Ah que coucou bande de gens ! Devinez qui est revenue des limbes pour vous desservir ?!

BIBI ! 8D

Herm ... Plus sérieusement, vraiment désolée pour ce retard ... Je n'ai pas vraiment d'excuses si ce n'est des tonnes de trucs à faire, une bonne grosse flemme et ma play qui me fait de l'œil ... Hahaha ...

Vous avez le droit de m'assassiner !

Sinon, chapitre 19, te voilà ! Comme tu as été chiant à écrire ! J'espère donc qu'il vous plaira, vu comme il m'a fait suer sang et eau pour le boucler ! #AuteurÉternellementInsatisfaite
D'ailleurs, remerciez RyuShyki pour sa patience à toute épreuve et pour m'avoir convaincu que ce ... truc ? n'était pas si mal que ce que j'en pensais.

Sur ce, bonne lecture !


Chapitre Dix-Neuvième

Ralliement


Un soldat, hors d'haleine, entra précipitamment dans le bureau de l'Amiral en Chef, visiblement plus que paniqué.

- Monsieur ! Un rapport de Marie-Joie !

Sakazuki leva les yeux du document qu'il étudiait jusqu'à maintenant, se demandant vaguement ce qui pouvait bien mettre le messager dans un tel état. Il songea d'ailleurs que si la raison n'était pas suffisante, il allait le faire purement et simplement griller.

Il l'enjoignit donc à délivrer son rapport d'un mouvement du menton, se calant plus confortablement contre le dossier de son siège alors qu'il tira longuement sur son cigare.

- Akagami lance un assaut sur la capitale mondiale ! Et il n'est pas seul ! On recense plusieurs dizaines de bâtiments Pirates !

Le chef suprême des armées faillit s'étouffer alors qu'il tira trop fort sur sa sucette à cancer sous le coup de la surprise.

- QUOI ?! hurla-t-il en se relevant, renversant son fauteuil dans sa hâte.

Le Marin face à lui se ratatina sur lui-même, terrorisé à la simple idée d'avoir à tâter de la fureur de son supérieur. Mais il n'eut pas le temps de développer d'avantage qu'un de ses collègues déboula à son tour dans la pièce.

- On nous confirme la présence des Équipages du Bartho-Club, du Captain Eustass Kidd, des orphelins de Barbe Blanche mais également ceux des Yonko Big Mom et Kaido ! Nous attendons encore confirmation, mais il semblerait que les Navires de Barbe Noire et d'autres Supernovas aient été vu au large des côtes de Marie-Joie ! De plus, énormément d'Hommes Poissons ont été aperçut à la surface et l'ancien Corsaire Jinbei serait à leur tête !

Cette fois, le cigare d'Akainu fut victime d'une combustion spontanée tant son fumeur traversait un état de rage.

Où ?! Quand ?! Comment ?! Et surtout, pourquoi n'apprenait-il que maintenant qu'un tel mouvement de foule avait lieu ?!

Un troisième messager pénétra dans son bureau dans un crissement de semelle, tout aussi essoufflé que les deux précédents.

- Amiral en Chef ! Roronoa Zoro est à Marie-Joie, Le Roux et le Phoenix à ses côtés ! Il ordonne la libération immédiate de Monkey D. Luffy sous peine de tout raser !

Il y eut deux secondes pendant lesquelles, le temps sembla suspendu. Puis, l'un des soldats se pencha vers les deux autres et leur souffla :

- Mais … Mugiwara est mort, non ?

Un fracs monstrueux coupa court à toute tentative de réponse; Sakazuki venait de littéralement fracasser son bureau, lequel commençait déjà à se consumer.

- Contactez tous les Amiraux et Vice-Amiraux ! tonna-t-il en posant un regard assassin sur les trois hommes au garde à vous devant lui. Qu'ils mettent immédiatement le cap sur Marie-Joie ! Et faites-moi apprêter un Navire, je m'y rends moi-même !

Il passa le pas de la porte, bousculant ses soldats d'un coup d'omoplate aussi bouillonnant que sa fureur. Il s'arrêta cependant une seconde, pour demander par dessus son épaule.

- Avons-nous des gradés sur place ?

- Euh … Le Vice-Amiral Smoker, monsieur. Lui et le G5 viennent de livrer un prisonnier au Conseil des Cinq Étoiles.


OoOoO


Smoker ne comprenait pas. Plus que cela même; il était incapable du moindre geste alors que la cloche de Marie-Joie s'effondrait sur les soldats trop proches et que leurs appels au secours remplaçaient les tintements du beffroi.

Il les voyait pourtant, cet horizon de pavillons noirs, cet océan de voiles ornées de têtes de mort, ces équipages pirates se jetant tous à l'assaut de la Terre Sainte. C'était juste qu'il ne comprenait pas pourquoi.

Un putain de pourquoi qui lui restait en travers de la gorge. Ce débarquement n'avait tout simplement aucun sens.

Récupérer Monkey D. Luffy ? Et puis quoi encore ? Ressusciter Ace au Poing Ardent et Newgate tant qu'on y est ?! N'importe quoi cette histoire !

Alors il ferma fortement les yeux, se massant son crâne endolori.

Ou les pirates étaient devenus subitement suicidaires, ou il y avait anguille sous roche. Et quelque chose lui disait que si Roronoa avait fait le déplacement pour venir récupérer son Capitaine en personne et en rameutant les plus grands noms de la Piraterie, ce n'était pas pour venir mourir en grande pompe !

Sur sa droite, il entendit sa lieutenante l'appeler puis lui demander ses instructions, le ramenant sur terre.

Il rouvrit les yeux et serra plus fort ses mâchoires sur ses deux éternels cigares.

- Aidez les blessés. Emmenez-les vers les hauteurs.

- Mais le palais ne nous laissera pas rentrer … commença Tashigi.

- Je m'en contrefous.

Oh oui, il se branlait complètement de ces planqués de Dragons Célestes et de leur principes à la con. Les hommes assurant leur protection étaient en train de se faire massacrer, alors il n'allait pas se priver pour aller allègrement défoncer les portes du Palais Sacré pour les mettre en lieu sûr. N'en déplaise à ces toquards !

Il connaissait suffisamment les Pirates ayant fait le déplacement pour savoir qu'aucun d'entre eux ne partira d'ici sans le gamin au Chapeau de Paille. Que ce soit Shanks, Marco ou même Roronoa, il savait parfaitement de quoi ces types étaient capables lorsqu'ils étaient remontés. Et il était près à parier ce que vous voulez que lesdits types étaient plus que remontés.

Quand à remettre en doute la parole du Gouvernement Mondial vis-à-vis de la mort du Mugiwara … Ça restait quand même plus plausible qu'un suicide massif du côté adverse. Carrément même.

À nouveau, son bras-droit le tira de ses réflexions, tirant sur sa manche d'uniforme. Le Chasseur Blanc baissa donc les yeux vers la jeune femme, laquelle fixait la mer derrière eux.

- Ça … ça ne serait pas le vaisseau amiral des Révolutionnaires ?

Manquant de se déboîter les cervicales, le Chien Fou fit volte face, dardant ses pupilles sur l'immense bâtiment fendant les eaux dans leur direction.

Et rien qu'en posant les yeux sur la figure de proue, un gigantesque dragon à la gueule rugissante, il su qu'il était dans la merde.


OoOoO


Sanji tira une longue bouffée sur sa cigarette, le regard rivé sur le rivage lui faisant face alors que l'excitation du combat à venir coula dans ses veines, faisant trembler ses mains.

Devant lui, la plage n'était plus qu'un chaos inimaginable; les Marins tentaient vaille que vaille de maintenir leurs rangs, littéralement anéantis par les forbans en présence, tandis que les Pirates se massaient de plus en plus sur les galets, débarquant en nombres des bâtiments battant pavillon noir recouvrant l'horizon.

Un petit rire lui échappa alors que d'une pichenette, il dégagea son mégot encore fumant pour se diriger vers la proue du navire. Là, l'attendaient Ivankov, Inazuma, Sabo et Dragon lui-même, les trois premiers visiblement prêts à en découdre alors que le dernier ne se contentait que de fixer le carnage se déroulant sur la plage. Le grand patron des Révolutionnaires détourna néanmoins son attention des combats pour la poser sur la Jambe Noire.

- On peut difficilement reculer… fit-il, la mine sombre. Vous êtes prêts ?

Sabo frappa sa paume de son poing, plus que motivé à l'idée de casser des gueules.

Sanji lui, perdit son regard dans la foule en ébullition devant eux. Quel bordel, juste pour son Capitaine …

Il finit lui aussi part reporter ses prunelles d'azur sur le Leader de l'Insurrection, lui répondant d'un hochement de tête déterminé.

Puis, il fléchit les genoux, sentant le bois du pont craquer sous la pression qu'il exerçait et s'envola vers le champ de bataille, les trois Lieutenants de Dragon sur les talons.

Ce dernier croisa les bras en suivant la silhouette noire du regard, jusqu'à ce qu'elle se ne noie dans la cohue des affrontements.

.

- Ce Roronoa … Peut-on vraiment lui faire confiance ?

- Je ne serais pas là si ça n'était pas le cas.

.


OoOoO


- Ça, c'est c'que j'appelle un sacré bordel ! ~

Installé à la proue de son navire, Kidd promena son regard ambrée sur le carnage se déroulant sous ses yeux. Un vrai massacre, comme il les aimait. Rien que pour ça, il était content d'avoir fait le déplacement. Les réjouissances promettaient d'être grandioses s'il y avait déjà un tel boxon à son arrivée !

Restait plus qu'à avoir sa part ! Ce qu'il allait faire sur le champ, faisant craquer sa nuque, un immense sourire étirant ses lèvres.

Ça allait chier des bulles carrées ~

Concentrant son pouvoir, il attira à lui toutes les armes des soldats combattant à proximité, les agençant afin qu'elles forment un gigantesque bras, qu'il fit immédiatement s'abattre sur les rangs ennemis. Les cris de douleur retentirent aussitôt à ses oreilles, le faisant hurler de rire.

Oh oui, il avait bien fait de faire le trajet ! Ça en valait carrément le coup !

- Putain, Eutass-ya … La discrétion, tu connais ?

Cessant de s'esclaffer, il se tourna vers son invité, son sourire carnassier étirant encore d'avantage ses traits.

- T'es qu'un enfoiré de rabat-joie Trafalgar. J'suis pas v'nu pour être discret, moi. Si t'es pas content, vas t'planquer ailleurs, j'te retiens pas.

Il entendit distinctement le Capitaine du Heart jurer alors qu'il réajustait la capuche de son manteau sur son crâne.

Voir de ses yeux si le Mugiwara était effectivement en vie, d'accord. Par contre, mettre ouvertement des bâtons dans les roues du Gouvernement qu'il essayait de se mettre dans la poche, un peu moins. Il savait qu'il aurait dut embarquer avec Bonney …

En parlant de la rose, il la vit sauter de son bâtiment, sabre au clair et beuglant à qui voulait l'entendre qu'elle allait éventrer tout ce joli monde, immédiatement imitée par l'ensemble de ses hommes.

Mouais, pas un exemple de discrétion non plus, la d'moiselle.

Le brun soupira longuement avant de darder ses pupilles d'acier sur le capharnaüm qu'était devenu le rivage de Marie-Joie. Il devait bien reconnaître qu'Eustass avait raison … c'était un sacré bordel.

Les Marins étaient littéralement submergés, débordés sur tous les flans. Le lagon était entièrement bouché par les navires pirates, qui arrivaient encore, se massant dans la crique. Ils étaient d'ailleurs si nombreux qu'il doutait que les derniers arrivants puissent être capable de poser pied à terre.

Sur ce coup-ci, la Marine et à plus forte raison, les Dragons Célestes, n'avaient aucune autre échappatoire possible que de céder aux exigences du Second des Chapeau de Paille. Si Monkey D. Luffy était vivant, il leur fallait le rendre.

- Les gars, armes au clair ! Reprit la voix du rouquin. On est pas v'nu ici pour faire de la figuration ! Trucidez-moi tous ces bons à rien !

Un hurlement d'approbation répondit aux ordres du Captain Kidd alors que son équipage s'élança à son tour sur les galets de la capitale mondiale. Le roux, lui, se tourna vers le Chirurgien de la Mort, son éternel sourire toujours ancré sur ses lèvres.

- T'as l'droit de faire d'la figuration, toi. Pas b'soin d'une midinette dans ton genre ici ~

Ce fut autour de Law de voir ses lèvres s'étirer en un rictus tordu. Rester planqué alors qu'il s'était tapé tout le voyage avec ce crétin ? Hors de question !

Il remonta le col de son pull sur son menton et glissa ses mains dans ses gants, histoire que ses tatouages ne le trahissent pas, puis se saisit de son nodachi, s'avançant vers son comparse à la tignasse rouge.

- J't'emmerde. Souffla-t-il en arrivant à sa hauteur.

Puis il sauta lui aussi sur la plage, tirant Kikoku de son fourreau.

Si Eustass pensait avoir le monopole du massacre, il se fourrait le doigt dans l'œil, jusqu'au coude.


OoOoO


Un kick. Se baisser. Esquiver. Se redresser. Enfoncer sa semelle dans un crâne. Entendre les os se briser. Sentir le poisseux du sang s'infiltrer dans le cuir de sa chaussure. Éclater des gueules. Ne même pas se soucier de l'état dans lequel on laisse ses adversaires.

Parce qu'il n'en avait plus rien à foutre.

Les mains enfoncées au plus profond de ses poches, Sanji n'avait qu'une seule idée : dégager un maximum d'uniformes blancs de sa route et avancer, vaille que vaille.

Parce que Luffy était vivant, pas loin, juste à portée. Et qu'il suffisait qu'il se fraie un passage pour pouvoir l'atteindre.

Dans son dos, Ivankov balança un Death Wink qui envoya valser les Marins lui bouchant la vue. Il se hâta donc de s'engouffrer dans le couloir ainsi libéré. Derrière lui, Sabo et les révolutionnaires ayant débarqués s'occupaient de retenir l'attention des soldats. Lui, n'avait plus qu'à dévisser les tronches des quelques uns assez fous pour se mettre sur sa route, récupérer son Capitaine et mettre les voiles. Vite fait, bien fait. Simple et efficace.

Fallait juste espérer que le reste de l'équipage rapplique. Il se voyait mal emprunter un navire en plus de trimballer Luffy à bout de bras. Le gag.

Mais il avait confiance. Ses tripes lui hurlaient que Chopper était arrivé à la maison de briques rouges, qu'il avait retrouvé leurs Nakama. Et plus que tout, qu'il les avait convaincu. Les Mugiwara seraient au rendez-vous, il en était persuadé.

Il se baissa pour éviter qu'un sabre ne le soulage de sa tête et profita de son élan ; il plaqua ses mains au sol et parti dans une vrille qui balaya littéralement les quelques Marins l'entourant. D'une poussée, il se retrouva sur ses jambes et reprit sa course de plus belle.

Pour le coup, il avait l'impression de ne faire que ça en ce moment; courir. Courir pour avoir des explications de la part du Marimo, courir pour s'assurer que le vieux schnock était encore en vie, courir encore pour dévisser la tronche du bretteur du Dimanche, courir pour prévenir Ivankov et courir toujours pour sortir Luffy de là.

Et ne pas oublier de courir réellement déboîter la gueule de l'autre tronche d'algue. Parce que dans tout ça, il n'avait eut ses explications que par Chopper, tout ça parce que mÔssieur s'était fourré dans des emmerdes bien trop grosses pour lui ! Crétin ! Abrutit !

Trop occupé à jurer, il ne vit qu'au dernier moment la masse gigantesque d'un géant fondre droit sur lui. Il dérapa sur les galets gris afin de stopper nette sa course, relevant la tête vers les cieux. Une escouade d'une dizaine de véritables colosses descendait en ce moment même des hauteurs de Marie-Joie, balançant leurs armes à tout va, éclaircissant efficacement les rangs pirates. Voilà qui allait grandement lui compliquer la tâche …

Pestant, il prit appui sur le sol, entendant le gravier crisser sous ses semelles et les pas des titans, lesquels faisait littéralement trembler la terre dans tout le périmètre. Puis il s'envola littéralement, chevauchant l'air lui-même, jusqu'à arriver au visage du géant lui barrant la route, sa jambe crépitant déjà des flammes l'entourant. Sans cérémonie, il asséna un kick de toutes ses forces, claquant sa jambe sur la tempe de son adversaire. La seconde qui suivit, le colosse, sonné, chutait en arrière, s'effondrant sur les hommes encore en plein combat.

Un de moins !

Sanji se laissa retomber, avisant le torse du titan à terre, où il pourrait atterrir sans risquer d'exploser des crânes. Mais, rapides comme l'éclair, deux autres géants surgirent sur ses flans, armes au poing et plus que prêt à en faire usage. Le blond serra les dents et porta ses bras à son visage, se préparant à l'impact. Ce coup-ci allait faire mal, très très mal.

Le déplacement d'air généré par les lames des colosses fouettait déjà son visage lorsqu'un flash bleu fila sur sa droite et fondit sur les yeux du titan le plus proche. L'instant d'après, un hurlement de douleur lui vrilla les tympans tandis que le sabre du Marin gigantesque chuta à ses pieds, ses mains trop occupée à essayer de chasser les flammes turquoises prenant d'assaut son visage.

Sur sa gauche, le second géant se détourna de lui, son attention toute entière rivée sur un point au sol, dans le dos d'un cook toujours dans les airs, mais qui ne savait plus trop où donner de la tête. La masse d'arme colossale suivit le même chemin que le regard de son manieur, délaissant le cuisinier pour cette cible sur le plancher des vaches. Sanji n'eut que le temps de se retourner qu'une lame d'air fusa depuis la terre ferme, tout droit vers le titan, le tranchant de bas en haut dans un nouveau hurlement. La masse d'arme toucha le sol en même temps que la Jambe Noire tandis que la carcasse sanguinolente du géant s'effondra sur les rangs ennemis.

Sur la droite, les flammes bleues prirent la forme d'un phénix qui s'envola juste à temps avant qu'une slave de cannons ne siffle pour exploser au visage déjà carbonisé du colosse, qui s'écroula à son tour.

Et une envie irrépressible de fumer reprit Sanji, qui se hâta de la combler. Un voyage dans ses poches plus tard, et il se retrouvait avec une clope au bec, jouant de son briquet pour l'allumer. Derrière lui, ses sauveurs s'avançaient nonchalamment, arrivant tranquillement à sa hauteur alors qu'autour d'eux, tout n'était que chaos.

- T'es à la bourre, toquard … souffla Kuroashi en expirant son premier nuage de fumée.

- Va t'faire foutre, cuistot de merde.

- La même, bretteur du dimanche.


A suivre mes loulous ! A suivre !

J'ai le droit de demander un avis ? Nan parce qu'en vrai, ce chapitre m'a posé BEAUCOUP de problème à l'écriture ... Jamais satisfaite, j'ai bien dut le réécrire une bonne dizaine de fois ... J'espère vraiment qu'il sera à la hauteur de vos espérances surtout qu'il s'est fait bien attendre le salopiot !
Mais cette fois, c'est la bonne, je reprends mon rythme d'avant !

Sur ce, à la prochaine les gens !

Ai-chan qui vous n'aime très très fort ! -nuée de petits cœurs-