Voici une nouvelle fic, cher lecteur. J'ignore si tu as lu mes précédentes, ou si la curiosité t'a poussé à lire cette histoire, toutefois, je te souhaite la bienvenue, dans cette histoire nommée Sadness in you eyes (La tristesse dans tes yeux).

Elle raconte comme Alec et Jane, deux adolescents qui ne pourront pas grandir normalement, vivent au quotidien chez les Volturi. Jane, petite princesse cruelle et gâtée, qui ne vit pourtant que pour Alec, et lui-même, qui raconte avec ironie les tristes jours de sa vie. Toutefois, ces jours-ci seront bien différents des autres. Le simple fait qu'ils fassent la connaissance d'Adèle, simple humaine inintéressant, les poussent à faire des choix qu'ils n'auraient jamais imaginé.

Bien que cette histoire m'appartienne, ainsi que la douce Adèle, je me vois au regret d'annoncer que Stephenie Meyer possède tous mes autres personnages, à quelques rares exceptions. Sur ce, lecteur, je te prie de commencer ta lecture et de pardonner à Jane tout le mal qu'elle pourrait faire.


Sadness in your eyes.

Chapitre un : L'accident du musée.

Jane était assise sur une table et balançait ses jambes dans le vide. Ses yeux étaient perdus dans le lointain, et avec sa peau de porcelaine et ses yeux ambrés (le repas venait d'avoir lieu), on aurait pu la prendre pour une poupée, sans ce mouvement perpétuel de va-et-vient qui la faisait se tortiller.

-Al', je m'ennuie… Je vais en mourir... Oups, j'oubliais, c'est trop tard !

Je la regardais d'un air agacé. Elle faisait toujours des jeux de mots pathétiques.

Soudain, elle se leva et saisit son long manteau à capuche. Je craignais le pire, avec elle. Elle avait les yeux qui pétillaient joyeusement, et j'étais effrayé, plus que je ne l'avouerais jamais.

-J'ai une idée. Il ne fait pas trop beau, aujourd'hui. Si on allait au musée ?

Inutile de chercher le fil conducteur de ses pensées. Même Aro se perdait parfois dans cet esprit tordu.

Haussant les épaules, je me résignais et saisis une veste similaire à la sienne. Elle hurla à l'intention d'Aro qui devait sûrement traîner dans le coin.

-Papa ! Alec et moi, on va se promener vers le musée !

J'eus un sourire amusé. Aro considérait Jane comme sa petite princesse depuis toujours. Et il s'enorgueillissait dès qu'il l'entendait l'appeler « Papa ». Moi, je ne pouvais m'y résoudre. Mais je ne l'appelais pas non plus « Maître », sauf devant les invités bien sûr.

-Bon, tu viens, oui ou non ?

Je la suivais légèrement à contrecœur, sentant déjà que c'était une erreur.

Dès l'arrivée dans le bâtiment elle s'extasia à voix haute devant chaque toile, attirant les regards furieux ou du moins curieux des gens. Une jeune fille à l'air triste nous regardait, assise sur son banc. Un vieillard nous dévisageait furieusement. Un père de famille tentait de discipliner ses enfants, une fille d'une quinzaine d'années beuglait au téléphone des choses inintéressantes et un sale morveux pleurait bruyamment.

J'ai horreur des lieux publics.

-J'ai des crampes dans le dos, murmura Jane. Masse-moi.

Et comme d'habitude, comme un parfait abruti j'obéissais, alors que son ton était machiavélique et qu'elle ne pouvait techniquement pas avoir de crampes.

A peine mes mains eurent touché son corps qu'elle poussa un hurlement strident et se réfugia au fond de la salle, près du type aux deux gosses.

-Ce gars, là-bas… Vous avez vu ? Il a osé… Je ne sais pas ce qu'il voulait me faire, monsieur, mais il me fait peur !

Jane était à baffer. Toujours à semer le bazar. J'avançais, mais au moment ou je tendais le bras pour attraper son poignet, l'homme me serra si fort que j'aurais eu mal, en temps qu'humain.

-Ne la touche pas, petit. Sinon, tu auras affaire à moi.

Je ricanais. Il venait, sans le savoir, d'insulter un Volturi. Toutefois, je tentais encore une fois d'approcher de ma sœur. Cette fois, l'homme me saisit à la gorge et me fit glisser en hauteur le long du mur.

-Écoute. Je t'ai dit de ne pas l'approcher.

Je me débattais, et bien que je ne suffoquais pas, sans air il m'était dur de parler.

-Mais… C'est ma sœur jumelle ! Regardez, vous ne nous trouvez pas un air de famille ?

Avec ses cheveux aussi blonds que les miens étaient bruns, c'était dur à croire. Mais notre peau si pâle, notre grâce et nos yeux dorés pouvaient aider. Jusqu'à l'intervention de Jane, évidemment.

-C'est faux ! Je ne l'ai jamais vu de ma vie ! S'il vous plait, vous avez une fille, imaginez qu'il s'en soit pris à elle !

A ce moment, l'étreinte sur ma gorge se resserra, et toutes mes gesticulations étaient inutiles. Aro allait nous détester, mais je n'avais pas le choix.

Un coup de pied dans le tibia de l'homme, très peu dosé et violent, le projeta en arrière dans un craquement. L'os était brisé en deux. Et il hurlait de toutes ses forces, mais personne, pas même ses enfants, n'y firent attention. Ils ne virent que Jane et moi, les yeux dans les yeux, une expression de haine sur le visage. Puis les yeux de ma sœur s'attristèrent, et comprenant où elle allait en venir, cette peine me contamina aussi.

-Je crois qu'on n'a pas le choix, hein, Al' ?

Je secouais la tête. Même l'homme regardait la scène et avait cessé de beugler.

-Un. Commençai-je dans un murmure.

-Deux. Continua Jane d'une voix tremblante.

-Trois. Soufflèrent les personnes présentes.

A ce moment, nous nous écroulâmes tous les deux, mais sans perdre le contact visuel de l'autre. Mon corps brûlait de l'intérieur, et je souffrais tellement ! Le regard de Jane, lui, plongé dans le mien, était vide et distant. Toute expression avait déserté son visage.

-Ça suffit, tous les deux.

La voix, claire, forte et autoritaire, raisonna contre les murs de cette pièce quasi-vide. Aro nous regardait méchamment, je le sentais toujours en fixant Jane. Puis il se pencha vers moi, posa sa main sur mon bras et m'ordonna de regarder ailleurs. Je savais qu'il lisait mes pensées –Il le faisait à chaque fois qu'il touchait quelqu'un. – mais c'était très désagréable. A contrecœur, j'observais la chevelure brune de quelqu'un présent dans la pièce. Ce fut très court –une fraction de secondes à peine –mais en général ça suffisait. Pourtant, quand je me tournais vers Jane, son corps était encore à terre, immobile. J'hurlais en me précipitant pour la serrer dans mes bras.

-Jane, Jane, debout ! Allez, reprends conscience, Jane !

Comme elle n'avait aucune réaction, je gémis et enfouis ma tête dans son cou, comme quand on était petits. Je sentis soudain un léger mouvement venant d'elle, et je vis qu'elle avait tourné la tête pour me regarder. Et malgré l'absence de larmes, je sus qu'elle pleurait.

-Bon, les enfants, vous avez fini de semer la pagaille ? On rentre. Dit fermement Aro.

-Mais… Mais ce sont vos enfants ? Demanda l'homme a la jambe en vrac (et qui avait visiblement oublié la douleur.)

-Oui. Des jumeaux, je vous le déconseille. Ils font tout de pair pour tout abîmer… Au fait, monsieur, tout va bien ?

Il avait pris une voix douce et inquiète, quand l'homme fulmina.

-Votre sale gosse, votre fils, il m'a brisé la jambe en cognant de toutes ses forces ! Je ne suis plus si jeune ! Et cette garce, votre fille, elle a abusé de moi en me disant ne pas connaître ce jeune homme et qu'il lui voulait du mal.

-Je vous interdis de parler ainsi d'eux. Mais ils seront punis. Que quelqu'un appelle une ambulance pour votre jambe. On rentre, vous deux.

Il fit un demi-tour, faisant voler ses cheveux d'un noir de jais et sa cape. On aurait juré voir Dracula.

-Jane, tout va bien ? Lui demandais-je à mi-voix en la soutenant pour l'aider à marcher.

-Alec… Je suis désolée. J'ai provoqué tout ça… Je…

-Chut. Ne pleure pas. Que penseraient les Volturi s'ils voyaient leur princesse dans un état autre que le sadisme ?

Elle tenta un léger sourire en s'appuyant sur moi. Mon corps souffrait encore, mais je devais être là pour elle.

Laissez-moi-nous présenter en deux trois mots, au fait.

Les Volturi sont sûrement les vampires les plus puissants de cette planète. Ils sont les rois, qui établissent les lois, qui se chargent de la faire respecter et qui tuent ceux qui ne le font pas, à deux ou trois exceptions près. En fait, il y a peu de lois pour nous : qu'aucun humain ne découvre notre secret. Et, depuis peu, qu'aucun enfant hybride ne soit conçu (mais c'est arrivé pour une famille, les Cullen, hélas, la loi n'étant pas créée, ils n'étaient pas à blâmer.) car on en ignore encore les conséquences.

Voilà environ quatre-vingts ans, alors que j'avais quinze ans, je vivais heureux et insouciant avec mes parents et ma jumelle, Jane. Nos visages étaient exactement pareil, joyeux et plein de vie, nos yeux avaient cette même teinte azure, seuls nos cheveux, les siens platine et les miens de jais, nous différenciaient, ainsi que leur longueur, naturellement. Et puis un jour, ces hommes étranges sont arrivés. Leur chef, un type bizarre aux longs cheveux noirs, et à un amour-propre démesuré, fit construire un immense bûcher où, consciencieusement, il attacha tous les vieillards et les enfants, et il emmena les adultes on ne sait-où. Toujours est-il que quand ils revinrent tous, ceux qui se nommaient les « Volturi », leurs yeux étaient passés du rouge sombre à de l'or pur. Tous les survivants étaient terrifiés, car il était impossible de ne pas savoir ce qui nous attendait, sur ce bûcher encore éteint. Tous, sauf Jane et moi. On était ensemble, et par souci de place, ils ligotaient les gens deux par deux. Tant qu'on était ensemble, tout irait bien.

La douleur était atroce. Les flammes ne léchaient pas nos corps innocemment, non, elles mordaient notre chair. Jane eut la force d'hurler : « Soyez maudits ! J'espère qu'un jour, vous ressentirez la même douleur que nous ! Votre vie se terminera dans les flammes ! »

Tout le monde avait peur de Jane, quand elle était petite. Tout le monde la traitait de sorcière, parce qu'elle avait un don pour les prophéties. Alors, je la consolais chaque soir, quand elle disait de gentilles choses aux gens et qu'ils lui lançaient des pierres.

L'homme étrange, qui disait s'appeler Aro, s'approcha de nous. Il vit la fureur dans les yeux de Jane, l'intense concentration dans les miens. Les flammes grandissaient, menaçaient de nous brûler, mais je cherchais à exploiter le lien entre jumeaux, oubliant toute douleur, fermant les paupières. Je ne voyais plus rien, je n'entendais plus rien, je ne sentais plus rien, ne ressentait rien, même le goût de l'air brûlé disparaissait. J'étais une coquille vide, et Jane ressentit ceci, si bien qu'elle se tut elle aussi. Aro nous fit sortir du bûcher alors que nos pieds étaient entièrement dans les flammes. Il nous emmena, et même si on se débattait, ça n'y changeait rien : sa peau glacée conservait son étreinte de fer. Jane et moi nous évanouîmes. A notre réveil, nous étions persuadés d'être retournés au bûcher. Mais, étrangement, nos pieds étaient guéris, et la douleur était intérieure. Mais comparé au feu, rien ne pouvait plus nous atteindre… Et puis nous étions ensemble, encore une fois.

Le lendemain matin, notre peau rose avait perdu toute couleur, nos yeux azurs étaient rouges et nous avions soif. Terriblement.

Alors, Aro nous offrit quelque chose de rafraîchissant, sans nous dire ce que c'était, pourtant, c'était un goût reconnaissable : du sang.

On eu chacun un cobaye. Ils nous énervèrent, nous excitèrent jusqu'à une fureur noire, et ils firent entrer deux types dans la salle tout en sortant précautionneusement. Jane leur infligea une douleur terrible, celle similaire à celle qu'on avait senti dans les flammes, par le simple regard, alors que moi, en les fixant, je les privais de leurs cinq sens. Les Volturi furent impressionnés, visiblement, et ils nous firent entrer dans leur famille. Mais alors que Jane, avec le temps, avait appris à les apprécier et à se faire respecter (en usant son pouvoir, surtout), moi je les détestais, mais je restais pour ma sœur.

-Alec ? A quoi tu penses, cette fois ?

Je souris. Jane avait repris son ton dur et froid, mais elle continuait de s'appuyer sur moi comme d'une béquille (même si je sentais bien que ses jambes étaient de nouveau en bon état, elle en profitait.).

-Oh, juste à notre rencontre avec ces crevures de Volturi. Fulminais-je en m'assurant qu'Aro n'entendait pas.

-Les Volturi sont des rois. Je suis leur princesse. Murmura ma sœur avec un sourire digne en effet d'une princesse.

-Ils ne nous aiment pas, ils aiment nos pouvoirs ! Lui rappelai-je d'un ton froid.

Elle se redressa et s'éloigna de moi pour marcher d'un air digne et vexé.

-Qu'attendez-vous ? Allez, dépêchez-vous un peu ! La voix d'Aro nous força à nous hâter.

A peine fut on rentrés qu'il nous saisit par le bras, nous entraînant de force dans la pièce ou était Marcus et Caïus.

-Jane ? Que se passe-t-il ? Demanda ce dernier d'une voix douce, celle qu'il n'utilisait que pour elle seule.

-Alec, tout va bien ?

Je me tournais vers Démétri, que je n'avais pas vu. De tous les Volturi, c'était celui que j'appréciai le plus. Peut-être était-ce parce que, comme moi, il n'était pas vraiment du clan mais plus ce qui pourrait s'apparenter à un garde du corps. Et parmi eux tous, le vampire que je détestais le plus, c'était…

-Heidi, entre, très chère. Merci d'être venue aussi vite !

Je la foudroyais du regard. Cette personne était le vampire le plus détestable au monde. Son don y était pour beaucoup, voyez-vous, tout ce qu'elle disait semblait vrai… Et ce qu'elle voulait, ça semblait évident qu'il le lui fallait… C'était une marionnettiste, et je l'évitais le plus possible. Mais cette fois-ci, Aro lui-même l'avait convoquée. Et ça allait faire mal. Par réflexe, Jane s'approcha de moi et glissa sa main dans la mienne. Je lui pardonnais instantanément de même qu'elle le fit. Le moment qui suivrait serait forcément douloureux. Heidi était de loin la plus cruelle.

-Ce n'est pas juste. Je ne sais pas ce qui c'est passé… Et si vous commenciez par me raconter ?

J'avais pris soin de chanter mentalement une pièce d'opéra très célèbre, et j'étais sûr que Jane y avait aussi pensé. Malheureusement, Aro raconta tout, même si je suis certain que même sans le don d'Heidi il l'aurait fait.

-Donc, c'est Alec le coupable, pas vrai ? Détends-toi, mon cœur, je ne te ferais rien.

Aussitôt, je me calmais, et bien que je sache que tout ceci n'était que mensonge, comme il était agréable de la croire !

-Marcus, Caïus, j'aimerais bien pouvoir discuter avec Alec, mais il se sent sûrement coupable, et je ne veux pas qu'il parte. Deux valeureux vampires come vous peuvent sans nul doute le tenir assez fort…

Par le biais de ses flatteries et de son don, elle obtint sans aucune peine le fait que de garde du corps, je passe à l'escorté. Sauf qu'ils étaient loin de me laisser partir.

-Jane, ma chérie, approche-toi donc… Tu sais, un vampire vit longtemps ?

-Les Volturi sont éternels. Elle récitait, presque hypnotisée par la voix cajoleuse et maternelle d'Heidi.

-Donc, dix minutes, dans la vie d'un vampire, ce n'est rien.

-Non, rien. C'est trop court pour être mémorable.

Je fronçais les sourcils, cherchant où elle voulait exactement en venir.

-Donc, si tu utilisais ton pouvoir sur ton frère, pendant dix minutes seulement, il ne s'en souviendra pas…

-Non ! Je… Je ne veux pas faire de mal à Alec. J'en ai déjà trop fait…

Je souris légèrement. Jane résistait, mais Heidi aurait le dernier mot, forcément.

-Allez, tu l'as dit toi même, dix minutes, c'est trop court pour être mémorable… Tu l'as dit, n'est-ce pas mon ange ?

-Oui, je l'ai dit… Et c'est vrai…

-Tu peux donc tester. En plus, tu l'as déjà fait, il sait à quoi s'attendre, et il est encore vivant, comme quoi ce n'est pas dangereux.

-Oui… Je… D'accord.

Elle plongea son regard dans le mien, et je fus incapable de le détourner. Et puis, lentement, comme si Jane la maîtrisait, la douleur apparut, puis s'accrut. Je commençais à me débattre, mais les deux Volturi me tenaient fermement. Je souffrais, je brûlais de l'intérieur comme si un feu me dévorait, ce même feu qui avait dévasté notre village des années auparavant. Tout mon corps était en proie à cette souffrance sans nom, et un rictus de douleur s'élargit sur mon visage. J'étais incapable d'utiliser mon pouvoir contre Jane, nous, j'avais trop mal pour faire quoique ce soit d'autre que de me tortiller sous la torture.

Et au bout de ce qui me sembla l'éternité, Jane hurla.

-Ça suffit ! Heidi, je te hais !

Je l'entendis murmurer mon prénom, et elle me serra contre son cœur. J'avais encore mal partout, le feu était éteint mais les braises subsistaient. Aro leva un sourcil et dit d'une voix déçue.

-Seulement cinq minutes ? Ton don a des limites, Heidi, visiblement… Les liens fraternels sont plus forts que ce que je croyais. Bon, tous les deux, je refuse de vous voir utiliser vos dons. Sinon, je me charge personnellement de vous deux… Ah, Félix, mon ami, notre dîner est-il arrivé ?

Aro a toujours été quelqu'un de très étrange. Il change d'humeur comme de chemise, il passe du coq à l'âne. Ainsi, son comportement versatile le condamna à presque oublier pourquoi il était là, et à s'intéresser à Félix. Heidi s'en alla sous les insultes de Jane et le regard impassible de Marcus et de Démétri. Caïus, lui, avait posé sa main sur l'épaule de Jane avec douceur.

-Je suis désolée, Alec. Cette vieille Harpie contrôlait mon esprit… Pardonne-moi.

Je me levais péniblement, lui saisit la main et sortis de la pièce. A peine eu-je fait ça que je retrouvais toute ma vigueur, et Jane, rassurée, reprit son air glacial. Nous regagnâmes notre pièce personnelle (à défaut de chambre mais nous aimions énormément lire et écouter de la musique) où Jane saisit son I-pod tandis que je me plongeais au cœur d'un livre. Jusqu'à ce que des sanglots se firent entendre…


Le chapitre suivant arrivera bientot, mais j'aimerais toutefois savoir ce que vous en pensez. Je serais ravie de répondre à tous les commentaires et aux reviews, alors n'héistez pas à en poster, s'il vous plait.