J'ai relu cette fic et je me suis rendue compte qu'il manquait pas mal de choses importantes donc j'ai décidé de les rajouter et de modifier l'histoire à son entier, j'ai commencé par ce premier chapitre.


Prologue Shizuru Viola

Shizuru Viola est la fille la plus populaire de son établissement. Elle avait toujours était admirée de loin. Que ce soit par sa beauté, sa gentillesse, son intelligence. Elle n'avait rien à envier aux autres. C'était les autres qui le ressentait.

Ça a toujours était ainsi pour notre protagoniste. Depuis toute petite, elle était l'attention de tous. Que ce soit de ses parents, ses amis, proches et professeurs qui espéraient énormément d'elle, un peu trop pour ses épaules. Elle ne souhaitait pas toute cette attention si étouffante ou ces attentes incessantes sur son compte. Pourtant elle vivait avec et cela de nombreuses années sans jamais se plaindre ou se rebeller. C'était dans sa nature d'être aussi obéissante et docile. Lorsqu'elle entra en première année à la Fuuka, son image de parfaite et distinguée petite étudiante plut tout de suite aux étudiants qui lui vouèrent aussitôt un culte invraisemblable.

Et la châtaigne leur donna ce qu'ils voulurent d'elle. Mais elle se sentait seule malgré la présence constante de ces amis. C'est là qu'elle rencontra pour la première fois Rosalie Claudel, une deuxième année; celle qui changea tout. Elle était aussi populaire que la perfectionniste et même plus. Elle pouvait entendre ses camarades faire des louanges sur son compte et Viola se sentait même menacé par sa présence.

Un jour la buveuse de thé oppressait par sa vie quotidienne se réfugia à la bibliothèque. Tout était calme à cette heure-ci. Pas de fan ou d'élèves qui lui demandaient des conseilles. Elle pouvait souffler quelques heures avant de retourner dans sa prison de vie. Rentrant dans ce lieu de paix, elle se dirigea à sa place habituelle. Et vit à sa grande surprise, que quelqu'un d'autre avait eu la même idée qu'elle. C'était Rosalie Claudel. La dite vit la première année et lui gracia d'un sourire séducteur. La fille aux cramoisis se rire intérieurement. C'était exactement ce qu'elle faisait avec les autres filles pour les charmer. Mais c'était particulièrement amusant de voir cette façade sur un autre visage que le sien.

''Bonjour jolie demoiselle perdue.'' La concernée par habitude se mit à sourire et rendre les politesse de courtoisie puis ayant finit se dirigea vers les étagères de la bibliothèque et inspecta les livres qui étaient rangés.

''Tu cherches quelques chose en particulier ?'' Souffla dans le cou de la châtaigne la blonde collant par la même occasion son corps contre le dos de sa cadette.

''J'essayais il y a un instant mais il serait préférable que je revienne un autre jour.'' Sourit froidement Viola qui n'attendit pas la réponse de son interlocutrice et s'en alla en coup de vent.

Les jours suivirent et Rosalie se montra plus insistante. Et elle alla souvent à la bibliothèque pour rencontre la première année. La dite savait que c'était un jeu. Mais elle avait eu la bêtise d'y succomber un jour. De dévoiler au grand jour ce qu'elle ressentait au plus profond de son être. Ce tourment d'être un pantin aux mains des autres et la deuxième année se montra si compréhensive et gentille avec elle. Un peu trop même pour que cela soit seulement innocent et sans arrière pensée. C'était comme si son aînée comprenait exactement ce qu'elle vivait. Mais c'était probablement parce que son adversaire était très douée à l'art de la manipulation, et que Shizuru n'avait eu aucune expérience amoureuse auparavant.

Elle coucha même avec elle, ce fut sa première fois ce contact si intime avec quelqu'un. Et ressentir ces sentiments qu'elle n'avait jamais éprouvés. C'est-à-dire de l'amour. La buveuse de thé allait lui avouer ses sentiments mais tout ne se passait pas comme elle l'avait imaginé. Elle avait vu Claudel en compagnie d'une autre femme à leur lieu privilégié. Elle pouvait l'entendre dire en riant à sa nouvelle conquête qu'elle n'était pas avec elle. Que c'était un bon moment de détente à vivre mais qu'il n y avait rien d'autre de sérieux entre elles. Elles ne s'étaient rien promises l'une à l'autre. Mais surtout Rosalie voulait sa liberté et ne pas être lié constamment par un poids. A cet instant, trahit. La fille aux rubis se maudissait de sa naïveté. Elle s'était par mégarde dévoilée et voilà le résultat. On l'avait prise pour une imbécile mais elle se promit à elle-même que ce genre de situation ne se reproduirait plus jamais. Elle ne s'ouvrait plus autres en montrant ses faiblesses car au final c'était elle qui souffrirait le plus comme toujours.


-Actuellement dans les couloirs de l'académie de Fuuka-

"Onee-sama." Souffla en tremblant une voix.

"Ara, tu es vraiment très mignonne, je ne t'ai jamais vu dans les environs jusqu'à maintenant. Quel dommage.''

''Car j'étais en voyage linguistique.''

''C'est donc pour cela ? J'en suis extrêmement soulagée. J'ai pensé au début que c'était moi qui avait la stupidité de te rater. Et c'était tout bonnement impardonnable de ma part. Moi qui suis la seito kaichou de cette école, je devais absolument te remarquer. Mais c'est certain quand j'y pense plus longuement, je n'aurais jamais pu oublier un aussi beau visage que le tien. Mais au fait, j'en oublie toutes les civilités, comment t'appelles-tu mignonne demoiselle ?" Flirta lascivement la châtaigne qui effleura les lèvres de la jeune fille avec le bout de ses doigts et lui donna un de ses regards les plus ravageurs faisant rougir celle qu'elle séduisait.

"Akané, Shizuru-sama."

"Tu connais déjà mon prénom ? J'en suis extrêmement flattée de cet honneur.'' Répondit faussement surprise la star de Fuuka alors que ses rubis pétillèrent de malice. C'était bien trop facile pour elle. Tant pis, elle avait déjà commencé et devait donc terminer.

''C'est normal, vous êtes connue dans cette école.''

''Vraiment ? Je ne fais pas réellement attention à ce genre de chose alors je ne l'avais pas remarqué. Aussi c'est vraiment un joli prénom que tu as, et cela correspond parfaitement à la personne qui le porte." Murmura Viola à l'oreille de la jeune fille mordillant doucement son lobe, alors que la fille devint de plus en plus écarlate.

''Tu peux m'appeler Shi~zu~ru~et me tutoyer. Je n'aime pas qu'on me mette de la distance. Je suis une personne tout à fait normale comme toi.''

La sonnerie de l'école se mit à retentir, ce qui signifiait que les cours allaient bientôt reprendre. Et cela, au plus grand déplaisir de la dragueuse qui n'avait pas mise en place toute sa stratégie, et devrait le faire certainement plus tard. Alors qu'il semblerait que c'était du tout cuit.

"Ara, on dirait qu'il est temps d'aller en cours A-ka-né-chan. Mais on se reverra sûrement plus tard, ne ?" Dit Viola en plongeon intensément son regard dans celui de l'étudiante.

"O...ou...oui, shizuru-sa." Mais la dite interrompit sa proie en mettant son doigt ses lèvres afin de la taire.

''Pas de -sama.''

''Shi…zuru.''

''C'est parfait maintenant Akané...tu peux maintenant y aller...je ne vaudrais surtout pas te mettre en retard.''

La jeune fille se mit à courir cachant son visage en feu sous ses mains.

"Une nouvelle amante, Shizuru onee-sama." Demanda une voix qui se rapprochait de la deuxième année aux rubis.

C'était une fille aux cheveux court de couleur jade qui venait à la rencontre de Viola.

"Pas encore...enfin pour l'instant...mais c'est en bonne voie…'' Déclara naturellement la fille aux cramoisis qui vit aussitôt sa camarade se crisper en serrant des poings et des dents. ''Tomoe, tu ne serais pas jalouse au moins ?" Questionna la jeune demoiselle à la chevelure couleur ambrée avec un fin sourire provocateur.

"Non, car je sais que vous n'êtes pas sérieuse."

"Ah bon ? Je pourrais mal le prendre que tu me vois de cette façon si volage ? Mais ça me correspond tellement bien, je ne peux te mentir ou le nier. Tu me connais tellement bien Marguerite et cela dans tout les aspects," rajouta la seito kaichou en s'humidifiant sensuellement les lèvres.

La fille aux cheveux verts se mit à rougir et déglutir péniblement fixant les lèvres tentatrices de son interlocutrice. Puis se retourna pour ne plus faire face à la séductrice qui lui faisait perdre tous les moyens comme à chaque fois et sans exception.

"Je ne vois pas ce que vous voulez dire."

"Est-ce vrai ?" Demanda la buveuse de thé en s'approchant de l'étudiante et se mit à la serrer dans ses bras puis à l'embrasser langoureusement dans le cou. Ses mains descendirent lentement vers ses hanches profitant pour toucher au maximum le corps qui semblait réagir à son touché expert.

"Shi…Shizuru ?" Bégaya Marguerite qui se mit à rougir intensément quand les mains rejoignirent ses cuisses qui commencèrent à trembler et qui purent à chaque instant faiblir sous son poids.

"Je plaisantais, pas maintenant peut être plus tard si tu le souhaites toujours; mais te connaissant. Je sais que ce n'est même pas la peine de te le demander…tu viens toujours me voir~" relâchant son étreinte sur la jeune fille, la prédatrice la retourna subitement vers elle et l'embrassa sur le coin de sa lèvre et s'éloigna rapidement de Tomoe pour ne pas qu'elle puisse prendre entièrement possession de ses lèvres. Elle n'était pas d'humeur câline ou même de donner de quelconque marque d'affection.

''Shizuru...sama...je...''

''Oui Tomoe ?''

''Je vous aime...'' Confessa timidement totalement rouge Marguerite qui baissa du regard. La châtaigne fut étonnée et fit tout son possible pour ne pas rire. Combien de fois avait-elle entendu ces mêmes mots ? Ce fut simplement incalculable. Elle en perdit le compte depuis un bon moment. L'amour ? Qu'est-ce qu'il ne fallait pas entendre comme absurdité. Cette fille la connaissait que depuis quelques semaines et seulement ce qu'elle voulait lui montrer ou attendait d'elle, rien de plus. De plus, elle avait pu la mettre dans son lit en à peine quelques jours. Ce n'était pas marrant ou excitant. Et maintenant elle s'ennuyait déjà d'elle par une si grande insistance, elle préféra même voir ailleurs. Et n'eut pas honte de le faire ouvertement.

Mais cette fille à la chevelure émeraude lui faisait froid dans le dos par sa si grande possessivité, et jalousie. Éloignant toutes ses admiratrices et la proclamant comme son âme sœur et qu'elles étaient faite l'une pour l'autre. Pourtant la buveuse de thé ne lui avait jamais rien promis, que ce soit amour et sentiment et avait été très claire dès le début qu'elle ne cherchait pas de relation sérieuse ou d'attache quelconque. Cependant ça n'arrêtait en rien son harceleuse qui voyait cela comme un défi à relever au plus grand dam de la concernée. Shizuru se demandait souvent si c'était une bonne idée d'avoir séduit une fille aussi pot de colle et un peu dérangée.

''Tomoe...tu sais très bien ce que j'en pense…je te l'ai déjà dis…je ne veux pas de sentiment.''

''Pourquoi ? On peut essayer au moins. Juste une fois ?''

''Ou peut être qu'on devrait simplement arrêter nos incartades. Ça ne me dérange pas particulièrement. Tu pourras certainement trouver quelqu'un qui te rendra tes sentiments, et ce n'est pas moi cette personne.'' Soupira lasse l'idole de Fuuka.

''NON !'' Hurla son interlocutrice. ''Je…ça me convient…ce que nous vivons…''

''Tu en es certaine ? Car quoi que tu fasses nous ne serons jamais un couple et ça ne changera jamais. Tu en as conscience au moins ?''

''Oui…''

''Kannin na mais je dois y aller…au revoir…''

''…'' Malgré ce qu'avait dis Marguerite, elle ne perdra jamais espoir à posséder complètement son obsession. Et qu'importe si pour le moment cela soit seulement son corps.


Shizuru avait une apparence des plus remarquée, elle avait de long cheveux châtains fournit d'une franche qui surplomba son front et marquant la beauté de ses yeux incroyable et originaux cramoisis. Étant d'une très grande beauté, elle fit chavirer le cœur de plus d'un. Que ce soit les garçons mais aussi les filles. Elle s'amusait avec délectation à utiliser son charme ravageur. Autant s'en servir pour quelque chose. Sinon ce serait tout bonnement une perte.

C'était un jeu pour elle, combien de temps une fille succomberait sous charme ? Quels sont les moyens pour elle de la séduire et de l'amener dans son lit ? Elle avait toujours des nombreux scénarios en tête. Ça prenait toujours un peu de temps au début. Mais si c'était trop facile, alors il n'y aurait plus aucun intérêt de faire son jeu. Mais il ne fait pas se tromper. La châtaigne ne choisit pas n'importe quelles filles. Elle devait lui plaire un minimum et attirer de quelque façon son attention et ses exigences. Après qu'elle choisissait sa cible, il fallait qu'elle connaisse un peu plus sa proie, ce qu'elle aimait, détestait. Et à chaque fois elle savait ce qu'elle devait faire pour parvenir à ses moyens. Cela dépendait surtout de la personne qui lui faisait face. Parfois elle devait se montrer douce et gentille, ou distante et froide, ou même direct. La séductrice n'était jamais vraiment tombée amoureuse depuis son histoire avec Claudel, et ça ne l'intéressait plus vraiment maintenant, car elle savait que ces sentiments n'étaient que des illusions rendant misérable et faible. Les gens l'aimaient à cause de l'aura qu'elle dégageait et de sa beauté. Et non pour ce qu'elle était vraiment. Et qu'importe…elle allait en profiter au maximum de ce qu'elle avait.


À l'heure du déjeuner, la châtaigne était avec ses fans, quand une voix familière l'interpella.

C'était Reito Kanzaki, un ami d'enfance de la seito kaichou, il était comme elle, une star auprès des filles. De bonne famille et plutôt beau garçon; il faisait craquer les filles mais pas autant que la fille aux iris cramoisis. On les voyait souvent comme un couple. Il avait tenté de se mettre ensemble mais ça n'avait mené nulle part. Alors les deux amis sont resté en bon terme depuis.

"Reito que fais-tu là ? Tu n'es pas à ton école ?"Demanda surprise Viola.

"Quel accueil Shizuru. Je ne viens pas souvent te rendre visite à ton école et c'est ainsi que tu m'accueilles, ça me rend très triste."

"Ara gomen," se retournant vers son fan club la beauté à l'accent de Kyoto s'excusa auprès de ses groupies mais leur dit qu'elle devait rester seule avec son ami.

Le groupe de jeune fille s'en allèrent immédiatement avec tout de même du dépit.

"Ah, je vois que tu es toujours aussi populaire auprès des filles." Ria son ami.

"Tout comme toi mon cher." Ajouta la buveuse de thé en lui montrant du regard des élèves féminines de l'école qui observaient avec attention le couple d'ami en chuchotant. Et se mirent à rougir intensément quand le duo se met à sourire flirteusement.

"Et si on allait voir Haruka ?" Suggéra Kanzaki.

"Bonne idée, et je suis persuadée qu'il y aura Yukino avec elle." Ajouta l'étudiante aux cheveux miel en souriant.

Allant à la salle des étudiants, les deux amis d'enfance aperçurent Haruka et Yukino en compagnie de Midori.

"Shizuru…Reito ? Mais qu'est-ce que tu fais ici ?" Demanda la rouquine au garçon brun.

"C'est la deuxième fois qu'on me pose la question, je vais mal le prendre à force." Bouda Kanzaki.

"Désolée mais tu sais que c'est une école de fille ici ...et tu n'es visiblement pas une sauf si tu y as remédié..."

"Non je suis un homme un vrai, c'est ma faute j'aurais dû prévenir que j'allais venir. Ou vous envoyer simplement un faire part de ma visite."

"Mais non. On plaisantais tu es toujours le bienvenue ici." Ajouta Haruka qui avait rejoint la conversation.

"En fait, je voulais juste qu'on se retrouve comme au bon vieux temps. Ça me manquait un peu." Dit l'ami de la seito kaichou.

"Notre groupe est de nouveau au complet." Commenta Viola en claquant des mains joyeusement.

Le groupe d'ami commencèrent à se remémorer les souvenirs de leur enfance, quand quelqu'un se mit à frapper à la porte de la salle des étudiants interrompant leur discussion.

C'était le professeur Yuko, une femme brune aux yeux bleus d'une cinquantaine d'année.

"Excusez moi de vous déranger mais j'aimerai m'entretenir avec la présidente du conseil."

"J'arrive professeur." Répondit la seito kaichou qui se levait de sa chaise.

Shizuru sortit de la salle accompagnée par le professeur. Ses amis qui étaient restés dans la salle du conseil se demandaient ce que lui voulait le professeur.

"Fujino-san, tu es la présidente du conseil étudiant, j'aimerai te demander un service." Dit le professeur.

"Ara, bien sûr vous pouvez tout me demander, si j'ai le pouvoir de vous aider, je le ferai volontiers." Oui je suis si serviable et une bonne poire...c'est improbable voir inimaginable que je refuse même moi j'en ai conscience...

"Une étudiante va être transférée dans cet école cet après midi et je me demandais si tu pouvais l'aider à s'intégrer et à lui faire visiter l'établissement."

"Bien sûr, avec joie et comment s'appelle cette nouvelle élève ?"

"Je crois que c'est Natsuki Kuga." Répondit le professeur Yuko. Natsuki ? Quel joli prénom se dit à ce moment là la châtaigne dont un sourire se dessina sur ses lèvres par cette nouvelle. Enfin une nouvelle distraction dans sa vie ennuyante.

"Donc je vous laisse vous occuper d'elle."

"Oui, comptez sur moi. Je m'occuperais très bien d'elle..." Répondit la buveuse de thé enthousiaste.

L'enseignante s'en alla quant à Viola elle revint à la salle du conseil des étudiants où attendaient ses amis qui se mirent à la questionner.

"Qu'est-ce qu'elle te voulait le professeur ?" Demanda curieuse Midori.

"Elle m'a demandé de m'occuper de la nouvelle étudiante qui vient d'être transférée aujourd'hui et de lui montrer les alentours de l'école."

"Je suis sûr que Shizuru va très bien s'occuper d'elle. Il n'y a pas mieux qu'elle pour ce genre...de chose..." Sourit avec malice Reito.

"Ara, tu crois que je saute sur tout ce qui bouge." Rajouta faussement blessée la buveuse de thé.

''Oui !'' S'exclamèrent en cœur ses amis.

''Ikezu !''

''Comme si ça te choquais réellement de savoir que tu es une womanizer.''

''Non ça ne me dérange pas. Mais il y a des façons de le dire comme avec un peu plus de tact.''

''Toi qui n'en utilises jamais.''

''Tant de haine et de jalousie. Aahh...c'est ça la popularité…on fait des envieux...''

"Mais peut être que cette fille ne tombera pas sous ton charme." Répliqua Yukino.

Tout le groupe se mit à rire par ce commentaire absurde, comment si c'était réellement possible qu'une fille puisse repousser Viola, c'est impossible et ça ne s'est jamais produit jusqu'à maintenant.