Eh oui, nouvelle histoire... Mais cette fois-ci, elle est bien plus sérieuse et longue. Oui, oui, ce sera une histoire d'une vingtaine de chapitres. (Ou plus...) ^^ Je vous l'offre comme cadeau de Noël en avance, ne suis-je pas gentille ?

Pairing : Un peu de 1827 et beaucoup de All27

Résumé complet : Suite à une énième tentative de meurtre, Hibari décide d'engager un goûteur pour éviter d'autres empoisonnements. Cependant, quand son goûteur s'appelle Tsuna, cela complique la chose... Tsuna arrivera-t-il à survivre à son existence avec Hibari?



La silhouette se glissa furtivement dans la pièce sombre. Elle se figea un instant, certaine d'avoir entendu un bruit en entrant dans la chambre. Rassurée, elle s'avança vers le bureau, d'où elle pouvait distinguer plusieurs liasses de papier administratif. La personne tendit la main avec assurance vers les feuilles et recula subitement lorsqu'un bruit suspect se fit entendre à la fenêtre. Il devait être arrivé. Maudissant ses supérieurs qui avaient oublié de la prévenir sur les habitudes de sa proie, la silhouette se faufila dans un placard exigu et attendit que l'autre arrive.

Un grincement se fit entendre tandis qu'une voix masculine semblait grommeler contre ce bruit intempestif. Ensuite, le son feutré des pas sur la moquette rouge se déplaça tout au long du bureau, jusqu'à s'approcher de son refuge.

La porte du placard s'ouvrit violemment et l'assassin se jeta sur sa future victime. Cependant, cette dernière était préparée et armée. Un combat silencieux se déroula dans la pièce toujours aussi sombre. Ensuite, tout fut fini. L'assassin avait perdu et relâcha tous ses muscles pour le faire comprendre à son opposant.

- Que vois-je, chuchota ce dernier en contemplant le visage du rôdeur, une souris s'est égarée dans un bureau administratif ?

- Taisez-vous, siffla l'autre en tentant de se défaire de la poigne de son ennemi, laissez-moi tranquille, je ne voulais qu'une seule chose !

- Et quoi donc ? Tuer le Préfet de Discipline ?

- Entre-autre, avoua l'assassin en se tortillant sous le regard perçant de son ennemi, Mais je voulais surtout récupérer les anneaux Vongola !

- Cela ne sert à rien, rétorqua l'homme en jetant son captif à terre, le Préfet les a détruit depuis des années...

Ignorant le corps qui gisait sur le sol, il se tourna vers la porte, restée close, et l'ouvrit, dévoilant un jeune homme qui avait une expression de pur ennui. Ce dernier s'avança vers le bureau, alluma les lumières, et se tourna ensuite vers le prisonnier qui se trouvait sous ses yeux.

- Une autre tentative, soupira-t-il en étouffant un bâillement, j'imagine que ce doit être la quinzième.

- Vous oubliez l'empoisonnement de ce matin, lui rappela l' autre en lui tendant la lame qu'avait auparavant tenu l'assassin.

- Hum, décréta l'homme en examinant l'arme, Couteau, lame empoisonnée, elle doit provenir des Estraneo, non ?

La personne à terre ne répondit et préféra garder ses yeux fixés sur le sol. Une personne entra alors dans la pièce, portant un plateau rempli de pâtisseries. Elle posa le plateau sur le bureau du jeune homme et s'en alla sans un regard envers le garçon à terre.

- Je prends ça pour un oui, ajouta avec ennui le jeune homme en cherchant dans la liasse de feuilles ce qu'il voulait et en tendant la main vers un éclair au chocolat. Hum, selon mes règles, je devrais te tuer de la même façon que tu prévoyais le faire. Comment t'appelles-tu ?

- ..., l'assassin leva brièvement les yeux et toisa son ennemi qui se préparait à mordre dans sa pâtisserie, Enma.

L'adolescent assassin vit avec satisfaction son ennemi avaler une bouchée de l'éclair. Cependant, au dernier moment, l'autre homme se jeta sur ce dernier et lui arracha la pâtisserie des mains.

- Empoisonné, décréta l'homme en reniflant prudemment l'éclair, C'est d'ailleurs le même poison que celui qui a tué Gamma.

- Très bien, Enma, vu ton nom et ce poison, commença le jeune homme en jetant le plateau à terre, tu dois faire partie des Simon. Je vais te laisser partir. Cependant, tu devras avertir ta famille, et ton allié qui se cache derrière la porte. À la prochaine tentative, je vous mordrai à mort. Tous.

L'adolescent se dirigea vers la sortie, poussée par l'homme qui l'avait capturé. Devant la porte, se trouvait un homme plus âgé avec une coiffure assez improbable pour quelqu'un de son âge, qui tenait un adolescent par la peau du cou.

- Kusakabe, murmura l'adulte au deuxième, accompagnes ces gamins chez eux. Assures-toi qu'ils ne fassent demi-tour.

Kusakabe acquiesça sans un mot et emporta Enma ainsi que l'autre garçon avec lui.

L'homme se tourna vers son supérieur. Son agacement était clairement perceptible et ce dernier finit par lever les yeux du dossier qu'il parcourait pour observer son allié.

- C'était le seizième de la journée, décréta ce dernier.

- Oui, je sais, ces herbivores ne cessent jamais d'espérer m'avoir, fit distraitement le jeune homme.

- Je te l'avais averti. Il te faut un garde. Ou du moins, quelqu'un pour vérifier la nourriture.

- Je te l'ai aussi dit, je n'accepterai pas qu'un herbivore m'accompagne et goûte mes plats.

Considérant la conversation achevée, il plongea à nouveau ses yeux dans son dossier et ignora l'autre homme. Mais celui-ci semblait ne pas avoir tout déversé ce qu'il avait dans son coeur.

- Hibari, commença-t-il avec agacement, je ne me répéterai pas. Si je n'avais remarqué le sourire de cet Enma, tu serais mort. Demain soir, tu auras un goûteur, que tu le veuilles ou non. Je te laisse une journée pour le trouver. Ou je le choisirai moi.

Le dénommé Hibari bailla, montrant l'intérêt qu'il portait aux phrases de son interlocuteur. Ce dernier plissa les lèvres et sortit de la pièce après un ultime avertissement.

- Tu as un jour pour le trouver. Quelqu'un dont la fidélité te serait absolue et qui risquerai sa vie pour toi !

Hibari fit la moue et se concentra sur ses feuilles.


De mémoire d'homme, Hibari Kyoya avait toujours été une personne simple. Si Hibari disait qu'il allait tuer quelqu'un, c'était qu'il allait le faire. De plus, rien ne lui était plus agréable qu'une petite promenade sans interruption. Et il adorait plus que tout se battre contre des gens doués.

Bref, Hibari Kyoya était un homme pragmatique. Cela, tous ceux qui le connaissaient le savaient. Il suffisait de voir la façon dont il envisageait le meurtre d'une personne. Et la façon dont il réglait une tentative de meurtre sur sa propre personne. Donc, la façon dont son meilleur combattant l'avait forcé à sortir de ses habitudes l'énervait profondément.

Ce matin-là, lorsqu'il se réveilla dans sa grande chambre, il se rappela subitement les menaces de celui qu'il avait jusqu'alors considéré comme un égal. Il lui fallait un goûteur s'il ne voulait que l'autre ne lui refile un herbivore pathétique. Agacé, Hibari fusilla la bonne qui lui souhaita une bonne journée et décida d'aller se promener. Peut-être trouverait-il une personne convenable lors de sa marche.

Deux heures après, Hibari se sentait de meilleure humeur. Durant sa promenade, il était tombé dans deux embuscades, une bonne façon pour se défouler. Il en vint presque à plaindre ceux qui avaient rencontré brutalement ses tonfas. Presque.

La journée passa rapidement, et il se retrouva dans son bureau, sous le regard scrutateur de celui qui l'avait plongé dans un tel état d'esprit.

- Alors, demanda ce dernier en caressant son familier, un résultat ?

- Je n'ai pas besoin d'herbivores, répondit, buté, Hibari.

- Je vois, décréta l'homme en se levant. Demain, je passerai des auditions pour trouver le goûteur. Des préférences ?

- Qu'il soit puissant. J'ai horreur des faibles, suggéra le préfet en haussant les épaules.

- J'y vais alors. Amuses-toi bien avec toute cette paperasse !

- Une minute, dit calmement Hibari en se ressaisissant, Trouves un herbivore avec du potentiel.

L'homme acquiesça sans un mot et sortit de la pièce, un léger sourire aux lèvres. Il ne lui restait plus qu'à trouver la perle rare. Reborn se rappela subitement du garçon qu'il avait rencontré quelques années auparavant. Ce dernier avait un potentiel énorme, mais comme il était orphelin et que l'adulte n'avait pas du temps à lui consacrer, il avait du le donner à un orphelinat. Sans doute que le garçon s'y trouvait toujours.


Sawada Tsunayoshi avait toujours été maladroit. Mais, selon lui, il avait dépassé ses limites ce matin-là. Regardant d'un air effaré son client recouvert d'une substance brunâtre qui dégoulinait le long de ses cheveux, l'adolescent essaya de trouver les mots adéquats pour s'excuser. Mais, trop effrayé en pensant aux à la correction qui l'attendait, Tsuna décida de fuir, comme il l'avait fait tout au long de sa vie.

Durant sa fuite, il se demanda vaguement pourquoi il essayait encore de courir. Avec sa malchance habituelle, son client le rejoindrait très rapidement. Et il avait raison.

À peine l'adolescent avait posé le pied sur le pavé humide de sa maison, qu'il avait eu une glissade incontrôlée le long du trottoir qui ne s'acheva qu'une fois il eut correctement salué le sol. Apeuré, il leva les yeux, et échappa de peu à une crise cardiaque en voyant les chaussures cirées de la personne dont il tentait d'échapper.

- Tsunayoshi-kun, susurra cette dernière avec un air avenant, je peux savoir pourquoi tu es parti aussi vite ? Et surtout, pourquoi l'avoir fait après avoir renversé deux litres d'immonde et pestilentielle soupe sur moi ?

Les yeux du plus jeune s'écarquillèrent lorsqu'il remarqua que son interlocuteur lui souriait. Généralement, il ne souriait ainsi que quand il allait torturer quelqu'un. Croyant sa dernière heure arrivée, Tsuna se mit à faire ses prières, regrettant d'avoir été si malchanceux tout au long de sa vie et de n'avoir jamais accompli quelque chose d'important.

Il était vrai que sa vie avait été plutôt fade et monotone pendant son séjour à l'orphelinat de Namimori. Cependant, une fois que la direction de l'établissement avait changé, toute sa vie s'en était retrouvée perturbée. Les nouvelles autorités à l'orphelinat préconisaient la force, seuls les enfants les plus puissants, intelligents ou rusés, pouvaient survivre dans cet endroit. Et Tsuna ne faisait absolument pas partie de ces enfants. Il avait donc dû trouver une façon pour se nourrir et survivre dans ce bâtiment. Les années passant, sa santé s'était améliorée, il s'était habitué rapidement au fait qu'il ne puisse se nourrir qu'une fois par jour, et en avait obtenu une sorte de fascination pour la bonne nourriture.

Son amour pour la bonne chère avait atteint un tel point qu'un marchand, le voyant saliver face à son étalage, l'avait recueilli sous son aile et lui avait enseigné tout ce qu'il savait sur la gastronomie. Tsuna avait pris l'habitude de rendre visite au vieux vendeur, et l'avait assisté durant les dernières années de ce dernier. Lorsque Timoteo, son mentor, mourut, l'enfant décida de travailler, pour pouvoir ainsi se payer de la bonne nourriture, et à la fois, échapper à l'ambiance pesante de l'orphelinat.

Puis, il avait vu que certains enfants étaient en train de dépérir, faute de nourriture équilibrée. Et il sacrifia son argent pour les nourrir. C'est ainsi que Tsuna devint le héros de ces jeunes, et qu'il commença à travailler avec acharnement pour obtenir suffisamment d'argent.

Cependant, maintenant qu'il avait aspergé le meilleur client du restaurant où il travaillait, Tsuna ne se faisait pas beaucoup d'illusions concernant son futur dans le monde du travail.

- Hm, Rokudo-san, commença l'adolescent en se mordillant nerveusement la lèvre, ignorant le trouble qu'il provoquait chez ce dernier, Ne pourriez-vous pas m'excuser pour l'atroce erreur que j'ai osé faire dans ce restaurant. Cela ne se reproduira plus...

L'homme face à lui le regarda de haut en bas, semblant examiner son âme. Semblant satisfait de ce qu'il voyait, il ouvrit la bouche.

- Je crois te l'avoir déjà dit, Tsunayoshi-kun, déclara-t-il en plissant ses yeux vairons, Appelles-moi Mukuro. Je t'excuse pour cette fois, que cela ne se reproduise plus ! Ou la prochaine fois, je devrais sévir !

Le regard sérieux et le curieux petit sourire que l'autre arborait firent frissonner Tsuna qui se mit à souhaiter ardemment que l'homme s'en aille.

''Laisses-moi tranquille, laisses-moi tranquille, je suis rien, négligeable, ne fais pas attention à moi, ne me remarques même pas,...''

Le jeune garçon se mit à penser ces paroles comme une prière, y mettant toute sa volonté et ses forces. Il ouvrit alors les yeux pour voir que Mukuro s'était éloigné et se dirigeait vers un voiture. Pas étonnant qu'il l'ai rattrapé s'il était en voiture, ne put s'empêcher de songer l'adolescent en voyant l'adulte entrer dans l'automobile de luxe.

Avec un soupir las, Tsuna entra dans l'orphelinat et observa l'accueil qu'on lui réservait. Trois enfants se jetèrent sur lui, le faisant tomber au sol. Tsuna les accueillit à son tour avec un petit sourire, sans savoir à quel point les petits se sentaient mieux une fois qu'ils voyaient son sourire.

- Bonjour, fit l'adolescent en tentant de paraître heureux.

- Ne, Tsuna-nii, commença une petite fille aux yeux bleus tristes, c'était qui le monsieur ?

- Personne, répondit le garçon avec un autre sourire de son cru, faisant rougir l'enfant, Et toi, qu'as-tu fais de beau, Uni ?

Le visage de la petite s'éclaira pendant que les deux autres enfants les observaient avec joie. Tsuna les emmena ensuite dans leur chambre commune et entreprit de voir s'ils se sentaient tous bien. Une fois satisfait, il les borda et leur raconta une petite histoire. Quand ils furent tous endormis, l'adolescent descendit doucement dans l'étage inférieur et rentra discrètement dans la cuisine. Ensuite, il s'empara tout aussi furtivement des aliments nécessaires pour le repas des petits pour le lendemain.


Le lendemain, Tsuna eut la surprise de rencontrer une personne lorsqu'il ouvrit la porte de l'orphelinat. C'était un homme, d'âge indéfinissable, et qui semblait se fondre dans l'obscurité du portail de l'orphelinat.

- Bonjour, commença l'adolescent en se demandant s'il devait se méfier, Que voulez-vous ?

- Sawada Tsunayoshi.

- Heu, oui, répondit en rougissant légèrement l'interpellé, mais que voulez-vous ?

- Sawada Tsunayoshi, répéta l'autre avec un fin sourire aux lèvres.

- Oui, c'est moi, fit le garçon en se sentant peu à peu incommodé par le regard insistant de l'adulte, mais que voulez-vous ?

- Je croyais avoir été clair, rétorqua l'homme en se penchant vers Tsuna, je cherche Sawada car il me le faut.

- Et, vous avez besoin de moi pour quoi ?

L'adulte s'approcha encore plus de l'adolescent, au point de frôler son corps, et le fixa profondément.

- Je te cherche car je sais à quel point tu pourrais m'être utile. Viens, j'ai un métier à te proposer.

- Une minute, fit Tsuna en essayant de faire le point sur la conversation qui se déroulait sous ses yeux sans qu'il ne la contrôle, Vous me voulez pour faire un boulot ? Mais qui êtes-vous, d'abords ? Et, ensuite, pourquoi moi?

- Je suis Reborn, conseiller du Préfet de Discipline, et j'ai entendu parler de tes exploits. Content ? On peut y aller ?

- Non, répondit d'un ton buté Tsuna, je ne vois pas de quoi vous parlez... De quels exploits parlez-vous ? Je n'ai rien réalisé d'important dans toute ma vie !

- Tu te trompes, décréta l'adulte en le saisissant par le bras pour le faire avancer. tu es le disciple de Timoteo, ensuite, tu as travaillé dans tous les restaurants de la ville. Et, tu es connu pour être la personne à qui il arrive le plus de malheurs... Ce sont des exploits non négligeables.

Tsuna nia fermement, il ne voyait pas en quoi être poursuivi par la malchance pouvait être considéré comme un exploit.

- Attendez, dit-il d'une voix forte, ce métier, sera-t-il bien payé ?

- Suffisamment, répondit Reborn en le jaugeant, pourquoi, combien veux-tu ?

- Juste assez pour nourrir correctement les enfants de l'orphelinat. Si vous me promettez de les nourrir tous, je vous jure de travailler gratuitement et durant toute ma vie pour vous.

Reborn acquiesça, satisfait de l'accord et annonça en quelques lignes ce qui serait le métier de Tsuna dans les années à venir. Ce dernier pâlit brusquement, les crises de colère concernant le Préfet étaient reconnues dans tous le pays. Se demandant pour une énième fois pourquoi lui, l'adolescent se prépara pour son séjour en enfer.


Hibari n'était pas quelqu'un de très patient. Si bien que lorsque Reborn lui annonça qu'il avait déniché un goûteur, le jeune homme ne sauta pas de joie.

- Sais-tu, commença le plus jeune en tentant de refréner ses envies de meurtres, que cela fait deux jours que je mange froid ? Et que je déteste tout ce qui est froid... Vais-je devoir te mordre à mort ?

Reborn sourit face à la menace du garçon et lui donna une enveloppe.

- Elle contient toutes les informations sur le goûteur. Tu verras que je l'ai choisi à ton goût...

- Il est faible, constata Hibari en parcourant les feuilles en diagonale, un véritable herbivore. Je parie qu'il tentera de s'échapper lors de notre rencontre.

- Je ne crois pas, répondit Reborn avec un sourire rusé, j'ai remarqué qu'il est poursuivi depuis des années par Rokudo Mukuro. Or, comme vous pouvez le voir, il est toujours en vie.

- D'accord, concéda le jeune homme, il sait survivre et attirer les ennuis. Il est accepté mais je ne tolérerai aucun retard !

Reborn s'inclina, satisfait. Désormais, ses deux protégés seraient réunis, ce serait plus facile pour les défendre. L'adulte eut un sourire narquois en repensant à l'air de dédain d'Hibari. Une fois que ce dernier connaîtrait bien Tsuna, il n'éprouverait plus jamais ce genre de sentiments envers lui.


Alors, dois-je continuer, ou l'oublier dans un coin de ma tête ? C'est vous qui décidez...