Princesse

Nda : Bonjour à tous ! Voilà donc une nouvelle histoire avec un nouveau style d'écriture. La plupart des fictions étant écrites sur un point de vue objectif, les récits à la première personne m'ont toujours déconcerté, si bien que je finissais par ne pas apprécier pleinement l'histoire. Cette histoire est donc une réconciliation pour moi (et j'espère pour vous si vous êtes dans le même cas) avec la narration subjective. Quoi de mieux que de travailler pendant de longues heures sur quelque chose qu'on n'apprécie pas pour se réconcilier avec ? Je tiens à vous préciser d'emblée, cependant - pour éviter une trop grande déception par la suite - que cette histoire sera victime d'une pause une fois que je serai à mi-chemin (les partiels arrivent incessamment sous peu T_T, je dois donc sacrifier une histoire, si je veux espérer continuer les autres!) et que je ne la reprendrai que pendant les vacances d'été (c'est bientôt quand même !). Cela explique pourquoi le titre est accolé d'un ' Première partie' qui a dû vous sembler particulièrement frustrant.

Cela ne vous empêchera pas, je l'espère d'apprécier cette première partie qui se veut désopilante (vous me direz si c'est réussi.)

Bonne lecture, et amusez-vous bien !


Chapitre 1 : Une idée très Hermionesque

Salut.

Mon nom est Hermione Granger, et ceci est mon récit de certains des événements qui ont conduit à ce jour, ainsi que ce que j'ai vu en ce jour qui est désormais aussi glorieux qu'il est illustre.

Seulement, contrairement à d'autres récits, je vais commencer par vous révéler un secret – et comment être une Je-sais-tout autoritaire a pu réellement embarrasser quelques filles, ainsi que moi-même, et aurait pu avoir de bien pires répercussions que cela en a réellement eu.

Ce fut l'épisode qui m'apprit une chose plus que toutes autres, et c'était de ne jamais, au grand jamais, sous-estimer Harry James Potter.

Voici donc mon mémoire et le rapport complet du développement de ce jour mémorable, et de comment j'y ai marché aveuglément, confortée dans l'idée que j'aidais mon meilleur ami.


Cela semblait tellement être une idée géniale.

Ron et moi avions franchi l'ultime cap, pour ainsi dire, et j'en étais plus qu'heureuse. Ron avait avec certitude passé le stade de son développement libellé crétinisme égocentrique – ce qui était une bonne chose pour lui aussi, étant donné que je n'aurai jamais franchi cette dite ligne s'il avait continué à croire que tout tournait autour de sa personne.

Donc, j'étais heureuse, satisfaite, et de l'avis de certaines personnes, beaucoup plus détendue que je ne l'avais jamais été. Eh oui, non seulement je faisais une blague une fois par semaine – au plus grand choc de certains qui resteront anonymes – mais j'ai même joué un tour à quelqu'un. Je suis certaine que Drago retrouvera l'usage de son équipement principal à un certain stade de sa vie. Hmm, je dis tour, revanche serait le mot le plus approprié. Je suis peut-être une Sang-de-bourbe, mais je ne suis sûrement pas une catin.

J'ai entendu dire que quelqu'un aurait dû me séduire bien des années plus tôt.

Je me suis retenue de leur jeter un sort.

Cela amène mes pensées vers mon meilleur ami au monde, Harry James Potter.

Il était bien trop crispé à mon goût.

Bien sûr, il avait tout le truc du ' dois sauver le monde' bien campée sur ses épaules, mais il l'avait déjà fait à présent. Et il était toujours le même garçon adorable que j'ai rencontré pour la première fois quand il m'a sauvé la vie tant d'années auparavant. Il était innocent et attachant, et d'une certaine manière complètement naïf lorsqu'il s'agissait de nous, les filles. La seule différence était qu'il était à présent proche du mètre quatre-vingt-dix et qu'il pouvait soulever Malefoy d'une main et le tenir à bout de bras tandis que la fouine pendillait comme un gigot.

Harry n'aimait pas que quelqu'un m'insulte, surtout pas un Malefoy.

Voldemort était mort, plus mort que mort. De même que Malefoy senior – au grand ravissement de Drago qui avait hérité de la fortune familiale – ainsi que de nombreux Mangemorts notoires. D'après ce que je sais, ce fut dégoûtant, ce fut horrible, et cela se réduisit à une bataille de volontés. Voldemort pensait qu'il pouvait l'emporter, Harry décida qu'il allait l'emporter, et personne sur cette Terre ne peut faire changer d'Harry lorsqu'il décide quelque chose. Le petit chenapan s'est éclipsé et est parti tuer Voldemort par lui-même. Dumbledore avait laissé des plans avec des notes sur la location des autres Horcruxes, et l'Ordre du Phénix les avait trouvés et détruits.

Harry le découvrit, et le jour même de sa découverte, il sauta sur un balai et partit à la chasse. Nous n'étions au courant de rien jusqu'à ce qu'il revienne le jour suivant, un léger sourire flottant sur ses lèvres, et un sautillement allègre caractérisant ses pas.

« Voldemort est mort » annonça-t-il jovialement. « Vous trouverez son corps et ceux de la plupart de ses Mangemorts les plus importants dans un vieux Manoir sur Church Lane à Ascot. Bon je suis crevé, alors je vais aller faire une sieste. » Il fit volte-face et sortit, avant qu'aucun d'entre nous ne puisse même réagir à ce qu'il avait dit, ou au fait qu'il était recouvert de sang et de morceaux dont je préférerais ne pas penser.

Je fus la première à bondir de ma chaise, et fut suivie de près par Ron et plusieurs autres. Utilisant mon intelligence rendue célèbre, j'attrapai Ron, et le traînai à travers quelques raccourcis, et nous émergeâmes juste au moment où Harry disparaissait dans la salle de bains que nous partagions. Sans hésitation, je poussai Ron à l'intérieur et scellai les portes.

« Hermione » protesta Harry. « J'ai vraiment besoin d'une douche. »

« En effet » agréai-je. « Tu en as salement besoin. Ne te dérange pas pour moi. » Il n'y avait aucune possibilité que je le laisse se dérober hors de mon champ de vision. J'avais besoin d'une explication.

« Ron » tenta encore Harry.

Mon amour savait quand discuter et quand il ne le fallait pas.

« Laisse tomber Harry. » conseilla-t-il. « Elle ne va nulle part. »

Ce qui était vrai, même si je n'approuvai pas vraiment le pronom employé. Hermione n'est pas un nom si compliqué que ça tout de même.

Harry enleva sa robe, et puis son t-shirt, avant de lever les yeux.

« Jalousie ? » demanda-t-il à Ron alors que ses mains se posaient sur son pantalon.

« Nan, plus maintenant. » dit Ron. « Si elle te voulait, elle t'aurait eu tout comme elle m'a eu. »

Harry sourit et je hochai la tête ravie de sa perspicacité. Harry se déshabilla complètement, et je devins la première femme adulte à le voir nu. Il ne s'en préoccupait pas outre mesure, j'imagine qu'il sait que nous sommes frère et sœur, euh - je suis sa sœur, et Ron est son frère, je ne suis évidemment pas la sœur de Ron, puisque cela aurait été de l'inceste. C'était soit ça, ou Harry était trop fatigué pour argumenter davantage.

Il sauta dans la douche pendant que je me tournai vers Ron.

« Nous sommes libres. »

Il hocha la tête.

« Juste par égard pour moi, peux-tu ne pas l'enlacer avant qu'il ne soit habillé ? » Ron posa la question avec une expression espiègle sur son visage.

Je lui souris en retour et commençai à enlever ma robe.

« Déshabille-toi, nous parlerons dans le bain. »

Il opina et obtempéra, ne laissant plus que son short sur lui. Je restai en soutien-gorge et culotte plus par égard pour Harry que pour moi. Ron ouvrit les robinets, et bien vite, nous ne retrouvions dans l'eau.

Peu de temps après Harry nous rejoignit des gouttes d'eau encore présentes sur sa peau suite à sa douche et je découvris que mon soutien gorge n'aimait pas l'eau.

Harry roula des yeux à mon encontre en me voyant me trémousser d'inconfort.

« Vas-y. » dit-il avec un soupir. « Je ne suis plus à cela près de toute façon. »

« Merci. »

J'enlevai l'objet susmentionné et m'émerveillait à l'idée que j'étais pratiquement nue dans une baignoire bouillante en compagnie d'un Ron presque nu et d'un Harry Potter totalement nu. Il y a un an de cela, les chances que cela se produise étaient les mêmes que Rogue joignant le ballet. Mais j'ai mûri durant l'année – pas seulement physiquement, bien que ce fut probablement l'élément catalyseur – mais aussi mentalement. Parfois vous devez accepter que vous ne pouvez pas remporter toutes les batailles. Une elfe de maison nommée Leena me l'a appris. Je l'avais piégée pour forcer sa liberté. Elle s'était alors mise à boire peu de temps après, et pendant un moment il fut très incertain si elle allait survivre ou pas. Harry l'a sauvée – il fait ça beaucoup – et elle travaille maintenant pour lui.

Cela prit à Ron et Harry beaucoup d'efforts pour me faire surmonter ce que j'avais presque fait – et cela requis une longue discussion avec l'elfe en question et Dobby pour que je puisse le faire. C'est une leçon que je n'oublierai jamais.

Ron, Harry et moi étions devenus beaucoup plus proches depuis lors – nous avons vus chacun d'entre tous en divers états d'habillement étant donné que j'ai reçu la chambre de Préfète-en-Chef et Harry, celle de Préfet-en-Chef et nous partagions une salle de bains et un salon. Après un certain temps vous devenez habitué aux états de nudité accidentels, tout particulièrement comme Ron dort avec moi – oh, je sais pertinemment qu'il ne devrait pas, mais il s'est arrangé avec Harry afin que personne ne l'apprenne. Et bien sûr, dès que vous parlez de briser les règles à Harry, ses yeux pétillent, son cerveau s'allume, et la solution n'est rien d'autre que brillante.

« Alors, Potter, explique. » fut tout ce que je dis.

Et il le fit. Pendant trente minutes il demeura assis, sa tête rejetée en arrière et des larmes coulant sur son visage, alors qu'il récitait d'une voix monocorde avec exactitude comment il avait vaincu Voldemort. Je ne vais pas ressasser ces souvenirs. Ron et moi sommes les deux seules personnes qui sauront jamais ce qui s'était réellement passé, et c'est suffisant. A la fin, nous nous sommes étreints, et Harry commença à lâcher du lest.

Aussi fort qu'il puisse être physiquement - et c'est sacrément fort – il l'est encore plus mentalement. Tous ces tourments endurés durant son enfance et les choses telles que la mort de Cédric et Sirius l'ont forcé à devenir l'adulte qu'il est.

Nous sortîmes du bain, accordant à présent une certaine considération à la modestie, et Ron et moi nous rendîmes dans notre chambre, et Harry dans la sienne.

Lorsque nous en ressortîmes, habillés, nous nous étreignîmes de nouveau, et nous retournâmes à nos vies.

Il y eut beaucoup de conversations à ce sujet entre nous qui durèrent jusqu'aux alentours de Noël afin de combattre certains des démons de Harry, et nous devînmes tous plus proches grâce à cela.

Les requêtes pour des précisions concernant cette nuit fatidique, furent catégoriquement refusées, et j'écrivis une version très édulcorée pour les personnes qui avaient réellement besoin de savoir. Et ce fut tout.

Après Noël, Ron et moi prîmes un peu de temps pour nous et Harry s'écarta, désirant un peu de temps pour juste être Harry – nous n'étions plus inquiets pour lui, et en outre, nous appréciions l'opportunité d'explorer notre relation.

Voilà tout le contexte de l'histoire dont vous avez besoin pour comprendre ce qu'était mon idée géniale. J'allais faire en sorte que Harry Potter ait une petite amie.

J'étais heureuse et comblée, et il devait donc l'être aussi. Après tout, il est jeune, riche, séduisant, poli, honorable, et légèrement timide. Et il supportait sans piper mot le fait que Ron et moi pouvions être très guimauve un instant pour devenir totalement physiques l'instant d'après. Et d'après ce que j'avais récemment découvert, il n'avait aucun lieu d'avoir honte de son corps.

Ce fut peu après Pâques, et cinq mois après la victoire de Harry sur Voldemort, que je décidai que quelque chose devait être fait.

Harry était bien trop tendu à mon goût. Ce qui était quelque peu étrange, car il émulait fortement son père dernièrement – du moins c'est ce que quelques personnes m'avaient dit. Lorsqu'il me parle ou à Ron, il peut être drôle à en mourir, ou complètement charmant. En dehors de nous, à l'école, en tant que Préfet-en-Chef, la moitié de l'école l'aime, et je suis littérale quand je dis la moitié de l'école. Tous les étudiants en dessous de la cinquième année connaissent Harry, il leur a parlé à tous, à une période ou à une autre, et ils savent qu'ils peuvent lui présenter leur problèmes les plus sérieux.

C'est seulement avec les classes plus élevées qu'il n'est pas aussi charmant, et vraiment, même alors, c'est avec les filles les plus âgées qu'il est le plus prudent. Excepté moi, et à l'occasion Ginny et Luna, il ne laisse jamais sortir le Harry Potter intérieur et espiègle quand elles sont à proximité.

Ce qui est probablement une bonne chose, parce qu'autant d'œstrogènes autour de moi m'horripilerait au plus haut point.

Cela m'amena à l'évidente conclusion que Harry avait réellement besoin d'une petite amie.

« Ron ? » appelai-je.

« Hermione ? » il leva les yeux et me sourit. C'est un sourire que j'adore il signifie qu'il n'arrive pas à croire qu'il m'a, et qu'il fera tout ce qui est en son pouvoir pour me garder. Je l'aime, même si nous nous disputons parfois, parce qu'alors la séance de réconciliation est vraiment intense.

« Nous devons trouver une petite-amie à Harry. Il a vraiment besoin de se relâcher. »

Ron déposa son livre et leva les yeux vers moi.

« Oui. » approuva-t-il. « Je ne sais pas vraiment comment il relâche la pression – ou même s'il le fait – mais j'ai remarqué qu'il est assez tendu ces jours-ci. »

« C'est en partie dû au fait qu'il est vénéré. » la franchise m'obligea à admettre.

« Oui, mais bon, je suis toujours dans une bien meilleure humeur après nos étreintes, imagine ce que cela lui ferait. Qui as-tu à l'esprit ? Ginny ? »

« Est-ce que tu serais d'accord avec ça ? » lui demandai-je. « Nous sommes tous devenus beaucoup plus proches ces neuf derniers mois, et assez désinvoltes avec nos apparences. Peux-tu supporter le fait de rentrer dans sa chambre alors qu'ils sont intimes, ou Ginny torse-nue dans le bain ? »

Il ferma sa bouche et devint songeur. Je n'ai aucune idée de quand il a appris à faire ça – réellement penser avant de dire quelque chose, et je soupçonne que c'est dû à ce qu'à pu lui dire Harry un jour où les deux ont eu un léger désaccord qui en a résulté pour Ron avec un bleu à la joue qui a duré quelques heures.

« Tu sais, je crois que je le serais. Si toi et Harry, qui êtes aussi proches que moi et Ginny le sommes, pouvez le faire, alors je devrais être capable de le faire aussi. » Il fit une pause, « Si Ginny peut le gérer, c'est une autre histoire. »

« En effet. » approuvai-je. J'adore cette fille, mais elle a des problèmes. « Je ne pensais pas réellement à elle de toute manière – enfin, pas vraiment. »

« Qu'est-ce que tu veux dire ? »

« Eh bien, Harry a aimé Cho et Ginny jusque là, n'est-ce pas ? »

Ron acquiesça.

« Il pouvait y avoir beaucoup de raisons pour Ginny, et je pense qu'une partie de l'histoire avec Cho était que Cédric l'avait, et qu'il avait beaucoup de considération pour Cédric. »

« C'est vrai. »

« Alors, je pensais que nous devrions jeter toutes nos idées préconçues et faire ça logiquement. »

Ron soupira et me sourit d'un air taquin.

« Explique. »

« Nous découvrons quelle sorte de corps il apprécie, et ensuite nous lui trouvons la fille qui correspond. »

« D'accord, » dit lentement Ron, un signe indiquant qu'il pense que j'ai dû perdre un peu de ma raison entre mon cours d'Arithmancie et celui d'études de Runes, mais qu'il me soutiendra quoi qu'il en soit. « D'abord, je pensais que la personnalité était le plus important ? »

« Non, on essaie de faire en sorte qu'il passe de bons moments, pas qu'il se marrie. »

« Très bien, deuxièmement, comment allons-nous obtenir ces informations ? Nous savons tous les deux que Harry peut voir à travers moi en à peu près deux secondes et demie, et encore, s'il est fatigué. »

J'opinai d'un bref hochement de la tête Harry devenait de plus en plus observateur. Mais comme toujours, j'avais un plan pour ça. Pendant un bref moment, je ne pus m'empêcher de ressentir un élan de fierté en considérant comment Ron prenait la situation avec à propos et perspicacité, soucieux du bien-être de notre meilleur ami et plus que désireux de lui venir en aide. Bien loin était le Ron de notre quatrième année, jaloux et boudeur, sans tact et plein de reproches. Bien que sa sollicitude et considération accrues à l'égard de Harry soient grandement liées à notre récent rapprochement, on ne pouvait dénier qu'il avait beaucoup mûri aux cours de ces derniers mois durant lesquels nous avons solidifié notre relation.

Réprimant un sourire, je me demandai comment ce nouveau Ron allait réagir face à la solution que j'allais lui présenter.

« Des magazines de charme. »

Ron cligna des yeux, puis devint blanc, puis rouge, puis cramoisi.

« QUOI ? » glapit-il.

Ca par contre, ça n'avait pas changé.


Nda : Pfiou ! J'ai réussi à finir dans les temps, comme promis (c'est toujours dimanche sur le site ^^) ! J'imagine même très bien certains d'entre vous s'extasier sur ce phénomène singulier (dans mon cas) et très (très) rare qu'est le fait d'être ponctuel. Mais là encore j'ai prévenu sur mon profil que j'étais en exams. Bref je n'écris pas cette note pour vous donner une excuse à deux sous sur mes parutions irrégulières mais plutôt pour vous parler des dites parutions. La prochaine sera donc le chapitre 6 de Naissance d'un mage (cette semaine ou le week-end) puis le chapitre 16 d'Une nouvelle vie(j'avoue moi-même être très impatient de me remettre à bosser sur cette chouette histoire !) dans deux semaines. Je me mettrai finalement à travailler sur Espoir une fois que tout ceci sera fait. Pour le chapitre deux de cette histoire, je le glisserai dans un interstice de temps quelque part avant le chapitre 16 d'Une nouvelle vie ou après. Ca dépendra de vos réactions sur ce premier chapitre :D.

A dans quelques jours donc.