Auteur : moi, la sublime et géniale (et retardataire) Mirty ! (en toute modestie, bien sûr)
Manga : Fullmetal Alchemist
Disclaimer : j'avais bien précisé au Père Noël que je voulais les perso de FMA (ou, au moins Kimblee), mais, bizarrement, je ne les ai pas trouvé au pied du sapin… ils étaient peut-être trop grands pour rentrer dans ma chaussette ?
Rated : K+ pour l'instant, mais il y aura un passage M plus tard
Couple : royed, donc yaoi !
Note 1 : dans cette fic, Scar et les homonculus sont morts, Ed a retrouvé ses membres, Al son corps, et Maes est en vie.
Note 2 : les numéros entre parenthèses renvoient à mes commentaires, en bas de chapitre
Note 3 : bon, 6 mois pour un chapitre… je m'améliore, non ? Ok, ok, ne balancez pas de tomates pourries, je suis désolé pour l'attente. Surtout que ma fin de chapitre était sadique… ^^ Argh ! Non, promis, je ne suis pas fière du tout… Enfin, soyez contentes (et content, vu que j'ai un lecteur maintenant !), il y a enfin une avancée dans ce chapitre ! Bon, ce n'est pas encore du lemon, ni une grande déclaration passionnée, mais, c'est déjà ça. Et, en plus, en fin de chapitre, vous aurez un petit bonus. Enfin, vous en saurez plus après le chapitre, pour l'instant je vous laisse profiter de votre lecture !
J'en profite également pour vous souhaitez une bonne année ! J'ai voulut finir ce chapitre à temps pour vous le poster avant le 31, afin de bien terminer l'année ! Et puis, un peu de yaoi pour réchauffer les cœurs, avec le froid qu'on a, ça ne fera pas de mal ! ^^
Les réponses aux reviews :
Choupi junior : Je suis contente que tu sois contente ! XD J'espère que la suite sera à la hauteur de ton espérance ! ^^
mama : et voilà la suite ! Elysia est comme toi à ton âge ? Ouch, je plaindrais presque ton entourage ! En tout cas, voilà la suite ! Mais, ce n'est pas tout de suite qu'ils vont « signer » les papiers.
lili199 : je suis contente que la fic te plaise, et j'espère que ça va continuer ! Et je vais m'appliquer pour essayer de faire des délais raisonnables… désolé ! ^^
Zigtar : Je suis ravie de voir que ma fic est à la hauteur de tes espérances… mais, d'un côté, ça me fait peur… et si je n'étais plus à la hauteur ? (.) Bon, ne t'inquiète pas, je prend le risque, et je poste la suite ! J'espère que ça va te plaire ! ^^
Kaadajin : je suis contente que ta fic me plaise. Pour être honnête, moi aussi je rigole des fois devant les bêtises que je peux écrire ! Donc, je suis ravie de savoir que tu t'amuses autant à lire ma fic que moi à l'écrire ! Et je te rassure, je ne suis pas en pause ! Je suis juste… très lente, désolé. Mais, bon, le nouveau chapitre est là ! Et plus rapidement que la dernière fois… il m'a fallut environ 1 an et demi pour poster le dernier chapitre. Le problème, c'est que mes profs de fac ne semblent pas être au courant que les étudiants ont, eux aussi, besoin de dormir. Donc, j'ai rarement le temps d'écrire. Le seul moment où je peux, c'est durant les vacances (soit tous les 6 mois). Mais, promis, je n'abandonne pas cette fic. Moi aussi je veux savoir la fin ! XD
Pour ceux qui aurait oublié l'histoire, voilà un petit résumé qui retrace les grandes lignes de la fic (enfin, si on veut... XD ) :
Il était une fois, le beau colonel aux dossiers dormant, nommé Roy Mustang. En effet, il était victime d'une terrible malédiction, lancée par une certaine Hiromu Arakawa : il ne pouvait pas voir un dossier sans s'endormir. Seul un baiser de sa douce princesse, Edward Elric, pourrait le sauver. Sauf qu'une auteur de fanfiction, Mirty, décida d'envenimer les choses. Elle força le jeune Edo à porter l'uniforme militaire féminin pendant une journée ! Pourchassé par d'affreux pervers, Ed n'eut d'autres choix que de fuir la caserne et se réfugier chez Maes. Ce ne fut pas une brillante idée, car il se retrouva au prise avec un dragon nommé Elysia, qui compléta sa tenue de princesse par une robe rose bonbon. Heureusement, le valeureux prince charmant arriva sans cheval blanc pour sauver son blond. Et l'auteur, magnanime, décida qu'elle les avait assez fait souffrir pour l'instant, et autorisa Ed à quitter la robe, pour retrouver l'uniforme. Mais c'était un piège ! L'auteur, sadique comme pas deux, fit un croche pied invisible à Ed, qui se cassa la figure dans les escaliers. Coup de bol, Roy, avec ses supers réflexes, rattrapa in extremis le Edo volant. Sauf que, dans la précipitation, les deux héros se retrouvèrent lèvres-à-lèvres. Niark, niark, ils sont tombés dans le diabolique piège ! Ah, et quelque part, Riza, Amstrong, Kain et Hugues se sont reconvertis au yaoi, et ils ont décidé d'aider l'auteur à mettre les deux zigotos ensemble. Nos héros arriveront-ils à vaincre la malédiction, grâce à la force de leur amour ?
Depuis son plus jeune âge, Edward est considéré comme un génie. Ce n'est ni un rat de bibliothèque, ni un singe savant. Non, c'est un vrai et pur génie. Ce qui le différencie des gens « normaux », ce n'est pas seulement une mémoire hors du commun, mais une capacité d'anticipation et d'adaptation phénoménale. Dans n'importe quelle situation, il est capable de d'analyser toutes les possibilités pour sélectionner la plus adaptée. Et tous ses combats contre les homonculus, et autres psychopathes, lui ont permit d'améliorer cette capacité.
Malgré tout, Ed n'en reste pas moins un être humain. Ainsi, quand il se retrouve lèvres à lèvres avec l'homme qui le fait fantasmer - et pour lequel il est possible qu'il ressente un tout tout petit quelque chose – son cerveau a la même réaction que chez n'importe qui d'autre : il bug. Car, il ne faut pas exagérer, il y a des limites à tout, et même un cerveau génial peut décider, un jour, que c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase, qu'il en a assez de tous ces problèmes, qu'il aimerait bien se reposer de temps en temps, etc. Fort de ces revendications, le cerveau d'Edo fit ce que tout bon français ferait : la grève (1). Pour une fois, le blond allait se débrouiller sans lui, et advienne que pourra.
Tout cela pour dire, en bref, qu'Ed se retrouva plaqué contre son colonel, tétanisé et sans aucune idée de ce qu'il fallait faire. Heureusement, le corps du Fullmetal se décida à prendre le relais : puisque le cerveau ne veut plus travailler, on se débrouillera sans ! Après tout, un baiser est un acte physique, inscrit dans nos gènes. La première règle étant de fermer les yeux, puis de se relaxer. Ce que fit Edo, s'abandonnant un peu plus au doux contact.
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De son côté, Roy n'était pas plus avancé. Certes, son cerveau ne s'était pas mit en grève, mais c'était tout comme. En effet, depuis le début du lèvres-à-lèvres, son cerveau ne cessait de tourner en rond, se répétant inlassablement les mêmes interrogations :
« Je l'embrasse… mince… qu'est-ce que je fais ? Je devrais m'arrêter… mais… il a les lèvres douces… quoiqu'un peu sèche… il faudrait qu'il se mette du baume… rah, c'est pas le moment ! Qu'est-ce que je fais ? C'est le Fullmetal ! Je devrais arrêter… je négocie ça comment ? Je le repousse ? Je recule ? Et ensuite ? J'enchaîne avec une blague ? Ou je le taquine ? Ou je fais comme si rien ne c'était passé ? Et… »
Bref, Mustang se retrouvait en pleine mélasse intellectuelle. En attendant que son cerveau ne prenne une décision, son corps, conciliant, prit les commandes. Bien sûr, Roy ferma les yeux, mais, étant plus expérimenté, il passa à la vitesse supérieure, et, de sa langue, vint lécher les deux larmes rosées du blond.
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Fugacement, Ed se demanda s'il était physiquement possible que ses lèvres entrent en combustion spontanée. Un brasier inconnu, mais agréable, s'était déclenché à leur niveau, et se répandait peu dans le reste de son corps : il ne savait comment réagir. Quand, soudain, il sentit une pointe d'humidité redessiner le contour de ses lèvres. Mais, que se passait-il ? Peu importe, car, paradoxalement, ce contact augmentait la chaleur tout en l'apaisant délicieusement.
Etait-ce la solution à son problème ?
Instinctivement, il sut quoi faire. Doucement, timidement, il entrouvrit les lèvres, libérant un passage pour l'intruse. Mais, celle-ci décida de le faire languir, et, presque avec dévotion, elle continua de redessiner les lèvres, puis, petit à petit, entra titiller les dents, mais toujours avec une extrême lenteur.
Edward ne supportait plus cette attente. Puisqu'elle ne venait pas à lui, alors ce sera lui qui ira à elle. Il avança sa propre langue à la rencontre de son homologue, et, avec précaution, toucha celle-ci. Le contact envoya une décharge dans tout son corps. Edo tenta de rattraper un gémissement, qui parvint tout de même à s'échapper de sa gorge. Ce simple bruit, à peine perceptible, sembla enflammer les sens de Mustang qui, sortant de sa paresse, commença à vouloir conquérir la bouche où il se trouvait. Ed ne défendit pas son territoire, au contraire : il invita et accompagna la langue étrangère dans tous les recoins imaginable.
Cette douce exploration aurait put continuer si, soudain, un cri n'avait pas retentit :
- STOP ! Arrêtez !
La douce voix d'Elysia servit de déclencheur. Le cerveau d'Edward accepta de mettre en place un service minimum, ce qui permit à notre cher blondinet de faire une analyse de la situation.
« 1) Il est tombé dans les escaliers : Mauvais karma
2) Il a été rattrapé à temps, et s'en est sortit indemne : Bon karma
3) De plus, son sauveur est l'homme qu'il aim… apprécie, et il s'est donc retrouver serré par ses bras puissants contre son magnifie torse, a humé son délicieux parfum, et… bref : Très bon karma
4) Autre détail : ses lèvres se sont retrouvées contre celles de Roy : Très très mauvais karma
5) Il a perdu le contrôle de son corps, il a cédé, il a EMBRASSE le colonel Roy Mustang : Bon… non, mauvais… non… euh… à définir plus tard
6) Et le colonel Roy Mustang a REPONDU à son baiser : Bo… Ma… RAH ! A mettre avec l'autre dans la boîte des ''problèmes à réfléchir plus tard''. »
Pendant que Edo surexploitait ses quelques neurones actifs, Roy faisait lui aussi un briefing interne, mais beaucoup plus rapide. Cela se résumait à : « J'ai prit Ed dans mes bras, je l'ai embrassé, j'ai adoré. PS : il est trop mignon quant il rougit comme ça. » Ce rapide tour de la situation lui permit de se reconnecter à la réalité, juste à temps pour voir Maes tendre la main vers son appareil photo.
- Hugues, dit Roy d'une voix dangereuse. Non. Simplement non. N'y pense même pas.
Piteux, Maes laissa retomber son bras. Mais ce n'était qu'un simple sous-fifre. Le boss restait à venir. Une certaine diablesse, connue sous le nom d'Elysia.
- Tonton ! Il faut attendre le mariage, voyons.
- Ah… désolé.
- Sinon, Ed nee-chan ne pourra pas rentrer dans sa robe de mariée.
- Oui, sa robe de… QUOI ?
- Bah oui ! Il ne faut pas lui faire un bébé comme ça dans l'entrée. (2)
Roy faillit s'étouffer. Un bébé ? Quand est-ce qu'il a essayé de faire un bébé ?
Edward, toujours perdu dans les méandres de son esprit, eu la pensée fugace qu'il aimerait bien un bébé de Roy. Un joli bébé blond aux yeux noirs…
Voyant que le Fullmetal était toujours absent, Mustang décida de prendre les choses en main. Mais, d'abord, une question :
- Euh… Elysia, qu'est-ce que tu veux dire par ''faire un bébé'' ?
- Ne joue pas avec ça avec moi, dit-elle en agitant son index d'un air menaçant. Je vous ai bien vu. Vous étiez lèvres contre lèvres !
- Et… on fait des bébés en s'embrassant ?
- Bah oui !
- Mais… euh… comment dire… tu sais… tes parents s'embrassent tout le temps, et…
- CHUT ! s'écria la petite fille. Je crois qu'ils ne le savent pas. C'est la maman d'Alice qui me l'a dit. Mais, comme j'aimerais bien un petit frère, il ne faut pas qu'ils l'apprennent tout de suite. Plus tard.
Roy esquissa un sourire. Ah, l'innocence de l'enfance. Magnanime, il promit de garder le secret, et, en rougissant, il assura qu'il n'essaierait plus de faire un bébé à Edward avant le mariage. Puis, le brun décida de s'occuper de son agréable fardeau blond. Ce n'est pas que le blond fut lourd, ou le contact désagréable, mais le colonel sentait son pantalon glisser petit à petit. Et, il est hors de question qu'il se retrouve en calçons devant Maes ! De plus, le rougissement d'Edo devenait de plus en plus prononcé. Craignant qu'il n'atteigne un seuil critique de surchauffe, il prit de nouveau la parole :
- Edward, bien que ton petit poids ne soit pas contraignant, pourrais-tu te pousser ?
Apparemment, la pique fonctionna, car Ed fronça les sourcils et redressa la tête.
- Qui est si petit que son poids lui permettrait de voler sur une plume ?
- Et bien, je vois que ta chute n'a pas froissé ta répartie, répliqua Roy moqueur.
Son sourire ramena quelques rougeurs sur les joues d'Ed. Mais, plutôt que de retourner dans ses interrogations philosophiques, il préféra se redresser et lisser sa jupe d'un air digne.
- Bon, vu que Maes est là, mon rôle s'achève, dit-il d'un air se voulant neutre.
Hugues acquiesça d'un grand sourire.
- C'est vrai, je suis venu te remplacer. Le lieutenant m'a demandé de venir vous chercher. Apparemment, elle a quelque chose qui pourrait t'intéresser. Et, mon cher Roy, elle a également parlé de « colonel fainéant », de « dossiers en retard » et d'une « sanction exemplaire ».
En entendant cela, Roy pâlit brusquement. Dans un élan de générosité, et sans réfléchir, Edward posa sa main dans le creux de son dos et le poussa doucement vers la porte :
- Si on arrive assez vite, Riza sera sans doute plus clémente, dit-il.
Ignorant le frisson que déclencha ce contact, le Flame Alchemist hocha la tête et s'avança mécaniquement vers la porte. Il l'ouvrit, puis, galamment, il s'effaça et invita Ed à passer par une petite révérence. Le tout accompagné de son célèbre sourire, mi-séducteur et mi-moqueur.
Edward se maudit de rougir à cette plaisanterie et, drapé dans ce qu'il lui restait de dignité, il sortit en adressant un au-revoir. Roy le suivit, tout en foudroyant du regard son meilleur ami. Il faut dire que celui-ci avait levé ses deux pouces en l'air, un sourire béat sur le visage, en un signe muet d'encouragement.
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Les deux hommes marchèrent pendant plusieurs minutes dans un silence pesant. Plusieurs fois, Roy ouvrit la bouche pour amorcer une discussion, mais à chaque fois il se ravisa. Finalement, ce fut Ed qui rompit le silence.
- Colonel, je voudrais vous poser une question.
- Hum ? Oui ?
- Votre gage, c'était bien « travailler toute la journée », non ?
- En effet. Pourquoi ?
- Et vous balader dans la ville fait partie de votre travail ?
- M'assurer que mes subordonnés ne se fassent pas agresser fait partie de mon travail. Mais, si tu estimes que je n'accomplis pas mon gage, tu peux enlever ta jupe sur le reste du trajet, je ne t'en empêcherais pas.
Estomaqué, Ed stoppa net. Il songea un instant à lui donner un coup de poing – ou une gifle, plus adaptée à la situation - avant de partir en hurlant. Ou, alors, il pouvait entrer dans son jeu. Sa raison le suppliait de réaliser sa première idée, mais son instinct le poussa à suivre la seconde.
Il s'avança, adoptant inconsciemment un air séducteur, et demanda doucement :
- Pourquoi ? Cela vous plairait-il ?
- Euh…
Surpris par ce soudain revirement, Mustang chercha un instant ses mots. Il faillit même en lâcher son pantalon ! Mais il reprit vite pied. Après tout, jouer avec le feu est sa spécialité !
- Ici, dans la rue, non. Mais, plus tard, quand ne serons que tous les deux dans mon bureau, pourquoi pas ?
- …
Ce fut au tour d'Ed d'être à court de mot. Après tout, il n'était pas habitué au jeu subtil de la séduction. Profitant de sa faiblesse, Roy s'avança et, dans un murmure, assena le coup fatal :
- Et, si tu es très sage (3), je pourrais même t'aider pour l'enlever. Qu'est-ce que tu en penses ?
Ed en pensait qu'il faisait vraiment très chaud. Il sentait à nouveau son cerveau déclarer forfait, tandis que son corps se ramollissait. Mais, un neurone un peu plus vigoureux décida de prendre les choses en main. Sinon, on est encore là demain !
Sans rien dire, le Fullmetal recula, et, rougissant il reprit sa route.
Devant ce départ gêné, Roy se permit un sourire. Il s'était attendu à une baffe et/ou une gueulante, mais rien. Nada.
« Tout n'est pas perdu, au contraire, pensa-t-il en reprenant joyeusement sa marche. »
(1) : bon, je pense que la plupart des lectrices françaises verront à quoi je fais référence. Je ne suis pas contre la grève, mais, comme je prends le RER, je rêve d'un simple mois sans grève (ou autre problème technique)… et ça se répercute sur ma fic ! ^^
(2) : à la base, l'idée de « 1 baiser = 1 bébé » n'était pas prévue… Mais une certaine personne (perverse) m'a mit cette idée de bébé dans la tête. :P
(3) : Et voilà, Roy se prend pour le père noël. Une minute de silence, le temps d'imaginer notre cher sexy colonel avec une barbe et un manteau rouge ! :P Mais, il faut dire que j'ai finit ce chapitre le 25 décembre… car oui, même le père noël apporte du yaoi ! (enfin, je pense plutôt que la mère noël doit en glisser pour les perverses qui ont été sage… XD )
Et voilà un petit bonus ! Le « coin des questions » ! L'idée m'est venue lors d'une conversation avec une amie. Le concept est simple : dans votre review, vous pouvez posez une question, et les perso y répondent. Si l'idée vous plaît, je mettrais un petit bonus à la fin de chaque chapitre. Et si ça vous plaît pas… bah, tant pis, j'abandonnerais l'idée ! ^^
Donc, la première question, c'est moi qui la pose !
A votre avis, comment va se finir la fic ?
Fuery : Ce sera sans doute une happy end, pleine d'amour et de…
Breda : Je pense plutôt que le colonel va se prendre un vent ! ^^
Falman : il est vrai que c'est l'hypothèse la plus probable. ^^
Havoc : Oui, tu as raison, croisons les doigts ! ^^
Roy : QUOI ?
Maes : Ne t'inquiète pas, ma choupinette t'arrangera ça ! Elle est siiiiii mignonne ! Et elle t'a déjà bien aidé.
Roy : Mouais…
Amstrong : Ne vous inquiétez pas, réparer les cœurs brisés est un talent transmis de générations en générations chez les Amstrong.
Roy: Mais pourquoi vous êtes persuadés que Ed va me rejeter ?
Maes : … à ton avis ?
Roy: *boude*
Al : Je ne pense pas que ça se finira comme ça…
Roy : *sourit* Al, mon am…
Al : …vu comment c'est parti, vous allez mourir de vieillesse avant que l'un de vous ne se déclare.
Roy : *reboude*
Ed : Mais, pourquoi vous êtes persuadés qu'il y a quelque chose entre le colonel et moi ?
Al : Nii-san… à un moment, il faut savoir affronter la réalité en face.
Ed : *rougit* … en tout cas, j'espère que je finirais en pantalon. J'en ai marre de cette jupe !
Maes : Mais tu es siiiiiiiiiii mignon comme ça !
Ed : *rejoint Mustang pour bouder*
Al : Ils sont adorables comme ça. ^^
Fuery : Euh, je crois qu'on s'éloigne un peu de la question là, non ? Il reste encore des personnes à interroger.
Elysia : Moi, moi, je sais !
Maes : Oh, ma puce tu es si intelligente, si mignonne, si…
Al : * bâillonne Maes* Oui, Elysia ? Nous t'écoutons.
Elysia : Ben, tonton Roy, il va demander Ed nee-chan en mariage, avec une bague où il y a un énooooooorme diamant. Et pis, ils vont se marier, Ed nee-chan aura une belle robe blanche avec une traîne trèèèèèèèèèèès longue, et moi je serais la petite fille d'honneur ! Et après, tonton Roy, il va monter sur un cheval blanc avec Ed, et ils vont être heureux, et ils auront pleins d'enfants, et moi je serais tata !
Maes : *meurt d'amour pour sa choupinette si mignonne avec ses rêves*
Al : Elysia, c'est très beau comme fin.
Elysia : *toute fière* merci ! ^^
Ed : Mais, pourquoi je suis encore en robe… et pourquoi l'autre c'est un prince ? Pourquoi je ne suis pas, MOI, le prince ? Et…
Al : *grand sourire* arrête de râler nii-san ! Je suis sûr que ça t'irait très bien !
Tout le monde : Oh, oui !
Ed : *retourne bouder, tout en maudissant son frère qui n'est qu'un faux frère, ses amis qui ne pensent qu'à l'embêter, les militaires qui sont tous des pervers, les homonculus qui ont prit le cerveau de son frère, les Ishbals qui ont un Dieu qui s'amuse à le faire tourner en bourrique, les… bref, tout ce qui est sur cette Terre*
Al : Bon, je pense qu'on a fait le tour, là, non ?
Fuery : Euh, il reste le lieutenant…
Amstrong : C'est vrai. Lieutenant ?
Riza : *dans une profonde réflexion* Puisque c'est mon tour, je me permets de vous donner mon analyse. Tel que je connais le colonel, je pense qu'il va finir par craquer, mais il n'y aura pas de déclaration romantique. Cela va se finir par une scène interdite au moins de 18 ans, où Roy avouera d'une façon très ''physique'' son amour à un Ed au septième ciel.
Tout le monde : *rougit*
Riza : et bien, quoi ?
Voilà, le mot de la fin pour Riza, qui, comme chacun sait, est une fan de yaoi ! Et bien oui, pourquoi elle serait devenue militaire, si ce n'est pas pour mater les beaux mâles en ''activité'' sous les douches ? XP
J'espère que ce chapitre et le bonus vous ont plût. Et, je vais faire ce que je peux pour vous apporter le chapitre le plus rapidement possible, mais, bon… je pense que vous commencez à connaitre mes délais. Et je préfère ne pas faire de promesses que je ne tiendrai sans doute pas. A la prochaine, et bonnes fêtes de fin d'année !