Salut tout le monde, certains d'entre vous me connaisses déjà pour l'histoire Coeur de loup. Je suis donc de retour pour une nouvelle aventure. J'ai regardé new moon l'autre jour et quand la scène où Jacob tente d'embrasser Bella est arrivé je me suis dit "Eh! Et i t'écrivais une fic ou ce relou de télephone ne sonne pas".

Je sais que d'autre personne ont déja eu cette idée et je tiens à préciser que ma fic ne sera en aucun cas du copyright! Je pars juste d'une idée qui nous a tous un jour travérsée pour essyer de vous faire réver.

Comme vous pouvez le voir, le chapitre est cours j'ai cependant la suite prête à être tapé, donc si ça vous plaît, faites le moi savoir!

Voilà, voilà! Hope you'll enjoyed!

Extrait du Chapitre 18 (page 419)

-Bella; murmura-t-il.

Je me figeai. Non! Je n'avais pas encore pris de décision. Je ne savais pas si j'en étais capable et, pour l'instant, je n'étais pas en état d'y réfléchir. Cependant, le rejeter maintenant aurait eu de graves conséquences. Je l'observais. Il n'était pas mon Jacob, même s'il pouvait l'être. Ses traits m'étaient familiers, je les aimais. De bien des façons d'ailleurs, je l'aimais. Il était mon réconfort, le port où m'ancrer. En cet instant, j'étais en mesure de choisir qu'il fût à moi . Alice était revenue, certes – cela ne changeait rien. Mon véritable amour, je l'avais perdu à jamais. Mon Prince ne réapparaîtrait pas pour m'embrasser et me sortir de mon sommeil enchanté. Je n'étais d'ailleurs pas une princesse. Que disait le protocole des comptes de fées à propos des autres baisers? De ceux qui, ordinaires, ne brisaient pas les envoûtements? Ce serait peu-être plus facile : tenir sa main, sentir ses bras autour de moi. Ce serait peu-être agréable. Ça n'aurait peut-être pas l'air d'une trahison. Et puis, qui trahissais-je, sinon moi-même?

Sans me quitter des yeux Jacob se pencha vers moi et je n'avais toujours rien décidé.(fin extrait) Qu'étais-je censé faire? Le repousser et lui briser le cœur une fois de plus? Mais au nom de quoi?

J'entendis alors de nouveau la voix d'Edward, ma mémoire me propulsant dans cette sombre forêt où il m'avait abandonné sans le moindre remord, sans la moindre hésitation. Qui étais-je pour refuser de rendre à Jake l'amour et le bonheur qu'il mettait dans ma vie?

Ses lèvres se rapprochèrent des miennes, hésitantes, je plongeais alors mes yeux dans les siens. Je pus y lire de l'envie, mais ce n'était pas l'émotion qui y dominait. Il avait peur, peur que je le repousses, peur d'aller trop loin, peur de tout gâcher. Je décidais alors d'arrêter de réfléchir. Je n'étais heureuse que lorsque Jake était près de moi. Alors peu-être que si je l'embrassais, cette sensation de bien-être s'amplifierait.

Je fis monter mes mains sur ses épaules, faisant naître l'espoir dans les yeux de Jacob. L'une de mes mains finit sa course sur sa joue, mes doigts goutant à l'agréable chaleur de sa peau basanée.

-Bella, murmura-t-il à nouveau, ses lèvres à quelques centimètres des miennes.

Je n'avais pas la forces de dire quoique ce soit. Alors je fermai mes yeux, espérant qu'il y verrait un signe d'approbation de ma part.

A peine une seconde plus tard je sentis quelque chose d'incroyablement doux et chaud se poser sur ma bouche, je réalisais en entendant Jake soupirer de bien-être que c'était ses lèvres qui me procurait tant de sensations agréables.

J'oubliais alors tout ce qui n'était pas Jacob, me concentrant uniquement sur lui et le baiser que nous étions en train d'échanger.

Ses lèvres se mirent alors à se mouvoir contre le miennes et je ne pus m'empêcher de murmurer son prénom tellement c'était bon. Sa bouche quitta alors la mienne et j'ouvris les yeux pour tomber sur son sourire éclatant.

-Oh, Bella! Si tu savais depuis combien de temps j'attends ce moment...

Mon coeur se mit à battre plus vite en entendant les intonations de joie dans sa voix. J'avais eu raison de me laisser aller. Jake était tout ce dont j'avais besoin, il était mon avenir. Il était mon Jacob.

-Jake, je... euh... d'abord, je veux que tu saches que je ne regrettes rien d'accord mais...

-C'était trop beau, je savais qu'il y aurait un mais. M'interrompit-il, se détachant de moi et reculant vers le salon.

-Quoi? Non! Attends! M'affolais-je en le rattrapant, me jetant dans ses bras avec l'énergie du désespoir. Ne pars pas Jake, ce n'est pas ce que tu crois. Il y a bien un mais, mais ce n'est pas du tout celui auquel tu t'attends. Viens avec moi au salon s'il te plaît.

Je lui pris la main et l'entrainais sur le canapé.

-Alors? Reprit-il, le visage fermé.

Je passais ma main sur son visage, tentant de le dérider. Voyant que ça ne marchait pas je laissais retomber mon bras avant de lui expliquer:

-Je... j'ai aimé...tu sais...euh t'embrasser.

L'un de ses sourcils se leva et je rougis derechef.

-Je voulais juste te dire, que... tu vois... y a plein de trucs qui cloche, dans ma vie. Mais toi, repris-je en passant ma main sur sa joue pour qu'il me regarde. Toi tu es le soleil qui éclaire l'obscurité qu'il a laissé en partant. J'ai besoin de toi. Et je suis prêtes. Je veux dire, je suis prêtes à t'aimer, comme tu le souhaites.

-Bella! C'est...je...je...Waouh!

-Jake, tout ce que je voulais dire quand je t'ai dis mais c'est que, j'ai besoin de temps... Pas du temps sans toi hein! Je te l'ai dis, je veux être avec toi! C'est juste, j'aimerais, si tu veux bien, qu'on prenne notre temps...

-Qu'on prenne notre temps? Qu'est-ce que tu veux d... Oh! Rougit-il soudain, comprenant où je voulais en venir. Mais, euh... J'ai quand même le droit de euh... t'embrasser?

Voyant l'espoir dans ses yeux et sa mine de chien battue je ne pus m'empêcher de déposer un bisou sur son nez. Jacob passa alors sa main derrière ma nuque en m'attirant à lui en murmurant «vient par là» et cella nos lèvres dans un tendre baiser. Comme le premier, ce baiser fit voler des centaines de papillons dans mon ventre et je décidais de me laisser aller complétement. J'enroulais mes bras autour de son cou, me collant complétement à lui. C'est à ce moment que je le sentis pencher un peu plus la tête sur le coté et je ne compris ses intentions que lorsqu'il entrouvrit la bouche. Un détail important me frappa alors, il n'y avait pas de limite avec Jake. Je n'avais pas besoin de faire attention, je n'avais pas à calculer d'avance le moindre de mes gestes et surtout, je n'aurais pas à m'excuser si je faisais preuve d'un peu trop de passion. Je sentis alors quelque chose d'humide et pourtant incroyablement agréable venir caresser ma lèvre supérieur. J'ouvris les yeux sous la surprise lorsque je pris conscience que ce toucher incroyablement doux m'était prodigué par la pointe de la langue de Jacob!

Je paniquais quelque peu sur le coup, je n'avais jamais échangé ce genre de baiser avec qui que ce soit, il avait en effet toujours refusé de me permettre ce genre de geste, jugant un tel rapprochement entre ma langue et ses dents totalement inapproprié et dangereux.

Jake vint alors caresser ma joue du bout des doigts et, par cette caresse, il effaça tous mes doutes. C'était lui, mon Quilleute, mon soleil, je n'avais pas besoin de paniquer, tout irait toujours bien avec Jacob!

Voyant qu'il faisait marche arrière, je compris qu'il avait sans doute interprète ma lenteur à réagir comme une forme de rejet. Ce fut alors moi qui, pour la première fois, approfondi le baiser, ma langue venant doucement caresser la sienne.

Je crois que j'en aurais dut en vouloir à Edward de m'avoir privé de cette caresse tellement je la trouvais agréable. Du moins, c'est ce que j'aurais fait si mon esprit et tous mes sens n'avait pas, en cet instant, était totalement tournés vers Jake. Tout en moins hurlait son prénom en cet instant et tout, son odeur ambré, ses lèvres contre les miennes, son torse puissant collé au mien, la chaleur de sa peau contre la mienne, les battements désordonnés de nos cœurs battant à l'unisson ainsi que nos respirations fastidieuses, me criait que je faisais le bon choix. Car oui en acceptant ce baiser, je renonçais au passé, à la glace pour le feux, à la mort pour la vie. Car en cet instant je me sentais enfin revivre. J'étais à nouveau heureuse,aimée et mieux, j'étais désirée...

Voilà, voilà... Qu'en pensez-vous?