Hello ! Me revoila pour le dernier chapitre de cet histoire ! Mais c'est un Happy end, vous verrez !
Aussidagility : Et si, désolé… Mais promis, j'ai de bonnes nouvelles à la fin ! Merci pour ta review ^^
PrincetonGirl818 : Voila la suite ! Merci pour ta review ^^
Edward POV
Je m'éveillais en sursaut une nouvelle fois. Merde, encore ce foutu cauchemar qui tourne en tête. Pas vraiment un cauchemar, plus un souvenir qui remonte en tête. Je pivotais lentement pour attraper la bouteille d'eau qui trainait au pied de mon lit et en bus une longue gorgée.
- Arrête d'y penser ! J'entendis un corps rouler contre moi et se mouler contre mon dos. Il est en prison, il ne te ferra pas de mal ! Me murmura ma femme en caressant mes cheveux.
- Je sais… Mais sa libération me fait peur. Il peut…
- Il ne peut rien te faire en sachant qu'il a une ordonnance d'éloignement envers toute la famille sur le dos et un bracelet électronique. S'il s'approche de la maison, il est cuit. Et il le sait. Je me retournais pour lui faire face et l'embrasser délicatement.
- Qu'est-ce que je ferais sans toi…
- Tu me répètes ça depuis 18 ans.
FLASHBACK
- Le jury a-t-il prit sa décision ? Demanda le juge.
- Oui votre honneur. Le président du jury traversa la salle pour remettre un papier au juge. Il nous fait signe de nous lever.
- Carlisle Louis Cullen, vous avez été jugé par la cour coupable de tous les chefs d'accusation qui plainait sur vous. Vous écopez de 28 ans de prison, dont 10 avec sursis, d'une ordonnance d'éloignement de 100 mètres envers votre ex-femme et vos trois enfants et d'une amende de 300 000 dollars. Il leva une dernière fois son marteau pour rendre compte de son verdict. Des policiers l'encadrèrent de suite pour le ramener à la casse prison. Il se débâtit, cria, mais nos effusions de joie couvraient les siennes, vaines.
FIN FLASHBACK.
- J'ai plus peur pour les enfants…
- Pour Mathias, Sarah et Julien ? Il ne sait même pas qu'ils existent !
- Et elle ? Je posais ma main sur son ventre prêt à exploser.
- C'est la même chose ! Il ne ferra de mal à personne. Alors, maintenant, tu arrêtes ta paranoïa, et tu te détends ! Elle agrippa mes cheveux d'une main et me força à l'embrasser. Sa main glissa dans son pantalon pour attraper mon soldat bien au garde-à-vous.
- Coquine ce matin madame Cullen !
- Comme à chaque fois ! Je l'aidais à virer le haut de son pyjama de grossesse ainsi que le bas pour la contempler, magnifique et gracieuse.
- Prends-moi ! Souffla-t-elle. Je pris appui sur le rebord de la fenêtre au-dessus de notre lit pour ne pas appuyer sur son ventre. Je me glissais lentement en elle, et ne bougeai pas. Oh ! Souffla-t-elle. Oh continue ! Je l'approchais lentement de l'orgasme, pour ne pas blesser notre fille à quelques centimètres de moi. Je grognais tout en me retenant, pour ne pas réveiller les enfants dans les chambres à côté de la nôtre. Je sentis ses murs trembler autour de moi, avant de la voir partir dans la volupté quelques secondes plus tard. Je me laissais aller en elle au même moment, avant de me retirer de ses chairs. Je remontais mon pantalon de nuit qu'elle avait fait glisser jusqu'à mes chevilles et l'aidais à se rhabiller convenablement. Je posais délicatement ma main contre son ventre rond pour sentir un nouveau coup de pied. Il frappa ma paume peu de temps après.
- Elle a joué toute la nuit à me mettre des coups de pied. Elle ne devrait pas tarder à s'endormir.
- Tu as l'air de moins souffrir, ou moins que pour Julien.
- C'est vrai. Faut dire que je suis habituée. Elle caressa délicatement ma nuque.
- PAPA ! PAPA PAPA PAPA PAPA ! J'entendis des petits pieds courir sur le parquet pour entrer dans notre chambre. Mathias, six ans, me sauta dessus en premier, suivi de Sarah, quatre ans et Julien, trois ans. Notre lit s'alourdit grandement avec nos trois enfants dessus.
- Joyeux anniversaire papa chéri ! Sarah embrassa ma joue barbue.
- Joyeux anniversaire papa ! Continua Mathias.
- Noyeux naniversaire papa ! Julien m'embrassa lui aussi la joue.
- Venez là mes petits monstres ! Je les pris tous les trois contre moi et les serrais dans mon étreinte. Qui vous a dit que c'était mon anniversaire ?
- Mam… personne ! Se rattrapa Sarah après un coup de coude de son grand frère. Je me retournais vers leur mère.
- Oh, c'est bon, c'est pas la mort ! Souffla-t-elle.
- Mais maintenant que vous connaissez mon anniversaire, je vais devoir vous manger tout cru ! J'attrapais le premier pied que je trouvais et fit semblant de le croquer. Je continuais à attraper tous les membres passant près de moi pour les chatouiller avec mes dents.
- Arrête, tu les excites ! M'engueula ma femme. Vous aviez pas un cadeau à donner à papa ? Demanda-t-elle innocemment.
- Oui ! Tu bouges pas papa d'accord ? Je hochais la tête. Ils partirent tous les trois au quart de tour, me laissant seule avec ma femme. Je me rapprochais d'elle et lui murmurais à l'oreille.
- Ce soir, c'est toi qui seras mangée toute crue ! Elle rougit jusqu'aux oreilles et prit plusieurs secondes pour retourner à un état correct. Les enfants revinrent dans la chambre en tenant un paquet plat enroulé de papier cadeau. Ils me le tendirent tous les trois et montèrent sur le lit pour se mettre autour de moi.
- Vous voulez déchirer le papier ? Je me rappelle que, pour Mathias, si on ouvrait les cadeaux à sa place, il pleurait et criait dans toute la maison. Les moustiques comprirent rapidement le message et arrachèrent le papier rouge. Ma femme se leva difficilement et attrapa l'appareil photo. Elle se mit face à nous et prit plusieurs clichées des enfants arrachant le papier. Quand tout disparut, j'attrapais le cadre. Il contenait une grande feuille de papier, où je pouvais voir les empreintes de pieds et de mains de chacun de mes enfants. Ils avaient même fait un peu de place pour inscrire celle de leur sœur.
- C'est superbe ! Venez là ! Je pris mes deux fils et ma fille dans mes bras et les embrassais fortement sur la joue. Ils se plaignirent une nouvelle fois de ma barbe, mais je m'en moquais.
- Papa ? Demanda Sarah.
- Oui ma puce ?
- C'est quand qu'elle arrive ma petite sœur ? J'veux la voir ma petite sœur !
- On veut tous la voir ma chérie. Mais si tout se passe bien, dans deux dodos, votre petite sœur sera là.
- Promis ?
- Promis promis promis ! Allez, on va s'habiller !
J'aidais ma femme à préparer le repas pour toute la famille. Nous étions nombreux. Tout le monde venait, ce qui fait que nous étions 16 à table ! Oui, vous avez bien lu. Ma mère, ma belle-famille, Alice, Jasper, et leurs deux marmots, Rosalie et Emmett, avec leur fille, plus nous cinq. Seul Phil ne venait pas. Phil ? Mon beau-père.
FLASHBACK.
- Alors ? Demandai-je à ma mère. Elle amena les boissons au salon. Elle s'était dégoté une petite maison dans la banlieue de Seattle, grâce à l'argent qu'elle avait touché de papa. Emmett piqua une énorme poignée de biscuits apéritifs qu'il fourra dans son énorme bouche.
- Maman, dis-nous que ce n'est pas quelque chose de grave ! Insista Alice.
- Ce n'est pas quelque chose de grave, bien au contraire. Mais je voulais que nous soyons uniquement tous les quatre pour vous l'annoncez. Je ne sais pas comment vous allez prendre la nouvelle, c'est… assez imprévu.
- Maman, arrête d'insister, viens en au fait !
- Quand j'ai décoré les salles d'attentes de l'hôpital, ben… j'ai rencontré quelqu'un. Les dernières paroles claquèrent dans le silence. Nous nous regardions, ne sachant pas quoi dire. Ce fut Alice qui prit la parole en première.
- C'est merveilleux maman ! Elle se leva et la prit contre elle. Je regardais toujours Emmett. Lui non plus ne savait pas quoi dire.
- Il te rend heureuse ? Demanda mon frère. Elle hocha la tête. C'est tout ce qu'on demande ! Je me levais en même temps que lui pour étreindre notre mère.
- Je l'ai invité ce soir. Il ne devrait pas tarder.
FIN FLASHBACK.
Cette rencontre s'était déroulée il y a dix ans. Phil était l'homme le plus gentil qui existait, non violent et toujours là si nous avions besoin de lui. Maman et lui avaient pris la décision de vivre ensemble il y a peu. Vous vous demandez surement qui est la 16eme personne invité à mon anniversaire ? C'est Anna. Anna Roland.
FLASHBACK.
- Je ne la sens pas cette rencontre ! Marmonna Bella dans la voiture silencieuse de ses parents.
- Elle ne te ferra pas de mal. On est tous là, et on est dans un lieu publique. Charlie se gara sur le parking du centre commercial. On descendit tous ensemble, pour prendre l'ascenseur jusqu'au niveau deux. On suivit tout le monde jusqu'au bar où l'ancienne surveillante de dortoir nous avait donné rendez-vous. Elle nous serra la main à tour de rôle. Le procès était dans une semaine, et elle avait payé sa caution pour sortir. Nous prime place autour d'une grande table, attendant qu'elle prenne la parole.
- Je m'excuse. Pour tout le mal que je vous ai fait. Je n'étais pas dans mon état normal, je… Je ne sais pas ce qui m'a pris. Je m'excuse mademoiselle Swan. Pour le coup que je vous ai donné, et tout ce que je vous ai dit dans la chambre. Et aussi pour mes menaces. Je l'ai fait de mon plein gré, et je suis prête à accepter ma peine sans faire appel. Je l'ai mérité. Bella pleura en se rappelant ce souvenir. Elle posa sa tête au creux de mon cou.
- Je m'excuse envers vous, Monsieur Cullen. J'ai agi sur ordre de votre père, je pensais pas aux conséquences de mes actes. Ma mère posa une main sur celle de la surveillante.
- Mon ex-mari a manipulé beaucoup de gens. Je suis prêt à croire que vous n'y êtes pour rien dans cette affaire, que vous n'avez été qu'un pion.
FIN FLASHBACK.
Le juge avait réclamé une analyse psychologique. Anna était faible psychologiquement, et facilement manipulable. Rien n'avait été retenu de ce point de vue-là. Elle avait écopé de cinq ans de prison ferme, et 10 000 dollars d'amende.
- Va t'allonger Bella, la sommai-je une nouvelle fois. Je peux finir ça tout seul. Elle se redressa difficilement une nouvelle fois.
- T'es sur ? Je hochais une nouvelle fois la tête. Allez, j'y vais. Je vais essayer de ne pas m'endormir trop longtemps.
- Les invités arrivent dans une heure trente. Tu as le temps. Prends un bon bain, ça te détendra. Elle m'embrassa délicatement avant de partir à l'étage. Je terminais difficilement la préparation de mon gâteau au chocolat d'anniversaire et le mit dans le four.
- Tonton Em ? Demanda Mathias. Pourquoi Olivia peut pas jouer avec nous au ballon dehors ?
- Parce qu'elle est malade, tu as bien vu, elle fait que atchoum atchoum ! Il faut qu'elle reste dedans. Puis le ballon, c'est pour les garçons. Il vous manque un joueur ?
- Pas toi tonton, tu tires trop fort et tu gagnes à chaque fois ! Je ne pus m'empêcher de rigoler face à mon frère.
- C'est sûr que je tire plus fort et plus vite que ton père ! Je lui tirais la langue puérilement.
- C'est pas bien de tirer la langue tonton ! me reprit Olivia.
- Je suis un grand enfant, j'ai le droit ! Je voyais Bella à côté de moi se tortiller de tous les côtés et se masser le dos à plusieurs reprises.
- Va t'allonger amour. On va tout mettre au lave-vaisselle puis ouvrir les cadeaux. Allez. Une demi-heure ne te ferra pas de mal !
- Vas-y, personne ne t'en voudra, ajouta Renée. Visiblement, cela fit pencher la balance du bon côté. Elle se leva et monta difficilement les marches. On débarrassa les restes du repas à la cuisine ou dans la poubelle, pour faire de la place et poser tous les paquets. Je décidais de laisser ma femme se reposer. Tout le monde prenait suffisamment de photo ou filmait la scène, elle pourrait la voir autant qu'elle voulait.
J'attrapais le paquet de ma mère en premier. Je laissais les petits monstres de la famille déchirer le papier. Elle me faisait le même cadeau toute les années, un pull, avec un paquet de chocolat. J'allais prendre un autre paquet, celui de Rosalie, mais Bella dans les marches. Elle se tenait le ventre, était à moitié repliée sur elle-même. Oh non, je connais cette posture…
- Désolé de venir casser la fête, mais bizarrement, ta fille a décidé elle aussi de te souhaiter un joyeux anniversaire !
- Oui maman. Ça ne vous dérange vraiment pas ? Demandai-je une nouvelle fois. Ok. Non, j'attends là. Ils viennent de lui poser la péridurale. Normalement, on descend dans la salle d'accouchement dans trente minutes. Non, s'ils dorment, ne va pas les réveiller. Tu le leur dira demain matin. Bonne nuit à vous aussi. Je retournais dans la chambre de la maternité. Ma femme essayait de se détendre le plus possible.
- Alors ? Demanda-t-elle.
- Maman et Phil restent dormir à la maison ce soir. Les petits dormaient déjà. Je lui tendis la main pour qu'elle la serre sous la contraction.
- Désolé d'avoir gâché l'anniversaire ! Répéta-t-elle quand la contraction s'estompa.
- Ne dis pas de bêtises. Elle devait pointer le bout de son nez la petite. Ben elle le fait maintenant ! Avec un peu de chance, elle naitra le 10 novembre, comme son père. Le gynéco passa une nouvelle fois la porte pour contrôler sa dilatation. Ca y est madame Cullen, on peut y aller ! Vous êtes habituée maintenant, vous savez comment ça se passe !
27 minutes plus tard.
- Allez, un dernier effort ! Elle poussa une dernière fois, me broyant la main une ultime fois. Relâchez ! Ca y est ! Elle s'écroula sur son lit. Ca y est, la voilà ! Une sage-femme se releva, tenant notre fille dans ses bras. Elle l'enroula dans des langes et la déposa contre le buste de Bella.
- Oh ma chérie ! Souffla-t-elle, des larmes coulant sur ces joues.
- Comment elle s'appelle cette petite ? Aucun de nous deux n'avait envie de répondre, n'ayant pas envie de briser cette bulle de paix qui avait envahie la salle, comme à chaque fois qu'un bébé naissait dans la famille.
- Julie. Julie Esmée Cullen, répondis-je, dans un état second.
- On va récupérer la petite Julie pour voir si tout va bien, et on vous la rend dans quelques minutes. Allez ! La sage-femme la récupéra. Elle mesurait 40 centimètres, pour 2,100 kilos. Une toute petite crevette, la plus petite de ces frères et sœurs. Je récupérais ma nouvelle fille contre moi. La même émotion me saisit à chaque fois quand je me plongeais dans ses yeux pour le moment bleu océan de mes enfants nouveaux nés. Le fait que, si elle me le demandait, je pourrais gravir des montagnes à main nue ou même lui décrocher la lune, simplement si elle en émettait le vœu.
FEVRIER DE L'ANNEE SUIVANTE
CARLISLE POV
Ce qu'il y a de bien quand on va être réinséré dans la société, c'est qu'on a le droit de reprendre contact avec la vraie vie, ce qui signifie : avoir le droit de lire le journal ! Même si c'est que la daube du Seattle Press Journal. J'attendais que le gardien passe pour me le faire glisser sous ma grille. Allez Cullen, plus que 14 jours et tu retrouveras l'air frais et le soleil te cramant les pupilles. Si tu fais pas de conneries d'ici là ! J'arrachais presque des mains le magasine quand il arriva. Je m'allongeai à plat ventre sur mon lit et le dépliais.
La folie Cullen s'abat sur Hollywood ! Fut le gros titre qui me sauta aux yeux. Je sautais directement à la page 9.
Edward Cullen, le phénomène enfin récompensé ! Hier, pendant la 87eme cérémonie des Oscar, le célèbre compositeur de musique de film et pianiste a remporté la statuette d'or, pour la musique qu'il a composé pour le film Sans un mot, interprété par la grande Nicole Kidman et Jude Law. Le compositeur, originaire de notre région et vivant à Seattle a célébré son 35eme anniversaire en novembre, est un des plus jeunes a gagné la statuette dans cette catégorie. Il vient de signer plusieurs contrats, notamment pour composer la musique du prochain film de Scorcese, et plusieurs rumeurs diraient que Cronenberg serait très intéressé par son génie musical !
Rien ne semble arrêter Edward Cullen, qui gravit pas à pas les échelons de la gloire ! Sa femme, Isabella Cullen, suit le même chemin que lui. Guitariste émérite, elle compose beaucoup d'œuvres, mais ne donne plus aucun concert, préférant se consacrer à l'écriture et surtout, à ces quatre enfants, dont la petite dernière, Julie, qui a vu le jour il y a seulement quelques mois.
Maintenant, que vise Edward Cullen ? Un grammy ? Un BAFTA ? Un César ? Va-t-il reprendre sa carrière de pianiste ? Il répondra à toutes nos questions demain !
Sous l'article, une photo de mon fils, tenant la statuette dans ses mains et l'embrassant du bout des lèvres. Une légende disait :
Edward Cullen, recevant son premier oscar, et espérons-le, pas le dernier : 'Je dédie cette magnifique récompense à ma famille, ma femme et mes enfants, mais aussi à mon frère, ma sœur et ma mère. Sans eux, je ne serais pas face à vous.'
Non, il a pas le droit, non ! Non ! Dans un élan de rage incontrôlé, je déchirais le journal dans mes mains, réduisant en cendre la réussite de mon fils. J'entendis la cellule s'ouvrir, et plusieurs gardiens entrèrent pour me maitriser. On injecta une nouvelle fois du sédatif dans mes veines. Depuis presque un an, j'avais réussi à me canaliser. Presque.
- T'étais prévenu Cullen ! Si tu piquais une nouvelle crise, tu sortais pas. Tu vas encore passer quelques mois avec nous.
Voila ! C'est la fin ! Tout est bien qui finit bien pour nos deux tourteraux et leur quatre enfants ! Je voulais tous vous remerciez pour vos reviews tout au long de cette histoire !
calimero59, Titie, Tinga Bella, Butterfly971, bichou85, miiss88, phika17, Aliiice, Elsa.75, ousna, chouchoumag, Bibi017, Ilonka, Becky1497, LuneBlanche, Bellaandedwardamour, olivia59350, lucie62170, CaRoOThePriinCess, lapiaf8, doudounord, LyraParleOr, spunk9, Grazie, twilight-I-love-you, Bibi017, Justine, leti60, soleil83, 2L d'R, Elfy's, lili70, Joannie01, nymphadora15, Lily-Rose-Bella, si je puis me permettre, Nilua, titefred, Bellaandedwardamour, Jackye, Calestina L, lia3011, Lyry, pierard85, Stephh92 ,samy940, aussidagility, nina, Mar06Bella, brune59, Siria Black Cullen, IsabellaMasenCullen, oliveronica cullen massen, Krine69, mathildecullen19, gabrielle, camryn48re, nanieninie, ranianada, bibi, bella-lili-rosecullensister, bellardtwilight, Alexandra, Lodiie, Xukette, cmjkpl, twlight-poison, be, nina, furling27, alexandra-luna-1019, Menieemmett, mimi la souris, pauline, , mmccg, lamue12, lagourmande45, Titeviolette, birginie, doudounord2, lagourmande, Sweet Vodka, czarnyciemno, frimousse30, Lululourson, Charloon, bebedemamour, Fo7, Floraline, Gaby-mini, KristenLove, MystieLil, CaroolineF13, coco-des-iles, LauraetBinou, licou-val, alicia38, Juliette.L, sarinette60, PrincetonGirl818, Fanfictions-Repertoire, sand91, Halfliger, Sam's Masen
(Normalement, j'ai oublié personne… Si c'est le cas, prévenez-moi !)
Sinon, comme à chaque fois, je vais vous parlez des prochaines fics qui vont arriver sous peu, et j'ai une bonne nouvelle !
* Pour celles qui suivaient Aimer et Attendre, j'avais promis une suite, avec les personnages d'Alice et Jasper… Et bien elle va bientôt arriver ! Je pense la publier courant février, le temps pour moi de bien avancer l'histoire ! Si vous voulez lire le prologue, pas de souci, demandez-moi, et je vous l'enverrais pas MP !
Voilà !
Je vous souhaite en joyeux noël, de bonnes fêtes, et a bientôt peut être sur une autre histoire !
Bisous !