Bonjour cher (chère) lecteur (lectrice) ! Je vous présente ma nouvelle fiction ! Je viens juste de me passionner pour la série Merlin et bref... comme à chaque fois que je me passionne j'ai des histoires qui me traversent la tête...

Alors voilà je met celle-là par écrit et vous la présente... Je tiens à dire que je ne sais ABSOLUMENT PAS où je vais avec cette fiction. Je n'ai même pas encore vu tous les épisodes de la série mais bon, je ne pouvais simplement pas résister. Donc voilà... Dites-moi vraiment ce que vous penser même si pour l'instant ce n'est qu'un prologue...

Je précise que les personnages et l'univers sont la propriété des créateurs et producteurs de la série Merlin, excepté Elysabeth Orvalua qui sort de mon imagination confuse. L'intrigue m'appartient également et ne suit donc pas un des épisodes de la série mais ça vous le découvrirez...

Elysabeth est au début très mystérieuse c'est vrai. Elle est vraiment bizarre même pour moi... et vous pourrez même ne pas l'aimer. Mais après vous verrez qu'elle deviendra plus "normale"... enfin bref vous verrez... J'espère :-)

Bonne lecture !


Un château est généralement un lieu d'histoire, un lieu pour gouverner, un lieu de conseils de guerre, de prince et de princesse, de serviteurs et de rumeurs, un lieu de prestige et de gloire, un lieu central, grouillant, remuant, bruyant, changeant, constant, de pierre et de bois, de luxe et de corvées, un lieu de trahisons, d'emprisonnements, d'injustices, de chevaliers, de trônes, de courtisans et courtisanes, de banquets et de bouffons. Un château est un lieu de roi et de tyran.

Deux lucioles vertes dirigèrent leur lumière vers la pierre grise de Camelot. Deux bien pales lumières face au rayonnement glorieux du château légendaire. Un courant de vagues blondes porta son parfum dans les rues de la Basse-Ville. Un bien pale parfum face à la puanteur des rues peu salubres. Mais tout de même… Un parfum fruité et fleuri, tendre et violent, léger et fort, un parfum au porteur inoubliable.

Oh, et Gaius de l'avait pas oubliée, pas elle, jamais ! Pourtant il lui avait dit de ne jamais remettre les pieds à Camelot. Il lui avait dit de tout faire pour éviter la prédiction, mais bien sûr elle n'en faisait qu'à sa tête. C'était à se demander comment elle était encore en vie !

Toujours est-il qu'elle l'était, en vie. Et il n'y avait pas de doute à cela lorsque son cœur s'était emballé aux premières apparitions des remparts du château, ou que sa poitrine s'était soulevée et ses lèvres étirées d'un soupir et d'un sourire.

Ce n'était certainement pas un fantôme qui provoquait ce rythme déterminé sur les pavés de la cour. Etais-ce une idée alors, qui se présenta aux gardes de Camelot ? Un rêve ne les aurait surement pas convaincus de la laisser passer. Un souvenir aurait encore moins frappé trois coups à la porte du vieux physicien… Simplement trois coups. En pleine nuit. Pourtant, Elisabeth Orvalua était un souvenir pour Gaius.


Conseil, critique, éloge ? Je prend ! J'exige même ! Enfin si vous voulez quoi... :-S

- Léa