Titre : Le petit frère
Autatrice : lasurvolte (de pseudo) ou mari (mais vous pouvez m'appelez aussi Plectrude si ça vous dit )
Disclaimer : Même si je fais n'importe quoi avec eux, ils continuent d'appartenir à kishi (
Résumé : Ce que c'est chiant d'être inspecteur, surtout quand on est sur une enquête qui mène nulle part, qu'un mec sans foi ni loi du nom d'Uchiwa y est mêlé et qu'on découvre qu'il a un frère... Il y a des jours où on ferait mieux de rester couché…
Couple : qui se pose encore la question ?
Note : désolé pour les fautes et tout le reste.
Note IMPORTANTE : c'est une UA vraiment bizarre, je ne respecte pas l'âge des personnages, et puis même l'âge de certains personnages va vous surprendre. J'ai un peu manié ça comme j'en avais envie et ça donne un gros n'importe quoi. Autre chose, je ne suis jamais allée à Brooklyn, jamais posé un pied en Amérique, alors tout est faux et fiction, j'invente tout et n'importe quoi, les procédures, les manières de travailler, les noms des endroits… Etc. Pour finir il y a des persos OC, des persos OOC, pleins de gros mots, pleins de débilités, et puis pleins d'erreurs… M'enfin j'espère que cette fic (si vous avez encore le courage de la lire) vous plaira…
J'avais une migraine d'enfer, le truc qui ne passe pas, qui reste bien encré dans la tête et qui viens même vous emmerder dans votre sommeil le plus profond. Mais, au niveau du sommeil, je n'avais pas ce problème puisque ça faisait bien trois jours que je ne dormais plus.
Je m'étirai et relu pour la centième fois le dossier. Cette affaire n'avançait pas, elle s'enlisait même. Deux femmes retrouvées assassinés dans les mêmes circonstances, mais à deux endroits différents ; un petit farceur s'amusait à échanger les boîtes de magie à double fond par de vraies boîtes où la pauvre victime se voyait tranchée par les épées du magiciens qui ne se doutait, bien sûr, de rien. Pas une empreinte, pas un témoin, du boulot de pro. Et aucun indice. La seule chose qu'on pouvait faire pour l'instant était d'interdire les spectacles de magie… Ca ne durerait pas longtemps. Quelle idée j'avais eu de venir m'installer à Brooklyn… Bon, ce n'était pas le Bronx, j'avoue. Mais les problèmes ici aussi y en avait, la drogue, les prostitués, les assassinas bizarre, les règlements de compte, tout ça c'était également connu dans le coin.
Je soupirai. Le Japon me manquait… Pourquoi je l'avais quitté déjà ? Ah oui… Une histoire de mutation, parce qu'il paraîtrait que je serais plus efficace par ici. Je ne saurais dire aujourd'hui si c'était vraiment un compliment.
On vient me déranger dans mes pensés déprimantes :
- Patron, un appel pour vous
- Bordel ! J'avais pourtant demandé à ce qu'on ne me dérange pas
- C'est que… Euh… C'est votre ex-femme
Je soupirai une nouvelle fois.
- Ok ok, passez l'appel ici.
La jeune femme obéit, je pris le téléphone.
- Allo ?
- Bonjour inspecteur Miller
- Arrête ça !
- Quoi ? C'est pourtant ton nouveau petit nom depuis que t'es à Brooklyn.
- Oui… Mais, tu peux m'appeler Naruto, tu sais !
- Si tu veux, Naruto.
Son rire cristallin, elle se moquait de moi.
- Bon tu voulais quoi ma chérie
- Je ne suis plus ta chérie, pour toi c'est Ino
- C'est vrai… Ino
- Et en fait je voudrais t'annoncer mon nouveau mariage
- Oh…
- Il s'appelle Chooji, il est un peu rond, mais tellement gentil !
- Bah j'espère qu'il prendra bien soin de toi alors
- Bien plus que toi
Merci ma chérie …
- Tu voulais m'annoncer ton mariage ?
- Non en fait je t'appelle pour te dire qu'on part six mois en voyage de noces.
- Ça c'est du voyage de noces.
- Et donc que je vais te confier Sakura
- QUOI ??
- C'est ta fille, il faut bien que tu prennes soin d'elle de temps en temps
- Bien sûr mais…
- Alors c'est décidé, tu la recevras la semaine prochaine, vendredi à 17 heures, ne l'oublie pas à l'aéroport, je te connais, t'es tête en l'air.
Elle parlait de notre fille comme d'un colis qu'on envoie quand on en veut plus. J'aurais bien voulu être méchant avec elle, mais je n'y arrivais pas.
- Ok !
- Merci Miller
- Naruto
- Aller à la revoyure, va !
Et elle raccrocha. Je reposai le téléphone… Mon ex-femme… Un jour je lui dirai ses quatre vérités en face, je lui dirai que si notre mariage était un échec ça n'était pas ma faute mais plutôt de la sienne, elle qui me critiquait à longueur de temps, de journées, à me dire que mon boulot ne gagnait rien, à me rabaisser… Et à me jeter dehors un jour comme ça, parce qu'elle en avait marre. Et bah, je pouvais être fier, non seulement j'avais eu la mutation la plus pourrie que je puisse avoir, en plus mon mariage avait été un bide total… Et j'allais revoir ma fille après 6 ans d'absence… J'aurais pu m'en réjouir, mais quelque chose me disait que sa chère mère avait du l'éduquer pour qu'elle me déteste… Je me frottai les cheveux en soupirant pour la troisième fois de la journée. Je me ferais bien un petit café moi, je commence sérieusement à être épuisé.
Commençant à me lever pour mettre en œuvre mes pensés, on fit à nouveau irruption dans mon bureau :
- Chef, chef ! ENFIN
- Vanessa qu'est ce qui se passe, encore?
- On a trouvé un témoin
Première bonne nouvelle de la journée…
- Où est-il ?
- Peyer est en train de l'interroger.
- Je viens.
Je suis arrivé dans la salle où Peyer interrogeait notre témoin. Peyer, c'était le gringalet, genre le mec que tout le monde a envie d'embêter ou de tabasser. Il ne devait sa place qu'à sa méchanceté, ses mots et regards haineux, il était du genre à vous poignarder dans le dos. Je le détestais ce mec. Un jour, il vous trahissait et jamais au bon moment. Justement, je faisais bien d'aller mettre mon grain de sel à l'interrogatoire, le témoin était un petit black, et s'il y avait quelque chose que ce cher Peyer détestait, c'était bien les blacks.
- Alors le négro, tu vas répondre aux questions ?
- Va te faire foutre !
Je mis le hola :
- Allons, on se calme, Peyer allez donc vous occupez des dossiers en retard, je vais interroger notre ami
Il se leva à contre cœur et me jeta un regard haineux. Je restai impassible et il sortie de la pièce sans encombre. Je m'assis en face du témoin et lui sourit :
- Salut, moi c'est Miller, et toi ?
Le petit hésita puis finis par dire son nom dans un grognement :
- Stanley
- Tu as quel âge ?
- 15 ans
- Ah le bel age
- Pff ! Tu parles le vieux !
- Ouais, mais mes 15 ans me manquent…
- Vous zavez quel age m'sieur ?
- 35 ans
- Oh le vieeeux
- Ouais ! Ca te dirait un café ?
- Je bois pas de café, moi !
- Tu voudrais quelque chose à boire ?
- Non
- Ok, à manger ?
- Non plus
- Comme tu veux.
- Dites vous vouliez pas m'poser des questions ?
- On m'a dit que tu savais quelque chose sur l'affaire des boîtes magiques échangées
- Ouaip
- Est-ce que ça te dirait de m'aider ?
- J'sais pas moi, c'est dangereux de témoigner
- Je te demanderai juste de me dire ce que tu sais, après je t'oublie
- Vous êtes sûr ?
- Oui
- Si on vous demande qui que c'est qui vous a aidé vous répondrez…
- Que je ne sais pas !
- Promis ?
- Ouais
- Ok ! Je marche… En fait, j'me baladais tranquille dans la rue le soir, pis là je vois un mec pas net. Il cause à un autre gars, moi m'sieur, j'ai pris peur, zavaient l'air dangereux, j'me suis planqué et j'ai tout vu. D'abord, ils échangeaient de l'argent, pi y'en a un des deux qui dis que c'tait une bonne idée l'échange des boîtes de magie, qu'c'tait vraiment un bon coup, l'autre y rigole mais genre… Trop froidement, vous voyez le genre de rire qu'fait froid dans le dos. Pis le premier commence à s'inquiéter, il demande : vous allez rien m'faire m'sieur Uchiwa, mais l'autre il a pas répondu et j'ai entendu des coups de feu, il l'avait tué, m'sieur. Je me suis encore fais plus petit moi. Finalement l'autre est parti.
- Comment tu m'as dit qu'il l'a appelé ?
- Uchiwa
- T'es sûr et certain de cela ?
- Ouais, complètement
Enfin, j'avais une piste. Et ce n'était pas n'importe qui, non. Là je venais de pêcher un gros poisson. Cette affaire s'annonçait beaucoup plus sérieuse qu'elle en avait l'air. Uchiwa…
J'avais déjà eut une fois à faire à lui par le passé. Ce mec… C'était une ordure finie, un fumier parmi les fumiers. Le genre de mec qu'on envoie à la chaise électrique avec un petit ricanement parce qu'on se débarrassait de la pire espèce d'humain. Itachi Uchiwa, cette fois-ci je le tenais, et je n'étais pas prêt de le lâcher.
- Merci petit, tu m'as été d'une aide très précieuse, ne t'inquiète pas je n'oublierai pas notre accord
- Ok ! Cool m'sieur, je peux partir maintenant ?
- Ouais vas-y.
Et Stanley partit. Je pris ma veste et me dirigeai vers l'entrée :
- Patron vous allez où ?
- Me coucher ! J'en ai grand besoin… Demain j'irai rendre une petite visite à Monsieur Uchiwa…
- Hein ? Monsieur Uchiwa ? Vous êtes sûr ?
- Certain.
- …Ok…
- Merci, passez une bonne journée, au revoir.
Et je rentrai chez moi à 10 heures du matin. Une fois arrivé dans mon appartement crados, je pris un cachet d'aspirine et but au robinet, toute la vaisselle étant sale. Puis, j'allai dans la chambre et m'allongeai sur le lit. Enfin un peu de repos. Je m'endormis aussitôt.
¤¤¤¤
- Miller quelle joie de vous revoir
- Ce n'est pas réciproque, Uchiwa !
- Allons que me vaut cette douce visite ?
Ce mec… Il avait le don de m'énerver, à faire l'innocent, le mec joyeux et gentil, à se faire passer pour un véritable saint dans une baraque 50 fois trop grande pour lui, construite avec de l'argent gagné salement. Et ces 14 filles qui gloussaient à chaque mot qu'il disait.
- C'est pas une douce visite, je suis venu examiner votre maison.
- Et vous espérez y trouver quoi ?
- Des fausses boîtes de magie, par exemple
- Oh ! Vous parlez de cette misérable affaire. Alors là je voudrais vous épargner des efforts inutiles, je ne suis pas dans ce coup.
- C'est ça, cause toujours !
- J'ai des preuves
- Et moi des témoins qui ont entendu une discussion de boîte magique échangé entre un homme et un Uchiwa
- Dans ce cas mon cher Miller, j'ai le regret de vous annoncez que vous vous trompez d'Uchiwa
Je m'étouffai à moitié.
- Vous êtes en train d'insinuer qu'il existe un autre Uchiwa ?
- Exactement
- Vous vous foutez de ma gueule ?
- Pas le moins du monde ! Il existe bel et bien un autre Uchiwa, et l'assassin que vous recherchez n'est donc par conséquent pas ici.
- Et moi je pense que vous fumez trop
- J'ai arrêté il y a bien longtemps, et je connais mieux ma famille que vous… Cependant me voilà surpris d'apprendre qu'il est toujours vivant.
- Je ne comprends rien !
- Je pensais pourtant l'avoir tué de mes propres mains il y a de cela une quinzaine d'année… Bah… Tant pis, ça pourrait être amusant de le revoir
- Cessez ce petit jeu avec moi Uchiwa
- Ce n'est pas un jeu
- Alors quoi ? Qui est cet autre Uchiwa ?
- Mon petit frère
- Vous avez un petit frère, vous ?
- Oui
Quelle nouvelle… Si notre assassin était le petit frère d'Itachi, nous n'étions pas sortis de cette affaire, surtout si ce dernier était de la même graine que son frangin.
- Si vous le retrouvez Miller, envoyez moi son adresse, j'aurais tellement de chose à lui raconter.
- Si je vous envoie son adresse Uchiwa, ça sera celle de la prison
- Comme vous le voulez, si cela vous amuse d'enfermer mon petit frère
- D'ailleurs quel âge a-t-il ce petit frère ?
- Oh… Sûrement tout comme vous… 35 ans.
- Et son nom ?
- Sasuke, Sasuke Uchiwa.
- Je n'oublierai pas
Puis je sortis de la demeure, vexé. J'avais finalement gobé cette histoire de petit frère, mais Itachi ne perdait rien pour attendre.
¤¤¤
Itachi regarda partir l'inspecteur, puis son sourire disparut, il se leva et balança tout ce qu'il trouvait à sa portée, effrayant les filles présentes.
- Alors il est vivant… Il est vivant… Et c'est lui qui a tué Stecy et Vicky… Petit frère… Je ne sais pas ce que tu cherches à faire… Mais tu vas me le payer très cher…
Puis se calmant un peu, il partit dans un rire de fou
- Il faudra que je remercie ce cher Miller, grâce à lui je sais que tout est de ta faute et je vais pouvoir te faire souffrir comme avant… AHAHAHAHAHHAHAHAHAHAHA
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A nouveau assit dans mon bureau, ma migraine est revenu. J'ai demandé à Vanessa de faire des recherches sur la famille Uchiwa, et quand je lis le dossier qui contient énormément de trou, je me demande encore ce que je fous à Brooklyn et pourquoi je prends pas ma retraite pour avoir une maison avec jardin et enfin trouver le véritable amour… Allez tiens bon Naruto, tu n'as que 35 ans c'est jeune, tu en verras d'autre des histoires. Mais celle là… En gros nous sommes en présence d'une grande famille japonaise, des gens riches et bien vu, une société qui ramène beaucoup d'argents, et deux fils, deux futurs successeurs. Le premier Itachi Uchiwa petit génie comme on en fait plus, une perle, réussissant tout ce qu'il entreprend, il devint un des meilleurs employé de la société à l'âge d'à peine 17 ans. Le deuxième Sasuke Uchiwa surdoué également, se trouve avec des notes excellentes, cependant il semble plus contraint à travailler dans la société. L'histoire s'arrête là. Elle reprend un peu plus tard, Itachi a 26 ans, a pris maintenant la place de patron dans la société remplaçant son père, Sasuke qui en a 20 n'est pas loin en dessous. Puis un jour l'aîné rentre chez lui après une longue journée de travaille et toute sa famille se trouve être assassiné. Le clan tout entier. Complètement traumatisé, il décide de déménager en Amérique, fin de l'histoire.
Aujourd'hui Itachi était connu pour l'ordure qu'il était. Et je me souvenais encore de ses paroles :
- Je pensais pourtant l'avoir tuer de mes propres mains il y a de cela une quinzaine d'année…
L'enfoiré… C'était sûrement lui qui avait exterminé sa famille. La raison ? Sûrement le pouvoir, la force, un plaisir satisfaisant de détruire. Quelle importance. Seulement voilà, il avait dût rater le petit frère puisque celui-ci semblait toujours envie… Malheureusement il avait également l'air de suivre la voix de l'aînée, et ça je ne pouvais le tolérer, il fallait que je retrouve ce mec. Passé difficile ou non, je l'enferme.
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Il se réveilla en sursaut, encore ce cauchemar, il tremblait de tous ses membres comme chaque fois qu'il se souvenait. Il aurait voulu pouvoir oublier, mais c'était impossible. Il se sentait mal, tellement mal. Il fallait qu'il sorte. Il faisait nuit, il était tard, tant pis. Il avait besoin d'air. Il marcha, n'allant nulle part, il longea les routes, rencontra quelques putes qui voulaient lui donner du plaisir mais il refusa. Il n'avait le droit à aucun plaisir, sa seule raison de vivre était la vengeance. Il n'avait plus sommeil, il n'irait pas se recoucher d'aussitôt, de toute façon sa demeure se trouvait être un journal par terre dans une bouche de métro, quelque chose qui donnait pas envie d'y retourner. Il avait pourtant assez d'argent pour se payer un luxueux hôtel mais il ne voulait pas se faire remarquer, s'il étalait son or, son frère le retrouverait vite et ça en serait fini de lui. Alors qu'il réfléchissais à son plan et à ce qui lui restait à faire avant d'atteindre celui qu'il détestait le plus, il se retrouva entouré d'une bande qui s'ennuyait et qui était en manque de tapage. Sasuke porta la main à sa poche, oh le con il avait oublié son canif. Bon tant pis il irait avec les poings. Ceux qui l'attaquèrent se retrouvèrent vite par terre, il voulu en profiter pour s'éclipser, il ne voulait pas se faire remarquer, mais l'un d'eux mal assommé se releva couru vers lui et le brun n'eut pas le temps de réagir. Un couteau planté à côté du cœur, il tomba par terre.
¤¤¤
J'étais encore sur l'affaire des boîtes échangées, quand Vanessa vint me déranger une fois de plus.
- Chef ! On a retrouvé un homme blessé à mort sur le pavé, il est à l'hôpital maintenant, dans le coma…
Mais pourquoi me dérangeait-on pour un homme blessé ? Avec les règlements de compte, ça arrivait tout le temps, une affaire à la fois, s'il vous plaît.
- Je pensais que ça pourrait vous intéresser…
- Et pourquoi ça m'intéresserait ?
- En fait les journalistes trop curieux l'ont pris en photos et… Tenez !
Je pris exaspérer le journal qu'elle me tendait et regardai la photo. Au début je ne comprenais pas où elle voulait en venir, l'image était d'assez mauvaise qualité en plus, et en noir et blanc. Mais en y regardant de plus près, avançant les yeux sur l'image…
- ...
- Il lui ressemble non ?
- Ils ont un air de famille…
- L'enquête s'annonce peut-être plus facile que vous ne le pensiez, vous ne croyez pas patron ?
- Si… Peut-être
Ou peut-être pas, parce que si le garçon était dans le coma à l'heure qu'il était il faudrait attendre je ne sais combien de temps avant qu'il se réveille, et surtout si Itachi tombait sur le journal et voyait cette photo… Il était bien possible que cette personne ne se réveille jamais. Il fallait agir. Je pris ma veste et sortit sans donner d'explication. Il était au Saint Clare's Hospital, je connaissais. Je m'y rendis à toute vitesse, priant qu'il ne soit pas trop tard. J'arrivai à temps. Il était toujours vivant, couché sur le lit d'hôpital, une machine vérifiant les battements de son cœur. En vrai et en couleur, on ne pouvait plus douté, il était bel et bien « le petit frère ». Je venais de retrouver Sasuke Uchiwa.
A suivre.
L'autatrice : eh oui c'est bizarre…
Naruto : je suis vieux
L'autatrice : eh ouais
Sasuke : je suis un assassin
L'autatrice : aussi
Itachi : je suis génial
L'autatrice : qui l'a laissé entrer celui là ? Bon très bien je vais en profiter pour faire de la sauce bolognaise à l'Itachi 'affûte ses couteaux'
Sasuke affûte ses kunai
Naruto affûte Kyuubi