"New Divide"

Titre original : New Divide

Titre traduit : Scission Nouvelle

Auteur :Aisling-Siobhan

Traducteur : Ravenkey

Couple : HP - LV

Disclaimer : Strictement rien ne m'appartient (si ce n'est la traduction), Harry Potter appartient malheureusement toujours a JKR, et l'idée de cette merveilleuse histoire appartient à son auteur qui m'a généreusement permis de la traduire :3 so enjoy !

Avertissements : ceci est un Slash, cette histoire traitre donc de relation entre deux hommes, si cela vous déranges, arrêtez vous ici.

Slash - Ancien LV/OC (Harry) - Violence, AU. Langage - Mort de personnages (OC) - Flashbacks.

Rating : M - Sexe entre homme.

Résumé : [LV/HP] Harry Potter était le Garçon qui-avait-survécu. Mais par une certaine ironie du sort, il était également la réincarnation de l'amant assassiné de Voldemort. Cette année promettait d'être bien plus étranges que toutes celles qu'il avait passé à Poudlard. Et alors qu'il se prépare pour sa sixième année, Harry devient soudainement bien plus intelligent qu'il ne l'était auparavant et se retrouve hanté par les souvenirs de sa vie passée pendant son sommeil. Mais Voldemort finit par comprendre qui est réellement Harry. Et les choses changent. AU.

Signification des noms : Je voulais mettre tout cela au clair au plus tôt : « Anathema » : Une personne maudite ou condamnée à la damnation et à la destruction.

« Mallory » : Ce mot vient du vieux français, et veut dire « malchanceux ».

« Apep » : Nom égyptien qui signifie « onduler/glisser ». Dans la mythologie, Apep était la personnification du diable. Il est représenté sous la forme d'un serpent géant ou d'un dragon. Connu sous le nom de Serpent du Nil ou du Lézard Diabolique, il était un des ennemis du Dieu Soleil.

La Symbolique Animal : « Panthère » - Gardienne de l'énergie, compréhension de la mort, Capacité à voir les ténèbres, la mort et les renaissances.

« Chien » - Guide, protection, loyauté, fidélité, dévotion, confiance ( le « sinistros » est l'image fantomatique d'une énorme bête à l'allure d'un chien, en voir un est un présage de mort).

Note de l'auteur : J'avais pensée à faire de cette histoire, une histoire avec des jumeaux Potter, mais je n'aime pas vraiment l'idée de faire d'un OC le garçon qui a survécu. J'avais, de toute façon, déjà pensé à faire de Harry le garçon qui a survécu

mais je continue à ne pas aimer l'idée de donner à un OC une part aussi grande dans l'intrigue. Un p'tit truc marrant pour vous à savoir.

Note de la Traductrice : Voilà ! J'espère que vous apprécierez cette fic autant que moi. J'espère également que la traduction sera assez fluide pour vous, si ce n'est pas le cas, n'hésitez pas à me le faire savoir. J'ai essayé d'être au plus proche du style de l'auteur mais bon, les Anglais et les Français ont des façons assez différentes de former leurs phrases :3. Je vous laisse donc découvrir le premier chapitre de « New Divide »

Le lien vers la fic d'origine se trouve sur mon profil -

XXX

Je me souviens des ciels noirs, des lumières tous autours de moi.

Je me souvenais de chaque éclat de lumière alors que le temps commençait à tout estomper,

Comme le signe effrayant du Destin qui m'avait finalement trouvé.

Et je n'entendais rien d'autre que ta voix. Ai-je eu ce que je méritais ? - Linkin Park.

Chapitre 1

Juin 1997.

Little Whinging était un petit village tout à fait ordinaire. Ce n'était pas très grand, mais pas petit non plus. Et cela avait semblé convenir parfaitement à M. et Mme Dursley lorsqu'ils avaient décidé de déménager quelques années auparavant. Normal et bien ordonné, avec un grand nombre de voisins à espionner et plein de petits parcs où leurs futurs enfants pourraient jouer. La résidence du 4 Privet Drive n'aurait pas pu être plus ordinaire, même si elle avait essayé.

La seule chose un peu moins ordinaire dans cette maison concernait l'un de ses habitants, un sorcier nommé Harry Potter : Le neveu de Pétunia Dursley. Les Dursley avaient été forcé à prendre soin d'Harry lorsque ses parents étaient morts seize ans plus tôt, et, malgré le fait qu'il passait une majorité de l'année dans un pensionnat en Ecosse, il restait pour eux un fardeau.

En temps normal Harry ne s'en préoccupait pas : Il n'aimait pas vraiment non plus sa famille Moldue. Mais, cette dernière année à l'école avait été particulièrement difficile pour lui. Deux ans plus tôt, son parrain à qui il tenait tant était mort. Il ne connaissait Sirius que depuis deux ans au moment de sa mort mais Harry avait été terriblement marqué par son meurtre. Il y avait quelque chose chez l'homme qui l'avait poussé à l'aimer au-delà de toutes raisons et toutes limites. Il avait eu l'impression de l'avoir déjà connu longtemps auparavant, et pas seulement lorsqu'il n'était qu'un bébé. Et alors que le garçon avait pensé commencer à faire son deuil et à aller de l'avant, comme beaucoup pensaient qu'il devrait faire, celui qu'il considérait comme son grand-père avait été tué, il y a de cela un peu plus d'un mois maintenant. La mort du Directeur l'avait dévasté, envoyant son esprit dans un océan de désespoir. Comment était-il supposé vaincre Voldemort sans l'aide de son mentor ?

La maison était calme, comme toujours lorsque la nuit touchait à sa fin. Assez étrangement, Harry était entrain de dormir : D'habitude, il se battait pour rester éveiller le plus longtemps possible. Ces derniers temps, il faisait des rêves étranges. Ils ne ressemblaient pas à ceux qu'envoyaient Voldemort mais, ce n'était pas des rêves ordinaires pour autant. Des choses se passaient dedans. Des choses que Harry pouvait comprendre et relier entre elles. Et elles évoquaient en lui une désagréable impression de déjà vu malgré le fait qu'il ne les ait jamais vécues.

Parfois, ces rêves ressemblaient plus à des cauchemars.

Parfois, ils commençaient comme des cauchemars.

Harry se rua sur le médaillon, positionnant celui-ci au creux de sa main avant de se détourner du bassin. Il revint aux côtés de Dumbledore qui était accroupis un peu plus loin, juste au bord de l'Ile : Un peu trop d'ailleurs au gout d'Harry.

« Je l'ai Professeur » Appela Harry. Il pouvait entendre sa propre voix, comme si quelqu'un d'autre parlait à sa place, mais il sentait néanmoins ses lèvres bouger pour former les mots. C'était étrange comme rêve. Une sorte de mélange entre un vrai rêve et la visite d'une pensine. « Allons-y » dit-il à son Directeur.

Dumbledore ne fit que le regarder prudemment : « De l'eau ? » supplia-t-il, sa voix devenu rauque d'avoir trop crier. « S'il te plait ? »

Harry bondit jusqu'au bassin, se saisissant de la coupe, et lorsque son sort pour conjurer de l'eau échoua, il la plongea directement dans l'étrange eau trouble qui entourait l'Ile où ils se tenaient. Il souleva la coupe.

Harry regarda autour de lui en fronçant les sourcils. Il se trouvait dans la tour d'Astronomie. Caché sous sa cape d'invisibilité, il essayait comme il pouvait de se libérer du sort de Dumbledore. Sa main était serrée autour du faux médaillon qui se balançait dangereusement au bout de ses doigts. Harry espérait presque que celui-ci tombe au sol. Le bruit qu'il ferait en heurtant le sol ferait comprendre aux occupants de la pièce qu'ils étaient observés. Et cela arrêterait Snape assez longtemps, le temps qu'il trouve l'origine du bruit.

La pièce fut envahis par une lumière verte. Draco et Severus détournèrent le regard pour se protéger les yeux, mais Harry lui, n'avait pas d'autre choix que de regarder droit devant lui et d'observer la scène. Son hurlement silencieux ne fut jamais entendu alors que Dumbledore chutait gracieusement à travers la fenêtre, son dos arqué en arrière (Et cela lui rappela tellement la mort de Sirius…). Au moment où Harry pu de nouveau bouger et serrer la chaine du médaillon à s'en blesser la main, il su qu'à ce moment précis, Dumbledore était mort.

Il baissa les yeux sur le bijou. Il était si modeste.. Si criard et voyant. Ce n'était certainement pas une chose à laquelle Voldemort aurait prêté attention si ce n'est pour la Lettre « S » gravé avec raffinement sur le devant, et qui le marquait donc comme la possession de Salazar Serpentard. Sa main serra une nouvelle fois le bijou avant qu'il ne se rut hors de la tour pour poursuivre Snape, criant le nom de l'homme alors que le médaillon, lui, échouait au sol.

XXX

Avril 1947.

Tom fouilla dans sa poche pour en sortir le Médaillon, le laissant pendre lâchement entre ses doigts alors qu'il le tendait à Anathema pour que le garçon puisse le voir.

- Magnifique, n'est-ce pas ? Demanda le jeune Voldemort à son amant.

A à peine 21 ans, Tom dégageait déjà une aura de pouvoir si forte que les quelques passants de la rue la moins connu de Londres s'écartaient sur son passage.

Ils le contournaient et changeaient même parfois de direction pour l'éviter.

La beauté aux cheveux noirs eut un sourire. Ses yeux étaient d'une teinte verte éclatante, sa peau, aussi pâle que de la porcelaine et ses lèvres pulpeuse était d'un rose pâle. Il tandis une de ses mains et glissa un de ses doigts le long du symbole complexe que formait le « S » sur le devant du Médaillon. « Un peu trop, tu ne penses pas ? »

Tom rit doucement. Sa main effleurant légèrement la joue d'Anathema, son pouce caressant la pommette du garçon. « Il a un jour appartenu au grand Salazar Serpentard, Ana. Il n'existes pas d'objet plus beau. »

« Pas même moi ? » Le taquina Ana dans un sourire, ses yeux brillant avec amusement.

Tom se pencha en avant, ses lèvres effleuraient à peine celle d'Anathema alors qu'il lui murmurait « Tu n'est pas un objet, non ? »

Une vois s'éleva derrière eux, les surprenant tous les deux. « Non, mais il est magnifique pas vrai ? »

Tom se retourna brusquement, et ses yeux se plissèrent en se posant sur la Moldue en petite tenu, accoudée à un des murs. Elle se lécha les lèvres et s'approcha d'un pas nonchalant tout en fixant Ana, inconsciente du danger que représentait Tom Riddle. « Envie d'un petit tour mon joli ? Je ne suis pas cher, je te le promets. » Ses doigts se pressèrent soudainement contre la lèvre inférieure d'Ana, et le jeune homme écarquilla les yeux en se tournant vers son amant.

Anathema déglutit difficilement en croisant le regard de Tom. L'homme était furieux. Vraiment furieux. Son visage était devenu blanc comme de la craie, et ses yeux avaient pris une couleur rouge vive, une couleur de sang. Sa baguette était dans sa main libre et il la pointait tout droit entre les épaules de la femme.

« Éloigne-toi de mon partenaire » grogna-t-il lentement, ses mots n'étaient plus qu'à moitié en anglais.

Elle ne se retourna même pas pour le regarder. Au lieu de cela, elle se pressa un peu plus contre Anathema, ignorant ses vaines tentatives pour la pousser sans la blesser. Puis elle murmura à l'oreille du garçon : « Dis à ta petite prude de rentrer chez elle, ou de te partager avec moi. »

Tom laissa échappé un sifflement d'entre ses lèvres, et, dans un éclat de lumière verte, le corps désarticulé de la prostituée s'affaissa. Ana poussa un grognement alors que le poids sur lui se faisait plus lourd, mais Tom attrapa le corps par l'épaule pour le jeter au sol, loin d'Anathema.

Dans la main de Tom, le médaillon se mit à brillé vivement d'une lumière blanche pendant quelques secondes. Une fois que la lumière se fut évanouie, même Ana pouvait affirmer qu'il y avait quelque chose de différent maintenant. Quelque chose qui n'était pas là auparavant. Quelque chose de mauvais. 1

XXX

Juin 1997.

Harry se releva brusquement dans son lit. Il haletait bruyamment, sa main pressée contre sa bouche dans l'espoir d'atténuer le son de sa respiration, effrayé à l'idée de réveiller sa famille. Ce n'était pas la première fois qu'il voyait Voldemort tuer quelqu'un pendant son sommeil. Mais c'était la première, selon ses souvenirs, et de ce qu'il avait pu voir dans les souvenirs de Dumbledore, qu'il voyait Voldemort blessé quelqu'un pour défendre qui que ce soit. C'était surprenant. C'était comme si Voldemort s'était un jour véritablement soucier d'autre chose que de l'immortalité.

Il avait déjà fait des rêves où Voldemort et cet étranger couchaient ensemble. Il les avait vu s'embrasser, parler ensemble, planifier la domination du monde. Mais c'était la toute première fois, le premier rêve où Harry pouvait honnêtement admettre qu'un jour, Tom Riddle avait sans doute été humain.

XXX

Vernon Dursley n'était pas un homme qu'on pouvait qualifier de bon. Les gens pouvaient bien le prendre pour quelqu'un d'avenant et poli, mais ceux qui le connaissaient vraiment, eux, pensaient autrement. Harry le connaissait tout particulièrement, et, plus il passait de temps en sa compagnie, plus il le détestait. En général, le garçon s'occupait en s'imaginant à quel point il serait drôle d'inviter ses amis sorciers à lui rendre visite dans sa jolie maison moldue si quelconque et ordinaire. Il n'aurait jamais osé, évidement. La rage de son oncle aurait sans aucun doute gâché ce bref instant de joie, mais c'était néanmoins très drôle à imaginer.

Parfois Harry s'imaginait comment ce serait, si quelqu'un venait et l'emmenait loin d'ici. Ou si les Dursley finissaient pour une quelconque raison en prison, ou s'ils étaient tués dans un accident de voiture comme ils l'avaient prétendu pour les parents d'Harry. Il ne pensait pas pour autant avoir jamais sincèrement souhaité leur mort. N'avait-il pas refusé, lorsque Voldemort lui avait proposé de « s'occuper » de sa famille lorsqu'il n'était qu'en première année ? Après tout, où irait-il sinon ? Il se serait senti coupable de leur mort biensûr, mais ça n'aurait pas été la plus grande préoccupation du jeune garçon de onze ans.

Non, Harry pouvait bien les imaginer mourir, mais, lorsque les choses tournaient mal, Harry avait toujours espéré que personne d'autre ne mourrait pour lui.

Enfin, d'habitude.

A l'heure actuelle, Harry était surtout heureux de ne pas avoir sa baguette à porté de main. Il ne pouvait plus supporter les conneries que débitait Vernon. Harry n'avait qu'une envie, qu'un besoin : que l'homme insiste ne serait ce qu'un peu plus sur ce terrain là, et il aurait été ravis de lui jeter une malédiction telle que sa vie ne tiendrait alors plus qu'à un fil. La main qu'il utilisait pour se servir de sa baguette le démangeait, tant l'envie d'être utilisé était grande. Son pied tapait sans relâche sur le sol, lui hurlant de courir aller chercher sa baguette. Mais Harry restait là, à écouter silencieusement son Oncle le trainer plus bas que terre.

« Et ne parlons même pas de ta mère ! » L'oncle Vernon ouvrit sa bouche pour continuer sur sa lancé, mais Harry brandit sa main devant son visage. Il serra le poing et imagina la sensation lourde et familière de sa baguette entre ses doigts, contre sa paume.

« Ne parlez pas de ma Mère ! » Lily Potter avait toujours été un sujet sensible chez Harry. Son père était mort pour les protéger tous les deux de Voldemort et Harry aimait son père profondément. Mais, ça faisait toujours plus mal d'entendre sa mère se faire insulter. Cette même femme qui était morte uniquement pour le protéger lui.

« Écoute-moi bien maintenant, espèce de sale petite m- ! » Mais encore une fois, Harry l'interrompu.

« Sectusempra ! » Cria-t-il. Vernon écarquilla les yeux et son visage pâlit en entendant le mot « magique » alors il recula rapidement, les mains dressées devant son visage. Ce fut la seule chose qui se passa. Sans baguette, Harry était incapable de conjurer le sort. Le jeune homme laissa son bras retomber le long de son corps, ses doigts toujours crispés. Ses yeux verts écarquillés, il leva les yeux sur la silhouette toujours vivante de son oncle qui avait maintenant rejoint sa tante et son cousin, tout aussi horrifiés.

« Je ne voulais pas… je ne voulais pas… » Bégaya Harry. Sa mâchoire tremblait alors que sa gorge nouée l'empêchait de prononcer plus de mots. Il ne pouvait plus parler, pouvait à peine respirer : Il était en état de choque. Pourquoi avait-il essayé d'utiliser ce sort ? Alors qu'il avait vu ce qu'il avait fait à Malfoy, il l'avait quand même crié tout haut, en espérant qu'il marche à nouveau et que personne ne vienne soigner Vernon !

Harry fit volte face et ignora les membres de sa famille qui se serrait les un contre les autres comme pour se protéger de leur propre chair et sang. Il s'enfuit de la maison, comme si les Mangemorts étaient à ses trousses. Harry courut le long du quartier du Privet Drive puis de Wisteria Walk, de plus en plus loin, jusqu'à ce qu'il n'ait plus aucune chance d'apercevoir la maison du Numéro 4.

Puis enfin il s'effondra au sol. Sa cicatrice avait commencé à lui faire mal et Harry pressa une de ses mains contre son front alors que sa main droite mimait inconsciemment le mouvement de baguette du sectusempra.

Il resta là toute la nuit, terrifié à l'idée de rentrer et de faire face à ce qu'il avait faillit faire. Comment pourrait-il revenir en sachant qu'il serait déçu que son sort n'ait pas marché ? Harry fronça les sourcils, serrant autant qu'il pouvait son poing droit pour s'empêcher d'imiter le mouvement du sort.

Et alors que le soleil se levait, il se promit de retourner chez les Dursley et ne plus être tenter de les blesser à nouveau.

Il ne le serait plus.

Il espérait.

XXX

Note de l'Auteur :

1 - D'après le Lexicon d'HP et de Dumbledore, Tom Riddle se sert de la mort d'une prostituée Moldue pour créer l'Horcrux du Médaillon. Personne ne sait pourquoi. Alors je l'ai arranger comme ça. Nous savons tous que les Serpentard son follement possessif, n'est-ce pas ?

Okey, je vais essayer d'être aussi précise que possible quant à la chronologie. La plupart de ce que j'ai trouvé vient du Lexicon HP et le reste, c'est moi qui l'aie créé. J'ai aussi envie de dire « C'est quoi ce bordel ? Tom s'est servit de la mort de Mimi geignarde pour créer l'Horcrux du journal ? Mais elle est morte un an avant que Tom ne soit au courant de ce qu'était un Horcrux. Est-il possible de tuer et d'attendre un long moment avant de se servir de cette mort ? A un moment le Lexique dit que c'est la mort de Mimi geignarde qui a créé l'Horcrux du Journal et à un autre moment, c'est le meurtre du père de Tom et de ses grands parents qui est utilisé pour créer le Journal… et la Bague. Je suis confuse. »

Note de la Traductrice :

Ainsi se termine le premier chapitre de New Divide -pour fêter ma fin de semaine de partiels- . Je n'ai pas encore fixé mon rythme de parution, je pense que ce sera quelque chose comme une fois par semaine -plus ou moins-. Je compte prendre un peu d'avance maintenant que c'est bientôt NOËL :D

A la semaine prochaine !