Chapitre 5 : Une nuit angélique.
- Franchement…je ne sais pas.
- Moi, si. Lui assura Clark avec un sourire qui se voulait doux, mais qui paraissait un peu trop pervers.
- Ah bon…et je peux savoir se que tu as en tête? Demanda un Bruce pas du tout choqué.
- Et bien…pour commencer, une soirée romantique en ta compagnie.
- Hum…et cette soirée comprendrait quoi exactement?
- D'abord dîner en tête à tête, puis peut-être danser, ensuite… se câliner un peu… si tu es d'accord?
- Pas mal comme plan. Et pour ce qui est des câlins… disons simplement que pour une fois, j'ai hâte d'aller au lit!
- Mais dit donc toi, je te trouve bien vicieux. Le réprimanda Clark avec un air faussement scandalisé.
- Ets-ce que ça te pose un quelconque problème? Lui demanda Bruce tout en caressant doucement de sa main la virilité de son vis-à-vis, cette dernière toujours retenue prisonnière par la braguette de son propriétaire.
- Heu…hou…ha…na…non pas…pas du tout. Réussit-il, difficilement à articuler.
- Très bien dans ce cas, (Il cessa brusquement ça douce torture) tu vas t'assoir bien gentiment sur le divan et moi je prépare le dîner.
- Non, non tu es l'invité, je ne peux pas te laisser…
- Oh si; tu peux et tu vas me laisser le faire.
- Mais Bruce c'est ta soirée; je voulais te faire à dîner.
- C'est très gentil et surtout très mignon de ta part, mais je tiens à le faire. Qui plus est, comme tu l'as si bien dit; c'est ma soirée, alors je ferais ce dont j'ai envie. Et finalement, tu es celui de nous deux qui a travaillé aujourd'hui; alors vas te reposer et je m'occupe de tout.
- Mais…
- Clark! J'ai en envie de m'«occuper» de toi…tu ne vas tout de même pas m'en empêcher.
Clark souris doucement à ces paroles et acquiesça. Il alla s'assoir confortablement et regarda son homme s'activer aux fourneaux. Il réalisa ensuite qu'il était effectivement très fatigué. Il rejeta la tête en arrière, ferma ses yeux puis s'endormit.
«Mais qu'est-ce qu'il est mignon quand il dort!!». Pensa Bruce alors qu'il sortait deux assiettes d'un placard.
Environs une demi-heure plus tard c'est un Clark bien reposé qui fut réveillé par une douce et délicieuse odeur de fine cuisine. Il se retourna et se retrouva en face d'une table magnifiquement dressée sur laquelle trônaient divers plats dont la simple vue était un régale pour les yeux. Clark n'en revenait tout simplement pas.
«Dis-moi, c'est toi qui as fait tout ça?». Demanda Clark incrédule.
Bruce eu l'air un peu vexé et répondit sarcastiquement;
- Bien sûr que non, tu sais parfaitement que je suis incapable de faire quoique ce soi par moi-même, j'aie appelé un traiteur pendant que tu dormais et je me suis contenté de payer.
-Arrête, tu sais très bien que ce n'était pas ce que je voulais insinuer, c'est juste que je trouve ça surprenant et le fait est que, tu n'arrêtes jamais de me surprendre.
- Bon je préfère ça. Alors tu viens dîner ou tu vas rester planté là?
- Je viens.
Ils se mirent à table et Clark dégusta le meilleur plat de nouilles aux fruits de mer qu'il eu jamais goûté de sa vie tout en discutant avec son amant de tout et de rien.
«Alors où as-tu appris à cuisiner comme ça?». Demanda un Clark bien intrigué.
- Alfred m'a appris. Il a toujours été là pour moi depuis...
Mais Bruce s'arrêta net. Il baissa la tête, mais Clark pu aisément voir le vide triste qui imprégnait ses yeux et il fit ce que son cœur lui ordonnait; il posa tendrement sa main sur la sienne et lui dit sur un ton si assurer que personne à cet instant n'aurait put douter de la véracité de ses paroles. Tout en regardant son amant dans les yeux avec une détermination que même le plus septique aurait fait frissonner;
«Écoutes-moi bien Bruce; je te jure qu'à partir de ce moment, tu ne seras plus jamais seul, je te le promets, je serais toujours à tes côtés.».
Bruce fut très surpris par cette déclaration, mais ce mit ensuite à sourire, il n'était pas habitué être en couple mais ce débordement d'amour lui plaisait beaucoup; surtout venant d'un si beau jeune homme. Un dont il s'était complètement entiché qui plus est.
«Merci Clark.». Répondit-t-il simplement.
- Mais de rien, crois-moi il n'y à rien que je désire plus que d'être auprès de toi.
Et sur ce ils s'embrassèrent. Clark avait découvert que le contact de leurs lèvres le rendait extrêmement tendue au niveau inférieur de son anatomie. Clark mordilla légèrement la lèvre inférieure de son amant, Bruce compris le message ouvrit la bouche; permettant ainsi à la langue de Clark et à la sienne de s'enlacer, s'entremêlé et se sucer. Ils furent obligés de se séparer pour reprendre leur souffle.
Ils continuèrent à se regarder passionnément dans les yeux tout en haletant bruyamment.
Ils le firent avec une ardeur si féroce que si Clark s'était pleinement écouté il aurait jeté toute la vaisselle à terre d'un revers de bras; aurait violemment allongé Bruce sur le ventre, sur la table; lui aurait baissé son pantalon (tout en retirant le sien.) afin d'offrir à son sexe un parfait accès au cul de son amant et l'aurait sauvagement pénétré.
Mais Clark respectait bien trop Bruce pour le traiter comme une vulgaire pute dont il pouvait se servir dans le seul but d'assouvir ses bas instincts ou ses besoins sexuels primaires. Et même s'il se doutait que, sûrement, Bruce en avait tout autant envie et l'aurait tout autant apprécié que lui, il n'aurait put supporter l'idée que ce dernier ne se perçoive que comme un simple vide-couilles à cause de ça.
Bruce ressentit le malaise de son vis-à-vis et articula difficilement;
«A…alors…tu avais parlé de…de…danser.».
- Heu…ou…oui, tout a fait.
- Alors allons-y.
- D'accord…mais où ça.
- Eh bien; ton salon. J'ai vue que t'avait une chaîne stéréo, ça devrait suffire.
- Tu crois? Demanda Clark.
- J'en suis sûr. Le rassura Bruce ton en se dirigeant vers le dit salon.
Clark le suivit et lorsqu'il le rejoint, Bruce mit ses bras autour de son cou et colla leurs torses un contre l'autre. Clark rougit légèrement et d'instinct, mit ses bras autour de la taille de son vis-à-vis. Il lui demanda ensuite;
«Alors, qu'elle genre de musique te plairais?».
- Eh bien, voyons d'abord ce qu'il y a à la radio.
- Très bien.
Clark se dirigea vers la dite radio et l'alluma. Ils reconnurent tous deux la chanson qui ce fit entendre; «Touch my body» de Maria Carey. Clark ne l'aimait pas spécialement, mais ce dit que, dans les circonstances actuelles, elle conviendrait. Il se remit dans la position qu'il avait orchestré avec son invité et tous deux commencèrent à se mouver et à faire onduler leur corps au son de la mélodie. Clark fut d'abord un peu gêné mais ce laissa bien vite aller. Jusqu'au moment où ces ses mains ce rapprochèrent dangereusement du postérieur de Bruce.
«Touch my body… Put me on the floor…»
«Ça va Clark? Tu as l'air tendu.»
- Non c'est simplement que… Ce contenta de dire Clark et Bruce lui sourit.
«Wrestle me around… Play with me some more…»
- Ah d'accord j'ai compris. Dit ce dernier.
- Quoi donc?
«Touch my body… Throw me on the bed…»
Bruce sourit de plus belle et murmura à l'oreille de son petit-ami;
«Tu sais Clark, tu as le droit de poser tes mains sur mes fesses…si tu en as envie, bien sûr.»
«I just wanna make you feel… Like you never did…»
Son souffle chaud imprégna le lobe ainsi que le conduit auditif de Clark alors que l'information était transmise à son cerveau. Il ne put s'empêcher d'esquisser un petit rictus et fit ce que son corps et plus précisément ses mains lui ordonnaient de faire. Il les apposa doucement sur le derrière de son amant. Bruce ne semblait pas s'en plaindre; il rajouta même;
«Touch my body…Let me wrap my thighs…»
«D'ailleurs Clark, ce soir si jamais il te prend l'envie de…faire quoi que ce soi avec mon cu…mon corps…sens toi libre de le faire.»
- J'y veillerai, sois sans crainte.
«All around your waist… Just a little taste…»
- Je ne crois pas avoir rien à crainte…gentil comme tu es…je suis sûr que tu ne me feras aucun mal.
«Touch my body… Know you love my curves…»
Bruce se contenta de sourire alors que Clark le retournait de façon à ce que son dos touche le torse de son amoureux. Il commença par s'attaquer au cou de Bruce. Il le parcourra d'abord de haut en bas avec sa langue puis trouva le bon endroit et, refermant sa bouche dessus, commença à le suçoter. Laissant ainsi de petites marques rouge sur le cou de son invité.
Une main avide alla attraper la boucle de la ceinture du dit invité, tendis que l'autre se glissait sous sa chemise afin de pouvoir s'attaquer sensuellement à son mamelon gauche. Cette dernière utilisa deux de ses doigts coquins pour emprisonner dans leur prise diaboliquement érotique le dit, pauvre, malheureux téton. Lui, qui n'avait pourtant jamais rien fait à personne, subissait l'horrible torture qu'était la pressurisation causée par le pouce et l'index.
Tout ceci pour le plus grand plaisir de son propriétaire…et de son bourreau bien sûr. Ce dernier commença à faire descendre la fermeture éclaire de son captif.
«Come on and give me what I deserve… And touch my body…»
«Eh là… tout doux cowboy… je vais fondre si tu continus.»
Clark réalisa soudain se qu'il était entrain de faire et arrêta immédiatement ses gestes tout en s'éloignant de Bruce. Il se sentit soudain très honteux d'avoir ainsi exagéré. Il réalisait maintenant qu'il avait pratiquement violé son amant et il s'en voulait horriblement. Pire, il avait terriblement peur que Bruce lui en veuille.
Mais de son côté, l'héritier de la famille Wayne, se demandait uniquement pourquoi son compagnon s'était arrêté. Il se retourna vers son petit ami.
«Clark, qu'est-ce qu'il y a, pourquoi t'es-tu arrêté?»
- Ce que…j'ai juste pensé que…peut-être…j'avais été…un peu trop loin.
À ces mots, Bruce se jeta violement sur Clark et l'embrassa brutalement tout en enfonçant de force sa langue dans sa bouche. Pendant un moment, Clark resta complètement tétanisé; jusqu'à-ce-que Bruce retire ses lèvres de celles de son prisonnier. Ce dernier resta sans voix face à l'audace de son amant.
«Et si on allait finir cette conversation dans ta chambre?»
- Euh... d'a… d'accord.
Ils montèrent tous deux en vitesse vers la chambre de Clark. Ils y entrèrent collé l'un contre l'autre, s'embrassant avidement tout en se caressant de façon bestiale. Bruce était dos au lit et Clark les fit tomber dessus.
Clark avait perdue toute sa raison; il n'était plus qu'une créature possessive et dominatrice de pure luxure. Quand à Bruce, il n'était plus qu'un simple objet de désire, une pauvre marionnette; capable uniquement d'obéir et de ressentir entre les mains brulantes de son marionnettiste.
Clark défit la chemise de Bruce en la déchirant d'un seul mouvement et la jeta à l'autre bout de la pièce. Bruce n'en avait cure, il se contenta de continuer à embrasser son amant. Ce dernier jeta son dévolu sur le torse du jeune Wayne. Il commença à en lécher chaque parcelle; centimètre par centimètre, faisant ainsi échapper des soupirs sensuelles de plaisir charnelle à Bruce.
Puis sa langue s'arrêta, afin de prêter une attention toute particulière aux mamelons de Bruce. Il fixa attentivement le gauche et remarqua qu'il était plus rouge que l'autre et compris que c'était celui la et dit d'une voix profonde et très érotique;
«Hum…on dirait que je vais pouvoir finir ce que j'avais commencé plus tôt.»
- Ha… Clark. Articula difficilement un Bruce à bout de souffle.
En voyant tout l'amour que dégageaient les yeux de Bruce, Clark reprit un peu ses esprits et demanda d'un ton doux et affectueux;
- Qui y a-t-il, mon amour?
- Je tenais simplement à te dire que je suis extrêmement heureux et que, grâce à toi, je n'éprouve aucuns regrets d'avoir attendu de te trouvé pour faire l'amour. Je suis si content que tu sois mon premier.
Clark resta un instant incapable de bouger; choqué par de telles aveux, surtout parce qu'il les savait sincères.
«Tu veux dire que tu es…»
- Vierge, oui.
- Et… c'est à moi que tu offres ta virginité?
- Oui.
- Pourquoi moi?
- Parce que je tenais à ce que ma première fois soit avec la bonne personne…celle que j'aimerais, véritablement, plus que tout.
- Bruce… je ne sais pas quoi dire.
- Dis que tu aimes.
- Oui, oui je t'aime… je t'aime tellement.
- Moi aussi... maintenant, fait moi l'amour!!
- Avec plaisir.
Clark se remit au travail qu'il avait entreprit quelques minutes seulement auparavant. Il léchouilla le bout du mamelon gauche et fit de même avec celui de droit; les dit bouts devinrent alors tout dur, preuve du plaisir de leur propriétaire. Il les mit, ensuite, un après l'autre dans sa bouche pour les sucer goulument. Il traça ensuite une ligne de salive avec sa langue jusqu'à-ce-que celle-ci atteigne le nombril de Bruce, dans lequel il la fit entrer.
-Cla…Clark?
- Quoi?
- J'ai envie de te voir.
- Me voir?
- Nu. Compléta Bruce en devenant tout à coup très rouge.
- Tu voudrais que…je me déshabille devant toi… c'est ça? Demanda Clark qui connaissant Parfaitement la réponse, se contentait uniquement de prendre un malin plaisir à voir les joues de Bruce s'enflammer.
- Ou…oui…c'est ça.
- À tes ordres.
Clark commença par retirer sa chemise, ne lui laissant qu'un t-shirt blanc qu'il se dépêcha de retirer également. Ils se retrouvèrent alors tout les deux torse nus. Bruce se sentit durcir à cette simple vue de son homme.
«Par contre…». Commença Clark.
- Quoi? Interrogea Bruce.
- si tu veux que j'enlève mon pantalon…ainsi que mon slip, tu dois me laisser enlever les tiens aussi.
Bruce se releva et dit d'un ton assuré;
«Viens me les enlever cowboy.»
Clark se rapprocha de lui et se mit immédiatement sur ses genoux, de façon à ce que son visage se retrouve devant la braguette de Bruce. Cette dernière n'avait même pas été remontée. Clark n'eu donc plus qu'a défaire la ceinture ainsi que le bouton de pantalon de son amant. Il fit ensuite descendre le pantalon jusqu'à ce qu'il atteigne les tibias de son propriétaire.
Clark avança, ensuite son visage de la grosse bosse qui déformait le boxer de Bruce et inspira profondément l'odeur de son sexe, de façon si vulgaire et perverse que son compagnon devint plus cramoisie que jamais. Puis, le dit cowboy s'éloigna légèrement et fit violement descendre le dernier morceau de vêtement qui ploquait l'accès à ce qu'il désirait ardemment.
Il le retira, par la suite, tout comme le pantalon, des jambes de son amant. Il les envoya rejoindre le reste de leur vêtements. Relevant la tête, Clark se retrouva face à une magnifique érection qui lui donna faim.
Il commença par donner de petits coup de langue sur le gland se mit à lécher tout le long de la verge. Bruce se mit à gémir le nom de son amant. Clark finit par prendre l'énorme membre entièrement dans sa bouche, arrachant ainsi un petit cri de surprise à son petit ami. Clark commença, alors un mouvement soutenu de vas-et-viens.
Ce simple cri céda rapidement sa place à une série de gémissements et de cris de plaisir extrême ainsi qu'a un ensemble de plaintes, alors que Clark accélérait son mouvement sur le pénis de Bruce. Il accompagna son mouvement de petites caresses du bout des doigts sur ses bourses.
Des plaintes comprenant de phrases telle que; «Oh oui!! Clark… hum… ha… Clark!! Plus vite... plus fort!! Ah… ah… Clark… c'est si bon!! Ha… Clark… je… je vais…AH!!». Cria Bruce alors qu'il venait et se répandait dans la bouche de Clark. Ce dernier avala toute la douce semence sucré, avec délectation.
Bruce s'écroula sur le lit; complètement épuiser par le plus grand orgasme qu'il avait jamais connu. Clark, de son côté, retira ses derniers vêtements, révélant ainsi qu'il avait également une impressionnante érection qui ne demandait rien de plus que d'être bien traitée. Bruce la regarda et eu soudain très peur. Voyant la crainte sur le visage de son amant, Clark lui demanda;
- Qu'est-ce qu'il y a?
- Ce n'est rien, seulement… elle est si imposante… j'ai peur pour quand…
- Je vais te pénétrer, c'est ça?
- Oui…exactement.
- Écoute Bruce… je te promets que je ferai tout ce que je peux pour ne pas te faire de mal… tu sais que je t'aime, n'est-ce pas?
- Bien sûr que si et je te fais confiance.
- Merci, tu ne sais pas à quel point c'est important pour moi.
Clark se pencha afin de pouvoir embrasser Bruce qui répondit à son baiser avec plaisir et entrain. Ce dernier posa ensuite ses mains sur les fesses de Clark et ne put s'empêcher de dire;
- Mon dieu Clark, tes fesses sont si dures et musclées!!
- Ça te plait?
- Ou… oui… beaucoup.
Clark sourit et lui murmura à l'oreille;
- Maintenant… retournes-toi.
- D'a… d'accord.
- Je t'aime.
- Je t'aime aussi.
Bruce se retourna et se mit à quatre pattes, appuyer sur ses coudes; présentant ainsi son magnifique arrière-train à son petit-ami. Clark se retrouva, alors devant la plus belle paire de fesses qu'il n'ait jamais contemplées de sa vie. Les fesses de Bruce n'avaient aucuns défauts; elles étaient rondes et bien rebondies; parfait.
Il trouvait le cul de Bruce si beau, que pendant un moment il se contenta de le regarder attentivement; exactement comme l'on observerait une œuvre d'art qui nous aurait transcendé l'âme. Puis il posa ses mains dessus; tout à fait ce que Clark avait imaginé; douces mais fermes; le bonheur! Il commença à les masser.
Il approcha, ensuite son visage du dit chef-d'œuvre et fit se dont t'il avait envi depuis bien longtemps; il posa ses lèvres dessus. Il embrassa les deux fesses; l'une après l'autre, puis les lécha, les suça et finit pas donner un baiser au milieu même du cul de son amant. Ensuite, il mena sa bouche au commencement de la séparation fessière de Bruce et sortit sa langue. Il commença, alors à effectuer sa descente tout en gardant la langue sortie de sorte que lorsque cette dernière atteint le véritable milieu du derrière de son compagnon. Puis, Clark décida qu'il était plus temps d'en venir aux choses sérieuses.
Il reposa ses mains sur les fesses de Bruce, mais cette fois-ci, il les écarta afin d'avoir enfin accès au véritable objet de son désire; l'anus. Clark obéit automatiquement à ses plus profonds désirs et embrassa l'anneau de chair de son amant.
Puis, il ressortit sa langue et lécha non seulement l'anus mais également le périnée de Bruce et l'inséra même, le plus qu'il le pouvait dans son rectum. Il préparait, ainsi l'anus de son petit-ami pour quelque chose plus gros; de bien plus gros. Sa salive, il le savait faciliterait la pénétration à venir. D'autre part, Clark appréciait vraiment le goût du cul de Bruce; un goût suave et délicieux.
Ce qu'il ignorait, c'est que depuis ses quatorze ans; âge où il avait découvert son homosexualité, Bruce avait commencé à entretenir une habitude qui allait lui être des plus profitables dans l'avenir. Cette habitude consistait en ceci; Lorsqu'il était sous la douche, Bruce imprégnait ses mains de savon et insérait ses doigts dans son cul, les faisait bouger et nettoyait ainsi parfaitement son intimité.
Et voilà comment il apprit cette technique des plus efficace et… agréable; un jour alors que le jeune Wayne nettoyait, comme tout le monde, son corps et qu'il frottait ses belles petites fesses; les mains enduites d'une lotion gluante; ses doigts glissèrent malencontreusement entre ses deux montagnes.
C'est alors que le jeune Bruce découvrit à quel point son anus était un point sensible de son anatomie. Il décida alors d'en explorer l'intérieur et… disons simplement qu'il finit par y prendre goût.
NDA : «Bon, maintenant que j'ai éclairé votre lanterne, revenons au présent, voulez-vous? Peu importe! C'est moi l'auteur et donc JE décide! Alors ont y retourne!» ;
Tout au long de ses expérimentations, Bruce, de son côté, n'avait cessé de prendre goût à cette intérêt certain que son petit ami manifestait à l'égard son postérieur. Il l'exprimait encore une fois, par une série de plainte érotique qui comprenais de termes tels que ceux-ci; «Ah… Clark! C'est bon! Oh oui! Lèches-moi le cul! Ah oui là! Ah Clark… j'en peux plus! Ah pitié Clark! Prend moi!».
- Attend, il me reste encore quelque chose à faire. Lui répondit Clark.
Ce dernier mit trois de ses doigts dans sa bouche et les suça. Il les dirigea ensuite vers l'entré de son amant, en introduit un et commença à le faire bouger. Puis un second doigt alla rejoindre le premier à l'intérieur du rectum de Bruce. Ce dernier cria son plaisir, alors que les petits membres remuaient en lui et demandait clairement pour plus. Clark se soumit au désir de son homme et fit pénétrer un troisième et dernier doigt dans son anus.
Bruce croyait maintenant devenir fou, alors que ces simples présences et leur déplacement dans son intimité réussissaient à lui faire voir des étoiles. Tout spécialement lorsqu'elles touchaient à point extrêmement sensible qu'il connaissait parfaitement et qu'il identifia sans peine comme étant sa prostate.
Puis Clark retira ses doigts. Bruce crut un instant qu'il allait fondre en larmes lorsque ce sentiment de manque poignant lui serra le cœur et il grogna sa désapprobation. Il n'eu pas à attendre longtemps, heureusement car cette perte fut bientôt comblé par un bien plus gros instrument. Clark se dépêcha d'enduire son sexe de sa propre bave et le pointa en direction du cul de Bruce.
«Tu es prêt?» demanda Clark.
- Je t'en supplie Clark… j'en ai besoin… j'ai besoin de t'avoir… en moi!
- Très bien.
Clark avança, jusqu'à ce que son gland ai été complètement engloutit par l'anus de Bruce. Il donna ensuite un petit répit à ce dernier qui, tellement surprit par l'intrusion de l'immense organe, avait cessé de respirer pendant un instant. Puis ce fut ensuite Bruce qui fit accélérer les choses en s'empalant de lui-même sur le pénis de Clark.
Ce fut, finalement grâce à leur mouvement respectif; Clark qui avançait et Bruce qui reculait, que le sexe du beau fermier se retrouva complètement submergé dans le rectum du jeune milliardaire. Clark resta alors immobile, souhaitant ainsi donner le temps à son amant de s'habituer à son imposante présence.
Mais il devait pour cela utiliser toute sa force mentale afin de ne pas simplement défoncer le cul de son petit-ami. Chose peu aisée par laquelle ne pas être tentée car Bruce était non seulement très étroit mais également chaud et humide; le bonheur! Puis, Bruce, d'un petit mouvement de hanche signala à son amant qu'il était prêt.
Clark commença alors de petits mouvements de vas et viens. Mais le plaisir était trop intense; autant pour l'un que l'autre. Alors Clark accéléra alors rapidement la cadence par de violent et puissant coup de reins. Chacun de ses coups se vit soudain accompagner, en réponse, par de mouvement de hanches de la part de Bruce. Clark frappa alors, la prostate de Bruce avec son gland et fit de même tout les autres fois. Ils continuèrent ainsi pendant environ 30 minutes puis Clark attrapa l'érection de son amant et commença à le masturber. De cette façon, ils viendraient tous deux en même tant.
«Ah! Clark… je ne vais… plus tenir… très longtemps!»
- Moi non plus tu sais. Ah!! Bruce s'est si bon d'être en toi!
Et lorsqu'ils atteignirent enfin le septième ciel, Bruce se répandit dans la main de Clark, quand à lui, éjacula dans le rectum de Bruce et l'en remplit de son sperme.
«Alors Bruce… cette première fois?»
- Wow!! C'était tout simplement divin!! Et… moi… comment j'étais?
- Hum... laisses-moi réfléchir… simplement la plus extraordinaire expérience sexuelle que j'ai eus de toute ma vie!
- Clark. Dit Bruce d'une petite voix toute mignonne.
- Qui y a-t-il amour? Demanda Clark d'une voix rauque et sexy.
- Je t'aime.
- Je t'aime aussi.
Clark laissa son amant, le temps d'aller à la salle de bain adjacente, afin de laver sa main, recouverte du fluide spermatique séché de son petit-ami. Lorsqu'il revint, Bruce c'était déjà endormit, complètement épuisé. Il se plaça à son côté, se colla contre son corps et le serra dans ses bras. Ensuite, il déposa un doux baiser sur ses lèvres et son front, puis murmura;
«Bonne nuit, mon ange.»
Voila enfin, le chapitre 5!! Je vous pris de me pardonner pour la longue absence!! Dépression, manque d'énergie, d'inspiration et de motivation. Plus l'année scolaire difficile; les examens (que j'ai tous très bien réussi!!) et également un virus qui à détruit mon ordinateur!! Je tiens à dédier ce chapitre à Yansha!! Une fille extraordinaire qui m'a redonner le goût d'écrire et sans laquelle vous ne liriez pas ce chapitre et sans laquelle je ne serais peut-être plus là (et je suis sérieux sur ce point). Elle à également accepter de devenir ma Beta et je posterai bientôt les chapitre qu'elle à corrigé. Celui-ci ne l'est pas alors soyez indulgent(e). Bon voilà et bonne nouvelle; j'ai déjà commencé à écrire la chapitre 6!!