Edward remercia leur position, sa tête nichée dans le coup de son frère, ainsi il ne pouvait pas voir sa gêne intense alors qu'il lui répondait :

« C'était juste pour me décharger. J'étais frustré… Je l'ai croisé par hasard et comme c'est facile avec lui, je me suis laissé emporter. Désolé que tu ais dû assister à ça… ça n'arrivera plus. »

« Et pour Mustang ? »

« Il est la raison pour laquelle je ne boirai plus jamais d'alcool… »

« Donc tu n'as aucun sentiment pour aucun d'eux ? »

Surpris par la question, Edward releva sa tête et regarda son petit frère avant de répondre :

« Non, aucun ! »

« Tu préfères… les hommes alors ? »

« Hein ? non, je ne crois pas ! »

« Tu l'as déjà fait avec un fille alors ? »

« En quelque sorte oui et non… »

Edward rougit fortement en répondant… Les expériences qu'il avait vécu avec Envy avaient été très diverses et varié. Mais il ne s'était jamais posé ces questions. Si la puberté l'avait frappé, elle ne l'avait pas frappé comme les autres adolescents… Si Alphonse pouvait rougir, il serait rouge tomate depuis longtemps ! Ainsi, il répliqua bégayant légèrement :

« Non en fait, je-je veux pas savoir ! »

XXX

Edward frappa à la porte.

« Oui, entrez »

« Colonel, bonjour. »

Edward entra dans le bureau de Mustang, habillé de son uniforme. Le saluant sans vraiment le regarder, il lui répondit :

« Quel bon vent t'amène Fullmetal ? Tu viens enfin faire ton travail ? Tu sais que je dois répondre de tes actes aux supérieurs aussi alors même si je te laisse plus de liberté pour la pierre, tu dois faire un service minimum quand même. »

« Justement, je viens pour mettre un terme à tout ça. »

Roy leva les yeux vers Edward, arrêtant toutes autres tâches. Il ne savait plus quoi dire, ainsi, tentant de rester calme il répondit :

« C'est soudain. Il s'est passé quelque chose ? »

« Ce n'est pas soudain… ça fait longtemps que j'y pense… »

« C'est… C'est à cause de ce qui s'est passé entre nous ? »

Edward rougit sur le coup, détournant le regard du visage gêné du colonel avant de répondre rapidement :

« Non, non ! Je pense que l'armée n'a plus rien à m'apporter et que ça fait un moment qu'on tourne en rond. Je ne sais pas ce que je vais faire mais dorénavant je vais me consacrer plus à la pierre et plus à mon frère qu'à l'armée… »

« Ah… »

« Ainsi, je vous rend ma montre d'alchimiste et je déposerai l'uniforme à la secrétaire avant de quitter les dortoirs aujourd'hui. »

Roy ne savait plus comment réagir. Devait-il faire une blague ? Le soutenir ? Refuser ? Tout était flou pour lui. Son cœur se serrait. Quel était ce sentiment ? Alors que tout se bousculait dans sa tête, Edward était déjà en train de déposer sa montre d'alchimiste sur son bureau et de repartir aussi vite qu'il était venu. Tout allait se finir comme ça ? Sans un dernier regard, un dernier au revoir, allait-il au moins le revoir ? Alors qu'il passait la porte, Roy se leva brusquement, posant ses deux mains sur le bureau avant de s'exclamer :

« Edward ! »

Celui-ci, qui avait déjà ouvert la porte, se retourna, levant ses petit yeux noisettes vers lui et lui demande :

« Oui colonel ? »

« Je… Je veux juste que tu sache que… si tu as besoin d'aide, il te restera toujours des amis ici. Alors n'hésite pas à faire appel à nous… à moi… »

Edward ne s'attendait pas vraiment à ça. Surpris, il répondit avec un sourire sincère :

« Merci colonel. »

« Tu peux m'appeler Roy maintenant. »

« Au revoir Roy. »

Cet au revoir au goût aigre-doux leur pesait encore sur le cœur, mais ils étaient sûr qu'ils se recroiseraient, ce n'était pas un adieu.

Après s'être remis de ses émotions, Roy décrocha son téléphone pour appeler Riza, pour lui apprendre la nouvelle mais surtout lui demander :

« Met un agent sur ses traces immédiatement. Je veux être informé de ses moindres faits et gestes. Il va surement se passer quelque chose dans les prochaines semaines... »

De son côté, Edward était décidé. Il avait fini le livre. Il avait une idée assez claire et précise de comment créer une pierre philosophale assez forte pour récupérer le corps de son frère et y ressouder son âme. Jamais il n'avait été aussi proche de réussir mais pourtant son plan possédait beaucoup d'inconnues qu'il ne pouvait pas contrôler. Ils en avaient longuement discuté avec Alphonse. Ils étaient aussi excités qu'effrayés des résultats possibles. Le livre avait bien été écrit par le premier créateur d'homonculus et surtout le premier créateur de la première pierre philosophale. Si le livre était un recueil d'expériences couronnées ou non de succès, ils avaient pu déduire que l'auteur était surement encore en vie aujourd'hui. Apparemment, créer une pierre avait comme effet secondaire de produire un homonculus à l'image de l'alchimiste. Ce qui l'amenait parallèlement à sa disparition totale. Ainsi, la première inconnue de leur plan était le destin d'Edward qui sera le créateur. Après de nombreuses discussions et de disputes sur ce sujet, ils remarquèrent un détail : l'alchimiste créateur de la pierre original était-il lui-même devenu un homonculus ? Si beaucoup de détails leur échappaient, le livre donnait l'impression que cet alchimiste avait survécu à la première pierre philosophale. Ainsi, il existerait un moyen de survivre ! Edward avait eu une idée farfelue sur la question. En lisant, il s'était rendu compte que beaucoup d'expérience étaient des petites expériences secondaires dans le but d'améliorer celles plus importantes qui amènent à la création de la pierre et de l'homonculus. Cependant, le temps entre ces expériences est de plus en plus court. Peut-être qu'au fur et à mesure de la création de la pierre, cette dernière devenait de moins en moins puissante ? Ainsi, la première aurait été parfaite, ne permettant pas la création d'homonculus, et celles d'après amènerait à de plus en plus d'effets secondaires. L'autre inconnue était pourquoi cet alchimiste avait-il besoin de la pierre ? Qu'en fait-il après leur création ? Que fait-il avec les homonculus ? Si on réfléchissait un peu, il devait surement être le « maître » de ces homonculus et les commander. Il a aussi passé les âges, il serait donc immortel. Mais comment avait-il obtenu ce pouvoir ? La première pierre ? La seconde ? Et surtout… Il était surement le commanditaire d'Envy, celui qui voulait qu'Edward créé la pierre. Il l'avait donc aidé et mis sur plusieurs pistes afin qu'il ait les connaissances nécessaires pour créer la pierre et le transformé en homonculus. Mais il ne devait pas s'attendre à ce que son frère et lui trouvent son livre d'expérience et découvrent les effets secondaires. Donc même s'ils veulent créer la pierre, ils vont devoir jouer dans son jeu pour ne pas lever des soupçons…Tout cela devenait très compliqué. Leur réussite serait surement apparentée à de la chance. Mais Edward misait tout sur une seule de ses hypothèses. Le processus de création des homonculus. Et si, la diminution de puissance de la pierre serait due aux homonculus ? Peut-être que chaque homonculus créé par la pierre serait en fait lui-même un morceau de la pierre qui se serait séparé lors de du processus de création. Cela expliquerait leur capacité hors norme de transformation et de création sans avoir besoin de cercle mais aussi leur incapacité à utiliser de l'alchimie. Ainsi, pour recréer une pierre parfaite, il suffirait « simplement » rassemblé tous ces bouts de pierre. Les frère Elric avaient l'avantage, les homonculus ne n'étaient pas au courant de leurs connaissances. Ils n'auraient donc qu'une seule chance. Si il y avait un seul problème lors de l'exécution de leur plan, alors il y aurait de forte chance que l'un des deux frères, voir les deux, n'en ressorte pas vivant…. Et c'est là qu'Envy entre en jeu dans leur plan…


Oh lalala, c'est que ça devient compliqué tout ça… au prochain chapitre il y aura une surprise pour fêter tout ça ! Et cette fois-ci je ne devrai pas mettre 6 mois pour l'écrire (se cache derrière un arbre). Je vous jure ! J'entre dans quelques semaines dans la phase « écriture de thèse » jusqu'en octobre. J'aurai bien le temps d'écrire un peu et au pire se sera entre mon rendu de manuscrit et ma soutenance donc en novembre ! Mais j'aimerai l'écrire cet été et vous le poster à ce moment-là :3 Ce serait PARFAIT !

Bref, j'espère que ce chapitre vous a plu, Nos deux frères ont mis les points sur i. On conversation qui me pesait sur le cœur depuis bien longtemps ! Ça fait bien longtemps que j'avais envie qu'Alphonse et Edward se sentent mieux entre eux, et ça fait du biiiiiiien ! Si le prochain chapitre est le dernier, il y aura surement une surprise en plus pour fêter ça :3

Et le dernier petit mot de la fin à ma beta chérie :

On sent la fin arriver et ça fait bizarre, mais c'est aussi très très excitant ! Je ne connais pas bien l'univers de FMA mais toute cette dernière partie sur les hypothèses est très intéressante, on se demande si tout va bien se passer pour les garçons qu'on a envie de voir réussir. Très curieuse de voir le dernier chapitre !