Chapitre 22: Torture et bourde gigantesque
Weasley entra dans le dortoir des lions, avec dégoût. Il venait de quitter un couple de pédales s'échangeant de la salive et il en trouvait un autre.
Dans le lit en face de lui, Potter embrassait Draco, ce dernier était habillé que d'un boxer et Potter avait une serviette autour de la taille.
Weasley jeta un sort, de sa création, pour bloquer la porte et se dirigea en direction des tourtereaux.
-Ne vous gênez pas pour moi.
-Nous nous gênons pas.
Draco frappa Potter et se leva.
-C'est à mon tour d'aller prendre une douche.
-Quoi! Mais non. Nous sommes occupé là. Tu n'es pas sale, tu n'as pas besoin d'une douche.
-Je sens le cochon. Je vais prendre une douche.
-J'aime cette odeur sur toi...j'aime ça cochon.
Draco soupira et redonna une claque à Potter.
-Pervers.
Potter sourit et regarda Draco entrer dans la salle de bain, il pointa sa baguette en direction de la porte et il lança un sort de silence.
-Alors, c'était quoi ton plan? Faire parler Draco et Marcus, pour savoir ce que nous contions faire de toi, de retour dans notre dimension ou peut-être effacer les ingrédients de la potion, nous permettant d'y retourner, de leurs mémoires.
Weasley avala difficilement. Comment il avait su? Il devait changer son plan, mais vu la situation son future plan ressemblait plus à un plan Z.
-Comment tu as su que c'était moi?
-J'suis capable de te sentir.
-Qu'es-ce que tu veux dire?
-La magie émanant de toi est différente de celle de ton double je suis capable de faire la différence.
Weasley haussa un sourcil, peu convaincu.
-Si tu le dis. Puisque nous sommes seuls, je vais en profiter, nous avons certains sujets à clarifier. Notre plan ne fonctionne pas comme prévu.
-Nous n'avons plus rien à se dire, alors tu vas sortir tes jolies fesses de rouquin du territoire des gryffondors, retourner parmi les serpents et nous renvoyer Ron, en espérant qu'il soit toujours vivant.
-Nous avions un accord Potter.
-Tu as rompu cet accord, en tuant Dumbledore, à présent tu es véritablement mon ennemi.
-Si je suis ton ennemi, pourquoi ta baguette est-elle immobile.
-Tu me crois assez stupide pour tuer Ron. Tu es habillé en gryffondor, tu as traverser la salle commune, ils t'ont tous vu. Ils croient tous que tu es Ron le lion. Alors si je te tue et que je cri que ce n'était pas lui, mais Weasley, personne ne me croira. Parce que Ron est, sans doute, dans le coma à ta place à l'infirmerie. C'était ça ton plan? Un très mauvais plan, si tu veux mon avis.
Weasley sourit, Potter était intelligent, Weasley devait admettre qu'il le sous-estimait trop souvent.
-Tu réfléchis trop, Potter. N'essaye pas de comprendre, les plans qui se crée dans ma tête, ils sont beaucoup trop compliqués pour tes petites neurones de sang mêlé.
-Tu sais quoi? Je crois que nous allons t'abandonner ici et repartir avec Ron dans notre dimension, sa compagnie est beaucoup plus agréable que la tienne.
-J'aime cette idée et je l'approuve.
- C'est sûr que tu l'approuves, mieux vaut aller à Azkaban pour viol, que pour meurtre.
Weasley sentit son sang se glacer dans ses veines, il avait l'impression que sa gorge était devenu trop petite pour avaler sa salive ou pour simplement respirer. Comment il a su?
Un petit sourire en coin s'afficha sur le visage de Potter.
-Oups! J'ai dit viol, je voulais dire complicité pour cacher un mangemort. Ma langue a fourchée, désolé.
-Nous avions un accord Potter.
-Tu te répètes Weasley et comme je te l'ai déjà dit, TU l'as rompu.
Weasley reprit le contrôle de lui-même et sourit à nouveau.
-Je me demande ce que dirait Draco, s'il apprenait pour nos petites réunions que nous avons depuis un an.
-Qui crois-tu qu'il va croire? Celui qu'il aime ou celui qu'il déteste?
-Ça dépend de mon entrée en matière, si je commence en lui parlant de Diggory.
Potter éclata de rire et le sourire de Weasley s'effaça.
-Tu n'as rien de mieux que Diggory pour me faire chanter, tu me déçois Weasley, je te croyais mieux renseigner... Je sens que je vais le regretter, mais je...
Une immense explosion se fit entendre, la porte éclata en mille morceaux, une partie de la pierre encadrant la porte s'effondra en créant un petit nuage de poussière.
Marcus entra dans le dortoir suivit par Malfoy, Harry et Ron, ils pointèrent tous les trois leurs baguettes en direction de Weasley et le bombardèrent de sorts divers
Weasley se retrouva inconscient et attacher au lit.
-Putain Marcus, tu n'es pas capable d'entrer en tournant une poignée de porte comme tout le monde.
-J'ai beaucoup apprécié te sauver la vie Ryry, ça m'a fait plaisir.
-Me sauver la vie? Me sauver de quoi, de Ron?
Ron s'avança et se plaça devant Potter, Marcus se tourna vers l'ancienne emplacement de la porte et la reconstruit.
-Je suis Ron, lui c'est Weasley. C'est une longue histoire, mais pour résumé, j'ai fait semblant d'accepter de changer de place avec lui, pour pouvoir le suivre et l'espionner. Cependant, il est rentrer dans le dortoir et il a lancé un sort de fermeture extrêmement puissant de fermeture.
-Et vous êtes aller chercher Marcus, pour qu'il ouvre.
-Exact! Tu semble bien prendre la nouvelle.
-Tu sais depuis le temps, il y a plus rien, qui m'impressionne venant de Weasley.
-Il t'a attaqué?
-Non, nous parlions.
-Vous parliez de quoi?
-De Quidditch, il prétendait être toi et il voulait que je lui parle de lui en attrapeur.
-Je suis attrapeur.
-Oui.
Ron se perdit quelques instants dans ses pensées, toutes inquiétudes ayant quitter son visage.
-MARCUS! C'EST QUOI CE BORDEL?
-Je crois que mon Draykichou en sucre m'appel. Je vais aller lui expliquer la situation et je reviens.
Marcus entra dans la salle de bain et referma la porte derrière lui. Malfoy se tourna vers Harry et Ron.
-Comment il a osé m'appeler? C'est quoi ce surnom de débile?
-C'est mignon! Répliqua Ron en essayant de camoufler son sourire. Ça te décrit à la perfection, ma petite dragée surprise d'amour.
Ron pinça la joue de Malfoy, ce dernier sortit sa baguette et la pointa vers Ron.
-Touche moi encore comme ça Ouistiti et tu es mort.
Ron feint un tremblement et fit face à Malfoy.
-Ohhhh, j'ai peur, j'ai mit l'héritier Malfoy en colère.
-ÇA SUFFIT! Crièrent les deux Harry Potter en même temps.
Harry s'avança vers son amant et son meilleur ami, il les agrippa, par le collet de leur chemise et les éloigna, l'un de l'autre.
-Vous allez arrêter vos petits enfantillages, immédiatement. Nous sommes tous du même côté et nous avons plusieurs problèmes à régler.
Es-ce que c'est comprit?
Malfoy et Ron hochèrent la tête et Ron alla se placer à côté de Potter.
Marcus et Draco sortirent de la salle de bain, Draco se dirigea vers Potter et l'embrassa passionnément.
Ron soupira et regarda dans la direction opposée. Marcus toussa, le couple se sépara et le regarda.
-Draco, je suis sûr que tu es très heureux que ton Ryry soit intacte, mais pourrais-tu attendre que nous nous soyons débarrasser de Weasley avant d'explorer son corps, à la recherche de la moindre égratignure.
-Désolé.
Draco s'assit sur le lit à côté de Potter et tira sur la chemise de Ron pour le forcer à s'assoir à côté de lui.
-Alors, raconte moi pourquoi tu as fait rentrer cet abrutis ici?
-Je voulais le faire parler, je me disais, que nous réussirions à savoir, ce qu'il chercher et ce qu'il sait. S'il croyait être en situation de pouvoir, il parlerait.
-Un plan brillant.
Harry sourit à Ron, qui lui rendit son sourire
-Un plan débile.
-Malfoy...
-J'ai raison Harry, tu approuves un plan élaboré par Ouistiti.
-Malfoy...
-Harry écoute-moi, écoutez-moi tous. Weasley est un serpentard, il ne rentrerait pas chez les gryffondor tout simplement pour parler chiffon et récolter des renseignements. C'est lui le méchant, c'est lui qui prépare des plans diaboliques. Pourquoi il viendrait ici? Pour savoir ce que nous savons? Il sait déjà ce que nous savons, Weasley a vue l'intégral de ses souvenirs. S'il voulait les effacer de sa tête, un simple oubliette, lorsqu'Ils étaient seuls et c'est tout. Pourquoi se compliquer la vie?
-C'était peut-être pour effacer la potion pour changer de dimension, de nos mémoire, pour y retourner seul ou avant nous ou pour pas que nous y retournons.
-Surement pas. Severus ou Dumbledore doivent connaître la formule et l'ingrédient primordial ne sera pas disponible avant deux jours, alors il ne peut pas y retourner avant. Je sais que les gryffondor sont lents, mais à ce niveau... Réfléchissez, il avait besoin d'un truc relié aux gryffondor ou d'un gryffondor, peut-être qu'il voulait se retrouver seul à seul avec l'un d'entre vous pour lui lancer un Imperium.
-Personne ne prévoirait un truc aussi compliqué, désolé de te décevoir Malfoy, mais ma déduction est beaucoup plus simple et évidente.
-Ce n'est pas parce que tu portes une cravate de serpentard, la belette, que tu en as l'intelligence, alors ferme-là et laisse ceux avec un cerveau parler. À ta place, je changerais les couleurs de ma cravate, tu fais honte à tous les véritable serpentard.
-Malfoy...
-Harry laisse-moi finir, nous parlions d'Horcruxes tout à l'heure, peut-être qu'il y a un lien entre gryffondor et les Horcruxes.
Ron ouvrit la bouche, mais la referma, ce n'était pas le moment, il attendrait d'être seul avec Harry.
La respiration de Potter s'accéléra, Malfoy lui faisait peur, il ne devait pas réfléchir plus longtemps, il devait les distraire.
-Il y a qu'un seul moyen de le savoir, le veritaserum Rogue doit en avoir dans sa réserve.
Ron écarquilla les yeux.
-Tu veux que nous allions voler dans la réserve de Rogue?
Marcus se mit à sautiller de joie.
-Excellente idée, pendant que l'un de vous y entre, moi je le distrait. J'ai plein d'idée que je n'ai jamais osé utiliser sur notre Sivilus.
-Arrêtes d'appeler mon parrain comme ça, dirent à l'unissons les deux Draco Malfoy.
-Désolé. Severus, c'est trop...sévère, Sivilus, c'est joyeux.
Marcus éclata de rire, lorsque deux regard qui tue Malfoyen se tournèrent dans sa direction.
-Tu vas surement avoir besoin d'aide pour le distraire.
-Harry.
-Quoi? Pourquoi il serait le seul à s'amuser?
-Peut-être parce que nous avons un serpentard à surveiller.
-Ron, il est inconscient et vous êtes trois pour le surveiller.
Potter se leva et d'un informulé s'habilla.
-Heu...deux. Je déteste Rogue autant que toi, alors je ne manquerais pas l'occasion de le faire tourner en bourrique.
Ron se mit debout sur le lit, tous se tournèrent vers lui.
-Nous nous compliquons la vie pour rien, c'est beaucoup plus simple, d'aller voir Dumbledore et Rogue tout simplement, ils l'enfermeront et ils l'interrogeront.
-J'suis d'accord avec Ouistiti.
Malfoy et Ron s'échangèrent un bref regard, rempli de haine. Marcus monta sur le lit, à côté de Ron.
-Je suis d'accord avec toi Ron, mais ils nous diront pas tout, je connais Dumbledore, il tri ses connaissances et nous les révèles par petit bout. Nous allons l'interroger et ensuite nous allons les prévenir.
-D'accord, je te fais confiance.
Marcus lui fit un magnifique sourire et sauta du lit. Il plaça un bras autour des épaules des deux Potter et les entraîna vers la sortit. Draco les regarda partir et se dirigea vers Malfoy.
-Va chercher le veritaserum, je vais rester surveiller Weasley.
Malfoy sembla hésiter, son regard passait de Draco à Ron. Il soupira et ferma les yeux quelques instants.
-Non vas-y.
-C'est ta dimension, ton parrain.
-Je sais, mais il faut que je parle avec la belette.
Draco leva un sourcil et un rictus se dessina sur ses lèvres.
-Parler? Je sais parfaitement, quelle sorte de discussion tu veux avoir et je n'ai aucune envie de nettoyer un bain de sang à mon retour, alors bouge tes fesses de parfait héritier et va chercher le veritaserum.
-J'ai dis NON. Alors bouge tes fesse de traître à son sang et vas-y.
-Fermez-là! Draco, Malfoy a raison, nous devons parler, nous ne nous battrons pas je te le promet.
Draco les observa, puis sortit, sans dire un seul mot.
-Je ne croyais pas que tu étais si facile à convaincre, Malfoy.
-Ce n'est pas moi, c'est un gryffondor, vous avalez n'importe quoi.
-En parlant d'avaler n'importe quoi, je crois que tu n'as pas eu ta dose de produit laiteux aujourd'hui, tu es d'humeur grognon depuis tout à l'heure. C'est vrai que c'est de ma faute, j'ai interrompu ta petite déclaration d'amour et votre petit frottage...
-Répète un peu Weasley.
-...
-En résumé, il a dit que tu es une grosse pute qui avale le foutre de n'importe qui et qui déclare son amour à n'importe quel con qui en a une assez grosse pour te défoncer le cul.
Malfoy et Ron se tournèrent vers le lit, terrifiés, Weasley était réveillé et il avait un étrange sourire aux lèvres.
Ron voulait arracher la langue de son double, Malfoy voulait lui faire subir le même sort de toute évidence.
Weasley s'était d'abord attaqué à Harry et Draco, Ron avait dû entendre toutes les insultes imaginable concernant les homosexuelles. Ensuite, Weasley avait insulté tous les membres de sa famille.
Ron ne pouvait plus se retenir, il sortit sa baguette et la pointa vers son double.
-Petrificus Totalus
-Tu sais, la belette, pour empêcher quelqu'un de parler, il y a d'autre sortilège que le pétrifier en entier.
-Mon but est de le torturer.
Malfoy fulminait, les gryffondor étaient tous de parfait abrutis, Ron fixait son double perdu dans ses pensées.
-En le pétrifiant? Quelle torture horrible. Tu es un véritable sadique Ronald Weasley. Les gryffondor sont les maîtres incontestés de la torture.
-Embrasse-moi
-QUOI!
-C'est un mangemort, il peut supporter les torture physique. Il ne reste que les psychologiques et la seule faiblesse que je lui connais et celle-là.
-Tu es fou, je ne t'embrasserais jamais.
Ron se tourna vers Malfoy, en pointant son double du doigt.
-Il a prit ta place chez les serpentard, il t'a humilié, tu n'as plus d'amis, tu n'as plus de larbins, il a détruit ta vie, il mérite une punition, il...
-Étrange.
-Quoi?
-Les gryffondor, toi en particulier, sont reconnus pour être courageux, toujours prêt à se battre, frapper d'abord et poser les questions ensuite. En résumé, des crétins qui n'utilise jamais leur cervelle et qui ne font que manger, vous êtes des trolls. Et toi, le parfait petit gryffondor, la première idée de torture qui te traverse l'esprit est de m'embrasser. Je crois, que tu devrais t'avouer quelques petites choses.
-Premièrement, je ne suis pas un troll écervelé, je botterai tes fesses de bébé gâté au échec, quand tu veux. Deuxièmement, ce n'est pas parce que je pense t'embrasser, que je suis gay, je suis cent pour cent hétéro...et tu es mal placé pour parler de petite choses à s'avouer à soi-même, monsieur qui cri qu'il n'est pas gay, quand il a une bite dans le cul. Troisièmement, c'est la torture idéal, il ne peut pas bouger et il verra son pire cauchemar se dérouler devant ses yeux.
Dernièrement, me voir t'embrasser me dégouterai, alors imagine Weasley, c'est un pure homophobe.
-M'embrasser te dégoûte?
Ron ouvrit la bouche, mais il n'eut pas le temps de répondre. Malfoy l'attira à lui, en tirant sur sa chemise et il l'embrassa.
Weasley avait envie de vomir, il savait qu'ils faisaient ça dans le but de le torturer psychologiquement, mais il devait admettre que c'était efficace.
Weasley aurait renoncer à tous ses pouvoir magique, pour pouvoir fermer les yeux. Il voyait Ron les bras entourant la taille de Malfoy, pour pouvoir le garder coller à lui et Malfoy tenant fermement la chemise de Ron. Le baiser était loin d'être innocent, il était rempli de haine. Leurs bouches se dévoraient, Weasley pouvait voir leur langues se caresser. Weasley entendit un gémissement, il cru que son cœur allait arrêter, il espérait que ça ne provenait pas de son double et surtout, il souhaitait qu'ils n'iraient pas plus loin que simple baiser.
Weasley se demanda si Ron avait lu dans ses pensées. Un deuxième gémissement se fit entendre, Ron descendit ses mains et les plaça sur les fesses de Malfoy, qu'il pétrit. Weasley voulu hurler, mais aucun son ne sortit de sa gorge.
Les mains de Malfoy relâchèrent leur emprise sur la chemise de Ron et se placèrent derrière sa nuque et un autre gémissement se firent entendre.
Par pitié, par Salazar et par Merlin, tuer-moi. Weasley essaya de concentrer sa magie, sur ses paupières, mais rien ne se passa.
La porte du dortoir s'ouvrit brusquement, Ron et Malfoy se séparèrent surpris, puis terrifié. Weasley ne pouvait pas voir qui venait d'entrer, mais il était heureux, qui que cela pouvait être, il terrifié ces deux tortionnaires.
-Experlliarmus.
Les baguettes de Ron et Malfoy s'envola, les deux étudiants se regardèrent, puis levèrent les mains.
L'inconnu avança, Weasley reconnu la sang de bourbe, Weasley aurait éclater de rire s'il n'était pas pétrifié. Granger était maligne, elle l'avait reconnue tout à l'heure, l'invitation à la rejoindre était un piège.
Weasley remercia Salazar que Ron avait été trop occupé pour penser à changer les couleurs, vert et argent, de sa cravate, pour le rouge et or habituel. Et surtout, d'être attaché et pétrifié, pendant que deux, supposés, serpentard se roulaient la pelle du siècle. Pour une personne extérieur, il était la victime et eux les bourreaux.
-Je le savais, que nous ne pouvions pas te faire confiance Malfoy. La première chose que tu fais quand Harry à le dos tourner c'est de faire rentrer Weasley.
-Granger utilise ta matière grise un instant.
-C'est ce que j'ai fait Malfoy, croyais-tu réellement que je n'allait pas reconnaître Weasley.
-Hermione, tout à l'heure c'était lui, mais là c'est moi.
-Vraiment? Tu devrais mieux te renseigner Weasley, dans notre dimension, il est extrêmement rare de voir Ron embrasser la fouine.
-Non Hermione, ce n'est pas ce que tu crois.
Hermione prit une grande inspiration et pointa sa baguette vers Malfoy.
-Stupéfix.
Malfoy fut projeté à l'autre bout du dortoir.
-Incarcerem
Des cordes sortirent de la baguette de Hermione et ligotèrent Malfoy. Hermione pointa sa baguette vers Ron, les larmes aux yeux.
-Imobilis. Je sais ce que ressent Ginny, à présent.
Hermione baissa sa baguette et donna un coup de point à Ron, le corps immobile de Ron tomba bruyamment sur le sol.
Hermione se dirigea vers Weasley, en courant.
-Finite Incantatem.
Weasley put bouger à nouveau, les cordes qui le maintenait attacher s'évaporèrent. Il se leva et courut vers Hermione.
-Hermione, il faut que nous nous rendons au bureau de Dumbledore. Weasley et Malfoy ont convaincus Harry, Marcus et Potter de tuer Rogue et Dumbledore.
-Quoi? Mais jamais Harry ne ferait une chose pareille.
-Crois-moi Hermione, ils ont étés très convaincant, notre seul espoir c'est d'arriver la haut avant eux, nous avons encore le temps, ils viennent de partir.
-D'accord, viens.
Hermione fut la première à franchir la porte du dortoir en courant, Weasley l'imita, mais avant de sortir, il ne put se retenir d'éclater de rire.
Un gros bisou à tous pour votre patience, je sais je suis retard et merci de continuer à me lire.
Dans le prochain chapitre; Néville sauve Hermione par accident, Potter se dévoile et une petite chicane de couple.