Salut tout le monde !

C'est avec un peu d'avance que je mets l'épilogue en ligne. J'avais finis de l'écrire en même temps que le chapitre précédent, alors je ne vous fait pas attendre une semaine pour rien. Je sais qu'il est plus court que les précédents, mais c'est parce que je n'y ai mis que le principal. Je ne voulais pas remplir l'espace pour ne rien dire.

Bonne lecture !


Chapitre 17 : Retour chez nous

La Grande salle était vide, en contraste direct avec celles qu'ils venaient de quitter. Une seconde auparavant, Zach hurlait alors que les autres élèves les regardaient partir. A présent, la table des professeurs, ainsi que celles des quatre maisons étaient vides.

- A ton avis, on est à la bonne date ? Demanda James à sa jumelle.

- Je pense, oui. A moins que Carrie et Chris ne se soient trompés dans leur suppositions, ce qui m'étonnerait.

Gabrielle ne put aller plus loin, car des voix retentirent de l'autre côté des grandes portes fermés.

- Vous êtes totalement inconscients ! Cria une voix grave.

Gabrielle sourit en reconnaissant la voix de son papa.

Et des larmes commencèrent à fleurir sur le bord de ses yeux.

Ils étaient rentrés, ils étaient chez eux.

- Harry, calme-toi, nous devons prendre notre mal en patience. Et je suppose qu'il n'y a pas moyen de savoir où est-ce qu'ils sont et comment les faire revenir ?

Cette voix-là, calme et posé, était celle d'Hermione Weasley.

Cela faisait tellement bizarre de penser que quelques minutes avant, ils serraient contre eux les mêmes personnes mais avec vingt ans de moins.

- Non, seul l'objet qu'ils ont peut les ramener. Si ils ont compris à quoi ça servait.

La voix contrite appartenait à Fred Weasley.

Gabrielle savait qu'il avait toujours eut un peu peur de l'épouse de son plus jeune frère.

- Alors, on peut les tuer, nous n'avons pas besoin d'eux ? Proposa une autre voix, froide, mais non sans sentiments.

Celle du Père de Gabrielle.

- Je pense que l'on peut arrêter de les espionner, et leur montrer que nous sommes de retour, non ? Proposa Maxime.

Gabrielle hocha vivement la tête.

Elle sortit sa baguette et d'un mouvement ample, suivit d'un alohomora informulé, elle ouvrit en grand les portes de la Grande salle, qui cognèrent contre les murs dans un fracas assourdissant.

De l'autre côté, Hermione, Harry, Draco, ainsi que bon nombres d'autres parents d'élèves faisaient face à deux Fred et Georges Weasley qui n'en menaient pas large. Les mouvements inattendus de la porte les fit tous se retourner vers la pièce.

Un silence lourd flotta.

Gabrielle décida qu'il était temps que quelqu'un dise ou fasse quelque chose.

- Nous revoilà ! Clama-t-elle d'une voix forte avec un mouvement ample des bras et un immense sourire heureux.

Le premier à réagir fut Harry, qui se précipita sur ses enfants afin de tous les serrer contre lui en même temps, vite rejoint par Draco, qui en fit moins cependant, se contentant de leur faire un sourire encore plus grand que Gabrielle précédemment. Il fallait dire pour sa défense que son époux ne lui laissait pas vraiment l'occasion de faire plus.

Bien vite, le reste des adultes adoptèrent le même comportement, et la Grande salle fut envahis d'embrassades, d'accolades, de cries de joies, et de pleurs.

Gabrielle réussit enfin à s'échapper de l'étreinte de son papa et se tourna vers son Père, qu'elle serra très fort contre elle. Draco lui rendit bien vite son étreinte.

- Nous avons eu très peur, murmura Draco à sa fille. Nous ne savions pas du tout où vous étiez.

Gabrielle, se recula, étonné.

- Quoi ?! Comment ça vous ne saviez pas ? Mais pourtant . . .

Elle ne put aller plus loin car elle fut soudain soulevé du sol par une force colossale et elle éclata de rire quand elle reconnu son frère aîné.

- Sirius, espèce de véracrasse, repose-moi ! Fit-elle en tentant de se soustraire de la poigne de son frère.

Il lui obéit, et Gabrielle le vit se précipiter sur les jumelles qui s'enfuirent en hurlant à la vue de leur frère.

- Gaby !

L'interpellé se retourna en reconnaissant la voix soulagé qui retentit.

Un jeune homme de l'âge de Sirius, les cheveux bruns attachés en catogan et le regard vert pâle resplendissant de joie et de soulagement se précipitait sur elle. Il la prit dans ses bras et Gabrielle lui rendit son magnifique sourire.

- Fabien ?! Mais qu'est-ce que tu fais-là ?! S'exclama-t-elle, éberlué.

- Quand j'ai su ce qu'il s'était passé, j'ai quitté les cours et je suis venu directement ici, lui apprit-il. Est-ce que tu vas bien ?

Posant sa question, il avait prit son visage en coupe dans ses mains et la scruta avidement.

- Parfaitement bien, répondit-elle avant de poser ses lèvre sur les siennes en un baiser furtif mais doux.

Gabrielle se recula à temps pour voir son papa empêcher son Père de sauter sur Fabien. Ce dernier avait toujours eu du mal à accepter que sa fille puisse avoir une relation aussi sérieuse avec le fils aîné de Charlie Weasley. Allez savoir pourquoi !

- Ils ont tous l'air d'aller plutôt bien, marmonna une voix.

Gabrielle se tourna vers l'homme aux cheveux noirs qui se dressait aux côtés de James.

- Bonjour Oncle Sev' !

Ledit Oncle Sev' marmonna un truc à propos d'écartèlement en la fusillant du regard et s'avança vers lHarry et Draco.

- J'ignore où est-ce qu'ils ont étés - ou plutôt quand ils ont étés, mais ils sont en parfaite santé, tous autant qu'ils sont.

Gabrielle fronça des sourcils, échangeant des regards surpris avec ces frères et sœurs.

- Pourquoi tu dis ça, Severus ? Demanda Maxime. Vous savez tous parfaitement où est-ce que nous étions !

- Et comment pourrions nous? Demanda Harry d'un ton éberlué, sa main encerclant celle de Thomas. Nous ne vous avons pas suivit à ce que je sache !

Leurs regards se firent de plus en plus perdus.

- Quoi ?! S'exclama Jennifer. Mais voyons, nous avons voyagés jusqu'à votre septième année !

- Même que c'est grâce à nous que vous êtes tombés amoureux l'un de l'autre ! Compléta Narcissa.

- Attendez ! Vous ne vous en souvenez pas ? Fit Gabrielle.

Harry et Draco secouèrent la tête.

Gabrielle en fit tombé sa mâchoire, échangeant un regard effrayé avec son jumeau.

Mais qu'est-ce que c'était que ce bordel ?!


Hum hum. Non, vous n'avez pas la berlue, c'est bel et bien l'épilogue.

" Alors pourquoi est-ce que ça se termine comme ça ? " Vous demandez vous. Très simple : une suite est en projet. Oui, oui, oui, vous avez bien lu. En fait, j'ai coupé la fic en deux parties parce que celle qui va venir est moins humoristique, alors je ne voulais pas la mettre ici. Vous avez d'ailleurs dû remarquer que sur la fin, c'était de moins en moins drôle. --'

Enfin bref, vous êtes prévenus, il y aura une suite, mais j'ignore quand. J'ai eu l'idée d'une autre fic. J'ignore d'ailleurs si sera un HP/DM car, bien que je les adore, j'aime aussi créer des personnages bien à moi et cette autre fic commence avec un point de vue de OC . Je ne sais pas si je vais continuer comme ça, mais je pense qu'il y a de grandes chances. Donc tout ça pour dire que la suite de l'Immense Privilège d'Être Parents n'est pas prévu pour maintenant, surtout que je vais avoir de moins en moins de temps pour écrire d'ici le 25 Février.

J'espère quand même tous vous revoir d'ici très peu de temps.

Merci de m'avoir suivit et de m'avoir offert toutes ces reviews ( j'en reviens toujours pas d'avoir dépasser les 240 --' ).

A très bientôt, j'espère ( je sais de toute façon revoir certains d'entre vous sur La Seconde Guerre ;-) )

Je vous fait pleins de gros poutous partout ( dans la limite du décent ! ).