Bonjour à tous. Je fête aujourd'hui mes trente ans et donc pour fêter ça, je vous poste ce chapitre même s'il n'est pas bêta readé (je n'ai pas eu le retour de mon bêta). J'espère que ça vous fera plaisir

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Chapitre 24 : Analyse

Harry et Orion entrèrent dans l'infirmerie, légèrement essoufflés des blessures reçues par les coups chanceux de la bête des ombres. Il était maintenant très tôt le matin - le ciel se teintait de bleu foncé et le lever de soleil aurait lieu dans quelques heures, donc ils ne s'attendaient pas à avoir à faire à la matrone, et ils s'étaient mis d'accord pour juste emprunter les choses dont ils avaient besoin et pour se recoudre. Ils ne s'étaient pas attendus à voir Fleur dormir à son bureau, s'étant apparemment endormie sur son travail.

Se faufillant jusqu'au lit, Orion appliqua doucement un baume cicatrisant sur la blessure d'Harry et dit l'incantation appropriée pour guérir le peau. L'attaque laissait de profonde cicatrice, mais Orion l'avait suffisamment guérie. Harry se tourna et fit de même pour la blessure à l'omoplate d'Orion, et était assez profonde. Peut importe, elle maissa une cicatrice qui parcourait les tatouages qui courait tout le long de son corps. Alors qu'ils terminaient, ils se faufillèrent hors de l'infirmerie jusqu'au dortoir, silencieusement - aucun n'avait grand chose à dire. L'échec de la nuit pesait lourdement, et la seule pensée réconfortante était qu'ils avaient encore du temps pour trouver la cité avant que Voldemort et ses compagnons ne comprennent comment la contrôler.

Plusieurs heures plus tard, Harry et Orion étaient dans le bureau de Dumbledore, regardant le directeur penscher son visage dans la pensine qui contenait les souvenirs d'Harry de la veille au soir. Ils avaient expliqués la cité et le peu qu'ils savaient de celle-ci, et Dumbledore avait demandé à analyser le souvenir après avoir entendu parler de l'étrange paralysie qui les avaient touchés lors de la disparition de la cité. Alors qu'il sortait de la pensine, le directeur leva les yeux, réfléchissant, il se tourna vers la cheminée et jeta de la poudre de cheminette dans les douces flammes, qui rugirent et prirent une lueur verte.

"Filius, pourrais-je vous dire un mot? C'est vraiment important." La tête du professeur d'enchantements apparut avec son grand sourire habituel et il hocha la tête.

"Mais bbien sûr, Albus, laissez-mois juste le temps d'enfiler une robe et j'arrive." Harry se demanda pourquoi le Directeur demandait au Professeur Flitwick de les rejoindre, mais il décida que le Directeur savait probablement ce qu'il faisait et donc il ne commenta pas. Après quelques instants de silence, le feu expulsa le petit professeur dans la pièce.

Dumbledore s'assit, les pensées agitées, attendant que les flammes amène le professeur d'enchangements.

"Bonjour, Albus," fit joyeusement le Professeur Flitwic. "Ah, bonjour, Harry, Orion," fit-il à chacun des garçons en souriant.

"Bonjour, Filius, je me demandais si vous pouviez jeter un rapide coup d'oeil à ce souvenir de Mr Potter pour moi ... vous pourriez le trouver assez intéressant." Avec une expression légèrement étonnée, il se pencha dans la pensine et prit une minute pour regarder attentivement le souvenir de la disparition de la cité avant d'émerger, les yeux luisant d'idées.

"Hé bien, c'était certainement intéressant, mais je suis confus sur un point. Harry a été scanné pour la sensibilité aux enchantements quand il est né, car sa mère avec une telle affinité pour cela. J'ai réalisé moi-même le teste et ... hé bien, pour le dire franchement, j'ai été déçu." Harry cligna des yeux et regarda le directeur pour une clarification.

"La sensibilité aux enchantements est la capacité de 'lire' les enchantements simplement en étant près d'eux. Plus une personne est sensibles aux enchantements, plus elle trouve facile de répliquer un qu'elle a déjà rencontré ou de créer de nouveaux enchantements à partir de rien. Il semblerait que vous n'ayez pas hérité du talent de votre mère dans ce domaine. Cependant, la sensation que vous avez eu qui vous a figé est exactement ce qui arrive à de très sensibles lecteurs d'enchantements quand ils sont très proches d'un enchantement qu'ils n'ont jamais rencontré auparavant." Il se tourna vers Flitwick. "Pensez-vous qu'il y en ait assez pour étudier l'enchantement qui a été utilisé?" Flitwich fit une pause pendant un moment, considérant la question.

"Pour l'étudier, bien sûr, mais pas assez de détails pour être capable de le recréer - C'est l'enchantement le plus complexe que j'ai jamais vu, mais un jour ou deux d'étude et je pourrais dire les conditions particulières qu'il créé, même si j'aurais besoin d'une lecture plus détaillée pour le recréer + il est très complexe, et si grand que même Harry pouvait le sentir agir."

Dumbledore hocha la tête, soupirant. "C'est ce que je craignais. Sentiez-vous libre d'utiliser les ressources de l'Ordre au besoin." Filius hocha la tête au directeur puis à ses étudiants avant de partir par la porte, prenant le souvenir avec lui dans une fiole. Dumbledore se tourna vers les deux étudiants.

"Je suppose que vous avez tous les deux signé pour le tournoi de Quidditch?" demanda-t-il, recevant des hochements de tête des deux étudiants. "Bien. Il y aura un annoncement circulant à propos de la sécurité pendant le tournoi demain. Basiquement, le tournoi se déroulera sous un sort de Fidélius modifié, il y aura deux gardients du secrêt qui seront tous les deux les jeteurs de sort. Aucune de leurs identités est connue de plus de quatre personnes. Je suis l'un d'entre eux, les trois autres me sont inconnus. La sécurité sera plus strict que pour aucun autre évènement depuis dix ans. Savez-vous pourquoi?"

Harry cligna des yeux et haussa les épaules. "A cause de Voldemort et des autres Mages Noirs de l'Alliance serait une réponse évidente." Dumbledore secoua la tête.

"Il est important que la sécurité soit présente pour que les gens, le public général, aient quelque chose pour sortir leurs esprits de la guerre. Plusieurs évènements auront lieu, principalement pour donner d'autres choses à penser aux gens, et les journaux auront d'autres choses à rapporter. Ces évènements auront lieu dans des endroits jamais utilisés, et sont prévus sur les quelques prochains mois, cela va du Quidditch à des concerts, à l'ouverture de nouveaux musées - toute sorte de choses qui peuvent faire la une des journaux." Harry suivait tout ce que disait le vieil homme mais pas pourquoi il le disait.

"Monsieur ... peut-être devriez-vous aller droit au but?" le directeur cligna des yeux puis sourit légèrement à Orion.

"Oui, bien sûr. Harry, les gens sont réconfortés avec quelque chose qui occupe leur esprit loin de la guerre, et les visages familiers ... hé bien, pour être franc, je veux ... je voudrait que tu fasse quelques apparitions ... pour aider à l'effort." Harry cligna des yeux.

"Vous voulez que j'utilise ma célébrité pour éloigner l'esprit des gens de la guerre." déclara-t-il, et Dumbledore hocha la tête, prudemment.

"Je sais que tu n'aimes pas jouer de ta célébrité, Harry, mais ce sont des temps désespérés ..." Il y eut une longue pause pendant laquelle personne ne dit rien, tandis que Dumbledore regardait intensément Harry.

"... J'y réfléchirais," dit finalement Harry.

Harry mit un autre souvenir de l'enchantement dans une fiole et la boucha avant de sortir une lettre qu'il avait écrite pour Raine demandant à ce qu'elle y jète un oeil et l'étudie si elle pensait le pouvoir. Il se rappela de son temps à Imbellis qu'elle était excellente en enchantements et il devinait qu'elle était probablement une puissance lectrice d'enchantements. Vérifiant cela (et s'assurant qu'il ne lui demandait pas simplement de travailler pour lui - il avait commencé par l'habituel 'comment vas-tu' et avait parlé du tournoi de Quidditch auquel il s'attendait qu'elle et Ted assistent - tous les dexu étant des fans de Quidditch), il la relut deux fois avant de la signer et, satisfait, la plia et attacha le parchemin, caressa Hedwige avant de marcher avec elle jusqu'à la fenêtre et de la laisser aller. Il regarda sa chouette s'envoler avant de retourner dans son dortoir.

Lui et Orion avaient décidés de shifter pour n'importe quel endroit où ils pourraient trouver la cité. Ils devinaient que si Voldemort devait amener d'autres personnes pour sécuriser la cité, il allait utiliser des portoloins parce que e transplanage nécessitait de connaitre l'endroit de destination. Les portoloins pourraient être plus faciles à trouver que la cité elle-même et ils décidèrent de jeter un oeil à de vieilles tanières de mangemorts. Ils espéraient aussi trouver les cachettes des Lombardi et des Sabres et peut-être même Nimue Valdis.

Shiftant dans la nuit, ils trouvèrent une cachette des Sabres assez rapidement - simplement parce que leur leader, Goran, se tenait sur le toit du bâtiment surplombant la ville de Londres. Le bâtiment était dans le quartier des Docklands. Il avait plusieurs enchantements qui empêchaient les moldus et la plupart des yeux magiques de le voir, mais les Ombres permettaient de passer au travers de la plupart des enchantements et Harry et Orion franchirent facilement les enchantements. Ils se séparèrent, Orion entrant dans le bâtiment tandis qu'Harry espionnait Goran lui-même.

Avec l'homme se trouvaient deux de ses soldats - un homme et une femme.

"Combien avons nous perdu contre les défenses de la Cité?" demanda Goran, ne regardant pas les deux autres. La femme, d'allure cruelle avec ses cheveux courts et plusieurs cicatrices sur le visage, se tint droite et répondit.

"Vingt-deux, Monsieur," répondit-elle. "Mais Hugues a rapporté que la cité est maintenant sécurisée contre les monstres des ombres et le sort apporté par Valdis a retnourné les esprits guerriers à leur repos." L'homme s'avança alors, plus petit que la femme et avec une apparence bien moins distinctive.

"Voldemort a demandé que nous mettions certaines de nos ressources à trouver des traductions appropriées pour aider avec l'interprétation des contrôles de la cité. Les Lombardi et les mangemorts ont commencé des recherches similaires auprès de leurs partisans et dans la communauté spécialiste.

"De quelle langue parlons-nous?"

"De l'Ancien Babylonnien dous une forme ou sous une autre, les traducteurs devraient pouvoir nous donner une meilleure idée. Cela dit, si nous conduisins nos propres recherches comme demandé ..." la suite laissait planner la question sans la poser et Goran se retourna.

"Nous le devons. Ont-ils empêché la cité de se déplacer toutes les douze heures?" demanda le leader, et la femme secoua la tête.

"Non, mais le consensus est que nous ne devrions pas essayer - les mouvements de la cité offrent une protection contre une attaque organisée." Goran rit.

"C'est en présument que quelqu'un sait que nous l'avons," fit-il, en tournant le dos pour regarder en direction de Canary Wharf.

"QUelqu'un le sait," fit le soldat. Le sourire du visage de Goran disparut. "J'ai vu de mes yeux une petite force de reconnaissance dans la cité quand les défenses ont été activées. Il y a eu une recherche quand nous avons illuminé la cité et renvoyé les esprits guerriers, mais certains disent qu'ils se sont retirés juste avant que la cité disparaisse. Il est douteux qu'ils aient été une autre défense de la cité, mais peut-être que c'était une petite équipe laissée derrière pour sabotter toute tentative future de prendre le contrôle de la cité. Cela expliquerait comment ils connaissait le chemin à travers les défenses." Goran se retourna, frustré.

"Commence les recherches de traducteurs, rassemble-les à l'endroit habituel - qu'ils le veuillent ou non n'a pas d'importance, fait les juste venir. Pour ceux qui ne coopèrent pas, enlève leurs familles et donne-les à Valdis, j'ai entendu dire qu'elle recherche toujours de nouveaux sujets d'expérience. Informe Voldemort que la recherche a commencé. Vérifie aussi avec nos espions, essaye de trouver qui sait à propos de la cité. Je ne m'attends pas à apprendre quoique ce soit mais ça vaut le coup d'essayer. Qu'as-tu pu apprendre à propos de Nimue Valdis, Giovani?" L'homme haussa les épaules, s'appuya contre le rail presque avec insolence en comparaison de la posture de la femme.

"Apparemment elle a cinquante-neuf ans, certains disent qu'elle est plus vieille."

"Elle parrait difficilement avoir cinquante-neuf ans, Giovanni," fit Goran, sceptique, en regardant l'autre homme. "Quel moyen as-tu utilisé pour t'informer?"

"Les archives centrales du ministère de la magie," répondit Giovanni, en haussant les épaules. "Nimue Valdis a un dossier qui remplit tout un meuble, avec des observations de ses attaques, une descriptions et plusieurs théories sur ses motivations. Magré un dossier épais, peu de choses sont connues - ses partisans sont peu nombreux et jamais vus en masse. Certaines des théories suggèrent des activité nécromantiques jamais vu depuis Merlin. Plus probablement c'est une puissante Nécromancienne avec des Nécromanciens plus faibles sous son commandement."

"Et sa jeunesse?" demanda Goran, en penchant la tête.

"Je suppose que c'est le résultat de quelque expérience pour changer son apparence, peut-être pour la rendre identique à l'une de ses partisanes qui est maintenant sa jumelle." Goran considéra un iinstant la réponse et hocha la tête.

"Très bien. Est-ce que nous savons ce qu'elle peut retirer de cette alliance?" Une petite brise se leva et agita leurs capes, et Giovanni soupira.

"... Non. Ses motivations restent floues, mais peut-être ... les Nécromanciens vivent des vies plus courtes que les sorciers normaux à cause du siphonage de leurs énergies vivantes dans leurs créations. Peut-être qu'elle souhaite combattre cela en rejoignant Voldemort, qui est connu pour être obsédé par l'immortalité - peut-être un échange de magie immortelle." Goran hocha la tête, apparemment satisfait.

"Trouve à qui est le visage que je regarde, Giovanni - je veux en savoirr autant que je peux sur elle et son double. Vous êtes tous les deux congédiés." Les deux soldats hochèrent la tête et se retournèrent, Giovanni d'un pas souple et assuré tandis que la femme restait précise et ferme comme un soldat.

Harry attendit quelques instants avant de s'éloigner et attendit Orion. Se regroupant à Poudlard, Harry et Orion échangèrent des notes sur ce dont ils avaient été témoins. Orion avait découvert que les Sabres dans la maison entraînaient de nouvelles recrues, leur martelant des sorts offensifs et défensifs, mais il n'avait trouvé que peu d'informations.

"Donc Goran veut en savoir plus sur les autres membres de l'alliance ... penses-tu qu'il essaye de les manipuler dans une position qui favorises ses objectifs?" Hrry haussa les épaules en réponse.

"De ce que je comprends, il n'est pas un si gros joueur - il n'a certainement pas l'intelligence des autres membres. Mais s'il essaye de faure chanter ou de manipuler les autres pour quelque chose, il n'y a rien qu'ils pourront faire à ce propos. - l'alliance le protège de rétribuion dans le sens meutre et attaque ... peut-être qu'il compte là-dessus ... mais il joue un jeu dangereux - le fait de faire chanter peut-être pris comme une trahison et alors il mourrait à cause du sort de l'alliance." Harry haussa les épaules. "Hé bien, cela serait facile pour nous." Orion rit. "Je ferais connaitre cet endroit à Tonks ; peut-être qu'elle pourra faire intervenir les échelons supérieurs pour l'abattre."

Alors qu'Harry et Orion se rendaient au dortoir des garçons, Dumbledore attrapait un portoloin et réapparaissant dans la chambre des secrêts près d'un Severus Rogue qui semblait épuisé. Gisant au sol, inconsciente, était Bellatrix Lestrange. Produisant une fiole de ses robes, le Directeur s'approcha et en fit tomber quelques gouttes dans sa bouche. Un petit sifflement d'agaçement s'échappa de la femme endormie, et Rogue termina de desciner des runes sur le sol autour d'elle.

"Sommes-nous prêts à essayer cela, Albus?" demanda Rogue, en reculant une fois qu'il eut terminé. Albus sembla impassible alors qu'il se tenait à l'extérieur des cercles de runes et leva sa baguette.

"Je ne sais pas mais nous n'avons pas le choix. Il suffit de dire que nous sommes aussi prêts que possible. Eloignes-toi." Severus fit ce qu'il lui disait et le Directeur, prenant une profonde inspiration, commença la longue incantation. rogue regarda depuis le plus proche pilier, regardant le déploiement de magie. L'air commença à lui et le vent se leva autour des cercjes au sol, changeant de couleurs avec des craquements d'électricité, puis il s'inflitra dans les runes elles-mêmes, les faisant luire brillamment. La magie commença à se déplacer des runes à Bellatrix, alors que les couleurs bougeait dans les cercles. Severus réprima un sourire soulagé - cela fonctionnait! Malgré ses erreurs, Bellatrix avait insisté pour qu'ils commencent maintenant.

Les couleurs au sol se transformèrent en flammes blanches, et Bellatrix cria soudainement comme s'ils la maintenaient sous Endoloris. Son corps convulsa et ses cris s'arrêtèrent soudainement après une minute ; pendant tout ce temps Dumbledore activait magiquement les flammes, Severus sauta et courut vers le cercle, préparé à donner son énergie dans la bataille, mais Dumbledore lui cria d'arrpeter et soudainement les flammes disparurent - tout avait été carbonisé, les runes et les couleurs. Au milieu du cercle gisait la forme de Bellatrix, respirant à peine.

Les deux hommes s'approchèrent prudemment d'elle et la retournèrent. Ses yeux étaient ouverts mais elle ne les regardait pas, elle ne regardait rien. Dumbledore se recula rapidement et s'appuya contre un pilier. Il avait regardé dans les yeux de beaucoup d'hommes et de femmes malveillants au cours des années où il avait vécu, mais rien ne l'avait plus choqué que ceux-là. Ses yeux étaient si ... vides, il n'y avait rien derrière - aucune étincelle d'humanité ne restait.

Rogue se recula et vomit, se reprochant l'échec.

"Je suis désolé, Severus," fit Dumbledore, en regardant l'autre homme.

"Qu'est-ce ... qu'est-ce qui s'est mal passé?" demanda Rogue, ne levant pas les yeux. Dumbledore soupira et secoua la tête.

"Rien ... et tout ..." Rogue sembla déconcerté et Albus ferma les yeux et frotta ses lunettes contre ses robes. "Le sort était supposer faire une chose parce que c'était le seul moyen concevable qu'il puisse fonctionner. Cela n'a pas fonctionné parce que la magie ne pouvait pas faire ce que nous voulions. Il semble qu'il soit impossible d'enlever la noirceur d'une âme. En essayant, Bellatrix a été détruite." Rogue se leva et regarda le corps, la coquille vide qui gisait maintenant sur le sol devant eux. Ses mains bougèrent légèrement et ses yeux commencèrent à regarder la pièce, mais il n'y avait aucune compréhension, aucune intelligence dans ce regard.

"Alors que pouvons-nous faire?" demanda Rogue, et Dumbledore soupira, se retournant.

"Rien de productif, j'en ai peur." Rogue prit le corps dans ses bras alors que Dumbledore se rapprochait du portoloin et retnourait dans son bureau, la mine sombre. Non seulement Bellatrix était morte mais il avait trouvé la réponse qu'il redoutait le pus - si Harry tombait du mauvais côté et devenait sombre, il n'y avait aucun moyen de le ramener sans le tuer.

Fatigué et se sentant draîné émotionnellement, les yeux de Dumbledore se fermèrent et son esprit s'échappa vers les rèves qu'il faisait depuis qu'il avait appris le destin d'Harry.

Un jeune Albus Dumbledore se tenait dans la salle de réception d'une vieille maison avec un autre homme, le fondateur de la première incarnation de l'Ordre du Phenix. Le leader secoua la tête à Albus d'une manière presque frustrée et soupira.

"Albus ..." commença-t-il. C'était un grand homme avec une présence très imposante, des longs cheveux sombres qui avaient des touches de gris, et une bague en argent à sa main gauche.

"Si nous utilisons ls arts sombres, nous aurions moins de pertes à chaque mission!" fit Albus, criant presque. "Votre femme serait encore là! William et Henry, ils ne seraient pas tombés aujourd'hui, et nous aurions plus qu'une poignée d'aurors blessés! Nous perdons, nous devons frapper fort avec les mêmes sorts qu'ils utilisent sur nous!" L'autre homme secoua tristement la tête à nouveau.

"On ne peut pas gagner une guerre en devenant son propre ennemi." déclara-t-il, sa voix craquelée. "Nous sommes ensemble pour combattre la tyrannie et la terreur, Albus - nous tous - en incluant ma femme et Willian et Henry. On ne peut pas combattre le feu par le feu, Albus - le feu ne fait que croitre plus férocement et il est plus dure à éteindre. Je suis désolé Albus, mais je ne peux pas ordonner aux autres d'utiliser des méthodes sombres pour gagner, et je doute beaucoup qu'ils accepteraient de le faire."

'Mais-" commenca-t-il, essayant d'argumenter encore son point de vue.

"Albus!" l'homme plus âgé le coupa, commençant à se retourner. "Bientôt tu comprendras," finit-il calmement. Albus, frustré, sortit rapidement maissant l'homme plus âgé seul.

Le jour suivant, ils avaient planifié un raid contre la forteresse du mage nooir Geleftine, et les vingt derniers membres de l'Ordre étaient rassemblés dans la rue pour transplaner, entourant rapidement le petit château et l'investissant de tous les côtés, traversant les salles extérieures avec une sensation grandissante de malaise - rien ne bougeait à part eux, et l'Ordre avança jusqu'au hall procipal dans avoir rencontré personne. Les portes s'ouvrirent, à l'intérieur il n'y avait personne - c'était un piège.

"Rentrez immédiatement au Quartier Général," fit leur leader, sa baguette dirigiée vers la porte. "Rassemblez-vous et partez, c'est une ambuscade." Ils se dirigèrent tous vers les ports, certains frappant les mus avec de puissants sorts qui firent des trous suffisamment grands pour passer. Albus utilisa un sort pour franchir le mur est, arrivant juste derrière un groupe de partisans de Geleftine. Sa baguette cracha des flammes sombres, qui brûlèrent les mages noirs, les réduisant en cendres, et il continua, entendant le son de petits combats dans tout le château alors que l'Ordre luttait pour sortir.

Sortant au grand air, Albus esquiva un sort en roula sur le côté et toucha un mage noir avec un sort qui transforma lentement ses organes en fer chaud, et il en frappa un autre avec un sort de découpe, se dirigeant vers la ligne des arbres et la bordure du sort anti-transplanage. Une fois qu'il l'eut atteint, il transplana et retourna au manoir, légèrement essoufflé. Il se demanda si les autres avaient été pris et il attendit que leur leader apparaissent - il était puissant et un très bon duelliste - ils l'étaient tous.

albus attendit la première heure avec une certitude si puissante qu'il conjura même quelques lits pour les blessés et du thé pour ceux qui ne le seraient pas. La deuxième heure lui causa quelques doutes - où étaient-ils? Pouvaient-ils avoir été obligés de se cacher et étaient encore dans la forteresse? La troisième heure passa et Albus commença à transpirer - il ne pouvait pas aavoir été le seul à être arrivé jusqu'aux arbres.

Deux jours passèrent et Albus sut qu'ils étaient tous morts. Il se leva de la chaise dont il n'avait pas bougé depuis la cinquième heure qu'il était revenu seul et il s'approcha des cuisines, reposant sa tête contre la table et pleura.

Le château semblait menaçant avec le ciel noir derrière avec la nuit et la pluie. Il n'y avait aucun garde de service, et quelques personnes dans les halls - ceux qu'il trouva fut assommés et entravés, tout comme son mentor et vieil ami l'aurait voulu. Albus fit de nouveau le chemin jusqu'à la pièce principale, marchant lentement.

"Tu dois être Albus," fit Geleftine alors qu'il entrait. Il s'assit derrière une longue table qui était parallèle à la porte qu'Albus venait de franchiir, donc il faisait face à l'entrée principale, avec une assiette de nourriture et un gobelet de vin. "Entre, entre!" Albus le fit et vit qu'ils n'étaient pas seuls - les corps de tous les membres de l'Ordre avaient été rassemblés dans le hall pricnipal et ils gisaient sur le sol.

"Tu sais, j'ai été très impressionné par ta puissance, hier - cinq hommes carbonisés! Très bien, et tu as réussi à passer à travers le mur est - celui que je pensais être le plus résistant. Nombre de mes hommes te craignent, tu sais, j'en ai enterré neuf hier, belle prestation!" Geleftine applaudit et semblait réellement vouloir l'applaudir - son sourire était même sincère.

Albus s'approcha lentement de son mentor, regardant les autres en passant.

"Ils ont bien combattus," fit Geleftine, en levant son gobelet pour un toast. "Des braves, personne ne le nierait, mais ils n'ont pas autant terrifiés mes hommes que toi. Je suppose que je devrais te demander pourquoi tu es ici," fit Geleftine, en buvant son vin.

"Vous savez pourquoi je suis ici," fit doucement Albus. Geleftine haussa les épaules.

"Hé bien, en fait," fit-il, en regardant les corps, "Je me demande si tu es venu te joindre à moi ou me remplacer. Pour me rejoindre tut ce que tu as à faire est de le demander, mais pour me remplacer ... hé bien, je ne suis pas certain si je peux t'en empêcher ou pas ..."

"Je ne suis ici pour aucun des deux," fit Albus, en levant sa baguette. Geleftine haussa un sourcil et prit une autre gorgée de vin.

"Ah, donc tu es venu prendre ta revanche ... et bien, j'avais quand même raison - tu es en bn chemin pour me remplacer, Albus." Albus n'attaqua pas, mais attendit que Geleftine lève sa baguette. Le premier sort fut celui de Geleftine, et il ricocha sur les défenses d'Albus, s'écrasant sur le mur. Deux autres sorts connurent le même résultat. Geleftine attendit un moment, se rasseyant.

"Quelque part, ceci est moins amusant que ce que j'avais prévu," fit-il, en fronçant les sourcils à Albus. Le froncement de sourcil disparut alors que venait la réalisation et il se frappa le front. "Oh, je vois! Tu n'es pas venu chercher ta revanche ... tu es venu pour ta Rédemption!" Geleftine rit et dut se retenir la table pour ne pas tomber. "Oh, c'est impayable!" Albus leva lentement sa baguette et commença un duel, maintenant que Geleftine comprenait - il avait besoin de sa rédemption, il avait besoin de la pureté de sa propre âme et de l'acceptation de son mentor qui était mort avant lui. Sa honte était si profonde qu'elle le brûlait, et ce fut seulement quand Geleftine tomba d'un sort repoussé qu'Albus sentit son fardeau s'alléger un peu. Il faudrait de nombreuses années avant qu'il puisse trouver la prochaine génération de l'Ordre du Phénix.

Albus Dumbledore se réveilla de nouveau dans son bureau et réfléchit à ces souvenirs, une larme roulant le long de sa joue. Harry ressemblait tellement à lui en étant jeune, c'en était presque troublant.

Peut-être que c'était pour cela qu'albus avait peu pour l'âme du garçon.

Harry grogna alors qu'il était réveillé par quelqu'un le bousculant et il attrapa un oreiller et l'envoya à cette personne.

"Hey!" s'écria Blaise, attrapant l'oreiller et en le rabattant rapidement sur la tête d'Harry. Harry roula de côté et grogna de nouveau, en la regardant.

"Oh, salut Blaise," marmonna-t-il, en commençant à s'assoir. Elle lui sourit et s'assit sur son lit, portant son uniforme scolaire.

"Salut Harry," fit-elle, secouée d'un rire silencieux et appuyant l'oreiller contre sa poitrine.

"Que puis-je faire pour toi?" demanda-t-il en baillant. Elle fut une pause et il ouvrit les yeux légèrement plus grand et elle haussa soudainement les épaules.

"Je me demandait si tu allais aller au tournoi de Quidditch ... en plus je me suis réveillée tôt et je m'ennuyais. Est-ce que tu voudrais prendre un petit déjeuner tôt?" Il se frotta le coté gauche de son visage et regarda l'horloge du sa pièce. Les autres garçons étaient encore tous endormis, et il était 6h30. Le ciel commençait à s'illuminer et Harry hocha la tête, vérifiant comment il était habillé en enlevant les couvertures.

"Ouais, ok, mais tu pourrais me donnner une minute pour que je m'habille proprement ..." Elle rougit légèrement et hocha la tête, se dirigeant vers la porte.

"Je te vois bientôt alors," murmura-t-elle, refermant la porte derrière elle. Harry sortit de ses couvertures chaudes et s'habilla de son uniforme, et vérifia le lit d'Orion. Les rideaux étaient fermés et Harry les ouvrit pour découvrir le lit vide. Regardant dehors, il jura doucement - le soeil venait de franchir l'horizon. S'il était dehors, il était piégé.

Il sortit et commença à descendre les escaliers, avec Blaise qui se tenait en bas et levait les yeux vers lui. Il sourit et, à mi-chemin, sentit un changement sévère dans l'air froid. Confus, il se rappela de la sensation juste à temps pour descendre d'un saut quelques marches alors que la bête des ombres frappait l'endroit où il s'était trouvé sa tête. Harry se retourna et envoya un aussi grand sort de lumière qu'il le pouvait à la bête et il poussa Blaise au sol alors que la bête essayait de les attaquer depuis le plafond. Il les fit rouler vers la lumière d'une des fenêtres jusqu'à ce qu'ils soient contre le mur, Blaise au dessus d'Harry, dont la baguette émettait de la lumière dans toute la pièce. Leurs visages étaient à quelques milimètres l'un de l'autre et ils respiraient tous les deux fortement. La baguette de Blaise imita celle d'Harry et illumina la pièce autant que possible. Seul un coin avait encore une bonne quantité d'ombres, et Harry attrapa le bras de Balsie pour l'empêcher de quitter la pièce.

"Qu'est-ce que c'est?" murmura-t-elle, et il la fit avancer vers la lumière.

"Une bête des ombres, elle ne peut attaquer que dans les ombres. Reste dans la lumière." Il se demanda comme il pouvait expulser la bête de la pièce sans blesser quique ce soit, et il jura - elle ne pouvait pas simplement repartir dans la nuit car le soleil était maitnenant levé.

"Comment est-ce qu'on la tue?" demanda-t-elle, en regardant le coin sombre. Harry secoua la tête.

"Je ne sais pas, beaucoup de lumières je suppose," fit-il. Il se rappela être une ombre et être forcé à reprendre forme physique par l'effet du patronus et il se demanda si un patronus pouvait la tuer. "Je vais essayer un patronus, d'accord?" Elle hocha la tête, regardant la lumière vive alors qu'il lançait un patronus qui galoppa vers le coin, fasant se rapprocher d'Harry et Blaise les ombres.

"Expecto Patronom!" s'écria Blaise, et dans sa panique, elle fit un patronus non corporel. La bête des ombres sortit des ombres et vint dans le monde physique, juste dans le brouillard qui l'enveloppa soudainement, la plaquant violemment au sol. La bête des ombres se débattit et essaya de shifter mais elle n'y arriva pas - le patronus non corporel la maintenait sous forme physique et la bête était incapacitée, son corps complètement inappropriés aux aspects phisiques du monde réel - ses jambes cédèrent mais doucement, comme si les muscles ne fonctionnaient pas normalement. Doucement, à l'agonie, elle essaya de respirer et finalement elle s'arrêta de bouger, toujours entourée par la brouillard du patronus.

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Désolée mais je n'ai pas le temps de faire les Réponses aux Reviews comme d'habitude sinon je ne pourrais pas poster le chap, je modifierai le chapitre ce week-end pour les intégrer. Gros bisous à tous.