Coucou !

Voici donc une nouvelle fiction, intitulée La Veuve Noire. Je suis également l'auteur d'une autre fiction, Trahison qui débute également. Ce n'est pas tout à fait le même style, je pense. Celle-ci se déroule après la Guerre, je vous laisse découvrir quelle en a été l'issue.

Ici aussi, la publication sera régulière, j'ai déjà quelques chapitres d'avance ! =)

Les reviews sont plus que bienvenues : critiques, impressions... J'essaierai de répondre à toutes.

Résumé : Hermione Granger joue un jeu trouble durant la Guerre. A l'issue du combat final, elle se retrouve seule, sans argent ni amis. La personne responsable de sa descente aux enfers n'est autre que Draco Malfoy qui fait à nouveau irruption dans sa vie.

Couple : HG/DM.

Disclaimer : Les personnages te l'univers appartiennent à JK Rowling. Seule l'histoire m'appartient.

Note : Ici aussi, je commence par une relation haineuse entre les deux personnages principaux. Ils ont leur caractère et ne changeront pas si facilement. J'aime les traits tranchés de Draco et Hermione. Pour moi, ils ne sont pas parfaits, ni romantiquement éperdus l'un de l'autre dès le début de la fiction. J'espère que cette facette des deux personnages n'est pas trop éloignée de celle que vous vous en faîtes ! Ici, les deux personnages principaux sont surtout ambivalents, ambigus.

Vous ne comprendrez pas tout à la lecture du premier chapitre mais je vous rassure, ce n'est qu'une histoire de suspense ! Les réponses viendront au fur et à mesure des chapitres suivants. Il y a un véritable aller-retour entre le passé d'Hermione et son présent, l'un aidant à mieux comprendre l'autre. Les réponses seront don données au fur et à mesure des chapitres.

Sur ce, je vous souhaite bonne lecture, en espérant que cela vous plaira !


Chapitre 1 : Rancune

Flash-back

Hermione Granger apparut en haut des escaliers de la froide demeure des Malfoy au bras de Macnair. Sa robe de soie rouge résonnait comme une provocation dans l'esprit des Mangemorts. Son sourire éclatant contrastait avec son regard glacial qui défiait les autres convives. Bien qu'elle ait fait ses preuves, la plupart des Mangemorts se méfiaient d'elle : la meilleure amie du Survivant qui retournait sa veste était plus que suspecte. L'ancienne Gryffondor avait dû déployer des trésors de patience pour gagner la confiance du Lord. Toutefois, la jeune femme avait servi le Maître mieux que certains Mangemorts ! Elle connaissait des sorts de magie noire à en faire pâlir certains.

Macnair, qui la dévorait du regard, la conduisit vers leurs hôtes pour les saluer.

Hermione croisa le regard envieux de Lucius. Elle lui adressa un demi-sourire charmeur. Lucius Malfoy avait toujours les cheveux longs, d'un blond presque blanc, aussi pâle que son teint cadavéreux. La jeune femme savait que, en apparence, Lucius était une figure de proue du clan des Mangemorts, un des bras droits du Maître. Mais elle ne se laissait pas tromper par les sourires et les ordres lancés par la famille Malfoy. Elle se donnait une place d'honneur qu'elle avait perdu depuis des mois. Le paysage se recomposait, évoluait, se rajeunissait. Voldemort s'appuyait aussi sur du sang neuf, à présent. Seuls les anciens proches du Seigneur des Ténèbres croyaient leur position éternelle. Ils étaient aveuglés par leur gloire passée et par la confiance accordée par le Lord auparavant.

Narcissa n'avait rien perdu de l'échange peu conventionnel entre son époux et l'invitée. Elle salua Macnair puis se tourna vers Hermione.

- Si un jour j'avais pu imaginer qu'une Sang-de-bourbe pénétrerait dans ce manoir... Mes ancêtres doivent en grincer des dents !

- Narcissa, le Maître lui fait confiance ! intervint Macnair d'un ton qui ne souffrait aucune réplique, signalant ainsi que la jeune femme était sa protégée.

Les deux femmes se mesurèrent du regard, l'une dans une toilette verte et d'une beauté classique, cassante, l'autre absolument séduisante avec un brin de sauvagerie dans le regard.

- Mon fils, Draco.

Le jeune Malfoy salua le couple d'un bref signe de tête. Hermione observa qu'il était en parfait accord avec les lieux d'une froideur inquiétante. Elle lança un dernier regard glacial à Narcissa Malfoy puis s'éloigna avec Macnair. Ce dernier n'était pas peu fier au bras d'une femme aussi belle qu'Hermione Granger. Il ne la lâcha pas de la soirée. Elle était l'objet de trop de convoitises.

Quand Hermione put se dégager un instant du contrôle étouffant de Macnair, elle se retrouva seule. Cela ne la dérangeait pas. Elle avait peu d'amis parmi les Mangemorts. Blaise Zabini avait su mérité son amitié. Seulement, ce soir-là, il était absent.

Draco Malfoy observait Hermione Granger avec intérêt. D'abord parce qu'elle n'était pas désagréable à regarder. Ensuite parce que son comportement était inhabituel. Depuis que Granger était au service de Voldemort, elle affichait une indépendance presque totale. Cette soumission à Macnair ne lui ressemblait pas. Elle semblait avoir perdu ce petit éclat de liberté indomptable. Ou alors, elle avait autre chose en tête. L'intrusion de Granger dans le camp de Voldemort l'avait plus que surpris. Il ne l'avait pas reconnue. Elle était devenue froide, déterminée et incroyablement belle. Draco ne pouvait s'empêcher d'admirer ses courbes féminines et sa démarche souple. Il aimait par-dessus tout ce petit air de défi qui la rendait insaisissable. Cette jeune femme si sexy n'avait plus rien à voir avec la Miss-je-sais-tout insupportable de Poudlard. Sa peau était dorée, ses cheveux châtains ondulaient et les quelques mèches bouclées qui lui encadraient le visage lui donnaient un air sauvage très excitant. Ses yeux noisette en forme d'amande étaient perçants, attentifs à chaque détail. Sa démarche souple était presque féline et beaucoup d'hommes se retournaient à son passage, avant d'être rappelés à l'ordre par leurs épouses. Le jeu que jouait Granger était trouble et Malfoy ne s'était pas laissé berner par ses sourires charmeurs et ses coups d'œil langoureux.

Granger savait séduire – d'ailleurs le contraste avec les premières années à Poudlard était frappant ! Mais Malfoy se doutait bien que Voldemort ne s'était pas laissé amadouer par quelques battements de cils ! La jeune femme avait dû apporter et faire quelque chose de très convaincant. Plus que personne, elle avait dû faire ses preuves car, aux yeux de Voldemort, elle avait d'abord été la meilleure amie du Survivant ! S'il lui avait accordé sa confiance, le Lord ne se trompait pas, surtout en faisant un pari aussi risqué qu'Hermione Granger. Si elle était sincère, il s'agissait d'un atout de taille pour le Maître. Et une épine dans le pied de Potter, fragilisé par la trahison de sa meilleure amie. Granger était très intelligente, voilà encore toute l'ambigüité qu'elle représentait. Etait-elle assez douée pour tromper le Seigneur des Ténèbres, le plus grand sorcier de tous les temps ? Ou alors, si elle mettait ses capacités au service du Lord, la donne pouvait changer.

A son arrivée, Granger avait subi plusieurs « tests ». Elle avait d'abord été torturée à coup de doloris, comme tous les nouveaux adeptes, au final. Pour renforcer leur caractère, leur endurance physique et surtout leur apprendre la crainte. La jeune femme avait subi sans broncher, sans un cri. Ensuite, un interrogatoire en bonne et due forme avait suivi. Elle avait à répondre aux questions de tous les Mangemorts présents, le cercle intime du Lord, en qui il avait pleinement confiance. Granger avait refusé de répondre à une seule question : le motif de sa décision. Et là résidait tout le problème… Comment accorder sa confiance à quelqu'un dont on ne connaît pas les motivations ? Tout le monde pensait qu'elle avait quelque chose à cacher ! Même un changement idéologique aurait suffi ! Ou une dispute avec ses anciens amis ! Pour achever son « entretien », Voldemort l'avait soumise à un test mental. Une ultime vérification. Le Maître s'était introduit dans son esprit et avait fouillé ses pensées les plus intimes, ses secrets inavouables. Pour l'avoir déjà subi, Malfoy en avait encore des frissons en y repensant. Voldemort savait tout de lui et le lui rappelait de temps à autre. A la fin du test, il avait relevé la tête, ouvert ses deux fentes où brillaient ses yeux rouges et avait simplement dit :

- Elle n'a pas menti.

Ces cinq mots avaient valeur de verdict et personne n'avait eu la folie de contester son jugement.

Cela n'empêchait pas Draco – et d'autres ! – d'être sceptique. Mais s'il doutait d'Hermione Granger, il remettait en cause le jugement du Maître. Cela revenait à dire que Granger était parvenue à tromper le plus grand sorcier de tous les temps. Et cela, personne ne l'envisageait, ne serait-ce qu'un instant…

Alors qu'elle était seule, Draco Malfoy s'approcha d'elle avec deux flûtes de champagne à la main. Il lui en proposa une qu'elle accepta avec un coup d'œil soupçonneux. Draco ne lui avait pas encore vraiment adressé la parole depuis son intronisation au sein des Mangemorts. Leurs échanges n'avaient été que conventionnels. Leurs regards froids et distants.

- Tu es resplendissante, ce soir ! la complimenta-t-il.

- Je te remercie, répondit-elle avec raideur.

- Le rouge n'est pas vraiment de mise ici mais il te va à ravir, je dois dire ! Un brin nostalgique ? ironisa l'ancien Serpentard.

Hermione éclata d'un rire sonore et moqueur.

- Tu aimerais que je te dise oui, Malfoy ? murmura-t-elle avec un sourire charmeur.

- Ça me permettrait de mieux te cerner, Granger ! A percer ton caractère ! Tu es si… ambivalente !

- Je n'ai rien à te prouver ! rétorqua la jeune femme en haussant les épaules.

- Hermione, ma chère, venez donc saluer ce cher Oswald !

Macnair venait récupérer sa protégée, non s'en avoir lancé un regard lourd de menaces à Draco. Il ne voulait pas d'un jeune coq arrogant sur ses plates-bandes. Chacun connaissait la réputation de coureur de jupons de Draco Malfoy.

Deux silhouettes étroitement entrelacées s'embrassaient furieusement dans un couloir désert. Les mains d'Hermione s'introduisirent sous la chemise de Macnair qui était en sueur. Il l'attira dans une chambre vide. La jeune femme suçota sa langue puis s'arrêta. Macnair grogna, frustré. Il la poussa brutalement sur le lit puis la caressa avec des gestes brusques. Hermione comprit rapidement qu'il aimait dominer. Elle le laissa faire. Macnair lui fit l'amour pendant de longues heures qui furent pour elle un supplice. Il ne s'arrêtait jamais, estimant probablement qu'elle n'avait pas assez joui. Il lui faisait mal et son haleine empestait l'alcool. Enfin, Macnair retomba sur les draps, tout transpirant. Il s'endormit aussitôt, épuisé par l'effort colossal qu'il avait fourni. Hermione s'étira doucement, le corps tout endolori par les assauts presque bestiaux de Macnair. Il avait atteint l'orgasme mais elle, elle avait simulé une bonne dizaine de fois. Macnair était bedonnant et repoussant mais ravi d'avoir possédé la plus belle femme de la soirée.

Le lendemain matin, après une nuit aussi épuisante, Macnair ne se réveilla pas. Il baignait dans une mare de sang.

Fin du flash-back


Hermione jeta de toutes ses forces un vase contre le mur. Un cri suraigu lui intima de cesser son vacarme. La jeune femme n'y prêta guère attention. Sa voisine était une sorcière complètement folle.

Alors qu'elle avait mis des mois à prouver qu'elle méritait son poste, alors qu'elle s'était férocement battue pour l'obtenir, elle s'était faite virée en moins de deux secondes !

Mais quand elle avait reconnu Malfoy qui entrait dans le restaurant, elle avait d'abord refusé de lui attribuer une table. Dans un costume en flanelle impeccable, Draco Malfoy avait lancé à la jeune femme des remarques pleines de sous-entendues. Mais le directeur de l'établissement avait menacé de la renvoyer et elle s'était exécutée, forcée d'obtempérer. Puis Draco Malfoy, en petit bourgeois capricieux, l'avait traitée odieusement. Il avait exigé qu'elle les serve personnellement et il avait joué le rôle parfait du client insatisfait. Elle avait dû réchauffer quatre fois sa viande et changer deux fois de vin car Malfoy le jugeait « trop fruité » ! A bout de nerfs, Hermione avait perdu ses moyens. Elle lui avait versé tout le contenu de la bouteille sur les genoux. Et elle lui avait lancé la panière de pain à la figure. Hors de lui, le directeur du Divinus l'avait renvoyée sur-le-champ. Malfoy était un client privilégié (et riche !) et même sa meilleure employée n'avait pas à le traiter de la sorte. Ce n'était pas tolérable !

En fait, Hermione avait des millions de raisons. Si elle s'était retrouvée à la rue, sans famille et sans amis, le seul responsable, celui qu'elle haïssait plus que tout au monde, était Draco Malfoy.

La guerre avait fait des ravages. Dans les deux camps. Beaucoup avaient péri : Voldemort, Blaise, Ginny et Harry, mariés en secret, Neville Londubat... Dumbledore avait été assassiné par Rogue en sixième année alors que Malfoy faisait pénétrer les Mangemorts dans Poudlard. Un gouvernement provisoire avait été mis en place pour assurer la transition politique. Ronald Weasley avait été nommé Ministre de la Magie.

L'un des bras droits de Voldemort avait été assassiné : Lucius Malfoy. D'une douzaine de coups de poignard dans le cœur. Les Mangemorts avaient juré la perte du meurtrier. On ne sut jamais qui l'avait tué. Quand Voldemort et Harry avaient disparus, la plupart des Mangemorts avaient été arrêtés. Mais certaines grandes familles avaient réussi à blanchir leur nom. Comme les Malfoy. Pendant la mise en place d'un gouvernement de transition, ces familles de sang pur avaient influencé les hautes sphères du Ministère. Plusieurs arrestations, conséquences de fausses accusations, avaient eu lieu. La vengeance de quelques Mangemorts déchus. Ainsi Neville Londubat avait reçu le Baiser du Détraqueur. Certaines fausses délations avaient été dévoilées au grand jour mais les véritables commanditaires étaient restés dans l'ombre.

On avait accusé Hermione d'être à la solde de Voldemort. Dumbledore et Harry n'étaient plus là pour la disculper ou l'incriminer. Par manque de preuves, la Haute Cour de Justice l'avait relâchée. Elle avait tout perdu, y compris la confiance de ses amis. Sa vie était devenue un enfer. Le monde des sorciers la considéraient comme une traîtresse. Les anciens Mangemorts la rejetaient, certains qu'elle avait trompé leur Maître et participé à sa chute. La sorcière se retrouvait entre les deux camps. Deux tentatives d'assassinat faillirent l'éliminer. Hermione s'était retrouvée à la rue, sans argent, ni amis. Sa famille avait été assassinée pendant la guerre. Elle aurait pu retourner dans le monde des Moldus. Mais la jeune femme avait continué de se battre. Pour retrouver une place.

Alors qu'elle envisageait sérieusement de changer de pays, une opportunité inattendue s'était présentée à elle. Un grand restaurant sorcier de luxe, le Divinus, l'avait embauchée comme maîtresse de maison. Ils avaient apprécié son sens de l'organisation, son talent de décoratrice, ses dons magiques et sa présentation parfaite et élégante.

Hermione s'appuya sur le lavabo, respira profondément puis releva la tête, une lueur de détermination dans les yeux. Jamais elle n'avait tourné le dos à ses ennemis, jamais elle n'avait perdu la face ou baissé le regard. Maintenant, elle doutait.

Elle prit une douche brûlante, ce qui la détendit un peu. Alors qu'elle était en sous-vêtements, quelqu'un frappa à sa porte. Elle enfila un peignoir et ouvrit lentement, baguette magique en main.

- Toi ! hurla-t-elle en faisant un bond en arrière comme si elle s'était brûlée.

- Calme-toi, Granger. Je ne te veux aucun mal. On peut discuter entre gens civilisés, non ?

Malfoy rentra et ferma la porte. Hermione ne baissa pas sa garde, tremblante de rage.

- Tu viens me narguer, Malfoy ?

- Non, juste voir où tu habites...

La chambre était minuscule et miteuse. Le coin douche se réduisait à un simple évier. Son modeste logement se situait, de surcroît, dans la douteuse Allée des Embrumes. Soudainement, la raison invoquée par Malfoy lui parut aberrante. Voir où elle habitait ?

- Tu es folle, Granger, de vivre dans ce taudis !

- C'est tout ce que mes moyens me permettent pour l'instant ! grinça-t-elle entre ses dents.

Elle le défia de répliquer quoi que ce soit.

- Prends tes affaires, je t'emmène ailleurs !

Il semblait sérieux. Mais Hermione détestait qu'on lui donne des ordres. Surtout de sa part, alors qu'il venait de lui faire perdre son emploi !

- A quoi tu joues, Malfoy ? Tu me fais renvoyer et tu t'empresses de venir me secourir ?

- Je voulais voir où tu habitais ! Ce quartier craint, tu sais.

- Je ne t'obéirai pas, Malfoy. Je suis ici à cause de toi alors laisse-moi croupir dans mon taudis !

Malfoy l'observa. Elle se tenait à quelques mètres de lui, frêle silhouette dans son peignoir de soie. Il attarda son regard sur sa poitrine visible sous la dentelle du soutien-gorge.

Hermione croisa les bras sous ses seins, nullement gênée par sa nudité. Le regard gris de Malfoy remonta et se planta dans les yeux noisette d'Hermione.

- Je m'en vais, Granger. Mais sache que je reviendrai. Ah oui, une dernière chose...

- Quoi encore ?

- Quand nous ferons l'amour toi et moi, Granger, tu t'y prêteras de ton plein gré et non pour remercier mon aimable personne !

Hermione s'assit, persuadée d'avoir eu une hallucination. Draco l'avait intentionnellement poussée dans ses retranchements pour la rendre folle et provoquer son renvoi. Il avait indéniablement participé à son discrédit aux yeux du Ministère, la plongeant dans cette misère. Cet excès de bonté était une manipulation. Il n'y avait pas d'autre explication. En outre, Malfoy était l'un des hommes les plus influents de Grande-Bretagne. Pareillement, à la disparition de leur Maître, Malfoy avait convaincu les autres Mangemorts qu'Hermione était une traîtresse. Sa descente aux enfers n'avait pour responsable que Draco Malfoy, lui et lui seul !

La jeune sorcière n'avait jamais testé ses charmes sur Malfoy junior. Le seul point positif de sa venue était la certitude qu'elle en tirait : elle n'aurait aucun mal à le séduire.


Merci d'avoir lu jusqu'au bout hihi ;)

Pensez à une petite review, ça m'encourage vraiment !

A bientôt !