Bonjour à toutes! J'ai peu de choses à vous dire, mis à part le fait que j'espère que vous apprécierez Elle est lui... Je sais que ce titre existe déjà, mais je n'ai pas trouvé mieux, je m'en excuse. Bonne Lecture!

-C'est une joie de vous accueillir ici en...

Le vieux barbu venait de commencer son discours, je ne l'écoutais que d'une oreille. Pas parce que je ne voulais pas, parce que avec toute sincérité, j'ai passé une bonne partie du voyage à me demander s'il aborderait ou pas le sujet de la guerre. Ce n'est pas que mes passe-temps soient aussi ennuyants et sans intérêts, mais je n'ai pas pu m'en empêcher, coincée entre Gil et Devon. C'est que ces deux-là me fichent carrément la poisse, surtout lorsque j'oublie à quel point il est possible de grandir et de gagner en muscle autant en un seul été. Le problème, c'est qu'ils me considèrent tous les deux comme leur ami (a.k.a esclave). J'ai bien dit ami, parce que non seulement me prennent-ils pour leur elfe de maison personnel, mais ils me croient aussi comme l'un des leurs, un mec. Tout comme l'ensemble de Poudlard, au fait. Ah ah, dit comme ça j'ai l'impression d'être connue par une bonne totalité des élèves. Ce qui, je vous l'assure avant que vous ne vous faites des idées, n'est pas le cas. En effet, je suis un tantinet plus connue que certains autres, dû au fait que l'on me retrouve assez souvent en compagnie de ces deux bouffons Serpentariens capables de faire mouiller le pantalons de n'importe quel premier année par le seul intermédiaire d'un regard. Hélas, ce n'est pas parce qu'ils ont une tête à faire peur, ce qui m'arrangerait énormément. De ce fait, on cesserait de me confondre pour un gnome à leurs côtés. C'est qu'ils sont assez beau voyez-vous. Faisant tout deux partit de l'équipe de quidditch, ils sont assez forts, aussi. Ce qui est à mon avantage, sans oublier, la raison principale pour laquelle je me laisse traiter comme tel par eux. Une très bonne protection dont je nécessite le besoin, dans ma situation.

Un silence pesant me fit sortir de mes réflexions. Le regard bleu perçant du vieux fou survolait la pièce pendant un moment, puis il termina enfin son discours sur une note faussement joyeuse. Les autres y crurent peut-être, mais pas moi. Aucune chance qu'il ne soit pas inquiet avec les rumeurs qui, dès le premier jour, se promenait parmi les étudiants. Comme quoi, le recrutement Mangemort avait déjà commencé, et que certains élèves ne tardaient pas à les rejoindre. Personne n'osait en parler, mais nous avions tous peur. Je n'étais pas l'exception. Alors que les applaudissements résonnaient dans l'ensemble de la grande-salle, j'enfonçai mon visage sur la table de bois sans me garder de soupirer. Chaque années à Poudlard me semblaient comme un interminable enfer depuis la première année, encore aujourd'hui. Constamment sur mes gardes, constamment effrayée que mon secret ne vienne à jour.

Depuis générations après générations, le premier né des Cogswell avait toujours été de sexe masculin, sans aucunes exceptions. Jusqu'à il a seize ans, lorsque je suis sortie hors du ventre de ma mère, tant attendue, et pourtant, si décevante, si humiliante, lorsqu'ils n'aperçurent pas le paquet voulu entre les deux jambes.

Si l'on me demandait de qu'elle façon, depuis autant de temps, les Cogswell étaient parvenus à avoir un garçon comme premier né en ayant que moi comme exception, je vous répondrais que je ne le sais pas. Mais très franchement, je sais mieux que n'importe qui à quel point ces gens sont capables de faire des choses dont on ne souhaiterait même pas s'imaginer. Étant la plus grande honte de l'histoire des Cogswell, je m'y connais parfaitement bien dans le sujet. Sans parler du fait qu'ils me poussent à ne pas montrer aux autres ce que je suis vraiment, chose qui jusqu'à maintenant avait toujours fonctionné. On peut remercier mon absence de poitrine pour cela. Notre famille étant basée sur l'honneur et les traditions, ils ont trouvés le moyen de ne pas nuire à leur réputation sans avoir à m'abandonner sur un coin de rue moldu comme l'avait suggéré ma tendre, sans oublier charmante grand-tante.

Il me serait trop facile de les détester, mais honnêtement je suis juste reconnaissante qu'ils ne m'aient pas abandonnée. Je sais à quel point la chose aurait été facile. Bon, je l'admets, j'aime bien penser en mal d'eux dans ma tête, ce qui n'est pas vraiment un secret. Après tout, je ne suis pas parfaite.

Cela dit, j'ai toujours fais de mon mieux pour ne pas les embarrasser encore plus. Entre autre, supplier le Choixpeau qui devait être défectueux à ce moment-là, tenant compte du fait qu'il voulait m'envoyer du côté des lions. Comment pouvait-il ne pas comprendre que j'étais loin d'être courageuse, alors que je me cachais en permanence des autres, et me conforme depuis la naissance selon la volonté de ceux qui m'ont poussée à vivre dans une peur constante?

- Tu ne manges pas? me demanda Devon en me donnant un coup de coude sans contrôler sa force.

Je ne lui répondis pas immédiatement, m'efforçant de supporter la douleur de mon mieux, mais ne croyez pas qu'il s'arrêta là. Oh non, le dictionnaire de Devon Jenkins ne contient pas le mot «s'arrêter», à moins que nous ne l'arrêtions nous-même. Il répéta son action une seconde fois, encore plus fort par contre.

- Non mais tu me lâche? dis-je en le frappant à mon tour.

Pas très mature, je sais. Je n'ai pas pu m'en empêcher. Encore là, je ne gagnai qu'à le faire rire comme un imbécile, la bouche grande ouverte.

- Tu te bas comme une fille, s'esclaffa-t-il.

- Pardonne-moi, je ne savais pas que nous nous battions, lui répondis-je en pesant sur les fausses excuses.

- Cal qui se bat, ça je demande à voir, pouffa Gil qui, jusqu'à maintenant était resté étonnamment silencieux.

Normalement, on n'entend que lui discuter de ses vacances e-x-t-r-a-o-r-d-i-n-a-i-r-e-s. Oui puisque, si Gil Leverton est concerné, mais elles ne peuvent que l'être!

En même temps, c'est probablement parce qu'il nous en a assez cassés les oreilles dans le train, je ne m'en plaindrai pas.

Ne craignez rien, ces mots ne viennent pas de moi, mais de mon très cher ami narcissique ici présent.

- Maintenant que j'y pense, on ne t'a jamais vu dans une vraie bagarre, assez étonnant venant de toi.

Je ne savais pas que je genre de chose était nécessaire dans la vie d'un homme. Mais quelque chose d'autre dans ce qu'il venait de dire piqua mon attention.

- Que veux-tu dire par «quelqu'un comme moi»?

Ils se regardèrent tous les deux en cherchant à me répondre, comme si leur cerveau était connecté l'un à l'autre, ce qui se produit assez souvent soit dit en passant.

- Je dirais... ton mauvais caractère? Répondis Gil en regardant Devon qui hochait de la tête le plus sérieusement que je ne l'aie jamais vu.

Très gentil. Non vraiment, c'est toujours agréable de savoir qu'aux yeux des autres, nous sommes aussi bons qu'un vieux troll des montagnes.

Juste à cette pensée, j'ai l'impression de confirmer leur dit. Suis-je vraiment comme ça?

J'ai l'impression que mon existence entière n'est qu'un incroyable mensonge.

Ironique venant de moi, je sais.

Je laissai échapper un gémissement typiquement masculin avant de reposer la tête sur la table entre quelques assiettes sans avoir peur de me prendre quelque chose dans les cheveux, l'avantage d'avoir les cheveux courts. Après un court moment de silence, venant de moi bien évidement puisque les deux autres continuaient de se parler entre eux de je-ne-sais-quoi-et-je-m'en-fou, Gil osa. Il osa dire la seule et unique chose qu'il n'aurait jamais dû me dire. La chose que je redoutais depuis toujours. Il est vrai que d'autres l'avaient déjà pensé et même chuchoté, mais jusqu'à maintenant, personne n'avais osé me le dire en face.

- Hé, Devon, comme ça, tu ne trouves pas qu'il a des airs d'une fille sur les côtés?

Ces mots restèrent en suspense dans ma tête, comme si mon cerveau n'arrivait pas à croire ce qui venait de se passer. J'en eu des frissons qui me parcoururent graduellement le corps. La sensation que l'on ressent lorsque l'on tombe, lorsque la température de notre corps nous semble se refroidir. J'avais l'impression de me retrouver en première année, lorsque j'étais si terrifiée que je n'osais pas dire un mot, de peur de me trahir, que l'on comprenne ce que je suis réellement. La peur de tout.

- Ah ah ah, tu as raison, lança Devon, hilare, en me tapotant l'épaule, quitte à la décrocher, tu te souviens lorsqu'en première année, on croyait vraiment qu'il s'était trompé de dortoir? Continua-t-il, sans être capable de stopper ses éclats de rire, sans l'exception de Gil. Je décollai ma tête de la table pour y abattre fermement mon poing. Quelques secondes passèrent avant que je ne dise quoique ce soit, ce qui donna le temps à ces deux tarrés de se calmer, surpris. Un exploit.

- Vous vous croyez drôle?

Sous leur regard niais, je quittai la grande-salle d'un air dur et froid. Du moins, c'est ce que je voulais, dans le but de cacher mes yeux humides par la peur qui s'était transformé en rage. En colère par le fait qu'ils se soient moqués de moi, qui de plus est sur un sujet qui m'est délicat. Je sais très bien qu'ils ne le savent pas, mais, dans une utopie, où ils le saurraient et ne me jugeraient pas, je ne serais pas étonnée de savoir qu'ils se moqueraient encore plus de moi, et c'est peu dire. Après tout, je ne suis qu'un elfe de maison pour eux, un avec lequel on discute nonchalamment, mais qu'on demande tout de même son petit déjeuné au lit en ces délicieuses grasses matinées du dimanche.

Maintenant que j'y pense, j'ai l'impression d'avoir surexploité le mien.

Ces réflexions sur mon elfe de maison réussirent à calmer légèrement mes émotions fortes, ainsi, mes larmes ne coulèrent pas, sans disparaitre de mes yeux. Je savais qu'à l'instant où je clignerais des yeux, ma faible réputation s'écroulerait en quelques secondes seulement, et mon secret serait peut-être même su. Heureusement pour moi, les autres élèves se retrouvaient tous dans la grande salle. S'il y existait quelqu'un qui verrait ces larmes, solidement attachées à mes yeux, ce serait bien mimi geignarde, et elle uniquement, lorsque je mettrai finalement les pieds dans les toilettes les moins visités de toute l'école.

Si j'arrive à m'y rendre.

Je ne sais pas.

C'est sûr, je n'y arriverai pas. Pour la simple et bonne raison que les plus grands bouffons de tout Poudlard, surpassant, et de loin, mes deux faux amis, me bloquent le chemin. Certes, je me moque royalement de ce que James Poutine, Remus Lapin, Peter Pettigros, et particulièrement, Sirius Rose, peuvent bien penser de moi. Oui, même si un certain imbécile m'a pourtant vue des dizaines, je répète, dizaines, de fois, et que celui-ci ne souvient pas de mon visage envieux sous le sien incroyablement bea-, je veux dire, laid! durant les quelques soirées de sang pur auxquelles il avait participé avant de partir se réfugier chez son meilleur ami.

Je reniflai, malgré moi. Vulgaire réflexe lorsque j'ai les larmes aux yeux. Chose qui, au fait, se produit très, très rarement.

Quatre têtes surprises se retournèrent dans ma direction, leur corps tendu me prouvait qu'ils étaient sur leurs gardes.

Ce n'est qu'une hypothèse, mais quelque chose me dit qu'ils préparent un mauvais coup. Ou bien, un bon coup, selon les points de vus. Pour ma part, voir le visage de Severus après quelques de leurs meilleurs exploits m'a toujours fait éclater de rire. Intérieurement, bien entendu. N'exagérons tout de même pas. Quoique, comme le dirais si bien Gil, rien ne venant de leur part ne peut être bon. Chose à vérifier. S'ils me laissent renquille pour ce coup-ci, je leur laisserai peut-être un peu de crédit. Allez Merlin, va-y, tu peux le faire! Aide-moi!

-Euh... Cogchose?

Décidément, j'y vais avec mon hypothèse personnelle: Merlin est un vieux pervers. Ah non, vous ne croyez pas? Et comment expliquez-vous le fait que les gens au physique remarquable aient plus de chance que les autres? Si vous voulez mon avis, il ne fait que favoriser ceux qui sont exceptionnellement beaux, tout comme Black... Je veux dire... ah et puis on s'en fiche.

Black est canon. Voilà, je l'ai dit.

- Cogswell, le corrigeai-je d'un ton las.

Il laissa échapper un rire nerveux, chose que je croyais impossible de sa part. C'est qu'il a toujours l'air si sûr de lui. Je l'admets, c'est une chose, la seule, en fait, dont j'envie de sa personne. Non, en fait, la deuxième. Ça et ses gènes. Avouons-le, les Black avaient tous été dotés d'un physique incroyablement injuste. À croire qu'ils étaient tous liés à une licorne.

Ah ah...

Je me décourage moi-même.

Ils commencèrent tous à se regarder nerveusement, comment s'ils avaient trouvés le moyen de communiquer mentalement.

- Dis... tu ne vas pas nous dénoncer pas vrai? Commença Petitgros.

-B-Bien sûr que non, Cogswel n'est pas du genre à faire ça, si? Ajouta Lapin en me regardant du coin de l'œil.

Ah, je vois.

Je me mise à observer autour d'eux correctement. J'y découvris une cage infestées de lutins de cornouailles endormis, heureusement.

Comment avais-je fais pour ne pas avoir remarqué cette bande de rats bleu plus tôt? Ne me le demandez pas.

Je levai le menton et croisai les bras.

- Qui sais, lançais-je d'une voix hautaine.

Allons, je ne pouvais pas assister à un évènement comme tel, les maraudeurs dans une situation aussi désavantageuse, sans en tirer à mon profits, ou du moins, à m'amuser un peu.

- Ah, allez Cogswell, ne me dit pas que tu n'obtiendras pas de plaisir en observant McGonagal se faire pourchasser par ses bestioles! dis Potter.

Il a un point.

Comprenez bien. Je n'avais rien contre leurs tours tans qu'ils ne m'affecteraient pas moi et mon secret. Mais je ne pouvais pas manquer l'opportunité de les torturer un peu. Et surtout Black.

Surtout lui.

Je posai un vif regard en direction du concerné qui avait perdu tous intérêt avec la conversation et s'amusait maintenant à taper d'un doigt contre la cage comme on le ferait avec un aquarium.

Son copain binoclard lui donna un coup de coude et il se retourna vers moi, choqué par le fais que je le regardais ainsi.

- Quoi encore, t'as un problème Cog...

- Cogswell..., l'aida Lupin.

Si nous étions dans l'un de ses dessins animés moldus, je jure que l'on aurait pu apercevoir une fumée grisatre sortir de ma tête, tête qui aurait pris un ton écarlate tant je bouillonnais de rage.

- Black! lâchais-je en pointant agressivement un doigt en sa direction, si tu veux vraiment que je ne vous balance pas toi et tes copains... tu vas devoir me laisser te frapper au moins cinq fois!

Il eut un court silence.

- Euh, c'est une mauvaise blague? lança Potter.

- Je ne plaisante pas avec les imbéciles.

Il voulut répliquer mais je ne le laissa pas.

- Et cela, sans que tu sache quand ni où. Cinq fois, répétais-je.

Je dois l'admettre, là, je suis plutôt fière de moi. Je mentirais si je disais ne jamais avoir fantasmé de le frapper plusieurs fois, mais jamais n'avais-je cru y arriver réellement. Et dire que ça m'est sorti comme ça, tout seul.

Il parut sonné pendant un moment, le temps que son cerveau analyse ce que je venais de lui dire.

- T'es malade, tu crois vraiment que je vais te laisser faire ça?

- C'est aller un peu trop loin, ajouta Lupin en fronçant un sourcil.

- Alors ça ne vous dérangera pas si je m'en vais avertir Mcgo...

- Attends!

Je me retournai avec un sourire satisfait.

- Je suis préfet les gars, je ne peux pas la laisser faire ça, ça pourrait me couter... dit Lupin en se retournant vers ses trois meilleurs amis.

Eh bien. L'un des quatre a finalement trouvé le moyen de faire fonctionner son cerveau. Bien fait pour lui.

- Quoi? Tu préfèrerais que je me fasse frapper par un Serpentard? Répondit Black, purement dégouté rien qu'à cette pensée.

- Il a raison, ajouta Potter en faisant mine de réfléchir, et puis, imagine ce que notre réputation en prendrait si jamais nous ne ferions rien cette année?

Je retins un éclat de rire sous l'expression scandalisée de Black. Mon seul regret était que ce serait probablement la dernière fois que je le verrai avoir une réaction pareille. Autant en profiter tant que j'y suis et apprécier le moment.

- Fais le pour tous ceux qui nous attendent Sirius, qui sommes-nous pour les décevoir comme ça! Dit Pettigrew.

Je cru vomir un peu dans ma bouche. Il est vrai que les maraudeurs ont de multiples fans, féminines surtout, mais je préfèrerais me faire frapper par un magicobus une centaine de fois avant que ces bouffons ne se retrouvent à être les rock stars qu'ils se croient être.

- Attendez, vous ne pouvez pas être sérieux!

- Six pour me faire perdre mon temps.

Black se détourna de ses amis pour me faire face, fâché comme je ne l'avais jamais vu plus tôt. J'eu envie de reculer un peu mais je me forçai à rester sur place. Autant mourir que de le laisser me voir avec des airs de faiblarde.

J'entendis Lupin soupirer avant de prendre la parole.

- Et si on changeait les choses un peu? On n'est pas obligés de tomber dans la violence pour quelque chose comme ça...

Je levai les yeux au ciel. Je savais que c'était trop beau pour être vrai.

- D'accord.

- D'accord?

- Puisque je suis quelqu'un de généreux.

Black sembla surpris.

- Tu es d'accord pour nous laisser aller comme ça? Demanda Pettigrew d'une voix peu convaincue.

- Ah, ne sois pas ridicule. Si Black est prêt à faire tous mes devoirs pour le reste de l'année je crois être capable d'y penser.

- Trois jours, négocia Potter en ignorant le regard de son meilleur ami.

- Un mois.

- Une semaine.

- Vendu.

Un instant. Est-ce que cela voulait dire que j'allais être prise pour le revoir encore une fois?

Allais-je être forcée de lui adresser la parole à nouveau?

Oh Merlin, dans quoi m'étais-je embarquée.

Wow! J'avais complètement oublié cette histoire. Dire que je l'ai retrouvé en faisant le ménage dans mon ordinateur! Enfin! Je suis vraiment contente de l'avoir retrouvée, parce que j'aime bien Cal. Qu'en pensez-vous?Pas que ce soit une méthode subtile pour avoir votre avis en review, non non non!