POV Bella

La journée avait démarré normalement. Edward était venu me chercher pour le lycée, et après les cours, nous étions revenus chez moi afin de faire nos devoirs. Cependant, une chose différée: Charlie m'avait laissé un mot sur le frigo afin de m'avertir qu'il ne rentrerait que tard dans la nuit (une affaire urgente dans un autre comté....). Cette soudaine libérté me réjouissait. Edward m'avait suivi et avait donc lu la providentielle note en même temps que moi.

- Alors? Quelles sont les plans de la soirée? me demanda-t-il innocement.
- Je ne sais pas. Répondis-je. On pourrai aller chez toi, cella fait longtemps que je n'ai vue Esmée. Ou on pourrai rester ici et être sage.
-Etre sage?
Il avait dit cela avec un sourire éspiegle que je ne lui connaissais pas encore.Notre couple n'est pas...sage. Et il m'embrassa avec douceur, tout en carressant mes cheveux de sa main droite. Ce contact qui pouvait paraitre anodin, dans un couple, me faisait frrissonait d'un manniére étrange.

Repennant mes ésprits, je me décidait à faire mes taches quotidiennes afin de garder un semblant de maîtrise. Pendant que je m'affairait, Edward lisait le journal. Il s'était installé sur le plan de travail et me jetait des coups d'oeil de temps en temps.

- Sais-tu que Charlie ne rentrera que tard cette nuit. Alors pourquoi t'acharnes-tu comme une vraie fée du logis? Il avit dit ceci sans lever les yeux une seule fois.
-Eh bien, parce que je suis une vraie fée du logis et que si je ne le fais pas maintenant, ça pourrait m'empécher de faire quelque chose d'autre plus tard.
-Et quelle genre de chose?
me dit-il en souriant.
-Ca. Et je me jetais sur lui afin de l'embrasser.

Ce baiser fût moins chaste que le premier. Dés que nos lévres se touchérent, je sentis sa langue se frailler un passage vers la mienne. Son haleine si fraiche me grisait et m'incitait à continuer. Il descendi du plan de travail afin de m'attraper par la taille et me souleva pour mis assoire. Tout en continuant notre baiser, je mis ma main dans ses cheveux et les carréssait. Je sentis sa main sous mon T-Shirt et qui remontait le long de ma colonne vertébrale. Ce contact me fit frissonner de plaisir.
BRZZZZ. BRZZZZ.
La sonnerie du téléphone fut une douche glacée. Il se recula légérement et je vis dans ses yeux un désir encore brulant.

- Tu devrais répondre, c'est peut-être Charlie. Et il s'éloigna.
Je descendis du plan de travail et décrocha rageusement.
- Résidence Swan.
-Bella? C'est papa.
Charlie. Tu as bien eu mon mot?
Pourquoi téléphonait-il s'il m'avait laissé un mot. Cela n'avait pas de sens.
-Bien sûr, papa. Alors pourquoi téléphones-tu? C'est vrai c'était idiot.
-Oh...non.....c'était pour m'assurer que tu allais bien et que tu ne te fasses pas trop de soucis. Une vraie mére poule. Pire que Renée.
-Je vais bien. Je me mis à rire. Je te remercie de ton inquiétude injustifié. Les extra-terrestres ne m'ont pas encore enlevée. C'était ridicule.
-Non, non,..., c'est juste que je voulais m'assurer que tu m'en fasses pas trop. On est vendredi soir, profites-en pour aller t'amuser avec tes amis. Ne reste pas seule. Tu peux même rentrée tard si tu veux, de toute façon je le verrais pas, alors....

C'est gentille, mais je sais pas si je vais sortir. Je secouais la tête.
- Aller, va t'amuser. Ca me peine que tu restes toute seule comme ça.
-Okay, okay. Je verais bien comment ça se déroule. Ce sera tout chef?
- Oui, oui. Je t'aime Bella. Passe une bonne soirée.
- Moi aussi, papa. A demain.
Je racrochai tout en me disant que la soirée aller être mémorable.
Edward me regardait tout le temps de ma conversation. Cela l'amusait beaucoup puisque je le vis sourire plusieurs fois. Je me rapprochai de lui quant-il se leva et me prit dans ses bras.
- Ton pére a raison. Nous devrions sortir. Tu ne voulais pas aller voir Esmée?
Il m'embrassa.
-Non, non. Je réfléchis. Je crois que tout compte fais, on va rester ici. Si ça ne te dérange pas, bien sûr.
- C'est toi qui décide. Je suis ton esclave.
Et il me fit son sourire en coin que j'adorais.

J'étais dans ma chambre en train de répondre à un e-mail de Renée quand Edward réapparu.
Il était parti chassé depuis plus d'une heure et son retour mis fin à cette attente frustrante mais néanmoins nécéssaire. Pour une fois, il franchit la porte de ma chambre et non la fenêtre. Il s'installa sur mon lit le temps que je finnisse ma rédaction.

-Tu passera le bonjour à ta mére. Me dit-il trés détachais
-C'est déjà fait! Je quittai le bureau où j'étais installer pour le rejoindre.
Dés que je fus dans ses bras, je retrouvais mon hâvre de paix personnel.
- Tu es vraiment sûre que tu ne souhaites pas sortir? On pourrait aller au cinéma, ou au bowling, ou.....
Je le fis taire en l'embrassant. Allait-il deviner mes intentions? Depuis qu'il était parti un plan de séduction avait fourmillé dans ma tête mais j'hésitai à le mettre en pratique.
- Okay, on reste.

Il prit mon visage entre ses mains et recommença à m'embrasser. Ses lévres étaient comme une caresse ininterompue. D'abord douces, elles se firent plus fermes, plus avides. Sa langue ouvrit ma bouche afin d'y retrouver la mienne. Sa main reprit le trajet de ma colonne vertébrale tandis que je jouais avec ses cheveux. Tout à coup, il s'arréta et me repoussa légérement.

-Bella, te rends tu compte que si nous continuons, je risque de ne plus me contrôlais?
-Alors, lâche toi!

A ces mots, il reprit là où nous étions arrétés. Il se redressa afin que je sois à califourchon sur lui, ce qui me permi de lui déboutonner sa chemise. Un par un ses boutons se détachérent de mes mains tremblantes de désir. Son torse immaculé était un model pour tous les sculteurs. Je faisait courir mes doigts sur cette peau blanche comme de l'albatre. Ses mains remontérent jusqu'a ma poitrine et il commença a me carésser le bout des seins avec ses doigtd. Cela déclencha un tourbillon de sensations nouvelles en moi. Il enleva mon T-Shirt qui resta coincé sur ma tête. Prisonniére de ce bout du tissu, il en profita pour reprendre ses baisers. N'ayant plus la possibilité de le voir, tous mes sens étaient en éveille. Ses lévres couraient le long de mon menton, de mon cou, de mes épaules pour s'arréter sur mon décollté. Je me libérai enfin pour lui prendre son visage et ses lévres par la même occasion. Je le repoussai afin de m'allonger sur lui et je commencer à descendre tout en continuant d'embrasser sa peau. Arrivé sur ses pectoraux, je me mis à mordiller ses tétons qui lui arracha un soupir de plaisir.

- Bella!
- Ne bouge pas!

Et je continuai de descendre tout en l'embrassant et le caréssant. Lorsque je fus à son nombril, je me relevais afin de détacher sa boucle de ceinture et commença à déboutonner son jean. Il m'aida dans la manoeuvre et en profita pour me retourner. Il se mis entre mes cuisses et je sentai, à la fois son désir qui grandissait, mais également sa main gauche qui me caréssait la jambe. Sa bouche se fit plus pressante, et il reprit sa descente de mon cou, il passa par mon décollté où il s'arréta et mis sa tête entre mes seins. Il reprit son chemin et arrivé à mon nombril il me défit de mon short que j'avais passé avec une habileté et une rapidité presque effrayante.

Ainsi en sous-vêtement, nous étions égaux. Il revint à moi et recommença à m'embrasser. Ses mains étaient expertes sur ma peau et dès que ses doigts passaient, ils laissaient une trace brûlante qui ne semblait jamais s'éteindre. C'est alors que je le retournai afin de retrouver ma position initiale et je me débarassais de mon soutien-gorge. Dès que je fut libéré de ce carquant il attrapa chacun de mes seins dans ses mains et commença à les embrasser avidement. Il m'arracha alors un cri de plaisir. Dans cette étreinte fougueuse, plus rien ne comptai. Plus rien. Sauf lui et moi.
Nous nous débarrations des restes de nos barriéres et il me retourna sous lui.

-Tu es si belle, si désirable. Je t'aime tant. Ses yeux gonflés de désirs me confirmaient ses paroles.
- Je t'aime plus que tout, Edward.

Et je repris ses lévres comme si plus rien ne comptait.
Lorsqu'il entra en moi, il me regarda dans les yeux et je vis tout ce que je voulais voir. Le désir, la passion mais surtout l'amour qu'il me portait. Nos corps ne firent plus qu'un et nous bougions au rythme de nos réspirations. Des vagues de sensations m'assaillirent, plus intenses les unes que les autres. Je criai son prénom afin qu'il continue cette danse érotique. Hardie par le désir et la passion qui s'emprenaient de moi, je voulu retourner sur lui et sans que nous nous lachions, il m'attira vers celle-ci. Mon bassin formait des cercles afin d'accentuer cette passion dévorante quand je sentis que sa raideur grandissait en moi. Cela déclencha alors une puissance insoupçonnée, et lui-même fût ensevelie par celle-ci. Cette chaleur qui envaillie mon corps me donna une plainitude et une extase que jamis je n'aurai soupçonné. Nous retombions dans les bras l'un de l'autre, transpirant d'un bonheur nouveau.
Je me mit à rire.
Il me regarda et me demanda

- Pourquoi cette hilarité soudaine? Il était perplexe. Aurai-je fais quelque chose qui puisse provoquer ces rires?
- Non, non.... enfin si d'une certaine manniére.
Je ris de plus belle.
Il me regarda avec un air étonné. Une explication s'imposait.
-Je pensai à Charlie. Heuresement qu'il s'inquiétait de ma soirée!!!


Il se mit alors à rire avec moi.
Ce fût notre premiére fois.