Bonjour à vous. Merci de bien vouloir lire ces quelques lignes, qui bien sûr, ne sont que le commencement de quelque chose de grand. Ne soyez pas effrayé par ce prologue un peu « à part » si je puis dire, vous comprendrez dans les chapitres suivant (que j'écris actuellement) le pourquoi de cette sorte de narration. En effet, ce prologue est narré par un personnage interne à l'histoire. Ce personnage, du nom d'Amy est un personnage inventé par mes soins pour le bien être de l'histoire. Cette fiction porte bien son nom car elle est elle-même assez loin de l'univers original du manga, bien que les personnages gardent leur caractère (le plus possible, sauf en cas de besoin). Aussi voici une petite légende qui vous aidera surement :

En italique : les divagations du narrateur (Amy dans le cas du prologue).

En gras : les paroles des autres personnages.

En normal : la narration.

Prologue :

« Notre histoire se passe dans l'ouest d'Ametris, près de la frontière. Là où la vie se faisait rare depuis la Grande Catastrophe. Le village n'avait plus de nom, plus aucun habitant non plus. Il ne restait que ruine et désolation, sous un soleil de plomb. Même les cigales avaient fini de chanter. Deux ans maintenant que tout était terminé. Mais laissez-moi vous faire le point sur les évènements récents. »

« Hé, ne me dis pas qu'en plus de raconter tout ce qu'il s'est passé jusqu'à ce jour tu vas en plus nous raconter ce qu'il s'est passé avant ce qu'il s'est passé jusqu'à ce jour ? »

Envy, en plus que ta phrase ne veuille rien dire, tu me coupe la parole. C'est très impoli tu le sais ça ? J'oubliais… Envy et la politesse… ça fait deux, voire plus, voire carrément vingt-sept puissance quatre mille… ou alors, si l'on rajoute un vecteur multiplié par la racine carré de…

« Amy ! »

Pardon…. Je disais donc :

« La fin de la Grande Catastrophe arriva avec la victoire du FullMetal Alchimist et de ses alliés. Alphonse Elric, qui avait retrouvé son corps, habitait une maison à Rasembool, avec son frère ainé Edward et sa fiancée Winry, qui eut cru que ça nabot allait grandir au point que la belle blonde veuille enfin de lui ? Pas moi en tout cas…. Bref, revenons à nos moutons, enfin à Alphonse plutôt, même si il aime bien les moutons Alphonse, quand il prenait le train par exemple il était toujours avec les moutons… Il continuait, toujours, de ramener tous les chatons abandonné qu'il croisait, sous les cris d'indignation de son frère, lui-même, toujours, menacé par une blonde tenant un énorme clé à molette dans la main. Roy Mustang, essayait, toujours, d'échapper à la paperasse qui s'entassait sur son bureau et le Lieutenant Riza le rappelait, toujours, à l'ordre, un flingue sur la tempe. Bref, tout allait bien dans le meilleur des mondes.

« Et, quand on y pense, pour les Homunculus c'était presque la même chose. Bien que tout le monde l'eut pensé, ils n'étaient pas mort, en aucun cas. Ces bêtes là, ça ne crevait pas facilement. Pourtant, ils cessèrent leurs activités impitoyablement sanguinaires. » Au grand damne de notre schizophrène psychopathes préféré que j'ai nommé Envy.

« … »

Ça va t'énerve pas, c'est une blaguounette !

« En effet, n'ayant plus de « Père » à qui obéir, les Homunculus s'étaient réuni dans le but de couler des jours tranquilles dans l'arrière-pays. »

Bien que Gluttony eut toujours faim et se plaignait souvent, Wrath, qui abandonna le nom de King Bradley, se vit pousser un côté paternel qui emmerdait au plus haut point notre pauvre Pride, enfant mécontent qui d'ailleurs se vengeait sur les belles robes toute neuves que Lust avait eu du mal à trouver. Surtout qu'elle préférait grandement la marque Ouroboros à celle…Bref, je m'égare…

« Je vous en prie, faite-là taire ! Ce n'est pas une narration ça, c'est un supplice ! »

Envy, si tu n'es pas content, j'arrête tout ici et il n'y aura plus du tout d'histoire… Voilà qui est mieux. Bien. Je reprends depuis le début, enfin un peu après, quoi que… Bien, nous disions donc :

« Notre histoire se passe dans l'ouest d'Ametris, près de la frontière. Là où la vie se faisait rare depuis la Grande Catastrophe. Le village n'avait plus de nom, plus aucun habitant non plus. Il ne restait que ruine et désolation, sous un soleil de plomb. Même les cigales avaient fini de chanter. Pourtant, au milieu des vestiges de la vie passée, il restait un bâtiment qui, intact, subsistait encore. Au beau milieu de ces décombres, trônait fièrement une grande maison de pierre. Comme pour le reste de la commune, la verdure et le lierre avait recouvert une bonne partie de la façade, s'incrustant entre les vieux pavés et les briques instables. C'est dans cette maison que commence notre paisible histoire. Enfin, c'était son compter sur moi pour foutre un merveilleux merdier… qui l'eut cru ?»

« Eh bien, c'e n'est pas trop tôt, on va pouvoir commencez ? »

Oui, oui, on commence Envy, on commence. En même temps, si vous m'interrompez toutes les trente-sept seconde je ne peux rien y faire. Regardez, vous allez finir par lassez le lecteur avec vos écarts. Il faut suivre le script…

« Amy, c'est l'heure de manger ! Qu'est-ce que tu fiche encore ?! »

Sérieusement, si Lust s'y met, on ne va jamais y arriver, jamais…