Million Ways…

Genre : Romance, Humour.

Disclaimer : Les personnages appartiennes à Hiromu Arakawa. Notre vache adorée.

Note : J'aurais pu situer l'hisoire dans le manga, et faire apparaître mon Lin adoré… Mais c'est trop compliqué…

Nouvelle fic !!!!!

Je vous ai manqué ?

- Cochez la bonne case

- Oui

- Non

- peut-être

ü Vi : Non

ü Caro : Cochez la bonne case (Auteur : mais quelle conne !!!! Caro : Mais euh, je pige jamais rien aux QCM)

Hum…. Arrêtons là (vient d'attacher ses assistantes à un paratonnerre)

Auteur : Tiens, il pleut

Assistantes : AAAAAAAAAAH !

Les pensées en italiques sont des pensées… mais pas celles de Roy (vous allez comprendre)

« Les pensées entre guillemets sont celle de Roy »

- Tu n'as toujours rien compris, Roy.

Central City, dans un café du centre, un couple apparemment au bord de la rupture est en train de mettre les choses au point.

Cela faisait deux mois que le colonel Mustang sortait avec une certaine Jéremia. Bon, rien d'important, rien de très long non plus, mais honnêtement, il avait l'habitude. Il était sortit avec un bon nombre de femmes, et connaissait pour ainsi dire toutes les « supercheries de la gente féminine », mais là, cette phrase le laissait perplexe.

- D'accord… Tu pourrais m'expliquer, peut-être.

- Bon, c'est fini, tu le sais. Mais tu ne comprend pas exactement pourquoi. Et pourquoi tu ne peux rester avec une fille plus d'un mois.

Les mots lui manquèrent pour répondre, il se tut devant cet absurde échange. Après les dialogues de sourds, on faisait les dialogues de muet. Sympa.

- Je te laisse, je dois y aller.

Elle se leva, l'embrassa sur la joue, et partit.

– J'espère qu'on se reverra.

Et elle le laissa là, contrarié de ne pas avoir compris de quoi elle parlait exactement. Il la regarda passer par la fenêtre du café, se disant que, quand même, elle avait un sacré culot.

– C'est un peu fort ! Dit-il pour lui-même.

C'est vrai ! Il avait toujours eu une réputation pour le moins glorieuse auprès des femmes, et voilà que, sous prétexte qu'il n'ai pas compris quelque chose qu'elle refusait de lui expliquer, elle crachait dans sa soupe en le tournant presque au ridicule.

– D'accord, on a rompu, mais de là à me sortir ce genre d'énormités...

Et il but en silence, quoiqu'en râlant tout seul, son café, avant de partir pour le bureau.

Il attrapa sa veste, paya la note, dont le deuxième café, puis s'en alla en pestant dans les rues de Central.

– Non mais... qu'est ce qu'elle voulait dire au juste ?

Et voilà que le bourreau des cœurs se souciait soudainement de ce qui aurait du être une simple aventure de passage. Se demandant au juste qu'elle ce qu'elle voulait dire avec son absurdité, là : « tu n'as toujours rien compris »...

Rien compris, rien compris, si elle est si douée, elle, qu'elle s'explique un peu !

- Je me mets en colère tout seul, il faudrait que je me calme.

Mais c'est vrai que lorsque l'on est habitué avoir un certain succès, se faire rembarer de la sorte a de quoi énerver.

Une fois arrivé dans le hall du Quartier Général, il fut aussitôt assailli de toute parts par divers bleus. Lui parlant d'un quelconque problème rapport à quelconque abruti avec sa petite craie qui a voulu faire des miracles en alchimie

Roy écouta d'une oreille distraite.

- Colonel, nous avons trouvé un cercle non répertorié sur les lieux.

- Nous en avons fait une reproduction dans la salle au premier, dit un autre.

- Mmh.

Le colonel les suivit dans ladite salle s'étant légèrement calmé. Légèrement. Bon d'accord, pas vraiment.

En fait, même si de toutes façons leur relation n'allait pas durer bien longtemps, ce qui le dérangeait hautement, c'était que c'était lui qui avait été « jeté ».

Et ce sans argument vraiment valable.

Et c'était même lui qui avait payé le café.

Bref.

On le fit entrer dans la pièce en question. Le cercle était bel et bien là, tracé tout proprement. Qu'est ce que ça pouvait être encore, ce truc ? ça n'avait pas l'air d'être un cercle de médecine ou quoique ce soit d'autre…

N'empêche, les femmes ont toujours des théories à dormir debout… Ou alors elles ne les exposent pas.

Roy fit mine d'inspecter le cercle tandis qu'à côté de lui on continuait de lui donner des indications. Qu'il n'écoutait d'ailleurs pas.

« Si seulement je pouvais savoir ce qu'elles pensent… »

- Colonel ! Attention !!

- Que … ?

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Ah, eh bien le voilà qui se réveille.

Roy passa sa main sur son visage comme s'il venait de se réveiller un matin après avoir bu un certain nombre de verres la veille au soir. Il avait les mains moites, les jambes engourdies, et le dos fermement ancré dans le lit. Chose qui expliqua la lenteur avec laquelle il porta sa main à son visage avant de gémir légèrement.

- Gnnh.

Eh bien, pas très fringuant au réveil, le fier Colonel.

- Disons que l'on peut rêver mieux, dit il en se levant. Il put ainsi s'apercevoir que c'était l'infirmière de garde qui venait de parler.

- Pardon ? demanda t'elle.

Le brun s'assit sur le lit tout en passant sa main dans ses cheveux.

- Non, rien, laissez tombez. Je suis là depuis combien de temps ?

Elle n'en demanda pas plus et le regarda tout en plaçant sa main sur son front pour vérifier une éventuelle (et inexistante, vue la situation) fièvre.

- Je suis là depuis combien de temps ?, demanda-t'il tandis qu'elle griffonnait sur son calepin.

- Depuis 2h. Et il est 6 heures du soir, répondit elle en se retournant, de façon à finir dos à lui.

A cause de lui je fais des heures sup' …Dire que j'avais rendez-vous ce soir…

- Eh bien je suis désolé, mais ce n'est pas tout à fait ma faute.

Elle se retourna à nouveau et le regarda, un air interrogatif scotché sur le visage. Elle regarda un instant à gauche, comme si l'ambiance était bizarre ou qu'elle se sentait observée et dit :

- Mais… je n'ai rien dit, moi.

- Soyez pas de mauvaise foi, je n'aime pas trop ça.

- Mais… !

Sur ce il prit la direction de la porte quand il l'entendit prononcer quelques mots.

Hé bien …Il devient mythomane, le pauvre.

La phrase énerva légèrement le colonel.

- Mais non ! Arrêtez, c'est juste que…

Devant l'air stupéfait de l'infirmière, il se tut. Qu'est ce qu'il se passait, au juste ? Elle le faisait vraiment tourner en rond. Qu'avaient donc les femmes à s'acharner ainsi sur lui ?

J'ai l'impression que tous les membres de l'armée sont sérieusement dérangés.

- Un problème monsieur ? demanda t'elle.

Roy passa sa main lorsqu'il se rendit clairement à l'évidence : Ses lèvres n'avaient pas bougé.

Rien.

Il eut la sincère impression qu'aujourd'hui la gente féminine entière s'était entendue pour gâcher sa journée. Avec son coup de ventriloque, là. Le colonel retint un nouveau soupir exaspéré et se contenta de répondre d'un air nerveux :

- Non ! Non, rien !

Et il claqua la porte.

Vraiment une journée horrible.

- Colonel ! Vous êtes sorti de l'infirmerie ?

Et apparemment, ça continuait.

Lorsque le brun se retourna, il découvrit Scieszka qui l'observait, inquiète.

- Qu… Ah ! Oui ! Le cercle ! Oui, euh, oui, eh bien rien de grave, ne vous inquiétez pas, ce truc ne devait pas être vraiment dangereux, répondit-il en agitant inutilement ses mains.

- Ah, tant mieux. Mais vous êtes sûr que vous allez bien ? J'ai l'impression que vous n'êtes pas dans votre assiette.

A coup sûr il a du aller boire quelque part avant de venir…

- Arrêtez, c'était juste un café et…

- … ?

Roy écarquilla les yeux.

« Bordel de merde !! »… Elle n'avait, encore une fois pas bougé les lèvres ! Que c'était-il passé au juste ?!

Il eut à présent un doute énorme.

- Scieszka, qu'est ce que vous avez lu récemment concernant une alchimie non identifiée ?

Non identifiée ? Mais qu'est ce qu'il raconte ?

Ça avait recommencé ! Cela n'était donc pas un simple hasard…

- Colonel, vous êtes sûr que tout va bien ?

- … Je … Oui, tout va bien… Je dois vous laisser…

« Bordel, bordel, bordel, qu'est ce que c'est qui se passe ? »

Mustang se fraya un chemin dans le couloir bondé jusqu'au bureau… Il y avait quelques femmes autour de lui. Il avait beau avoir la réputation d'être un coureur, il n'allait pas en faire une fixation pour autant, cependant…

Je me demande où est le dossier de … … Oulà, pourquoi il va si vite, lui ? …

… Donc si je compte ça en plus du relevé de Juin…

Ah mince ! J'ai oublié d'éteindre dans la salle de bain… … qu'il fait en ce moment…

- Khh…

Cependant, aujourd'hui c'était différent.

L'hypothèse d'un grand rassemblement de ventriloques au sein de l'armée germa dans son esprit mais non… C'était totalement absurde…

Il accéléra le pas tout en gardant les yeux fixés au sol, mais cela ne changeait rien. C'était sûrement à cause de cercle ! Il n'y avait plus aucun doute.

Il s'appuya contre un mur et prit sa tête dans ses mains.

Pourquoi…

Pourquoi diable arrivait-il à entendre les pensée des femmes ?

Euh… Voilà.

Alors je m'en adresse à tous les habitués du fandom FMA sur Je débarque totalement, jusque là je ne publiais que sur fanfic-fr, et il n'y avait pas de problèmes. L'ennui c'est qu'ici il y a trois fois plus de fics… Donc c'est possible qu'un thème comme celui-ci ai déjà été repris pour une histoire, n'étant pas de la plus graaaaande originalité moi-même. Auquel cas je crois que je publierai pas la suite, ça ne le fait pas trop de « piquer » l'idée d'un autre auteur (même si c'est par erreur, ma foi XD).

Donc voilà, je fais appel à vous !

Si ce n'est pas le cas, cependant,

See you soon !

Fullmetalgirl alias Waders.