Auteur : Nat, qui a ENFIN FINI CE CHAPIIIIITRE ! YEEEEEY !

Disclaimer : Si les personnages de Tolkien m'appartenaient, il y aurait belle lurette qu'ils se seraient délocalisés chez Lewis…

Warning : Cette histoire est basiquement du n'importe quoi à échelle elfique. Sinon, que les homophobes (alerte niveau 0,5), les rigoristes de Tolkien, les allergiques à l'OOC et les adeptes de l'image dorée de nos héros battent en retraite. Maintenant.

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Thranduil et la Tension

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Les portes du Mordor se seraient ouvertes en déversant un flot d'Orcs et de créatures monstrueuses sur les Terres-du-Milieu qu'Elrond n'aurait pas semblé beaucoup plus alarmé. Nom d'un Balrog en tongs, qu'est-ce que le roi sylvestre avait pioché ? Mais qu'avait-il donc bien pu piocher pour se retrouver dans un état pareil ? Face au seigneur de Fondcombe, Thranduil ne s'était pas départi de sa splendide tête de merlan frit et gardait les yeux baissés (quoique légèrement exorbités) sur les petits morceaux de parchemins qu'il tenait entre ses doigts imperceptiblement tremblants. Autant, dans n'importe quelle autre situation, cette vision aurait intérieurement fait rire Elrond aux larmes, autant à cet instant précis elle l'inquiétait au plus haut point. Par l'Epée brisée d'Elendil, les ancestrales barbes des Sept Pères des Nains et tous les Silmarils perdus de Fëanor, qu'avait-il pioché ?!

C'était une question existentielle visiblement partagée par l'intégralité de l'assistance, car tous les regards étaient à présent fixés sur le monarque elfique. Enfin, Thranduil sortit de l'espèce de transe dans laquelle la lecture de son action l'avait plongé. Il lâcha ses papiers qui tombèrent gracieusement sur le sol près de ses genoux et, encore sous le choc, il se tourna lentement vers Glorfindel. Intrigué, le tueur de Balrog haussa un sourcil interrogatif. Thranduil, pâle, le jaugea de la pointe des cheveux jusqu'à celle des orteils avant de s'exclamer, vindicatif :

« Certainement pas ! »

Et, reprenant soudain une partie de sa maîtrise de lui-même, le roi Elfe voulut saisir les trois morceaux de parchemins et les mettre derechef dans la petite boîte noire. Malheureusement, Glorfindel et son insatiable curiosité furent plus rapides que lui. Le grand Vanya les rafla tous d'une main alerte avant même que l'autre blond ne pût les effleurer. Ignorant la glaciale fureur des yeux verts de Thranduil dardés sur lui, le héros antique lut attentivement ce que les mains habiles des jumeaux avaient marqué sur les différents papiers. Son visage affable se décomposa. Celui d'Elrond aussi, pour le coup.

Une action capable de provoquer une telle réaction à la fois chez l'irascible Thranduil et chez l'avenant Glorfindel ne pouvait définitivement pas concourir à allonger son espérance de vie.

Le silence s'éternisant, Gandalf se décida à intervenir.

« Glorfindel ? Appela-t-il d'un ton étrangement paisible dans la tension ambiante. Quelle est donc cette action, mon ami ? »

L'interpellé jeta un regard navré à son seigneur et un regard nerveux au conseiller de ce dernier. Il déglutit et s'éclaircit la voix.

« Notre cher Thranduil doit, comment dire ? …Lécher le torse de, euh… »

Il esquissa un sourire gêné et toussota.

« Eh bien, de… moi. »

Elrond se figea. Un torrent de sueur glacée lui dévala le long du dos. A sa droite, Erestor s'était crispé. A sa gauche, Lindir était tellement tendu qu'on aurait aisément pu le confondre avec une corde d'arbalète. Même Celeborn et Galadriel échangèrent des regards vaguement hésitants et, fait notable, aucun des jeunes gens présents n'osa ricaner. Lentement, très lentement, afin de ne pas attirer l'attention de Thranduil, Elrond tourna la tête vers les deux catastrophes sur pattes qui lui tenaient lieu de fils –et qu'il n'allait définitivement pas tarder à déshériter. Elrohir avait presque l'air désolé. Il désigna son frère d'un discret mouvement de pouce et articula d'une voix inaudible quelque chose que son père ne prit même pas la peine d'écouter. Le seigneur Noldo risqua un coup d'œil vers le roi de Mirkwood, lequel semblait toujours aussi scandalisé. Les prunelles vertes restaient fixées sur le capitaine des gardes, scintillantes de colère.

Le maître de Fondcombe inspira profondément. Très bien. Sauter de l'Argonath n'était définitivement plus d'actualité, des mesures drastiques s'imposaient désormais.

…Quel était le plus court chemin jusqu'à la Montagne du Destin, déjà ?

Devinant les pulsions suicidaires du semi-Elfe ou n'écoutant que son optimisme à toute épreuve, Glorfindel tenta cependant de positiver. La situation n'était probablement pas rattrapable, mais il se devait d'essayer. Il se composa brusquement un sourire joyeux dans une impressionnante tentative pour retrouver son habituelle attitude enjouée.

« Allons Thranduil, s'exclama gaillardement le légendaire tueur de Balrog, dites-vous que cela aurait pu être pire ! »

Elrond ravala bien vite le « Je ne vois pas trop comment » qui manqua de lui échapper. Le regard, digne des plus grands froids polaires, de Thranduil vint se poser sur le maître guérisseur. Ce dernier s'agita, au comble du malaise, et arrangea un pli de sa robe pour se donner une contenance. Le souverain du royaume sylvestre avait-il deviné ses pensées ou attendait-il une réaction particulière de sa part ?

Ni l'un ni l'autre. Le monarque blond se contenta d'un dernier regard meurtrier assorti d'un marmonnement qui n'avait rien de royal :

« Ça aurait pu, en effet… »

Elrond eut le temps d'hésiter à se sentir officiellement vexé avant que l'insupportable Sinda n'ajoutât, s'adressant de nouveau à sa victime de jeu :

« Hors de question. »

Et, d'un geste gracieux bien que quelque peu empreint de rage mal contenue, Thranduil arracha sa tiare de ses cheveux blonds et la jeta sur les tapis au centre du cercle des joueurs. La couronne d'argent et de gemmes roula sur sa tranche jusqu'à heurter les jambes croisées d'Elladan et tomba à plat, s'immobilisant. Le jeune elfe la mit délicatement de côté sans oser faire le moindre commentaire. Puis le roi sylvestre croisa les bras sur sa poitrine et, laissant Glorfindel replier pour lui ses morceaux de papiers, il détourna délibérément son attention de tous en accomplissant l'exploit d'avoir l'air encore plus hautain que d'ordinaire.

A cette vue, Elrond s'autorisa, en toute discrétion, un demi sourire nerveux. Bien que son rival fût âgé de plus d'une demie douzaine de millénaires et le monarque d'un des derniers grands domaines elfiques, il était certain qu'il boudait.

Constatant que l'elfe des bois n'avait pas l'intention de mettre la salle à feu et à sang dans les minutes à venir, chacun dans la pièce se détendit peu à peu. Legolas ferma les yeux, visiblement plus tranquille qu'un instant auparavant, et respira plus calmement. Elladan donna un coup de coude à son frère jumeau et lui glissa quelque chose à l'oreille. Glorfindel, Erestor et Elrond échangèrent un regard où pouvait se lire le plus intense des soulagements, et ce fut presque avec entrain que le héros des temps anciens piocha sa propre action. Un sourire aussi sincère qu'éclatant illumina le visage du capitaine de Fondcombe lorsqu'il annonça :

« Masser la cuisse d'Erestor ! »

Elrond se rendit alors compte qu'il avait oublié de se sentir nerveux lors de ce tirage d'action. Mais cela n'était pas très important : il se rattraperait sûrement lors du prochain. Pour l'instant, il allait juste continuer à se sentir soulagé. Ce sentiment si agréable n'allait pas tarder à se dissiper, donc autant en profiter au maximum avant de retomber dans le stress insoutenable de cette partie de torture nerveuse. Pardon, cette partie de Boîte.

L'action présente ne lui causa aucun excès de sudation non plus. Le fait qu'elle ne concernât que ses deux amis les plus proches (et accessoirement les plus habitués aux idées saugrenues des jumeaux) devait y être pour beaucoup. Certes, il allait en entendre parler pendant les quinze décennies à venir, mais au moins il n'y avait là aucun risque de décès imminent pour qui que ce fût. Le danger lui semblait donc momentanément écarté. Son conseiller de voisin, en revanche, ne devait pas être parvenu à la même conclusion satisfaisante que lui, puisqu'il leva les yeux au ciel. Cette réaction ne fit qu'encourager l'humeur taquine de Glorfindel, qui jugea que l'accomplissement de son action était le moment idéal pour placer une mauvaise plaisanterie.

« J'ignore si ce massage vous sera utile, mon ami. Déclara-t-il en considérant la jambe couverte de velours noir. Ce n'est pas vous qui irez vous faire un claquage musculaire !

-En vous courant après dans les couloirs parce que vous n'avez toujours pas rédigé le rapport que vous deviez me rendre le mois dernier, peut-être ? » Rétorqua Erestor d'un ton parfaitement indifférent.

Glorfindel lui jeta un regard blessé et Elrond haussa un sourcil. Ah oui, il avait oublié cette histoire de rapport. Le semi-elfe s'apprêtait à faire une remarque sur sa ponctualité à son capitaine des gardes lorsque celui-ci, profitant du fait qu'il tournait le dos à la plupart des joueurs, lui souffla un discret :

« Je viens de nous sauver la mise avec Thranduil, Elrond. Accordez-moi encore deux semaines. »

Erestor poussa un léger soupir d'agacement, mais le seigneur des lieux se contenta d'hocher la tête. C'était de bonne guerre, estima-t-il. Satisfait, Glorfindel retourna à sa place et fit passer la terrible boîte noire à son voisin, Haldir. Cette fois encore, Elrond échappa au stress du tirage, pour la bonne et simple raison qu'il n'y prêta aucune sorte d'attention. En effet, Erestor lui reprochait à voix basse son laxisme vis-à-vis du respect des délais en général et vis-à-vis de Glorfindel en particulier, et le maître de Fondcombe déployait des trésors d'ingéniosité pour défendre sa position. A vrai dire, il avait bien songé répondre simplement "C'est moi le chef donc c'est moi qui décide". Mais cette option, bien que beaucoup plus simple à formuler, présentait hélas l'inconvénient majeur d'être également beaucoup moins recevable.

Toujours était-il que le guérisseur ne prêtait pas du tout attention à Haldir et à son piochage, et il sursauta violemment lorsque les derniers mots du Gardien des Marches vinrent frapper ses oreilles.

« …ont de Thranduil. »

Un gémissement pas du tout, mais alors pas du tout, du tout elfique lui échappa. Oh non, non, non, non, pas déjà ?!

« De… de quoi ? » Balbutia maladroitement le (normalement) stoïque fondateur de la Cité Cachée.

Il pouvait sentir les paumes de ses mains devenir instantanément moites. Il n'était pas prêt pour ça ! Pitié, grands Valar, laissez-lui le temps de souffler un peu ! Ne sortez pas déjà le nom de Thranduil ! Puis Maître Elrond de Fondcombe réalisa soudain qu'il avait bégayé en public, et il sentit aussi ses joues se parer d'une élégante teinte de coquelicot. Fort heureusement, Thranduil (qui ne devait pas écouter plus que lui) avait lancé la même exclamation exactement en même temps que lui, mais une octave plus haut. Il ne serait donc pas le seul à barboter dans la gêne.

Devant la brusque réaction et les expressions pareillement catastrophées des deux seigneurs, Haldir, qui repliait tranquillement ses petits papiers, s'immobilisa et haussa les sourcils. Confus, le jeune elfe rouvrit les morceaux de parchemin pour y jeter un bref coup d'œil, sans doute dans l'espoir de comprendre ce qui provoquait une telle angoisse chez les deux dirigeants. Il répéta calmement :

« Non, c'est bien cela. Toucher le front de Thranduil. »

Le seigneur Noldo et le roi Sinda se rassérénèrent aussitôt. Elrond retrouva son calme de façade, Thranduil détourna les yeux avec une hauteur méprisante, et l'action de l'archer Galadhrim s'effectua sans la moindre accroche.

Par bonheur, les actions du couple seigneurial de la Lórien n'enclenchèrent aucun conflit non plus. Galadriel se trouva contrainte de caresser les cheveux de son époux, ce qui était une action étrangement inoffensive. Bon, Elladan, Elrohir et Estel prouvèrent une fois de plus leur grande maturité en ricanant sous cape (mais ils n'étaient pas du tout discrets), ce qui poussa Arwen à échanger un regard blasé avec son père. Legolas et Haldir n'étaient pas en reste de discrétion, bien qu'ils tentèrent de dissimuler un peu mieux leurs rictus moqueurs. Gandalf, chose étrange, s'abstint de tout commentaire. Le vieux magicien cherchait quelque chose dans ses innombrables poches, et Elrond espérait de tout cœur qu'il ne s'agissait pas de son horreur d'herbe à pipe. Erestor et Glorfindel avaient leurs expressions habituelles. Lindir tentait de se faire oublier. Thranduil boudait. Tout allait bien.

Celeborn, quand vint son tour de tirer ses papiers de l'outil de torture qui s'arrêta devant lui, écopa d'une morsure à effectuer sur le genou de l'aîné de ses petits-fils. Le seigneur du Bois Doré observa un instant Elladan, avant de décider gracieusement de se défaire à son tour de la tiare de sa charge au lieu d'effectuer son action. Elrond le soupçonnait de n'avoir juste pas envie de se lever et de se disloquer la mâchoire pour réussir à mordre un genou, chose parfaitement ridicule en soi, mais pour rien au monde il n'aurait osé le dire à voix haute. Ce serait tout de même idiot d'échapper à une guerre due à la Boîte pour en causer une par un commentaire déplacé.

Arriva le tour de Gandalf. Le vieux magicien cessa de farfouiller dans ses poches le temps de piocher son action. Elrond, qui était fort occupé à philosopher sur l'intérêt de déclencher des conflits elfiques en taquinant son beau-père, réagit à peine lorsqu'il annonça :

« Frapper le ventre d'Estel. »

Il esquissa tout de même un sourire lorsque le Pèlerin Gris ajouta, l'œil pétillant :

« Voilà qui vous apprendra à frapper mon pied, jeune homme ! »

Poussée par la main ridée de l'Istari, la petite boîte noire vint ensuite s'échouer devant Erestor. Celui-ci retira ses petits papiers de chacun de leurs compartiments, les lut, lança un regard étrange au tueur de Balrog et déclara d'une voix égale :

« Vous avez gagné un massage nasal, mon ami. »

Tout d'abord, Elrond n'eut aucune réaction particulière, en dehors de songer qu'il n'y aurait donc pas d'humiliation publique pour les dirigeants de Fondcombe. A priori, tout allait encore bien. Au pire, son premier conseiller aurait l'air un peu ridicule, mais jusqu'à présent cela n'avait tué personne. Du moins, cela n'avait tué personne dans cette pièce.

Ce ne fut qu'en voyant le sombre érudit se lever que le semi-Elfe se souvint qu'Erestor était relativement mécontent du comportement peu professionnel du capitaine des gardes. Et que, malgré ses dehors pondérés, le lettré était quelqu'un qui savait parfaitement prendre son parti de chaque situation. Elrond craignit donc d'entendre à tout instant le craquement caractéristique d'une fracture nasale. Mais non, Erestor se borna à masser tout bonnement le nez de son collègue. Peut-être, après tout, n'avait-il pas tant envie que cela de défigurer le lumineux Vanya.

Elrond, vaguement inquiet, ne put s'empêcher de froncer les sourcils. Vraiment, tout cela se passait trop bien. Ce n'était pas normal. Il y avait une arnaque quelque part.

Entre-temps Erestor vint retrouver sa place dans le cercle des joueurs. Toujours aussi pointilleux, il replia précautionneusement ses trois morceaux de papier, les replaça dans leurs compartiments respectifs et mélangea le tout pour les faire disparaître dans la masse de parchemins pliés. Puis il fit glisser la boîte jusque devant les jambes croisées de son seigneur.

Très peu désireux de se frotter de nouveau aux aléas de ce jeu tordu, Elrond prit tout son temps pour observer un pli disgracieux sur sa robe et réfléchir à la meilleure manière de le lisser. Et un espoir insensé fleurit au cœur du semi-Elfe. Qui sait, peut-être que s'il regardait fixement ce pli précis de sa robe en ignorant parfaitement l'horrible petite boîte, oui, peut-être celle-ci finirait-elle par disparaître ?

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Eh non, cette fic n'est pas retombée dans le TPPT. C'est une bonne nouvelle ! …Bon, le chapitre est encore sorti avec un retard incroyable. Et je sais pas trop quand je pourrais poster le prochain. J'aimerai pouvoir dire qu'il sortira bientôt, mais je suis quasi sûre que ça ne sera pas avant encore plusieurs mois, donc bon… 0:D J'espère que le chapitre ci-dessus aura tout de même réussi à vous tirer un sourire !

Quelques réponses (avec beaucoup de retard) à des reviews anonymes sur le précédent chapitre :

"Guest": You're welcome! :D I'm glad you liked this story, and even more that you found it funny. I hope reading it in french doesn't bother you. Thanks for leaving a review!

Lothrand : J'essaie de répondre aux reviews, ne t'inquiète pas ! Bon, par contre, je le fais (trèèèès) souvent avec plusieurs mois de retard, comme tu peux constater ^^' En tout cas, je suis super contente que le dernier chapitre t'ait plu, j'espère que celui-ci aussi. Pour la suite de It begins with a stupid thing et de And ends with a broken heart, il devait s'agir d'un texte se situant entre les deux histoires mais il n'est hélas toujours pas rédigé. :( Eh bien, merci de me suivre depuis tout ce temps ! :D Mais du coup, par curiosité, ça fait combien de temps ? (Ne te sens pas obligée de répondre si tu ne veux pas, hein) Merci pour ton commentaire et ton encouragement !

EnariaLaBest : Eheh, merci pour ta review enthousiaste ! Et désolée pour les entorses à l'univers de Tolkien ^^ C'est plus facile de mettre tout ce qui m'amuse dans cette fic en tordant allègrement la chronologie, la géographie et les caractères des personnages de la Terre-du-Milieu. Tant mieux si ça ne t'a pas empêchée de rigoler !

Cris : Elrond te dirait bien qu'avec Thranduil tout finit en torture, mais il ne faut pas l'écouter. ;D Merci beaucoup pour ton petit commentaire, ça me fait plaisir de voir que cette fic te fait autant rire !

"Guest" : Hello! :D Eh bien, la suite est prévue pour… oh, wait. …C'est vrai que la personnalité des protagonistes est un peu… bon, on va dire exagérée, mais je ne suis pas certaine que ça soit le bon terme. Je suis contente que tu les aimes comme ça, même s'ils sont ooc ! Merci pour ta review, j'espère que la suite continuera à te plaire !

En tout cas, j'espère que ces premières semaines de septembre se sont bien passées pour tout le monde. Je vous souhaite un bon week-end, ciao !