Bonjour à tous !

Je vous présente donc ma nouvelle fiction sur ce deuxième couple qui me fais rêver depuis si longtemps, je nomme : Caroline / Klaus.

Je vous rappelle que tous les personnages ne m'appartiennent pas, mais cette histoire là, si. Certains personnages sortent aussi tout droit de mon imagination.

Résumé :

1645. Caroline se retrouve fiancée avec un Lord : Klaus Mickaelson. Lui succombe bien vite au charme de la belle, mais qu'en est-il de notre jolie blonde ? Il la désire. Elle le déteste. Bien vite elle se met en tête de lui faire comprendre que même marié, personne ne lui dictera sa conduite. Pas même un vampire.

Voilà , à présent j'espère que vous me diriez ce que vous pensez de ce tout premier chapitre. J'attend avec impatience vos premières impressions ;)

Bonne lecture !

Chapitre 1.

Juillet 1645. Le soleil frappait sur les magnifiques terres de la belle Californie, une légère brise d'été caressait tout sur son passage. C'était la saison où l'on pouvait clairement percevoir le chant des oiseaux, le doux bourdonnement des abeilles , mais aussi avoir un paysage étendu de fleur et de beauté de part et d'autre de l'état.

Dans une petite ville, perdue, la beauté était telle que habitant derrière habitant quittait leur demeure afin de profiter pleinement de cette belle journée qui s'offrait à eux. Certain se promenait le long des plages, d'autre faisait un tour en calèche, d'autre encore restait tout simplement assis dans un endroit tranquille où l'on pouvait goûter la douceur et la tranquillité sans être importuné.

- Tante Caro' , regarde moi je vole !

La jeune fille regarda tendrement sa nièce. Prête a sauter dans le lac à partir d'un rochet, Stacy recula d'un pas, se mit en position et …

- La bombe ! S'écria-t-elle en sautant.

La petite tête blonde disparue sous l'eau pour en ressortir aussitôt, riant aux éclats.

- Tu m'as regardé ? T'as vu ? T'as vu comme j'ai sauté ? Demanda l'enfant toute contente.

- Oh oui, je suis même certaine que l'on t'a entendu de la Floride, ria sa tante.

Dans une petite moue, Stacy sortit de l'eau. Ses longs cheveux blonds dégoulinaient, elle s'enveloppa dans la serviette que lui tendit la jeune fille.

Ce tableau envoyait une image d'une mère accompagnée de sa fille, seulement, il n'en était rien. Stacy était la fille de la sœur ainée de Caroline. Malgré leur ressemblance, on pouvait clairement distinguer qui était la mère de Stacy en les voyant côte à côte.

- Penses-tu que maman se fâchera ? s'inquiéta-t-elle en apercevant ses vêtements trempés.

- Non ne t'inquiète pas ma puce, la rassura-t-elle.

- Tu en es certaine ?

- Certaine !

- On peux rentrer alors ? J'ai besoin de me changer, se plaignit-elle soudain.

- Comme tu voudras, accepta Caroline.

Elle se leva d'un drap qu'elle avait étendu au sol, qu'elle ramassa aussitôt sur pied. Le tissu blanc était sale lorsqu'elle le plia mais ne s'en préoccupa plus. Ses long cheveux blonds ondulés se mirent à flotter dans le vent, elle s'essuya rapidement son vieux pantalon d'un geste rapide puis, son regard bleu se posa sur celui de sa nièce qui semblait s'impatienter.

- Pouvons-nous y aller ?

- Nous pouvons y aller.

Alors toutes deux reprirent le chemin du retour sur le cheval noir de Caroline qui partit en direction du manoir au galop. Elle ne tardèrent à arriver, et, aussitôt le pied à terre, Stacy se précipita à l'intérieur. Caroline laissa son animal à l'écurie à quelques mètres à peine de l'entrée. Lorsqu'elle entra, la voix stridente de sa cousine vint percer ses oreilles.

- Mais comment peux-tu oser te baigner dans cette tenue Stacy ? La gronda celle-ci.

- Voyons Victoria, c'est une enfant !

- Je me fiche que ce soit une enfant ! Dès le plus jeune âge, il est vital savoir se tenir convenablement.

- Elle n'a que cinq ans !

- Justement ! Les bonnes manières commencent dès maintenant !

- Stacy chérie, veux-tu ressembler à cette blonde qui te sert de tante, qui ne sait pas même s'habiller correctement, si je peux me permettre cette remarque.

- Venant d'une prostituée ça m'amuse plus qu'autre chose, fit Caroline dans un sourire narquois.

- Prostituée ?! S'exclama-t-elle outrée et choquée par son comportement.

- Ahaha bien envoyée !

- Stacy ! La gronda Mégan.

- Comment oses-tu m'insulter ?!

- Je pourrais dire la même choses pour tes douces critiques .

- Qu'est-ce qui se passe ici ?

- Maman !

Stacy se jeta alors dans les bras de sa maternel qui venait de pénétrer dans le manoir, faisant ainsi cesser la dispute entre les deux jeunes femmes. Alice Forbes avait l'apparence d'une petite poupée avec ses longs cheveux blonds éclatants, son regard vert émeraude et sa fine silhouette.

- Maman, tu savais que Victoria était une prostituée ? Demanda innocemment l'enfant.

- Pardon ?

La jeune mère resta stupéfaite, et ne semblait comprendre ce qui se passait ici, alors que Caroline semblait, au contraire, amusée plus qu'autres choses. Mégan, quand à elle, tentait de refouler son rire, une main devant sa bouche, les lèvres serrés.

- Stacy ! Fulmina la concernée.

- Vas y Victoria, raconte à Alice ce qu'elle a raté, la pressa Caroline.

- Je … As-tu remarqué les vêtements trempés de ta fille ? Lui fit-elle constater.

- Oui et bien ?

Caroline, fière, ne put s'empêcher de sourire davantage, alors que Victoria semblait soudain gênée face à sa cousine.

- Elle m'a crié dessus quand je suis rentrée, expliqua Stacy.

- Quoi ? Non , je …

- Elle a dit aussi qu'il était intolérable que je ne possède les '' bonnes manières '' , continua-t-elle en imitant bien les guillemets.

Le regard que lui lança Alice lui fit froid dans le dos, Victoria chercha ses mots pour répondre mais rien ne lui vint.

- La vérité sort de la bouche des enfants, ajouta Caroline, ce qui lui valut un regard de la part de sa chère cousine.

- As-tu quelque chose à me faire remarquer sur ma manière d'élever ma fille ? S'irrita la jeune mère.

- Non … bien sûr que non Alice.

- Pourtant ce n'était pas ce que tu disais tout à l'heure, releva Mégan.

- Tu étais même très en colère contre ses manières, rajouta Caroline.

- Tes enfants tu les élèveras comme tu le désires, mais n'essaie pas, que ne serai-ce qu'une seule fois, à faire de ma fille ton portrait , s'énerva Alice .

Victoria baissa la tête et se précipita à l'extérieur sans un regard. Au même moment Charles Forbes pénétra à son tour dans le manoir. Il ne parla de la vue soudaine de sa nièce qui sortait, ce qui arrangea ses filles. Il semblait visiblement avoir autre chose derrière la tête qui le rendait … joyeux ?

- Bonjour papa, comment s'est passé votre journée ? Se renseigna Mégan.

- Excellente ! Sourit le père.

Charles avait des cheveux noirs où commençaient à refléter quelques cheveux blancs dû à son âge. Il avait une carrure semblable à celle d'un militaire , qui donnait l'impression qu'il désirait imposer son autorité. Il était apprécié de tous et tout le monde semblait vouloir se rapprocher de lui pour son argent et sa richesse.

- S'est-il produit quelque chose aujourd'hui ? Demanda Caroline.

- Pourquoi penses-tu cela ?

- Vous semblez de très bonne humeur, constata Alice.

- N'en ai-je pas le droit ?

- Si bien sûr.

Charles retira son chapeau et posa sa canne sur un des canapés en cuir du salon et se dirigea vers la grande fenêtre vitrée, le regard à l'extérieur , les deux mains sur sa taille, un sourire heureux aux lèvres. Les trois sœurs se regardèrent alors avec incompréhension. Rares sont les fois où leur père rentrait dans cet état. Les fois où cela s'est produit, c'était uniquement parce qu'il venait d'acheter un terrain tant convoité depuis des années, soit qu'il venait de terminer de construire un nouveau bâtiment, soit … deux fois il leur semble qu'elles l'ai vu content, mais heureux à ce point ! Jamais.

- Maman, tu peux m'aider à me changer ? Demanda Stacy en tirant sur la longue robe crème de sa mère.

- Je peux t'aider si tu veux, proposa Caroline.

- Oh oui ! Alors allons y .

Aussitôt dit, aussitôt fait, elle attrapa la main de sa tante et la pressa à l'étage. Pendant ce temps, Mégan et Alice restèrent en bas toujours surprise par l'état de leur père.

- Papa ? Vous avez réussi à faire une bonne affaire ? Demanda Alice qui désirait savoir ce qu'il dissimulait.

- Une bonne affaire, répéta-t-il . Oui. Une très bonne, répondit-il en faisant face à ses deux filles, toujours un sourire accroché au lèvre.

- Qu'en est-il ? Voulut savoir Mégan.

- Je préfère vous l'annoncer quand votre mère sera présente. Hé bien tenez voilà qui arrive ! Fit-il presque excitée à la vision de son épouse qui rentrait justement au manoir.

Celle-ci n'eut pas le temps d'ouvrir la bouche que son mari la devança.

- Te voilà enfin !

- Oui, je suis navrée cela a mit plus de temps que prévu, je …

Apercevant le regard et l'expression de son mari sur le point d'éclater de joie, Kaitlyn s'arrêta.

- Que t'arrive-t-il ?

- Aujourd'hui j'ai conclu une très bonne affaire. Excellente !

- Laquelle ?

Charles ne pu continuer tellement la joie le possédait, ce qui impatienta davantage les trois femmes présentes.

- Allons ! Parlez mon cher ! Le pressa Kaitlyn.

- …

- Papa ! L'activa ses deux filles.

- Bien, réussit-il a articuler. J'ai enfin trouvé un époux convenable pour Caroline.

Fin du chapitre 1.

Voilà voilà. J'espère que ça vous a plu et comme je vous l'ai déjà dis, j'attends avec grand impatience votre avis sur ce tout premier chapitre :)

à Bientôt !

A suivre !

( PS : J'espère que vous avez passé de bonne fête et que le papa noël vous a bien gâté ^^ )