Lavyuu : Merci pour ta review, mais c'est pour te dire qu'il risque d'y avoir des fics avec un Yû OCC, et même peu être dans ces fictions ci x) M'enfin, j'espere que tu continueras à lire malgré tout ! =3

Shigure-sensei : Merci merci, je suis trop fière de mon premier post 8D Et comme tu peux le voir, voici la suite ^^

Emielove : Thanks x3 Alors voili voilou la suite !

Et sans comprendre pourquoi, Yû accepta.

La roux apprit bien vite qu'Yû était muet, mais, et heureusement, Lavi connaissait bien la langue des signes. Cela avait un peu surprit le brun, mais il c'était dispensé de commentaires

Au début, le japonais fut hésitant, évitant le regard émeraude de Lavi. Mais au bout de quelques minutes, ce dernier réussit à décrocher la lune (ou, plus précisément, à décrispé Yû Kanda, le seul, l'unique !). Les rires silencieux du brun, ou, au contraire bruyant du roux, résonnait dans tout le petit restaurant, alors que la discussion en langue des signes pour Yû se faisait de plus en plus librement.

Se ne fut que lorsque la nuit colorait doucement le ciel que les deux hommes se quittèrent. Lavi avait finalement ramené le japonais jusqu'à son petit appartement. Juste avant que le brun ne ferme la porte, le roux eu le temps de lui arracher son numéro de téléphone, ainsi qu'un simple baiser sur la joue. Une fois de nouveau seul, Yû devint rouge tomate et se laisse tomber sur ses fesses. Un soupire traversa ses lèvres, alors qu'il passa sa main sur sa joue. «Pourquoi ai-je au enfin d'autant lui dire de rester ?» pensa-t-il douloureusement.


Lavi rentra chez lui peu de temps après, ayant récupéré sa moto. Il frissonna doucement de désir lorsque le vent frôla ces lèvres. Ce même contact, faible, qu'il avait au avec le beau japonais bien des minutes avant. La porte de sa maison passée, il s'affala dans le canapé de son salon, les joues rouges et le souffle coupé. Son regard émeraude se posa sur son érection grandissante. «Mon Dieu…» soupira-t-il «Et je l'ai juste embrassé sur la joue… C'est mal partit.» Le jeune roux alla rapidement dans sa petite salle de bain, allumant l'eau de sa douche tout en se déshabillant. Il se glissa sous l'eau brulante, avant de tourner la poignée de l'aqua pour que cette dernière devienne glacer, le calmant ainsi instantanément.


Le lendemain arriva très vite, aussi bien pour l'un que pour l'autre. Le japonais, fatiguer avant même de s'être lever, ne s'extirpa de son lit douillet qu'une fois l'après midi largement dépassé. En effet, dans moins d'une heure il devait rendre vite à se cher et tendre psychologue brun. Mais, bizarrement, au lieu de la mine boudeuse qu'il affichait toujours, un demi-sourire courait sur ses lèvres lorsqu'il monta dans le bus. Quelques temps après, Yû passa la porte de son psychologue. Ce dernier sursauta même lorsqu'il remarqua le coin des lèvres de son patient surélevé, n'ayant jamais vu cela auparavant.

Comme la veille, Yû refusa de parler et attrapa les feuilles de dessins. Komui s'attendait à un énième croquis sanglant et sadique à souhait, mais lorsque Yû lui rendit les quelques papiers, il eut un deuxième sursaut. Au lieu de l'habituel sang rageusement colorié, se présentait quelques mèches rousses… Presque tendrement remplis d'un rouge calme. Sous les mèches, un visage rieur avec des grands yeux, cependant fins. Komui fixa le japonais, qui lui, venait d'attraper son portable. En lisant ce qui était marqué sur ledit téléphone, un sourire comme peu vint se peindre sur les lèvres d'Yû.

Komui le regarda quelques minutes, avant de le congédier d'un geste de la main. Le japonais sortit sans le saluer tout en textotant sur son téléphone. Le chinois fixa encore un peu la porte qui venait de se fermer sur la silhouette pâle, avant que son attention ne revienne au tous nouveau dessin. Komui remarqua alors qu'il n'y avait non pas un seul croquis, mais quelques uns ! Surprit comme pas possible, l'homme tourna les pages pour les regarder. A chaque fois, le même roux revenait. Souriant. Finalement, Komui eut un grand sourire, heureux pour Yû. Il soupira en même temps et se (re)retourna vers la porte close, avant de parler à voix haute inconsciemment.

- J'espère que tu t'en sortiras grâce à se jeune garçon Yû… Vraiment.


Lavi se réveilla assez tard le lendemain, tout comme Yû (sans pour autant le savoir). Il se leva, déjà tout excité, et se prépara à manger. Quelques courtes minutes après (Lavi mange aussi vite qu'il parle – c'est tout dire –), le rouquin lava sa petite vaisselle et la rangea rapidement, avant de se jeter littéralement sur son canapé. Lavi attrapa son portable en un coup de poignet, chercha le numéro de son beau japonais avant de vite lui envoyer un sms.


Lorsqu'Yû sortit son téléphone devant le psychologue, et qu'il vit que c'était un sms de «Lvi», un sourire éclaira le bureau sombre de Komui. Le japonais sortit précipitamment, le regard poser sur son portable. Ils continuèrent alors une conversation en texto. Elle tournait autour des choses banals (le «Bonjour», «Comme à été la journée ?», etc.). Et elle finit, très tard le soir, sur un «Bonne nuit beau japonais 3» du rouquin, qui valut une explosion de rougeur de la part dudit Japonais, qui s'endormit vite, pour une des premières fois de sa vie.