Désolé pour le retard mais l'inspiration et l'écriture étant en panne j'ai pris un peu (beaucoup!) de retard . Désolé de ne pas avoir répondus à vos reviews mais j'étais tellement impatiente de poster mon nouveau chapitre que j'en est oubliée de répondre . Voilà un nouveau chapitre qui j'espère va vous plaire et qui est peut être un peu court mais . De plus mon p***** d'ordinateur a planté avec les disques durs donc c'était la galère pour les récupérer et j'ai perdus une partis de mon nouveau chapitre que j'avais pas mis sur clé donc j'ai dû tout réécrire.

Alors pour l'instant il n'y pas de Bella, et il n'y en aura pas, mais j'ai déjà une petite idée en ce qui concerne Edward! Et je préviens ce sera pas du tout la m^me relation que edward et Bella on, donc voilà pour les petites informations sinon suspense...

désolé j'ai refais quelques changements ce chapitre ne me convenais pas tout à fait. =) j'ai changé la fin, je l'est rallongée.

Chapitre 3 :

Je la regardais dormir. Assit en tailleur par terre, un bras sur le canapé, la tête poser dessus. Elle respirait calmement dénotant de son sommeille profond, sûrement un des seuls depuis quelques temps. J'en avait été le témoin impuissant durant toute cette semaine. C'était plus fort que moi, je ne pouvais m'en empêcher. Je la suivais partout, la regardais dormir, étant le témoin silencieux de ses nuits agitées. Elle marmonnait souvent d'incompréhensible mots mais qui, quelque fois prenaient un sens.

Je la voyais vivre, rougir, manger, rire et même parfois pleurer. Une multitudes de choses qu'elle avait fait ou n'avait jamais fait du temps de son vivant à mes côtés. pour la première fois je découvrais un Alice humaine. Et cela ne la rendait que plus belle et plus attrayante à mes yeux. Je pouvais entendre son coeur battre et son sang pulsait. Son odeur était juste merveilleuse. Dès que je m'approchais d'elle son odeur m'embaumait, et me transportait. Elle me rappelait les souvenirs merveilleux que nous avions passé ensemble à s'aimer. Mais elle m'amenait aussi à me rappeler des souvenirs encore douloureux même après tant d'années. Alice était morte. Mon Alice était morte il y a un peu plus de soixante-dix ans. C'était une journée de printemps, je m'en souviens encore...Peu de temps après l'hiver, alors que le printemps venait à peine de faire surface deux vampires s'étaient présentés chez nous. Ils disaient venir de la côte est, ils avaient traversé tout les états-unis à la découverte de leurs confrères et ils cherchaient à s'établir dans un coin tranquille afin de pouvoir se fondre parmi les humains. Nous les avions reçus avec chaleur, heureux de rencontrer de nouveaux vampires. Ils avaient été intrigué par nôtre mode d'alimentation voilà pourquoi ils étaient restés quelques temps chez nous. C'est ainsi que nous avions fait la connaissance de Melchior et Adèle. Melchior était un vampire sans âge, grand, de plus d'un mètre quatre-vingt dix, blond comme les blés, une peau basanée et de grand yeux rouges qui pouvaient pétrifiés quelqu'un de peur humains comme vampires. Très séduisant, il ne devait avoir aucun mal à attirer des proies qu'elles soient homes ou femmes. Il avait un visage fin, un nez droit et des lèvres charnues qui appellent les baisers à se poser sur sa bouche. Ses long cheveux blonds descendaient sur ses épaules musclées. Il avait la musculature de ceux qui ont travaillé dans les champs ou fait la guerre, et dus porter une trentaines de kilos. Il ne nous a jamais révélé sont âge mais d'après les indices que nous avions pus obtenir nous penchions pour l'Antiquité. Il dégageait une telle aura que cela imposait le respect. Sa compagne se nommait Beth. une femme d'une trentaine d'années. Toujours très élégante, elle dégageait quelque chose de fascinant. Cette femme aux long cheveux bruns et aux yeux rouges nous laissaient souvent béat d'admiration. Elle avait une grâce défiant toute concurrence même pour un vampire. mais le plus étonnant était son don, ils nous laissaient pantois. Elle était capable de nous priver de nos pouvoirs, complètement par sa simple présence.

Les premiers temps cela avait été un peu difficiles de s'accoutumer mais nous nous y sommes fait. Elle avait dus être une femme époustouflante du temps de son humanité, dans les années cinquante. Elle s'habillait toujours à la mode de l'époque, c'est-à-dire pantalons taille haute, chemisiers, et des robes courtes ceinturaient à la taille. Il est amusant de voir comme certaine choses ou habitudes de l'époque dans laquelle nous avions pus vivre nous affectait d'une manière ou d'une autre. Nous avions appris part la suite que Melchior était le créateur de Beth et qu'il ne s'était attardé chez nous que pour faire découvrir à Beth un autre mode de vie. Car ayant un nombre d'années impressionnant à son actif Melchior avait tout essayait ou presque. Beth avait tout de suite était appréciée par toute la maisonnée mais Melchior resté à l'écart de nous ne parlant presque jamais. Les seules fois où nous avions pus l'aborder il était resté distant. Beth et moi nous entendions bien du fait de son régime et que j'avais du mal à mis habituer. Nous allions chasser ensembles plus que les autres ayant besoins de nous satisfaire pleinement, enfin comme nous le pouvant avec du sang animal, pour ne pas attaquer des humains un peu trop alléchants. Ce fut des mois de bonheur où je pouvais rester des heures allongé dans l'herbe avec Alice contre moi. Appréciant le simple plaisir de sentir le soleil sur ma peau et l'épaule d'Alice contre la mienne. Mais les bonnes choses se finissent toujours à un moment et surtout quand on s'y attend le moins.

Un jours alors que nous rentrions de la chasse, Alice m'a entraîné vers nôtre coin favoris et puis sans un mots ni une explications elle m'a embrassé comme si sa vie en dépendait et nous avons fait l'amour pendant des heures. C'était comme un adieu mais sur le moment je n'ai pas compris. Je ne ressentais que ses émotions qui me submergées, peur, appréhension et mais aussi de l'amour, un amour sans limite pour moi.

Sa vision de sa propre mort qu'elle avait eu pendant une des absence de Beth, elle n'en avait pas douter une seule seconde. Elle avait eu un tel sentiment de vraiment voir l'avenir mais pas seulement une possibilité d'avenir.

Puis tous c'est passer très vite. Beth prise dans l'étau des bras d'un vampire qui dans sa main droite avait un briquet à la flamme rougeoyante. Le briquet contre la gorge de Beth. Melchior tendu comme un arc, prêt à bondir à tous moment. Et Alice aux côtés de Melchior, Alice qui savait, Alice qui s'apprêtait à mourir. Mon Alice.

Nous nous sommes rendus dans les bois dès qu'Edward les a entendus. Mais nous ne pouvions rien faire le sort était jeté.

Il paraîtrait qu'il n'y a rien de pire que de perdre un de ses "enfants". Le chagrin est tel qu'il est difficile de sans remettre. Melchior à préféré tuer Alice que de perdre Beth. Le vampire détenant Beth lui a lancé un briquet et Alice s'est offerte à lui sans un mots. Avant de de mourir il lui a chuchoté quelques mots que seul elle a entendu. Puis elle a pris feu. Comme une brindille, les flammes l'on dévorées en quelque minute et il ne restait d'elle qu'un petit tas de cendres grises.

Agenouillé dans l'herbe je hurlais de désespoir, et pleurais. Le vampire qui détenait Beth a alors lâché:

" Maria te salut bien Jasper, et elle espère que ta nouvelle vie se passe à merveille"

Il est alors partit d'un rire tonitruant, un rire sadique et pervers de ceux qui aime voir souffrir les autres. Ce fut son erreur, sa seule et unique erreur. Melchior en un bond était sur lui le décapitant et mettant feu à sa carcasse. J'était toujours prostré quand Beth vins vers moi, quand Melchior me parla à voix basse je ne compris pas ses mots. Ils finirent par partir, tous me laissant seul. J'avais perdus ma raison de vivre et d'exister.

Je suis resté des jours allongé, des semaine et peut-être des mois. J'avais perdus la notion du temps. Les jours et les nuits se succédèrent. Mais je restais allongé là comme une loque vide. Chaque jours et nuits quelqu'un était là. Ne disant un mots, juste il était là. Partageant ma peine.

Un jour ou une nuit je ne me souvient pas, Edward me lis la lettre qu'Alice avait laissé à mon intention et à celle de nôtre famille, et ses mots se gravèrent en moi jamais.

je ne me rappelle pas se qui m'a fait me lever. Mais j'ai pris la bague qu'il resté au milieu des cendres et je suis partis. Je suis partis faire les choses que nous avions rêvé des faire et que nous n'avions pas encore fait ensemble. Je les ai fait seul. Voyageant à travers le monde.

J'ai rencontré une multitudes de personnes, appris des langues et des coutumes. Je me suis fait adopter par des tribus. Pour elle je n'ai plus jamais bus une goutte de sang humain. Chaque endroit que je découvrais, chaque personne que je rencontrais, Alice le voyait. Chaque moment de mon existence pendant ce voyage ou ce deuil je l'ai partagé avec elle. Ce fut un les moment les plus beaux, les pus tristes et les plus fort de mon existence.

Alice commença à bouger signe qu'elle n'allais pas tarder à se réveiller. Un autre souvenir commença alors à remonter à la surface. C'était une nuit d'été fraîche et dégagée. J'était allongé dans l'herbe, en train de regarder les étoiles. Mentalement je repérais les différentes constellations présentes dans le ciel à cette époque de l'année. Un vent frais se leva et il m'apporta différentes odeurs. Le sol encore humide par l'orage de la journée, le bois... Je ferma les yeux et me laissa envahir par les odeurs et les sons. Tout autours de moi n'était que vie et fourmillements; Le vent dans les branches, les insectes dans la terre, les noctambules volants et le sang pulsant dans les veines des différents animaux à proximité. Je pouvais même entendre, si je tendais l'oreille, aux loin les bruits d'un campements de chasseurs. Il n'était pas rare dans croiser par ici. La forêt amazonienne regorgeait encore de ses hommes que l'on surnomme de "primitifs". Mes sur certains aspects, ils étais beaucoup plus évolués que nous. Ils communiaient avec la nature avec une tel force que je pouvais presque voire les vibrations qui se trouvaient autours d'eux aux cours de leurs rituels. Ces sociétés avaient quelque chose de fascinant dans leur façon de vivre et d'honorer les dieu ou en ce en quoi ils croyaient. Mais le manque du pays commencé à ce faire sentir et mon Amérique natale me manquais plus que je n'osais l'admettre. L'odeur des arbres, de la mousse. La nature de la côte ouest me manqué. Sa flore mais aussi sa faune. Les ours à la sortie de leur hibernation, un peu grincheux comme Emmett les aimé. Les roses que nous rapportions à Esmé et à Rosalie. Ils me manquais, tout simplement. Même les blagues douteuses d'Emmett ou encore les crise de Rosalie et même les intrusions d'Edward.

Depuis le temps, j'avais fait le tour du monde. Mais j'avais décidé de rejoindre ma famille en Alaska. Et pour de bon cette fois. A plusieurs reprises nous nous étions croisé mais je n'étais jamais resté longtemps, mes souvenirs encore trop douloureux. Chaque moment, chaque rire ou réflexions me rappelais Alice. D'après un message qu'ils m' avais fait parvenir, je savais qu'il avait formé un clan plus grand avait quelques nouveaux vampires en Alaska.

C'est alors que des odeurs connus arrivèrent soudainement à mes narines. J'aurais pus les reconnaître entre milles. ces odeurs étaient restées à jamais gravé dans ma mémoire. Pourtant je resta allongé, là les attendant. Et ils finirent par arriver juste devant moi. Ils n'avait pas changé d'un cheveux et pour la seule raison qu'ils ne changeraient plus.

Je me releva lentement. Je leurs souris et dit :

" Cela faisait longtemps. N'est-ce pas Melchior?"

Un large sourire s'installa sur le visage de Beth et elle se mise à rire. Un rire cristallin, doux et chaleureux. Elles s'approcha et je la pris dans mes bras.

" Tu m'a manqué, tu ne peut pas savoir comment, dit-elle.

- Toi aussi, et nos partie de chasses aussi par la même occasion.

Elle me lâcha et rejoignit Melchior.

- Tu devrais m'en vouloir. Avoir soif de vengeance.

- Oh, mais j'en ai eu envie. Une envie dévorante même. Pendant un moment la seule chose que j'avais en tête était de me venger. Une soif débordante de détruire un monde dans lequel elle n'existait plus. Mais je me suis demandé ce qu'en aurait pensé Alice. Elle voulait que je vive, que Beth vive mais surtout, elle n'aurait jamais donné sa vie si elle ne savais pas cela inévitable. Elle c'est offerte avec un telle abandons que cela révèle la profonde confiance qu'elle éprouvé à ton égard. Je ne t'en veux pas. Tu est même pardonné. Tu n'avais aucun autre choix. J'en aurait fait autant pour elle ou ma propre progénitures, lui répondis-je la voix vibrante d'émotions."

Melchior m'observa pendant un moment.

" Tu a grandis Jasper. Ton coeur et ton esprit on compris ce que beaucoup de gens ignorent et n'apprennent jamais en ces temps obscures que nous vivons."

Beth me regardait avec douceur et Melchior avec respect.

"Que lui a tu dit?lui demandais-je brusquement

Il me répondit par un regard interrogateur.

- Le jour de sa mort. Que lui a tu dit?

- Un vieux proverbes : Aux coeurs purs tout est accordés."

Je le regarda avec intensité et dit :

- Merci. Merci pour tout, et surtout merci pour elle."

Il mis sa grande main sur mon épaules et la pressa avec compassion en souriant. Puis il partit sans un mot. Beth me prit rapidement dans ses bras, les enroulants tendrement autours de mon cou et elle s'éclipsa tout aussi silencieusement. Je suis resté un moment debout dans la nuit. Au bout d'un moment je me rendit compte du morceau de papier dans ma main. Un nom, et une localisation. Un sourire apparu sur mes lèvre.

Ils n'avaient pas du perdre de temps, le papier était sale et fatigué mais encore lisible.

Elle était mort. Pour son crime, elle avait dus laisser son immortalité sur terre et disparaître en enfer démembrait et calcinait.