Coucou tout le monde! C'est ma première fiction publiée ici (et publiée tout court d'ailleurs .) alors j'espère qu'elle vous plaira ^^
(toute bonne fiction qui se respecte doit avoir été écrite, le début du moins, en cours de français et cette fiction n'y fait exception \o/ et contrairement à ce que vous pourrez penser ce n'est pas la prof qui m'a inspiré, loooooooiiiin de là ., c'est plutôt l'attirance du fait de ne pas écouter le cours en fait ^^''' *utakata en mode bonne élève*)
pour info, ça commence un lundi (si si, c'est important... pour la chronologie en tout cas... bon ok on s'en fout mais pour moi c'est important nah! :p)
bonne lecture! (les premiers paragraphes sont un peu imposants mais c'est une petite intro, la suite est plus aérée ^^'')
Kimi ga kureta mono
Cela allait faire prêt de 6 ans qu'ils ne s'étaient pas vus. Six années où l'absence de totale nouvelles leur avait fait oublier tout de l'autre.
Ce fut un matin assez peu banal pour Deidara. On était trois semaines avant noël. Quelques flocons voletaient dehors, emportés par un vent fort et glacial. Depuis le début de la semaine, ce temps qui semblait sans fin s'était installé. Le petit déjeuné n'était pas fameux et tenait peu au corps; un bol de céréales, du lait et un verre de jus d'orange rapidement avalés. Lorsqu'il sortit de la petite maison surchauffé, une bourrasque de vent s'engouffra dans son manteau mal fermé et souleva son écharpe avec laquelle il tentait désespérément de protéger son cou. Il était frêlement bâtit bien qu'assez musclé et tombait facilement malade. Ses cheveux blonds, qu'il aimait porter longs, étaient attachés en une queue de cheval lâche qui suivait les moindres mouvements du vent. Le lycée n'était pourtant pas si éloigné de chez lui mais il avait l'impression d'avoir quitté la chaleur du foyer depuis des heures. C'est avec son bonnet enfoncé jusqu'aux yeux, son écharpe enroulée de façon à recouvrir son visage et ses mains cachées dans son sac qu'il tenait contre lui, qu'il arriva devant le petit bâtiment où il faisait ses études.
De façon très étonnante, il était arrivé en avance, chose qui ne lui arrivait jamais. Les grilles étaient encore fermées et une petite vingtaine d'élèves attendaient en se pelotonnant les uns contre les autres et formaient des petits groupes compactes et bruyants. Ne trouvant pas ses amis parmi eux, il alla s'installer sous l'abri de l'arrêt de bus juste en face. Le vent s'y faisait moins sentir et il réussit à se réchauffer un peu, recroquevillé sur le petit banc qui s'y trouvait. Un bus s'arrêta et quelques étudiants vinrent grossir le petit troupeau devant l'établissement. Un seul, un garçon habillé bien trop légèrement pour le temps qu'il faisait, fit exception. Au lieu d'aller rejoindre ses camarades, il regarda avec des yeux rouges ennuyés les grilles encore fermées et alla s'assoir aux côtés du blond. Bien que n'ayant qu'un petit sous pull et une veste noire en faux cuir, il ne semblait pas avoir froid. Et une simple écharpe mal mise accompagnée d'un bonnet assortit cachait ses cheveux ainsi qu'une partie de son cou. Visiblement il ne se sentait pas complètement à l'aise malgré son air figé et impassible. Le blond, après réflexion, ne l'avait encore jamais vu dans son lycée. Ça devait sûrement être un nouvel élève. Bien qu'étant seuls sur leur banc, aucune discussion entre les deux adolescents ne s'établit, juste des regards curieux qu'ils s'échangeaient régulièrement. À l'instant où le roux voulut calmer sa curiosité croissante, les grilles furent ouvertes. La chose le coupa dans son élan. Mais pourtant, l'autre ne bougea pas, juste la tête qu'il tourna quelques instants vers les autres élèves qui commençaient à entrer dans le petit lycée. Puis il reprit sa position initiale, la tête dans les épaules, le nez caché dans son écharpe. Le roux se tourna alors et entama la conversation.
- T'attends quelqu'un?
- Plus ou moins, hm.
- Ah...
- Et toi, hm?
- Heu nan.
- T'es nouveau? Je t'ai jamais vu ici avant, hm.
- Oui... Et en fait ça me stresse un peu.
- Y'a vraiment pas de quoi, c'est le lycée le plus banal qui soit, hm.
- Mouai, si tu le dit...
- ...
- Tu t'appelles comment au fait?
- Deidara, hm... Toi?
- Moi c'est Sasori. Akasuna no Sasori.
- Enchanté... Hm...
Malgré le sarcasme qu'on pouvait entendre dans la voix du blond, il était content d'avoir appris l'identité de l'autre. Il avait l'impression de déjà le connaitre sans l'avoir vu avant. En plus, son nom lui paraissait presque familier.
Alors qu'il était en pleine réflexion, un géant au teint étrangement bleuté et très baraqué, un autre un peu plus petit avec l'air prétentieux et excédé et enfin un grand excité avec une cagoule qui lui masquait presque entièrement le visage s'approchèrent du petit banc avec un air menaçant. Sasori se mit à trembler et très angoissé il se tourna vers Deidara pour voir sa réaction. Le blond, contre toute attente, en les voyant approcher, sortit son portable et commença à regarder un sms qu'il venait de recevoir. Sasori étonné regarda à nouveau les trois garçons qui approchaient toujours et soudainement, le géant pris son sac qu'il portait sur l'épaule et en sortit une batte de baseball qui semblait beaucoup trop grande pour être contenue dans un sac de classe. Il l'avait toujours à la main quand ils s'arrêtèrent devant eux. Le pauvre Sasori sentait que la peur en lui était au maximum de ce qu'il pouvait contenir, un peu plus et il perdait connaissance et se soulageait dessus.
Mais alors que la tête commençait à lui tourner, il vit Dei se lever en regardant les trois autres sans ciller.
Et ce qu'il vit après fut des plus étonnantes. Alors qu'il imaginait déjà les 3 baraqués leur tomber dessus, leur prendre tout ce qui était de valeur et repartir en les laissant défigurés et inconscients, Deidara leva le point et l'entre choqua avec celui que tendait l'excité masqué puis répéta la chose avec les deux autres en les saluant comme des amis banals. Puis il se tourna vers le roux encore sous le choc.
- Les mecs, je vous présente Sasori. Il est nouveau et il a l'air sympa. Sasori, je te présente Tobi; l'excité leva le bras en hurlant un bonjour Sas' des plus amical; Kisame; là, c'est le géant qui réagit; et Itachi; le dernier le regarda simplement avec un air de supériorité qu'il ne cherchait même pas à cacher.
Alors que Sasori rendait timidement un petit bonjour, ses yeux descendirent vers la batte de baseball qui trônait encore dans la main de Kisame. Deidara le remarqua.
- Kisa, pourquoi t'as sortit ça?
- Ah ça?
Il brandit la batte.
- C'est parce que je l'avais mal mise dans mon sac et qu'elle me gênait. J'ai un entrainement ce soir et j'aurais pas le temps de passez cher moi... Pain n'est pas encore arrivé?
- Nan, il vient de m'envoyer un texto et il pourra pas venir aujourd'hui, il est malade.
Une jolie adolescente les rejoignit. Elle avait les cheveux bleus et une fleur en papier qui les parait.
- Salut, firent-ils les uns après les autres en lui faisant la bise.
Mais lorsqu'elle arriva devant Sasori, au lieu de s'étonner de sa présence et demander son identité, elle se pencha vers lui aussi et l'embrassa sur les deux joues.
- Coucou, moi c'est Konan.
Elle lui fit un grand sourire pour l'inciter à se présenter aussi.
- Heu... Moi c'est Sasori.
Deidara se mit à rire doucement en voyant son nouvel ami tout timide et en train de rosir. Le roux s'en rendit compte et rougit, cette fois ci jusqu'aux oreilles, baissant les yeux pour le cacher. Puis, en entendant la sonnerie retentir, la petite troupe partie rejoindre leurs salles de cours respectives. Juste avant que Deidara ne rentre dans la salle:
- Dit, Deidara.
- Hm?
- Je... Je sais pas trop où je dois aller...
- Faudrait p'têtre que t'ailles... Attends deux secondes, j'arrive, hm.
Le blond se dépêcha d'aller demander l'autorisation au professeur d'accompagner le nouveau, ce qui lui fut accordé.
Il revint rapidement vers le roux.
- C'est bon, viens, je t'emmène chez le directeur, hm.
Après avoir traversé un couloir et un escalier, les deux adolescents arrivèrent devant le bureau. Deidara frappa à la grande porte de bois.
- Bonjour, excusez-moi de vous déranger monsieur, hm.
- Bonjour Mr Iwa, que voulez-vous?
- Je vous ai amené le nouveau, hm...
Le nouveau en question s'avança dans la pièce.
- Je suis Sasori Akasuna.
- Ah oui, bien sûr!
Le directeur se tourna de nouveau vers le blond.
- Mr Iwa, je vous demanderais de conduire ce jeune homme jusqu'à votre classe ou il se présentera comme nouveau membre de celle-ci.
Un sourire illumina les deux visages concernés.
- Bien monsieur, merci, au revoir.
- Au revoir. Oh, monsieur Akasuna, vous reviendrez me voir après vos cours.
- Oui bien sûr.
Sasori était décidément très impressionné par ce nouveau lycée. Et semblait avoir perdu plusieurs centimètres à sa taille déjà menue en répondant.
Les deux garçons sortirent ensuite du bureau.
- Bon, on a un peu de temps alors je te fais visiter vite fait.
Il avait dit ça avec le sourire aux lèvres. Sasori le regarda en rougissant légèrement. Il avait encore toutes ses affaires avec lui et avait simplement enlevé son bonnet en entrant dans la pièce directoriale alors que Deidara avait eu le temps d'enlever tous ses boucliers contre le froid et était très à l'aise dans cet endroit qu'il connaissait, lui.
- Alors en descendant, tu trouves, là la cantine, là t'as le CDI. Par là c'est l'infirmerie et juste en face le bureau des surveillants, à coté la salle des profs. On remonte et ici c'est si t'as une petite envie, hm.
Le dernier commentaire fut accompagné par un clin d'œil.
- Tout ce qui est administration c'est le couloir où on était tout à l'heure, le même que pour le directeur, hm. Après t'as les salles de sciences à cet étage, ici celles de langues et pis là le reste, hm.
Le roux s'était laissé conduire en essayant de se souvenir des différents endroits.
- En gros voilà. De toute façon si t'as des questions, je suis là, hm.
- D'accord merci.
- T'es vraiment du genre timide toi, hm. Pourtant t'en a pas l'air quand on te voit comme ça.
- Alors que toi c'est le contraire, répondit-il en riant.
- Quoi? Tu veux dire que j'ai l'air timide et coincé, hm?
- Hihi, mais non, c'est pas ce que je voulais dire. Juste que t'as pas le physique du mec sûr de lui et qui n'a peur de rien.
- Ah bah merci, hm!
Après un petit blanc, les deux garçons qui se regardaient dans les yeux éclatèrent de rire.
- Allez, faut qu'on aille en cours maintenant.
En arrivant devant la porte, ils s'arrêtèrent.
- Ce midi, tu mangeras avec nous?
Le visage de Sasori s'illumina.
- Bah... Si... Si vous voulez bien de moi.
- Evidement, hm.
Puis ils entrèrent en souriant tous les deux. Deidara alla s'assoir à sa place tandis que Sasori expliquait sa situation au professeur.
- Vous avez donc un nouveau camarade, Akasuna no Sasori. Je vous demanderais de l'intégrer et de l'aider à s'y retrouver. Bon, pour l'instant, tu n'as qu'à t'asseoir où il y a de la place.
Le nouveau n'eut pas à chercher longtemps. La place juste à côté du blond était libre et naturellement il s'y installa.
La matinée, les cours se passèrent tous dans la même salle, l'Akasuna n'eut donc aucun problème pour s'y retrouver. Il reconnut également deux élèves dans la classe, sans compter Deidara. En effet, Konan et Itachi étaient parmi leurs camarades.
- Normalement Pain est aussi dans notre classe mais là il est malade. Je pourrais sûrement te le présenter demain, hm.
- Il est comment?
- Deidara! Ne commence pas à perturber le nouveau s'il te plait!
Deidara qui était loin de ce que l'on peut qualifier de 'pur et innocent' trouva la remarque assez drôle et un petit sourire en coin se dessina sur son visage. Pour partager son idée, il se tourna vers Sasori, prêt à lui lancer un petit 'alors comme ça je te perturbe' aguicheur, mais il s'arrêta en voyant Sasori baisser les yeux, à nouveau tout rouge. Décidément il était vraiment trop timide.
La sonnerie les libéra quelques secondes après, leur permettant de se ruer vers le self.
- Ca va Sas? Cria Tobi en le voyant. Sempai à été gentils ? Quoi ?! Mais vous êtes dans la même classe!? Pourquoi moi je suis jamais avec Sempai!? Seulement en 6ème et après non! C'est pas juste! Tobi il a jamais de chance contrairement à Sas!
Tobi continua son monologue alors que toute la bande alla s'installer à une grande table, muni chacun d'un plateau garnit. Ils avaient rejoint deux camarades que Sasori ne connaissait pas encore.
- Salut, moi c'est Hidan et celui qui fait tout le temps la gueule ou qui râle, c'est Kakuzu. Pour lui, t'inquiètes, il est comme les petits chiens, il crie beaucoup mais mord rarement.
- S.. Salut, moi c'est Sasori.
- Dis, pourquoi tu trembles comme une feuille, on va pas te manger... Enfin les gens qui sont là non, par contre ceux qui le sont pas, c'est une autre histoire. Mais d'ailleurs, il est passé ou Pain?
- Hidan tu parles trop.
- Oui et bah toi, Kakuzu, tu parles pas assez, ça équilibre. Mais tu réponds pas à ma question, l'est ou Môsieur Pain?
- Il est malade d'après Dei, lui répondit Kisame.
Sasori observait ses nouveaux amis. Ce qui le mettait le plus mal à l'aise après Deidara et le fait que tous avaient, et seulement en apparence - Jashin-sama merci, pour reprendre l'expression de Hidan-, l'air de brutes, chacun dans un genre différent. C'était que le matin, avec sa cagoule, il n'avait pas remarqué que Tobi avait des bandages sur le visage. On ne voyait que son œil droit et sa bouche qu'il ne pouvait pas garder fermée plus de trois secondes.
- Ca, hm? C'est un accident assez récent. Son père est chercheur et fait beaucoup d'expériences bizarres, hm. Tobi m'as raconté que le jour où ça lui est arrivé, il était rentré dans son labo et il avait bousculé un truc qui lui était tombé sur le visage, hm. Il s'est avéré que c'était de l'acide et du coup il a tout le visage brulé. Heureusement, ce jour-là il avait trouvé une petite loupe qui trainait je sais pas ou et quand ça lui est arrivé il la portait sur l'œil pour s'amuser. Et ça lui a permi de garder son œil droit intacte, hm. Mais il sera défiguré à vie alors évite de lui parler de ça, hm.
- Oh bien sûr dei.
- Tu m'appelles dei toi maintenant, hm?
- Ouaip... T'as quel âge au juste?
- Moi? 16 ans pourquoi, hm?
- Ah, moi aussi... Mais tu fais moins.
- Ah oui? Et bah tu sais quoi, toi, quand t'es pas tout rouge tu fais plus, sinon tu fais largement moins, hm.
- Moi je fais plus?
- Oui monsieur, hm.
- Et toi moins... T'as vraiment l'air d'un gamin même.
Pour affirmer ce qu'il disait, il se mit à rire.
- Et d'ailleurs, ça te vas plutôt bien 'gamin' !
- Comment ça !? Moi je suis pas un gamin et puis d'abord, dans ce cas, toi t'es un grand père, hm!
Cette remarque n'eut pas l'effet escompté sur le roux qui se mit à rire de plus belle.
Tous les visages de la bande se tournèrent vers eux.
- Sempai ? Qu'est-ce que Sasori trouve si drôle ?
Pour montrer qu'il n'aimait pas son surnom, en donnant des explications, Deidara croisa les bras et dit d'un air boudeur:
- Il dit que j'ai l'air d'un gamin et il veut me rebaptiser comme ça, hm!
Toute l'assemblée vient se joindre au rire de Sasori, sauf Itachi mais ce dernier eu tout de même un large sourire, chose qui lui était particulièrement rare. Il fallait avouer que l'allure qu'avait pris le blond était des plus enfantines. Et sa carrure féminine n'arrangeait rien. En reprenant les termes qu'avait Sasori à l'esprit à ce moment précis, il était 'tout simplement adorable'.
Le repas se continua dans cette ambiance festive et rieuse, si bien qu'à deux reprises, les surveillants eurent besoin d'aller leur demander de faire moins de bruit.
La journée passa et Sasori réussit à se mettre à chaque fois à côté de Deidara, excepté en anglais, ou la prof était vraiment inflexible.
La fin du cours arriva. Les couloirs commencèrent à se vider. Notre blond s'apprêtait à sortir quand il sentit une main sur son épaule. Il se retourna et là, il trouva Sasori rougissant qui le regardait.
- Heu... Il faut que j'aille voir le directeur et...
- Tu veux que je t'accompagne, hm?
- S'il te plait.
- Ok, en plus on a rien à faire pour demain, hm.
- Merci... Gamin...
Le dernier mot fit sourire Deidara.
Alors que Sasori parlait avec le directeur, le blond attendait devant la porte en jouant avec son portable.
- C'est bon, on peut y aller Dei.
Sasori venait de sortir de la pièce.
- Au fait, t'habites où, hm?
- Pas loin, à 5 minutes à pied par là.
- Mais pourquoi t'arrivais en bus ce matin, hm?
- Ah ça... Heu... Parce que ma mère voulait pas que j'ai froid, ni que je me perde.
Il rougit encore, ce qui fit rire l'autre.
- T'es trop chou quand tu fais ça hm, ajouta-t-il.
Le scorpion devint cramoisi. Et Deidara rigola de plus belle. Pour retrouver un peu de sa dignité, Sasori répliqua.
- Rhooo, ça va gamin. T'habites où, toi?
- Encore 'gamin'!? Hm! J'habite par là aussi ... DANNA! Hm!
Les yeux du roux s'exorbitèrent et ses joues devinrent plus rouges que jamais, même ses cheveux paraissaient ternes à côté.
Deidara, fière de lui, l'entraina dans la rue qui les conduirait tous les deux chez eux.
- C'est là.
- Mais, c'est juste en face de chez moi, hm.
Les deux adolescents étaient voisins, juste une petite route les séparait.
- Bon bah à demain alors, hm.
- A demain.
Ce fut sur ses mots qu'ils rentrèrent chacun de leur côté.
Un grand merci à ma bêta sans qui notre petit couple mangerait des pattes et se feraient battre à coup de peau... Entre nous, avoir un coup de peau c'est pas plus bizarre qu'un coup de pot, si? bref... Merci Shira \o/!
- ouai et pis 'satisphère' aussi, dixit Shira.
- elle remet ça sur le tapis TwT, c'était juste une petite étourderie, je sais comment ça s'écrit! Et pis d'abord, je fais pas tant de fautes que ça! Là, c'est dixit la-fille-qui-avait-tout-son-texte-souligné-en-roug e-quand-elle-l'a-mis-sur-word.
Oh et pis un autre grand merci à Shira (sauf pour ceux qui n'ont pas aimé ma fiction, petite minorité en voix d'extinction... Mes chevilles? Oui, elles vont très bien, pourquoi?) qui m'a fait découvrir beaucoup de choses (l'univers des manga entre autres et par la même occasion Naruto, fanfiction et deux trois trucs inutiles comme la chanson 'petit poney') et sans qui je n'aurais jamais écrit de fiction ici, du coup.
et comme dans toutes choses, sauf les chaises peut-être... passons, il faut du carburant pour me faire marcher -ou plutôt écrire- et en l'occurrence des reviews! alors je compte sur vous! J'en veux comme si il en pleuvait! Bon, plus sérieusement, je voudrais savoir ce que vous en pensez ^^
prochain chapitre bientôt ^^
Le petit mot de la Bêta : dur de la suivre, la Utakata, hein ? Faut pas croire, moi je suis Bêta juste parce qu'elle me paye en gâteau au chocolat et en pizzas ! Et que, accessoirement, Danna est une de mes raisons de vivre et que tout ce qui se ramène à lui positivement est important à ma survie ! C'était le premier chapitre, normal qu'il y ait beaucoup de blabla. Maintenant, je propose qu'à chaque chapitre je vous donne un titre évité de justesse !
Ze titre évité de justesse : Deux petits poneys s'aimaient (cherchez pas)