Auteur : Shiakän

Disclaimer : Hélas, tout ce petit monde ne m'appartient pas ! A part Marina, Allen, et quelques autres qui feront leur apparition au fur et à mesure de l'histoire ! Tout le reste est à J.K. Rowling.

Genre : Alors… il y aura de la romance, de l'humour, mais aussi des passages tristes, voir violents pour certains. Je vous préviendrais.

Rating : M ! Donc prudes et homophobes : dehors.

Couples : Oulah ! Une sacrée tripotée ! Bon, alors, commençons par les principaux : HPDM, SBRL, HGRW… Les autres, vous verrez bien au fur et à mesure ! :P

Spoilers : Tous les tomes, même si je ne prends pas en compte quelques morts dans le tome 7 et que j'en modifie une d'une tome 5, et ce pour des raisons évidentes, lol.

Petite remarque : Hello !

Voilà voilà, j'ai eu une nouvelle idée de fic. A noter que j'ai plus d'idées, et un véritable plan pour celle-ci ! J'espère sincèrement qu'elle vous plaira ! Gros bisous tout le monde.

I - Harry Ordered

Le jeune homme porta sa cigarette à sa bouche. Il la coinça entre ses lèvres et tira longuement dessus. Avec un sourire de contentement, il expulsa la fumée par le nez. Les yeux clos, il croisa les jambes, l'air satisfait. Ce truc allait finir par le tuer, mais il n'en avait strictement rien à faire ! Pas qu'il ne tenait pas à la vie, mais il jugeait que ces petits moments de détente devaient bien avoir un prix.

« Harry ! s'exclama une jeune femme aux cheveux aubrun en entrant dans le bureau. Je t'ai déjà dit de ne pas fumer en ma présence ! »

Il sursauta, et, avec un soupir agacé, il écrasa sa cigarette sur une feuille de papier vierge, faute de cendrier, puis il jeta le tout dans la poubelle que la jeune fille lui tendait.

« Tu n'étais pas là, répliqua-t-il avec un air renfrogné. Et si tu continues à me priver de ma dose de nicotine, ce sera Mr Ordered, pour toi. »

La demoiselle sourit d'un air narquois, et mit un flacon remplit d'un liquide jaune sous le nez d'Harry. Ce dernier fronça les sourcils.

« Qu'as-tu rajouté ? Essence d'orchidée ? »

« Oui. »

« C'est parfait. "Shine" est prêt. »

« C'est vrai ? Tu ne penses pas que... »

« Non, Marina, c'est parfait. »

La jeune femme regarda son collègue avec admiration. Il possédait un nez hors du commun, et grâce à lui, tous les parfums qu'elle créait étaient parfaits, si bien que tout le monde se jetait sur ses dernières créations. Marina se mit assise sur son bureau, et se laissa aller à détailler son collègue et ami. Il était plutôt grand et bien bâti. En trois ans, il avait enfin repris un peu de poids !

Elle se souvenait encore de la première fois qu'elle l'avait rencontré. Il était alors maigre comme un clou, et il ne faisait rien pour améliorer sa condition. Mais il avait repris du poil de la bête. Il ne ressemblait plus à un cadavre et souriait à nouveau. Ses longs cheveux étaient si blonds qu'ils paraissaient presque blancs, mais cette étrange couleur lui allait merveilleusement bien. Sa peau était vraiment très pâle, si bien qu'il paraissait toujours malade. Son nez était droit et fin, il surplombait une bouche en cœur aux lèvres roses et pleines. Mais ce qui faisait la particularité d'Harry, c'était son regard.

Il ne regardait personne droit dans les yeux, et certains pourraient prendre cela pour une insulte, s'il n'y avait pas de circonstances atténuantes à cela. Il semblait toujours regarder droit devant lui. Ses yeux, encadrés par de longs cils blonds, étaient aussi gris que l'acier. Un regard argenté, mystérieux. Les prunelles du jeune Harry étaient étrangement dépourvues de pupilles. Car Harry Ordered était aveugle. Un accident, lui avait-il dit, trois ans plus tôt.

Marina pensait souvent que c'était cette perte de la vue qui avait renforcé l'odorat et l'ouïe de son collègue. Car il était impressionnant, capable de reconnaître une personne au bruit que ses chaussures faisaient sur le sol, à son odeur, à sa façon de respirer, de marcher. Elle en oubliait presque qu'il ne pouvait plus voir. Elle était toujours étonnée de constater qu'il se déplaçait avec grâce, aisance et classe malgré son handicap, surtout qu'il n'avait ni canne ni chien d'aveugle. Un véritable prodige. Tout en lui respirait la classe.

« ... sûrement rentrer. »

« Pardon ? » fit Marina, sortant de ses pensées.

« Tu pourrais m'écouter quand je te parle ! » s'exclama le jeune homme, vexé.

« Désolée Harry, je réfléchissais ! »

« Mouais. Je disais donc que comme tu n'as plus besoin de moi pour le moment, j'allais rentrer me préparer pour ce soir. »

« Ce soir ? »

Le blond soupira, l'air agacé.

« Je t'ai invité à dîner, ce soir, je suis ravi de constater que ça t'es déjà sorti de la tête ! Pour une fois que ton cher et tendre Pierre te laisse sortir sans faire de crise de jalousie ! »

« D-désolée, marmonna Marina, les joues rouges. O-oui, tu peux rentrer te préparer, je termine deux ou trois trucs et je fais de même. Mais Harry, tu es tellement séduisant, c'est normal que Pierre soit jaloux ! » fit-elle avec un sourire amusé.

Harry se leva, contourna le bureau et déposa un baiser sur la joue de sa collègue et amie.

« A toute à l'heure, ma jolie. »

« Tu es bête, je pourrais être grosse et laide, tu ne le saurais pas ! »

Le blond grimaça.

« C'est gentil pour Pierre, dis tout de suite qu'il n'a pas de goûts. »

« Hum, oui, non, je... »

« Bon, je file. »

Harry sourit à son amie et sortit du bureau. Les quelques personnes qui se trouvaient dans le couloir le saluèrent poliment. Il ne répondit pas et se dirigea vers l'ascenseur. Il tendit une main vers le bouton d'appel dans un geste qu'il voulait assuré, bien qu'à chaque fois, il hésitait, espérant ne pas se tromper. Un "ting" lui annonça que l'ascenseur était là. Il attendit un moment, et constata que personne n'en sortait. Alors il entra, d'un pas assuré.

Certain qu'il était seul dans l'ascenseur, le jeune homme passa une main sur son visage fatigué en soupirant. Puis il laissa ses doigts courir sur les boutons de l'ascenseur, et appuya sur celui qui devait le descendre au rez-de-chaussée. Il ne s'était encore jamais trompé, grâce à Marina qui lui avait appris l'emplacement des touches.

Quelques minutes plus tard, il était dehors. Ca sentait la pluie ; ou plus précisément, l'orage. Cela ne le dérangeait pas, il aimait ça. Il fit quelque pas et sentit rapidement les gouttes d'eau tomber sur son visage. Il allait devoir faire vite s'il ne voulait pas être trempé. Le jeune Ordered s'approcha du passage pour piétons, et tendit une main vers le poteau du feu tricolore. Il appuya sur un bouton, et une voix féminine lui annonça "Rouge piéton." ce qui signifiait qu'il ne pouvait pas encore traverser. Harry renifla avec mépris, comme à chaque fois qu'il devait utiliser ce truc. Mais il n'avait pas vraiment le choix, s'il ne voulait pas se retrouver sous une voiture.

« Vert piéton. »

Harry hésita un instant, et lorsqu'il sentit que la personne à côté de lui avançait, il fit un pas en avant, puis traversa à son tour. La pluie tombait drue sur Londres. Cela expliquait pourquoi il n'était pas ballotté par la foule. D'un pas lent, il se dirigea vers Piccadilly Circus. Il marcha pendant quelques minutes, connaissant le chemin par cœur, puis entra dans un café.

« Heyy, Harryyyy ! » fit une voix masculine. Il entendit un bruit de pas précipités, puis se retrouva serré contre un torse puissant.

« Du calme Allen, du calme ! » marmonna le jeune homme en essayant de se défaire de l'étreinte étouffante du jeune serveur.

« Désolé mon vieux, mais ça faisait longtemps que tu n'étais pas venu au Thiers, tu m'as manquééé ! »

« Oui, je sais, je sais, grogna le jeune homme avec humeur. Et si tu me servais mon café ? »

Allen le lâcha enfin et mena Harry jusqu'au comptoir. Il s'assit, et le serveur alla de l'autre côté. Il lui prépara son café et le posa devant lui.

« Café sans sucre avec une goutte de lait. »

« Merci. »

Harry posa sa main sur la table et chercha la tasse. Il finit par la trouver. Ses doigts firent le tour de l'objet, jusqu'à se poser sur l'anse. Il la saisit et porta la tasse de café à ses lèvres. Il souffla dessus, avant de boire une gorgée. Il reposa la tasse sur le comptoir et fouilla dans la poche de sa veste pour en sortir son paquet de cigarettes. Il grimaça en constatant qu'il était très léger. Il fumait trop. Il en sortit une cigarette qu'il coinça entre ses lèvres.

« Allen ? »

Le jeune serveur se tourna vers lui, sourit et sortit un briquet de sa poche. Il alluma la cigarette de son ami.

« Ça finira par te tuer. »

« C'est plutôt mal venu comme réflexion, pour une personne qui fume depuis l'âge de quinze ans. »

« Comment sais-tu que... »

« Marina. » répliqua le jeune homme avec un sourire carnassier, comme si cela expliquait tout.

« Oh. Sale cafteuse. »

Harry ricana, l'air clairement amusé.

« T'avais qu'à mieux choisir tes amis, Allen. »

« Dans ce cas, je vais m'empresser de te rayer de la liste de mes contacts. Tu n'es absolument pas fréquentable ! »

« Merci, Allen. »

Harry resta une bonne demi-heure à discuter gaiement avec Allen. Il devait avouer qu'il appréciait beaucoup sa compagnie. Tout comme Marina, il ne le connaissait que depuis trois ans, alors que ses deux amis se fréquentaient depuis la maternelle. Ils ne cessaient de se chamailler pour des broutilles. D'ailleurs, cela lui rappelait deux autres personnes qui étaient à présent mariés et heureux parents d'un petit garçon. Un sourire triste orna les fines lèvres du blond qui se releva.

« Je dois y aller, je dîne avec Marina. On a finit Shine, faut fêter ça. »

« Attends, Harry ! J'ai terminé, je te ramène ? »

« Oh… fit le jeune homme semblant hésiter. Je… »

« Il pleut des cordes. »

« Bon, d'accord. »

Allen mena son ami jusqu'à sa voiture. Harry, sachant ce qui l'attendait, grimaça. Il détestait les voyages en voiture. Il ne savait pas pourquoi, cela lui retournait toujours l'estomac. Malgré la pluie battante, il resta un instant face à la portière, hésitant. Allen finit par lui ouvrir et le pousser doucement à l'intérieur. Le blond farfouilla sur sa gauche (en Angleterre, le siège passager est à gauche, je le rappelle) et finit par attraper la boucle de la ceinture. Il tira dessus, et, à l'aide de son autre main, boucla sa ceinture. Il entendit la portière du côté d'Allen claquer, et le moteur se mit en marche. Harry réprima un frisson. Il détestait les voitures, vraiment.

La moitié du voyage se passa en silence. Allen savait que son ami détestait les voyages en voiture. Harry lui avait raconté qu'il était devenu aveugle lors d'un accident de voiture. Ca expliquait tout. Le jeune homme regarda son ami et remarqua que sa mâchoire était crispée, et qu'il était encore plus pâle que d'habitude.

« Détends-toi, on est presque arrivés. »

« Je déteste ce truc Mol… ce truc. » marmonna le jeune homme d'une voix rauque.

Il soupira de soulagement et se détacha lorsque la voiture s'arrêta pour de bon. Il remercia Allen et sortit de la voiture. Il courut vers le portail et l'ouvrit avant de pénétrer dans le jardin de sa propriété. Aussitôt, des aboiements se firent entendre. Un mince sourire orna les lèvres du jeune homme tandis que deux gros bergers allemands se jetaient presque sur lui.

« Du calme, du calme ! Allez, on rentre, vous allez être trempés. »

L'un des deux chiens – le plus grand – l'attrapa par la manche et le tira jusqu'au perron. Harry souffla un bref « Merci » et plongea sa main dans sa poche pour en sortir une clé. Cherchant la serrure du bout des doigts, il finit par y enfoncer la tige de métal, la tourna et entra enfin.

« Pfiou, quel temps de merde ! »

Le blond se trouvait à présent dans un petit couloir qu'il longea sans peine pour arriver dans le salon. Ce dernier était très éclairé grâce à la grande baie vitrée et aux murs blancs. Etrangement, il y avait une télé, lorsque Allen lui avait demandé pourquoi, Harry avait répliqué qu'il aimait bien avoir un fond sonore. En face se trouvait une petite table de style asiatique, ainsi que deux divans de cuir noir. Il y avait aussi une étagère recouverte de livres et de photos. Pour égayer un peu la maison, avait-il dit.

Les deux bergers allemands allèrent s'allonger sur une couverture qui leur était apparemment réservée. Harry posa son manteau sur l'accoudoir du divan et attrapa la télécommande. Il alluma la télé et tapa le numéro d'une chaîne de clips de Rock. Il augmenta le son, chantant les paroles en même temps que l'artiste.

« Hey dad, look at me… »

Le blond resta un moment immobile, puis posa la télécommande à sa place et sortit de la pièce.

« … I'm sorry, I can't be perfect… »

Il monta à l'étage, une main sur la rampe d'escalier. Une fois en haut, il n'eut qu'à faire quelque pas pour se retrouver dans la salle de bain. Le carrelage y était blanc et vert. Tout semblait parfaitement bien rangé. La brosse à dent et le dentifrice sur le lavabo, ainsi que le savon et la petite pile de gants de toilette. Il était facile de deviner que les placards étaient eux aussi très bien rangés. Harry retira ses chaussettes et les mit dans le panier de linge sale. Il déboutonna sa chemise blanche, ainsi que son pantalon noir et fit de même. Il fit ensuite glisser son boxer vert foncé le long de ses jambes longues et pâles et l'envoya rejoindre le reste de ses vêtements. Nu et frissonnant, il s'avança vers la douche, lentement. Il actionna alors l'eau de la douche. Étant donné qu'il vivait seul, la température était toujours la même à chaque fois qu'il prenait sa douche, il n'avait pas à la changer.

Harry s'empara du gel douche, en fit couler un peu dans la paume de sa main et entreprit de se frictionner rapidement. Il avait un rendez-vous, après tout. Le blond grimaçait à chaque fois que ses doigts fins passaient sur une cicatrice. Il serait long et fastidieux de les compter, vu leur nombre. Mais Harry possédait des cicatrices un peu partout. Dans le dos, sur le torse, les jambes, les bras, l'arrière du crâne. Mais aussi sur le visage. Il en avait une sur la joue droite, ainsi que sur la paupière gauche. Oh ce n'étaient que des cicatrices très fines, à peine visibles, mais elles étaient là tout de même, et parfois, elles le brûlaient encore.

Mais la chose la plus étrange était le tatouage que Harry avait sur l'avant-bras gauche. Noir, glauque, il représentait une tête de mort avec un serpent qui sortait de la bouche édentée. En voyant cela, Allen lui avait demandé quand est-ce qu'il s'était fait un « truc d'aussi mauvais goût ». Harry lui avait répondu avec un sourire étrange que c'était une erreur de jeunesse.

Le blond eut rapidement finit de prendre sa douche. Il sortit et se dirigea vers un meuble blanc. Il ouvrit un tiroir et en sortit une grosse serviette blanche et moelleuse dans laquelle il s'enroula. Il prit une autre serviette, plus petite, et commença à se sécher les cheveux.

Quand il sortit de la salle de bain, il était propre, sec, parfumé et coiffé. Il se rendit dans sa chambre, nu comme un vers. Il se plaça devant son armoire et l'ouvrit en grand. Sur une étagère se trouvaient plusieurs piles de chemises, sur une autre, des piles de tee-shirts imprimés. Entre les deux, il y avait des pantalons noirs et à côté, des jeans plus ou moins moulants. Il y avait une pile de chemise en soie, à l'air particulièrement coûteuse. Puis venait les sous-vêtements et les bas de pyjama. Tout était parfaitement en ordre, de façon à ce que le jeune aveugle puisse s'y retrouver sans problèmes.

Harry approcha sa main de la pile des chemises en soie. Il en attrapa une au hasard et chercha l'étiquette. Il fit le contour des lettres qui étaient brodées de façon très épaisse dessus.

« Noire… ? Pourquoi pas. »

Il la déboutonna et l'enfila, avant de se mettre en quête d'un pantalon. Il s'empara du premier de la pile et toucha l'étiquette.

« Jean simple. »

Avec un petit sourire en coin, Harry se dit que c'était décidé. Il enfila un boxer noir, puis son pantalon. Enfin prêt, il descendit l'escalier joyeusement. Une fois dans la cuisine, il ouvrit un placard, fouilla un instant dedans et attrapa un gros paquet de croquettes pour chiens. En sifflotant, il alla vers les deux gamelles qui étaient toujours placées au même endroit. Il versa les croquettes dans les récipients. Les deux bergers allemands, alertés par le bruit, arrivèrent en courant et se jetèrent sur la nourriture. Harry ne put se retenir de rire.

« A croire que je ne vous nourris pas assez. »

Il les caressa et rangea le paquet de croquettes. Se redressant, il s'étira et attrapa son portefeuille qui se trouvait sur le bar. Il le glissa dans la poche arrière de son jean.

« Bon, je vais dîner avec Marina. Vous voulez faire un tour dehors avant que je m'en aille ? »

Les deux chiens aboyèrent, remuant la queue, au mot « dehors ». Harry sourit et se dirigea vers la porte d'entrée. Le temps s'était calmé, il ne pleuvait plus que quelques gouttes. Un grognement le fit sursauter. Il se tourna vers ses chiens, étonné.

« Eh bien ? Que se passe-t-il ? »

Il s'accroupit, posant une main sur la tête du plus grand des deux, qui grogna plus fort.

« Crabbe, Goyle, cessez donc de grogner, je v… »

« Bonsoir, Draco. »

Le jeune homme sursauta, puis il se redressa, l'air agacé.

« Blaise, je t'ai déjà dis, c'est Harry Ordered, main… »

Le blond s'arrêta en plein milieu de sa phrase. La respiration sifflante. Une odeur de crasse et de vermine. Le souffle puant l'alcool bon marché. Ce n'était pas Blaise.

« Blaise ? Non, pas vraiment, Malfoy. Alors comme ça, tu te fais appeler Ordered, maintenant ? »

« Q-qui êtes vous ? »

« Ça, tu n'as pas besoin de le savoir. Mais toi, Draco Malfoy, tu es un traître. Et les traîtres finissent toujours par mourir un jour ou l'autre. AVADA KE… »

OooOooOooO

Haha, je suis vraiment sadique.

Bon, je sais, mes premiers chapitres sont toujours courts… Ne vous inquiétez pas, la suite viendra rapidement, étant donné qu'elle est déjà écrite ! Mais à une condition : REVIEEEEWS !

Chantage ? Mais noooon *Air innocent.* Bon, d'accord, puisque ça marche pas…

Reviews ? *Noeils du chat potté.*

xD' Bisous tout le monde, à la prochaine !