HPMG : Livre 4 : La seconde guerre de sang :

Chapitre 6 : La troisième tâche :

Sous le soleil d'avril, Harry regardait volé les oiseaux sous ses lunettes de soleil, allongé dans le jardin près de l'arbre où, à ses cinq ans il avait du se réfugier pour échapper au chien de Marge. Tante Marge qui avait d'ailleurs essayé de récupérer tout les biens des Dursley, mais la Tante Pétunia, qui s'occuper des papiers lui avait tout légué, de la maison à la voiture, les actions en bourses et autres. Le problème était que c'était le ministère qui gérait tout cela pour le moment, c'était bien pour cette raison qu'Harry voulait être émancipé le plus rapidement possible, il ne faisait pas confiance aux sorciers du ministère pour s'occuper de son argent…


Maria entra dans le château, les poings serrés, le regard fixé droit devant elle, déterminé à accomplir quelque chose. Elle ignora toutes les personnes qui la saluèrent, ou s'étonnèrent de la voir ici :

« Qu'est ce que tu fais là, je croyais que tu étais dans ta famille » dit Keira en se plantant devant elle.

Maria leva la tête et la regarda d'un air sûr d'elle et famélique, ce qui ne lui était pas familier. Keira recula sur le côté, choqué par ce regard, tandis que Maria continuait sa route sous le regard interrogatif de Keira. Elle entra dans la salle commune de Serpentard, où une dizaine d'élèves se trouvaient, bavardant en petit groupe. Keira entra dans la salle et bouscula Maria qui était resté dans l'entrée. Moon, qui ne se trouvait jamais très loin, vint faire son petit show.

« Oh mais que vois-je, la petite pute personnelle de Malefoy, ici, pour nous…. »

Maria ouvrit alors son gilet, et sous les yeux effrayé de tout le monde, ils virent autour du ventre de la jeune fille des petits tubes contenant une substance bleue, relié par des filaments jaune jusqu'à une console centrale, d'où partait un unique filament rouge jusqu'à une sorte de stylo avec un bouton bleue. La porte des Serpentards encore ouverte, un jeune homme réussit de justesse à s'échappé.

« Hey ! Non ! » Cria Maria en essayant d'attraper le garçon avant qu'il ne s'échappe, mais elle ne fut pas assez rapide et elle ferma la porte avec le même sort qu'Harry avait utilisé lors de sa première année (la seconde pour Harry) lorsque Weasley, Granger & cie avaient infiltré la salle commune. D'une voix essoufflé, Maria dit d'une voix menaçante :

« Personne ne sort d'ici… C'EST CLAIR ! »

Le garçon qui s'était échappé donna rapidement l'alerte et les aurors débarquèrent rapidement. Le professeur Maugrey étant le plus capé, ainsi que Dumbledore, prirent la prise d'otage en main et donné des ordres. Ils établirent un périmètre de sécurité autour de la salle commune, fouillèrent les environs pour tenter de trouver d'autres explosifs. Maugrey informa Dumbledore :

« Le nom de la cible est Maria Zwillinger, elle à 14 ans et selon le témoin, elle est entrée dans la salle commune avec une bombe dites bleu, celle de nouvelle génération, tuant tout ce qui contient des vies, mais ne détruisant rien de matériels. »

« Ya combien d'otage ? » Demanda Dumbledore.

« Près d'une vingtaine d'après le témoin toujours. » répondit Maugrey. « Nous calculons en ce moment mêmes les élèves manquant avec la liste des élèves qui devaient rester. »

« Maugrey, cherché des informations sur Maria Zwillinger, convoque ses parents ici. »

« Bien Albus » dit Maugrey en sortant de la pièce, petite salle de classe jouxtant la salle commune.

Dans la salle commune, une des filles commençait à respirer par à coup, le souffle court, prise de panique par la situation désastreuse.

« Tu la boucles ! » Ordonna Maria en se tournant vers elle.

« J'y…y arrive..p..pas »

« Il faut que tu essaies. » dit Maria en s'agenouillant devant le canapé où se tenait la jeune fille qui respirait toujours aussi difficilement. « Mais, mais, qu'est ce qu'il lui arrive ? » demanda à une Keira qui tenté de consolé la pauvre petite.

« Elle a de l'asthme Maria. » dit Keira d'une voix grave en la regardant avec affliction.

Maria se prit la tête entre les mains, se reculant un peu pour réfléchir à la situation.

« Mais qu'est ce qui lui faut, un médicament ? » demanda avec précipitation Maria.

« Son inhalateur. » répondit Keira.

« Et il est où cet inhalateur. » demanda Maria d'une voix tendue.

« Salle…étude. » répondit d'une voix haché la jeune fille.

Maria roula des yeux et poussa de longs soupirs.

« Mes gars sont prêt à intervenir Albus, on à jeté des sorts de transparence sur les murs mais sans effet, apparemment, Serpentard tenait à son intimité, nous sommes aveugles. Les tireurs d'élites sont inutiles ici, on ne pourra pas l'abattre en cas de besoin. » Dit Maugrey en marchant avec Albus vers la salle commune de Serpentard.

Dumbledore avança vers la porte, le couloir était bloqué des deux côtés par des aurors à la mine revêche, surement d'ancien Gryffondors, jugea tristement le directeur. Il s'avança avec précaution, d'ici, la bombe bleue pouvait le tuer aussi facilement que s'il s'était jeté d'une falaise de 100 mètres de hauteur. Il rafla les murs.

« Maria Zwillinger ? » dit d'une voix forte Albus Dumbledore. « C'est le directeur qui te parle mon enfant… Maria ! » Ajouta Albus après un moment de silence.

« Eloignez-vous de la porte. » somma Maria à travers la pierre de Poudlard.

« Parle-moi avant. » dit Dumbledore en restant sur place, sans bouger d'un poil.

« ELOIGNEZ-VOUS DE LA PORTE ! hurla Maria avec hystérie, « Ou je fais péter ce truc. »

« Entendu »

« Je fais sortir une otage. Keira, rapporte l'inhalateur. Toi et pas une autre, prévint Maria d'une voix sans équivoque. »

Elle sortit de la pièce lentement, Maria désactivant le sort en se plaçant loin de la porte. Keira fut happé par les bras de deux aurors et mis dans une pièce lumineuse deux étages plus haut, devant Maugrey qui lui posa plusieurs questions, surtout des précisions sur la bombe, ainsi que l'état psychologique de Maria. On apporta l'inhalateur et alors que Keira se levait pour le prendre, Dumbledore arriva, fit s'asseoir Keira d'un regard et prit l'inhalateur.

« Je m'occupe de cela, hors de question qu'une de mes élèves retourne près du danger. » Argumenta Dumbledore rapidement.

Il se fit équiper par les aurors d'une oreillette et d'un micro en forme d'épingle qu'il accrocha dans la manche de sa veste. Dumbledore confia sa baguette à Alastor avant de se diriger vers le lieu du conflit. Ils auraient peut être des informations supplémentaires grâce aux informations de Dumbledore. Ce dernier poussa la porte, entra et la referma derrière lui avant que Maria n'eut le temps de faire quelque chose. Il donna le tube à la jeune fille qui inspira longuement en appuyant sur un bouton et la respiration se fit plus lente. La crise avait passé.

« Fouille-le. » Ordonna Maria à Moon, qu'il fit avec reluctance.

« Pas de baguette. » Dit Moon une fois la fouille terminé.

« Vérifie ses oreilles. » Reprit Maria en s'asseyant sur une chaise.

« J'ai quelque chose, une oreillette surement, autre chose ? » Demanda Moon d'une voix ennuyé.

« Ses manches. » dit-elle après un cours instant de silence.

« J'ai encore quelque chose, une sorte d'épingle accroché au revers de sa manche. Un micro surement. » Dit Moon, presque épaté que Maria soit si porté en connaissance de ses objets.

« Ecrase le tout veux-tu. »

Moon posa les 2 objets sur le sol et les écrasa avec son talon. Maugrey, à l'autre bout, retira avec douleurs son casque à l'entente du son aigu qui transperça ses tympans.

« On peut oublier nos oreilles… »

Dumbledore essaya de créer un lien avec Maria pour la convaincre d'arrêter, il tenta aussi de faire libérer tout les autres élèves et de le garder lui, elle gagnait au change mais elle ne voulut rien savoir, de dépit, Dumbledore demanda ce qu'elle voulait à travers cette prise d'otage.

« Je…je veux… Draco Malefoy ! » Dit Maria en hésitant un temps. « Avant le couché du soleil, sinon, je fais exploser cette bombe. »

Dumbledore cria la requête à Maugrey qui se tenait derrière l'accès de la salle commune et envoya un régiment, assez important, d'aurors chez le manoir des Malefoy. Le compte à rebours était enclenché.

Il y'eut un tambourinement à une porte en bois, magnifiquement ouvragé d'ailleurs. D'une hauteur monumentale, et d'une largesse qui pouvait faire entrer quatre trolls adulte d'un même pas. La porte fut ouvrit avec une aisance incroyable pour son poids. Plus tard, on raconte qu'elle était graissé avec de la morve de troll justement…

"Auror Kingsley, Bonjour Madame Malefoy.

« Qu'est-ce que vous me voulez encore Monsieur l'agent. » Répliqua la Maitresse de maison en leur tournant le dos, les invitant ainsi à entré dans le magnifique hall où était accroché différent portrait de la famille Malefoy, avec ou sans la mariée.

« Nous devons parler à votre fils, Draco, nous avons une situation de crise à Poudlard, et il est bien possible qu'il puisse nous aider à la résoudre. » dit Kinglsey en se précipitant pour rattraper Mrs Malefoy.

« Et quelle est cette situation, je n'envoie pas ainsi mon fils si il y'à un quelconque danger. » Prévint Mrs Malefoy en préparant du Thé pour Kinglsey, tandis que les autres aurors prenaient position à tous les accès du salon.

« Une élève à pris en otage ses congénères, et c'est la meilleur amie de votre fils madame. »

« Un simple stupéfix par les tireurs d'élites de baguette magique ne serait-il pas suffisant ? » demanda Mrs Malefoy en versant le thé dans une tasse, l'offrant ensuite à l'auror.

« Merci. Le problème est que la salle de l'action se situe dans les profondeurs du château, aucune fenêtre vers l'extérieur, et puis elle a un élément très…dissuasif. »

« Et quel est cet élément Mr Shackelbot. » Demanda Mrs Malefoy.

« Elle porte à sa ceinture une bombe bleu... » Dit d'un trait Kingsley, craignant que cela affole l'épouse Malefoy. Ses craintes furent confirmées.

« Je juge que Draco n'ira pas à Poudlard avec ce danger éminent. Elle n'a pas d'autre ami, comment s'appelle-t-elle d'ailleurs, cette déséquilibrée. »

« Maria Zwillinger… »

« QUOI ! » hurla une voix d'homme, venant de la cuisine. « Laissez-moi passé idiot ! C'est ici ma maison je vous le rappelle. »

« Ecartez-vous Simons, laissé Mr Malefoy nous rejoindre. »

« Je viens, quoique tu en dises mère. » dit Draco en s'asseyant.

« Très bien, je préviendrais ton père dès qu'il sera de retour du ministère. »

Les aurors encadrèrent Draco et Kinglsey, sortirent de la propriété et transplanèrent, Draco tenant fermement le bras de l'auror à la peau noire. Ils arrivèrent aussitôt devant la porte grillagée de Poudlard, qui s'ouvrit en grinçant lugubrement. Ce n'était pas la porte principale bizarrement, mais une autre, caché par la verdure et la végétation. Kingsley, à la demande de Draco, raconta à ce dernier le début de la prise d'otage jusqu'à la demande faite de la dernière d'aller chercher le jeune homme.

Depuis, la situation n'avait pas évolué, Draco serait peut être la personne qui débloquerait la situation. Bien sur, Maugrey ne permit pas que Draco rejoignent Maria… Il lui posa plutôt des questions :

« Alors Malefoy, pourquoi cette petite te veux à ses côtés, des suggestions ? »

« C'était ma meilleur amie, et elle est devenue ma petite-amie. » dit Draco d'une voix lente, prenant attention aux mots qu'il énonçait.

« Alors pourquoi t'attirer dans une pièce où elle pourrait te tuer. » se dit Maugrey en faisant les cents pas.

« Quel autre lien vous unis, amour, maison et… mais bien sur, comment n'y ais-je pas penser avant, vous êtes avant tous les amis de Potter. » Cela doit être un coup des vampires je paris, ils font souvent ainsi. » Dit Maugrey tout haut. « Si c'est que je pense, alors ton amie n'est qu'un pantin au main des vampires, mais pour confirmer cela, ils nous faudrait voir dans la pièce. »

Draco réfléchit aux paroles, pas du tout idiote de Maugrey, alors comme ça, on en voulait à Harry à travers eux. Il se demandait pourquoi Stella s'acharnait sur ce dernier. Mais pour l'instant, Harry n'était pas là, au contraire de lui. Alors, qu'aurait fait Harry. Trouver un moyen d'aider Maugrey sûrement, car bizarrement, Draco avait souvent remarquer que Harry disparaissait deux soirs par nuit, et depuis le bal toutes les nuits, et ils l'avaient plusieurs fois aperçu, discutant avec Maugrey. Donc, le vieil auror voulait des yeux, il faudrait donc un objet, déjà à l'intérieur de la salle commune.

« Réfléchis Draco ! Refléchis…… » s'invectiva Draco, plissant le front.

Flash Back


« Draco, n'oublie pas tes lunettes de communication sur la cheminée. » prévint Maria le matin du départ vers les familles pendant les vacances de Pâques.

« Oui oui, je sais ma chérie, ne t'en fais pas, j'y penserais. »


Fin Flash Back

On pouvait peut être établir une connexion avec les lunettes !! Draco porta l'idée à Maugrey qui fit soudainement activer tout le monde, à peine cinq minutes plus tard, un auror arriva avec une malette, l'ouvrit. Il alluma une sorte de carré lumineux (écran) grâce à un gros bouton. En dessous, il y'avait un grand rectangle qui comportait des touches avec les lettres de l'alphabet, et d'autre, inconnu comme ctrl ou alt. Il vit alors avec emerveillement le logo des aurors apparaître sur le carré lumineux.

« C'est incroyable, ya de la lumière dans le carré. »

« Ceci, Monsieur Malefoy, est un écran, et avant que vous le demandiez, ceci est un clavier, et il y'a en dessous l'unité centrale. » ajouta l'auror d'un ton aigre devant le peu de connaissance de Draco.

Draco, boudeur, regarda quand même avec grand intérêt l'auror tapé sur le calvier. Il tapait à une vitesse impressionnante, des carrés s'ouvrait partout dans l'écran, montrant des courbes, des lignes de texte sans queue ni tête. Soudainement, l'auror se redressa, tandis que les lignes défilé toujours. Il passa ses mains derrière la tête.

« Venez ici Mr Malefoy, après tout, c'est vos lunettes, il ne vous reste plus qu'a appuyé sur la touche « Entrée ».

Draco regarda le clavier, et aperçut une touche en forme de « L » inversé avec marque Entrée dessu. Draco regarda une dernière fois l'auror, approcha son index de la touche et appuya lentement dessus. L'écran se figea, puis la tête de Dumbledore apparut en gros plan sur l'écran. Draco fit un bond en arrière avant d'approcher la tête de l'écran.

Dumbledore bougea les lèvres mais rien n'arriva à leurs oreilles.

« On pourrait avoir le son, Fawrell ! »

« Excusez-moi monsieur, dit Fawrell en faisant glisser sa main sur le côté de l'unité centrale. »

« Vous m'entendez ? Est-ce que quelqu'un m'entends ? » dit Dumbledore.

« Comment ça se fait que Maria ne l'entend pas hurler ainsi » dit Draco en bouchant ses oreilles.

« Car son esprit est verrouillé sur le notre, ainsi, seul le destinataire voulu entends nos paroles. » Expliqua Maugrey rapidement. « Ouvrez-moi un canal Fawrell. »

« C'est fait, vous pouvez parler. »

Draco comprit rapidement que Maugrey voulait converser seul, en effet, ses lèvres avaient beau bouger, il n'entendait strictement rien, et Dumbledore concentrait désormais son esprit vers celui de Maugrey seulement. La conversation fut brève et interrompu par Maria, qui se trouvant loin de là, se retourna soudainement.

« Qu'est ce que vous faites Dumbledore ! » cracha Maria.

« Désolé Maria, mais cela faisait longtemps que je n'avais pu admirer la sculpture de Salazar Serpentard faite par Gryffondor. » répondit d'un ton naturel Dumbledore.

« Ne m'appelez pas Maria, aucun lien affectif je vous le répète. »

« Nous avons appris beaucoup de chose. D'après l'analyse de Dumbledore, Maria aurait une oreillette sur elle, je pense donc, la connaissant en tant que professeur, qu'elle n'est pas du genre à se faire sauter. Non, j'ai plus l'impression que quelqu'un la manipule dans un but secret pour le moment. D'ailleurs, quand Maria à interrompu notre conversation, elle était de dos, je pense donc qu'il y'a un autre objet qui permet au vrai criminel de surveillé la bombe pour pas qu'elle ne s'échappe. » Résuma Maugrey rapidement.

« Je veux donc que vous me trouviez cette objet, Fawrell, je pense que c'est de votre niveau ? »

« Oui Monsieur, bien monsieur. » dit Fawrell qui restait prêt de l'ordinateur avant de recommencer à taper comme un dingue sur son clavier. »

« Les autres, préparez-vous à une intervention musclé, surement aux alentours proches le Poudlard. » finit Maugrey d'une voix forte.

Les aurors partirent comme une nuée de moineaux aux quatre coin de château. Draco, quand à lui, prit un siège, rassuré que sa petite amie ne soit pas une kamikaze voulant tuer des gens. Il jeta un regard dans la salle et vit une tête qu'il connaissait.

« Salut Keira. » dit Draco en s'asseyant, discutant avec elle tandis que Fawrell s'agitait comme un dingue sur son calvier.

Une dizaine de minutes plus tard, alors que l'atmosphère devenait tendu dans la salle commune de Serpentard, le délai se rapprochant. Maugrey vint dire à Maria que Draco arrivait. Maria pinça sa lèvre arrière, faisant les cent pas d'un air anxieux. Draco la regardait d'un air triste, et dégouté de ne pouvoir faire plus. Un petite sonnerie retentit, et Fawrell exsulta :

« Je te tiens, sale fils de …. »

« J'ai bien réfléchi, et j'ai peut être une solution. » dit Maugrey à Fawrell. Repérez-les, ils ne doivent pas être bien loin…

« Ils sont dans la forêt interdite, près de la cabane du garde chasse. » dit Fawrell en montrant un point rouge clignotant sur une carte de Poudlard. »

« Parfait, vous allez me faire une boucle, vous sortez les élèves, enlevé la ceinture d'explosif tandis qu'on se charge des criminels dans la forêt. »

« Bien Monsieur. Cela prendra deux minutes. »

Tout se passa comme prévu, la boucle fut activé, les élèves furent évacué par les aurors et la ceinture enlevé et mise dans un sac anti-explosion prévue pour contenir l'énergie bleu. Maugrey menait le groupe d'intervention. Ils ne laissèrent aucune chance à leurs assaillant qui se figèrent et s'écroulèrent alors qu'il regardait une boule blanche, comme celle de divination, sauf que celle-ci était une boule d'espionnage. Grâce aux canines, l'enquête fut vite plié, c'était deux vampires qui avait agit sous l'ordre de Stella, la peine retenu fut la mise à mort par simple exposition solaire renforcé.

Une mort atroce pour un vampire, la peau se déchirait doucement, se consument avec lenteur, à la fin, il ne restait qu'un tas d'os et de viscère malaxé et grillé…

Harry, dans sa maison de Londres, ne fut pas mis au courant par les médias, qui furent étouffé pour éviter une panique, en effet, quelqu'un avait réussi à pénétrer dans le château, et il valait mieux que le moins de monde soit au courant, surtout pendant la tenue du tournoi des trois sorcier. Quand Harry fut arrivé à Poudlard, il fut néanmoins accueilli par Draco et Maria, main dans la main, les liens entre eux avait encore grossie, comme si une expérience terrible les avait éprouvés. Quand ils lui expliquèrent la prise d'otage, Harry sut qu'il ne s'était pas trompé. Il fut un peu déçu de n'avoir pu être de la partie, mais sa haine, envers Stella, augmentait comme la lave qui monte pour jaillir d'un volcan.

Mais la lave redescendit rapidement quand Fleur lui sauta dans les bras, Harry la fit tournoyer avant de la reposer sur le sol et de l'embrasser passionnément, heureux de la revoir, tout simplement.

La vie repris son cours, cours avec Croupton, nuit de folie avec Fleur et balade lors des week-ends, ainsi que l'apprentissage en classe, et donc l'application et faire ses devoirs. Pour capturer le rat, il préparer en ce moment même un petit patch, couleur peau qui se coller à la peau, invisible, résistant à l'eau et à la détection par magie. Il transmettait des ondes magiques très faibles que même son maitre, s'il se concentrait au maximum, ne saurait déceler. Il suffisait ensuite, en prenant une carte de l'Angleterre, puis une carte de plus en plus précise, et un pendule pour le repérer.

Le 21 juin, le jour le plus long, lorsqu'il sera face à Voldemort, il n'aura qu'à mettre ce patch sur le cou de Pettigrow pour pouvoir le repérer, et en juillet, le capturer pour le donner au magemanot pour innocenter Sirius. Simple, sauf qu'en Juillet, Voldemort et Queudver serait probablement au même endroit, d'où l'idée de faire une potion, qui transformait aléatoirement l'apparence extérieur pendant un temps limité d'une heure. C'était une variante du polynectar, plus complexe pour le bonheur d'Harry.

Lettre à Sirius enjoint de nourriture était le passe temps favori du jeune homme, à travers ses lettes, il apprenait des histoires de Sirius, de ses parents, des maraudeurs ou de l'inflexible Lily. Comment ils s'étaient mis ensemble, les moments les plus piquant ou terrible de leurs scolarité. Grâce à Sirius, il se sentait enfin proche de sa famille. Le 21 mai, Harry faisait ses exercices d'arts martiaux dans le parc, concentration maximum, il sentait le vent être déplacer, il sentait le sol tremble sous la foulé d'un pas léger. Il ressentait la respiration, il humait la senteur.

« Bonjour Severus. » dit Harry en ouvrant délicatement les yeux, avant de prendre son arc à terre, pliant les genoux, d'empoigner une flèche tout en pivotant, armé, tendre la corde et de relâche la pression. La flèche jaillit. Harry remis son arc à terre, et leva la main, où tomba aux creux de sa main une belle pomme bien rouge.

« Tes concurrents n'ont aucune chance. » dit Severus d'un air complice.

« Oui, et mes ennemis encore moins, mais ce n'est pas encore le temps de se révéler, n'estce pas ? » demanda Harry.

« C'est trop tôt, Maugrey, ou Croupton Jr t'apprend beaucoup de chose, et cela est bien, quand le monde saura qui est réellement Harry Potter. « dit Severus. « Mais je ne suis pas venu pour cela, les champions ont rendez-vous devant le lac, où s'est tenu la seconde tâche. »

Harry regarda le brouillard magique, qui avait été placé là depuis 2 semaines, et personnes n'avaient cherché à y pénétrer quand un Gryffondor quelconque tenta d'y passer à travers, et qu'il se retrouva une semaine à l'infirmerie, fortement touché par un éclair. Le brouillard était une vraie boule d'électricité.

« Le brouillard va tomber alors. Je te dis à demain alors, bonne nuit ami. » Dit Harry, tandis que le soleil tombé derrière les pics montagneux, déchirant la lumière en lambeaux.

« Joyeuse découverte à toi Harry. » dit Severus avant de s'en retourner à divers expérience dans les cachots.

Harry passa son arc dans l'encoche prévu dans le carquois, le katana trouva sa place dans son dos, au niveau des hanches, la lame à la verticale du sol et le poignard Argolaris (NDA : celui qui peut se transformer en toutes les armes blanches connu, lame de lumière veiné d'argent) dans un fourreau accroché à sa cuisse droite. Les shuriken étaient toujours resté sous ses manches, magiquement caché et retenu, comme ses deux baguettes. On ne sait jamais ce qu'il peut arriver.

On passera sur la frivolité de Verpey, Harry se finissait par se demander qui était ici le plus jeune en âge mental. Le brouillard s'écarta légèrement sous l'impulsion qu'émettait la baguette de Verpey et ils purent voir le lac, enfin ce qu'il en restait, vu qu'il était désormais entièrement recouvert de gazon, et que des haies se dressait à hauteur du genou. Harry imprima rapidement la configuration du terrain, ainsi que les chemins qui mené vers le centre, où se finirait surement l'étape, vu qu'il n'y avait une entrée, et pas de sortie. Cela fut confirmé par Verpey :

« L'idée est simple, vous entrez dans le labyrinthe par cette entrée, et vous devez atteindre le centre le plus rapidement possible et empoigner la coupe de feu. Bien sûr, il y'aura quelques surprises sur votre chemin, sinon, ce ne serait point amusant. Alors à dans un mois, Messieurs et Mademoiselle. » Il courba l'échine avant de retourner au château en sifflotant.

Cédric et Viktor partirent aussitôt vers leurs quartiers, Fleur et Harry se rejoignirent et se prirent mutuellement la main avec silence, avant de marcher un peu, se dirigeant peu à peu vers la forêt. Ils discutaient tranquillement de l'épreuve, d'eux et de ce qu'ils fairaient après la fin du tournoi. Fleur fut d'ailleurs plus entreprenante sur ce dernier sujet.

« Dans un mois, on se quitte. » remarqua Fleur d'une voix triste et déchirante pour Harry.

« Pour mieux se retrouver ensuite ma chérie. On a commencer notre histoire pour le sexe, on doit se l'avouer, mais je dois avouer que mes sentiments pour toi ont évoluer eux aussi. De fait, je crois que…que je t'aime. » Avoua Harry doucement, pour ne pas que sa voix s'emballe sous l'émotion.

« Oh ! Harry ! » Dit Fleur en l'embrassant tendrement d'un long baiser. Harry, le dos contre l'arbre, serrait fort sa Fleur.

Il y'eut alors un craquement, Harry rompit le lien avec Fleur, et inspira longuement. Il se tourna légèrement vers la gauche, d'où il sentait une odeur fétide de transpiration. Il entendait aussi le vent se plier sous la pression qu'exercer le corps. Il inspira une nouvelle goulée d'air, se plaça entre Fleur et le mystérieux perturbateur. Il approchait, d'un pas haché. Une branche plia sous la force d'un bras aventureux et Harry reconnu aussitôt Croupton apparaître, à son plus grand mécontentement.

Harry croyait que Tom le tenait en laisse, il s'était de toute évidence échappé, luttant contre l'impérium, comme son fils, sauf que le père ne tomberait pas sur un allié, mais un ennemi. Il savait beaucoup de chose, dont le fait que son fils soit en vie et surtout du retour de Voldemort, prochainement. Il pouvait faire capoter tout son plan pour innocenter Sirius, et cela, Harry ne le voulait en aucun cas.

« Fleur, rejoins le carrosse s'il te plaît, et ne dis rien à personne, je me charge de lui. » dit Harry en laissant son regard sur Croupton qui parlait avec l'arbre.

« Il ne faudrait pas prévenir Dumbledore ? » demanda Fleur d'une voix hésitante.

« Surtout pas ! » s'écria Harry. « Fais moi confiance Fleur, je t'expliquerais plus tard. » dit Harry en grimaçant à cette semi-promesse. Mais cela sembla convaincre Fleur de partir.

Une fois que Fleur fut partit, Harry sortit sa baguette, et envoya un éclair qui se perdit dans la nuit. Quelques minutes plus tard, Maugrey arrivant en courant avec toute la rapidité qu'il pouvait.

« Bonjour Papa. »

« Fils, Potter, ensemble ? »

« Contre toi, oui. » dit Harry en souriant.

« Et je crois que tu nous seras très pratique. Le maitre m'avait prévenu de ta fuite. Je t'attendais. Harry, il me semble que tu as quelques sorts dont tu ne peux te faire pardonner à essayer. » Dit Maugrey en souriant, ce qui rendait, sur son visage, à une grimace.

« Bien, bien… » Dit Harry en empoignant par le col Croupton Sr, le traînant au sol vers l'intérieur de la forêt.

Une fois bien à l'abri, Harry lui lança un sort pour qu'aucun son ne sorte de sa bouche avant de lancer le Doloris pour la première fois sur un homme. A travers le fait que Croupton allait faire capoter tout son plan, il exprima sa haine qui se fondit dans le sort. Croupton Sr essaya d'hurler, il gratta la terre. Ses yeux se révulsèrent, il se gratta la peau, essayant d'hurler sa douleur.

Harry stoppa le sort, le souffle saccadé, ce sort prenait énormément de magie. Surement plus que le sort de la mort comme il fallait le maintenir. Cela, il le saurait bientôt. Maugrey hocha la tête. Harry tourna une nouvelle fois la tête vers Croupton Sr, qui marmonnait tout bas en regardant ses mains en sang, de son sang.

« AVADA KEDAVRA ! »

La magie afflua dans son bras gauche, un torrent de fluide blanc parcouru ses veines, s'agrippa à sa baguette. Un léger halo blanc apparut autour du bois sombre, avant que l'éclair vert ne soit expulsé et tape contre le torse de Croupton Sr, qui fut soulevé par le choc, avant de s'affaisser, mort, les bras en croix.

« Bravo Harry, tu es reçu avec mention très bien ! » s'exclama Maugrey, transformant le corps de son père en un simple cubitus, qu'il fourra dans une cape d'invisibilité et de l'enterrer profondément dans le sol. La poussière retourne à la terre.

« Merci » dit Harry, tout en pensant que son plan était sauvegarde.

Il se retourna et entra dans Poudlard, un mort au bout de la baguette, le premier par la magie, mais celui d'une longue série dans sa vie. Les faibles meurent, seuls les puissants survivent. Et fois de Potter, il deviendrait puissant. Les cours semblaient insipide par rapport à ce que lui apprenait Maugrey, mais il n'en oubliait pas de faire ses devoirs, et d'empocher des notes excellentes.

« Potter, Le directeur vous demande, suivez moi ! »

Toujours aussi sympathique et détendue McGo. Harry soupira, et jeta rapidement un sort pour se coiffer. Il ne savait pas que ce geste lui sauverait de grave ennui. La porte du bureau s'ouvrit. Harry s'avança à l'intérieur, et la porte se referma derrière lui, comme une porte de cellule.

« Bonjour Harry ! » dit Dumbledore. « Comme je sais que ton temps est très précieux, je te présente notre ministre de la magie, qui semble inquiet car nos détecteurs de magie noire à longue porté ont sentit plusieurs sorts impardonnable titillé leurs antennes. Je dois dire que cela m'inquiète aussi. »

« Et en quoi je serais concerné, professeur. » demanda Harry en s'asseyant tranquillement, bien que intérieurement, il paniquait.

« C'est simple Potter, vous étiez, selon Viktor Krum, près de ce secteur hier soir, j'aimerais donc savoir si vous aviez vu quelque chose de suspect. »

« En aucun cas, ce sera tout ? » répondit Harry avec une légère agressivité dans la voix.

« J'aimerais aussi vérifier vos baguettes… » objecta le ministre.

« Et maintenant je suis un suspect. » Remarqua Harry en lui tendant ses deux baguettes.

Dans la baguette de bois sombre, une fumée s'échappa et l'on vit la tête d'Harry être recoiffé. Avec la seconde, la jumelle de Tom, un simple sort de lévitation pour transporter ses livres de la salle commune à sa chambre.

« Vous êtes blanc comme neige. Je peux donc débuter sur la seconde chose pour laquelle je suis venu. Mr Dumbledore m'as affirmé que vous voudriez être émancipé, et bien que je sois contre, votre requêté à été accepté et nous étudierons votre cas avec le conseil des Lords, seul autorité qui à les pouvoirs de vous émancipé et vous faire devenir majeur. Mr Dumbledore m'as fait parvenir vos bulletins, vous devrez quand même venir au ministère pour passer un test médical et psychologique, ceci fait, les Lords et moi-même voteront votre émancipation. »

« Merci Monsieur le premier ministre. » dit Harry en baissant la tête. « J'attendrais ma convocation pour ce test. »

« Il est déjà fixé, et pour des raisons de sécurité, elle aura lieu dès le début de vos vacances scolaires, le 29 juin à 10 heures. Vous reviendrez tout simplement avec la compagnie d'auror présente ici, et qui va rejoindre les rangs du ministère pendant les vacances. » informa Fudge. « Allons voir le terrain où les sorts ont été repéré Dumbledore. »

Fudge quitte la pièce, laissant la porte ouverte. Harry avait eu de la veine de se sort pour se coiffer, sinon, il aurait été dans de beaux draps. Dumbledore quitta la pièce, disant à Harry de rester là, car il avait des choses à lui dire. Quand les deux furent partis, Harry referma la porte et regarda les tableaux des directeurs et directrice de Poudlard.

Un rayon d'or lui éblouit soudainement les yeux. Il traversa la pièce et découvrit dans une armoire entrouverte une pensine. Harry sortit sa baguette et touilla la mixture. Une salle ronde apparut. Harry hésita d'y plonger dedans, mais il préféra rester sage, ne sachant pas la formule pour sortir d'une pensine. Il devrait relire ce paragraphe dans « Objet magique de tout bord. »

Tous les élèves commençait à réviser leurs livres et potasser leurs sorts, même les champions semblaient plus stressé, Harry le sentait bien en les regardants, ils avaient manifestement peur de ce que pourrait contenir le labyrinthe. Harry se chargeait de déstresser sa petite championne, bien sûr elle ne gagnerait pas, mais Harry serait très heureux de la savoir seconde. Ils échangeaient beaucoup de choses, des souvenirs, anecdotes de leurs vies et de leurs passions. Harry n'avait jamais était aussi proche de quelqu'un en amour, les françaises étaient vraiment formidable.

Sirius était un peu plus lourd, sachant ce qu'Harry allait faire pour lui : Soit coller un émetteur magique sur Pettigrow, tout cela sous le nez de Voldemort, il était légitime que son parrain s'inquiète, mais Harry essayer de le calmer dans de longues lettres ; cela marchait plus ou moins bien.

Le 21 juin, il y'eut une surprise de taille, les familles des champions avaient été invités à voir la dernière tâche. Harry soupira resta dans la salle commune, il n'avait plus de famille, même si les Dursley aurait voulu venir, ils ne pouvaient plus désormais. Néanmoins, Severus vint le voir avec un sourire énigmatique. Harry plissa des yeux et entra dans la grande salle, où sur la table des Serpentard, sa table, discutait Viktor Krum et ses parents, qui portaient une immense cape en fourrure. Plus loin se tenait Fleur et ses deux parents, ainsi que la petite sœur Gabrielle. Et seul à la table des Poufsouffle, il y'avait Cédric et Amos, ainsi que sa mère, dont il ne connaissait pas le nom.

Il y'eut alors un aboiement et un gros chien noir sauta sur lui avec une vitesse insoupçonné pour sa taille. Harry se contorsionna et réussit à éviter le chien qui atterrit sur ses pattes. Harry gratta derrière les oreilles du chien, qui jappa de plaisir. Il était venu. Mr Diggory sembla le regarder de travers, mais ne fit aucun commentaire, cela ne fut pas le cas de Gabrielle, qui se précipita sur eux. Elle devait aimé les animaux. Sirius fut très heureux d'avoir une nouvelle amie pour jouer. Il fit le pitre, faisant rire la jeune fille, et Harry par la même occasion.

Fleur en profita, pour le grand malheur d'Harry, mais le plus grand bonheur de Sirius, pour le présenter à ses parents, Richard et Melinda Delacour, qui était simplement le Roi et la Reine de France du monde magique. Chez les moldus, le royaume avait était décapité, et désormais, la république régnait. Il passa le clair de son temps avec Sirius le chien. Dumbledore se leva, et la Grande Salle plongea aussitôt dans le silence.

« Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, dans cinq minutes, je vous demanderai de vous rendre dans les tribunes devant le Lac pour assister à la troisième et dernière tâche du tournoi des trois sorciers. Les Champions sont priés de suivre Mr Verpey qui les accompagnera sur place. Harry se leva avec souplesse, la main de Fleur dans sa main. Ils eurent un double applaudissement des Serpentard et des élèves de Beauxbâtons.

« Alors Potter, on pactise avec l'ennemi ? » dit Weasley.

« Non, on créer des liens, comme Viktor et ta Hermione. » répliqua Fleur en envoyant un baiser à distance à Weasley qui vira pivoine, de rage et transi de désir. Il retomba vite sur Terre quand Harry prit Fleur par les hanches et l'embrassa langoureusement devant tout le monde, les parents de Fleur y compris.

« Bye Bye Weaznoob ! » dit Harry en éclatant de rire.

Le brouillard était désormais levé, remplacé par celui plus naturel qui planait au dessus du lac…enfin du labyrinthe interminable qui défilait devant leurs yeux. Harry fut le premier à pénétrer dans le labirynthe.

Il resta stoïque devant le premier embranchement. Maugrey avait déposé la coupe au centre, Harry n'avait qu'à suivre la trace qu'il avait laissée, et connaissant Croupton, il avait surement choisi le chemin le plus cours. Sa vue bascula, devenant omnisciente. Il regarda de plus près le sol, se mettant à genoux. Des paillettes blanches, pratiquement invisible était déposé sur le sol. Harry releva la tête, ses yeux n'étaient que blancheur… Il prit la voix de gauche, alors que Cédric rentré à son tour dans le labyrinthe. Pour tous ceux dans le public, Harry avait gâché son temps, mais pour des sorciers comme Dumbledore ou Croupton, ils savaient déjà qui gagnerait.

Un autre coup de sifflet lui parvint aux oreilles, Krum entre dans le Labirynthe, Harry accéléra l'allure, il devait arriver en premier. Il serra dans sa poche le patch qui libèrerait Sirius. Le quatrième sifflet retentit enfin, ils étaient tous dans le même bateau désormais. Il ne tomba jamais dans un cul de sac, suivant les traces avec ses yeux d'une blancheur d'aveugle. Il voyait tout d'un autre point de vue.

A un virage, il sentit qu'une créature se tenait. Grande d'au moins 1m80, des pinces et se déplaçant rapidement. Harry sortit son Argolaris qui se transforma en immense javelot. Sa lumière interne fournissait assez de lumière à Harry pour éteindre sa baguette qui rejoignit le dessous de sa manche. Harry fit un pas et il se retrouva devant… devant un monstre. Draco lui avait fait un petit résumé des cours de Hagrid, surtout des dangereuse. Malheureusement pour Harry, pas les points faibles du Scrout à Pétard. Il fallait juste espéré que l'Argolaris tranché vraiment tout.

Tout le monde retint son souffle dans le public quand Harry fonça sur la créature, qui siffla de colère et se précipita elle aussi sur Harry. Il plia les genoux, passant sous la garde de la créature, et de toute ses forces, et profitant que la créature fonce sur elle pour enfoncer le javelot. La carapace se brisa instantanément et un sang vert gicla tout autour d'Harry. L'Argolaris redevint un simple poignard, il fit un rapide saut en arrière pour éviter d'être écraser sous la chute de la créature. Simple, mais il fallait oser le faire.

Il allait rengainer quand un hurlement déchira le silence. Harry repéra aussitôt sa force magique, et celle de Krum à ses côtés, encerclé d'un cercle bleu. L'impérium, à quoi jouer Croupton, il pouvait se débrouiller seul. Ils étaient juste de l'autre côté de la haie. Harry porta l'Argolaris dans sa paume et se trancha la main. Il fit gicler son sang sur la haie, empoigna sa baguette et hurla :

« Incendio ! »

Le sort de feu infernal, combinait au sang, donna une puissance inimaginable à son sort, qui transforma instantanément la haie en poussière. Harry arrêta le feu avec un sort d'eau. De la buée chaude s'éleva, Harry la traversa sans peur et lança un sort :

« Graviem ! »

Krum, qui pointait sa baguette sur Fleur, se trouva clouer au sol, sa pression sur son corps augmentant le retenait au sol. Harry invoqua un marteau d'air, il empoigna sa baguette à deux mains et fit le geste de haut en bas, qui assomma Krum. Il se précipita vers Fleur, qui avait profité de l'arrivé d'Harry pour récupérer et se relever.

« Tu y'est allé peut être un peu fort mon chéri. » dit Fleur en remarquant la bosse proéminente sur le front de Krum.

« On lance pas un Doloris sur une fille telle que toi sans en payer les conséquences. » Il claqua des doigts et Fleur se retrouva collée à lui. Il l'embrassa avant de s'en aller par là où il était arrivé.

« C'est cool, tu peux faire tout ça d'un claquement de doigt. » dit Fleur avec un sourire éclatant.

« En fait, c'est surtout pour se donner un style le claquement de doigts. » répondit Harry de dos avant de disparaître à un embranchement.

Fleur éclata de rire et repris elle aussi sa route. Harry se concentra une nouvelle fois et suivit la piste, toujours fraîche. Il immobilisa de 6 flèches une araignée géante, une flèche dans chaque œil et dû répondre ensuite à une énigme, qui, comme tout se suivait, la réponse en était araignée. Il tourna une dernière fois à droite, la sueur perlé sur son front, la concentration qu'il mettait pour repérait le bon chemin l'épuisait grandement. Il relâcha tout quand il vit la coupe devant lui. Il se mit à courir à une vitesse respectable quand il vit débouler d'un chemin adjacent, mais plus proche de la coupe Cédric.

« Merde »

Harry courut de toute la force animale, vamlyc, qui était en lui, sauta dans les cieux à une hauteur inhumaine, dégaina son katana. Il atterrit dans un tournoiement de vent, soulevant un nuage de poussière, la main gauche tendue à l'extrême tenait son katana, dont la pointe se titillait la gorge de Cédric qui le regarda avec de gros yeux se lever. Cédric recula d'un pas pour s'éloigner de la lame effilée. Harry en profita pour empoigner sous les yeux de Cédric, qui brulait de désir, le trophée.

Le portoloin s'activa sous les yeux effarés de Cédric et de tous les spectateurs, tous, non, il manquait à l'appel de cette surprise Maugrey, Rogue et un chien qui se tenait en haut des tribunes. Le premier ministre en perdit son chapeau. Harry atterrit délicatement sur le sol avec grâce. Il posa le trophée au sol, et regarda autour de lui. Il se trouvait manifestement dans un cimetière, et au loin, sur une colline, se dressait une immense maison, tandis que dans la vallée, une légère lumière faisait présence de vie humaine, surement moldu.

Il sentit plus qu'il ne vit la puissance de Voldemort arrivé sur place. Il tourna son regard vers la maison et vit deux hommes parcouraient le petit sentier qui joignait la maison au cimetière. Le grand devait être Voldemort, sans aucun doute, et vu la puissance qu'il s'en dégager, il ne se servait pas d'un hôte, il avait retrouvé son corps. Harry pratiqua son occlumencie au maximum, par mesure de sécurité. Il reprit alors son observation. Il inspira plusieurs fois, et ses narines sentirent la puanteur fétide que dégageait l'homme le plus petit. Pettigrow, parfait. Il remit dans ses fourreaux sa baguette et son katana et plongea la main dans sa poche, qui se referma sur le patch si précieux.

Voldemort et Pettigrow zigzaguèrent avec habilité dans le cimetière. Ils se tinrent face à face, en triangle.

« Nous voilà enfin face à face, admire mon nouveau corps Harry, je ne pensais pas que mon moldu de père serait finalement si pratique. Il pointa d'un doigt long et osseux une immense tombe ouverte en grand. Grâce aux os du père, de la chair de mon serviteur, et du sang d'un ennemi, je reviens vers vous, pour remettre de l'ordre et instaurer les ténèbres sur l'Angleterre. »

« Et je t'aiderais pour atteindre ce but, Tom. Croupton à été un parfait professeur et on a pût tester sur son père mes avancés en sort impardonnable. » dit Harry avec douceur.

« Croupton m'en a parlé, félicitation pour ta première mort Harry, comment tu t'es sentit après. »

« Rempli de félicité, et une grande envie de recommencer. » Répondit Harry en jetant un léger regard sur Pettigrow, qui plia le dos sous le regard évocateur d'Harry.

« Plus tard peut être Harry, mais j'en ai encore besoin. Et la première chose à faire, c'est de rappeler à nous nos serviteurs… les mangemorts. Un seigneur n'est rien sans ses sujets » déclara Voldemort avec humour. « Tend ton bras, Peter. »

Peter sanglota légèrement mais remonta sa manche, où la marque rougeoyait de ténèbres, plus vivace que jamais depuis que Voldemort était de retour.

« Elle est de retour. » dit-il à voix basse. « Ils l'auront tous remarquée… Maintenant nous allons voir…nous allons savoir.

Il appuya son long index blanchâtre sur la marque portait le bras de Queudver. Une douleur, légère grâce à ses défenses, transperça sa cicatrice. Harry ne grimaça aucunement, mais ferma plus ses mâchoires. Harry vit alors que la marque était redevenue au contact de son maître, noir de jais. Avec une expression cruelle et satisfaite, rejeta la tête en arrière et scruta l'obscurité du cimetière.

« D'après toi Harry, combien auront le courage de revenir lorsqu'ils la sentiront ? Et combien seront assez sots pour rester à l'écart ? »

Un vent sec s'éleva, et dans un claquement sec, les mangemorts arrivèrent dans le cimetière un à un, parcourant la distance qui les séparaient de leurs maitre. Chacun tomba à genoux, embrassant l'ourlet sale de la robe de Voldemort. Il formait désormais un cercle autour d'Harry et de Tom. Un cercle percé par des espaces vides.

« Soyez les bienvenus Mangemorts, dit Voldemort à voix basse. Treize ans…. Treize ans ont passé depuis la dernière fois que nous nous sommes vus. Pourtant, vous avez répondu à mon appel comme si nous nous étions quittés hier. Ce signifie que nous sommes toujours unis sous la marque des Ténèbres ! Mais est-ce bien sûr ? »

« Je sens les effluves de la culpabilité, dit-il. Une terrible culpabilité qui empeste l'atmosphère. »

Un frisson glacé parcouru les rangs des mangemorts.

« Je vous vois tous en parfaite sante, avec des pouvoirs intacts – vous avez été si prompts à transplaner ! – et je me demande… comment se fait-il que tous ces sorciers ne soient jamais venus au secours de leur maitre à qu'ils avaient juré une fidélité éternelle ? »

Il n'y eut aucun bruit, aucun son, les respirations étaient bloquées. Personne ne fit un geste, glacé par la question de leur maitre.

« J'ai la réponse, c'est sans doute qu'ils m'ont cru brisé, parti, disparu. Ils donc retournés parmi mes ennemis, ont plaidé l'innocence, l'ignorance, ils ont prétendu avoir été ensorcelés. Je me demande alors, comment ont-ils pu penser que je ne reviendrais pas ? Eux qui savaient tout ce que j'ai fait, il y a déjà longtemps ; pour me garantir contre la mort ? Eux qui avaient eu la preuve de l'immensité de mes pouvoirs au temps où j'étais le plus puissant des sorciers ? Cette fois encore, je peux avancer une réponse. Peut être qu'ils ont cru qu'un pouvoir plus grand encore pouvait exister, un pouvoir qui aurait pu vaincre Lord Voldemort lui-même… Peut être ont-ils juré fidélité à un autre ? Peut être à ce défenseur des gens du commun, des Sang-de-Bourbe, et des modlus, Albus Dumbledore. »

A la mention de Dumbledore, le cercle frémit, et certains murmurèrent en hochant la tête, mais Voldemort ne leur prêta aucune attention.

« C'est pour moi une déception…Je m'avoue déçu… »

« Seul un est revenu, le plus inattendu, non par loyauté, mais par crainte de tes anciens amis. Tu as mérité cette souffrance, tu le sais Queudver ? »

« Oui maître » geignit le rat.

« Tu m'as aidé à renaître, tu m'as fait retrouvé un corps, ma puissance. Bien que tu sois une canaille et un traitre, tu m'as aidé, et Lord Voldemort récompense ceux qui l'aident…

Harry remarqua alors qu'il manqué un bras au rat. Il regarda Voldemort levé sa baguette et la fit tournoyer au-dessus de sa tête. Une volute qui semblait faite d'argent fondu apparut dans les airs, jaillisant dans le sillage de la baguette magique. La volute tournoya sur-elle-même en prenant pue à peu la forme d'une main humaine qui brillait sous la lune. La main fondit alors sur un Queudver et se fixa à son moignon. Il remercia le maitre, admira sa main d'argent avant de reprendre sa place dans les rangs, sous les regards envieux des autres.

« Une nouvelle ère commence, une ère où j'aurais ma place, bien entendu, mais un ami à tenu à se joindre à nous. Celui qui m'as réduit en cendre il y'a treize année à fait le choix il y'a 4 ans d'être mon allié, pas un simple serviteur, non, il sera mon égal. Ensemble, plus rien ne pourra nous arrêter, même Dumbledore tombera à mes pieds quand il apprendra que son petit protégé et le sauveur du monde magique et moldu et de MON côté. »

Pendant le speech plutôt ennuyant de Tom, Harry en profita pour se décaler un peu vers Queudver, il lui glissa quelques mots en lui tapotant le cou. Le patch était placé, mission réussi.

Des murmures surpris parcouru les rangs.

« Je sais, que c'est étonnant, mais quelqu'un à peut-être une chose à omettre ? »

« Oui, moi, je ne vois pas comment un gamin comme Potter peut nous aider. »

« MacNair le décapiteur… je crois que mon cher Harry veut exprimer son point de vue. »

« Oh que oui ! ENDOLORIS ! »

Macnair fut un cas plus intéressant que Croupton, car il était en pleine forme. Il tenta quelques secondes de résister au sort dévastateur de Harry avant que ce dernier éclate en sanglots et ne cri son désespoir. Tom posa sa main sur celle d'Harry, arrêtant ainsi le sort. Harry fut sur le point de vomir quand Voldemort le toucha avec sa main froide et grise. Quel être détestable, dès qu'il n'en avait plus besoin, il tracerait son propre chemin, en se servant de Dumbledore peut être, Harry le pensait sérieusement avec de le trahir lui aussi et de tous les tuer.

« Convaincu ? » demanda Harry d'une voix sombre.

« Oui mon Prince ! » dit Macnair en reprenant avec difficulté sa place dans le cercle.

« Queudver, amène nos amis dans la maison, je dois discuter avec Harry pour le moment. »

Les mangemorts se relevèrent, MacNair le dos plier, comme Avery qui avait subi lui aussi les foudres de Tom.

« J'ai deux nouvelles missions pour toi. Tu dois extraire Croupton de Poudlard, avant que Dumbledore ne sache qui c'est. Tue le vrai Maugrey, ainsi, les pistes seront brouillés et nous aurons un mangemort parfait, car déjà mort à Azkaban. »

« Les escaliers de Poudlard sont devenu glissants près de là où tu as fait ta première victime Tom » dit Harry en souriant avec tranquillité.

« L'autre est bien plus compliqué, il est bien possible que tu dois vers la fin de l'année scolaire pénétré dans le ministère de la magie, et la section la plus protégé, celle des mystères. Je te conseille donc de bien te renseigner. Avery t'enverra quelques notes à ce sujet, c'est une ancienne langue de plomb. Laisse moi une porte entrouverte dans ton esprit, ce sera un moyen infaillible et intraçable de communiquer pour nous. »

« Je vois très bien, mais qu'est ce qu'il y'a d'aussi important au département des mystères. »

« Ce n'est pas encore sur, après tout, ma renaissance ne date que de ce matin, mais normalement, là-bas y'est conservé une prophétie, et j'aimerais qu'elle soit entre nos mains. »

« Ce sera tout Tom ? »

« Non, je ne veux pas que le monde soit encore au courant pour ma renaissance. Je pense que ta guerre contre les vampires sera profitable. Voilà ce que tu auras à dire… »

Bureau de Dumbledore :

« … à la sortie de Portoloin, j'ai atterrit dans une immense forêt très sombre. Je ne sais pas laquelle c'était, mais j'ai eu droit à un comité d'accueil. Les vampires. Ils n'étaient que cinq, apparemment, cette mission c'est faite sans l'aval de Stella, ils voulaient je crois l'impressionné en me tuant. Je les aies moi-même tué facilement avant de repartir par le même chemin, voilà mon histoire. »

« Vous nous causer beaucoup de problème avec ses vampires Potter » dit Fudge. « Voilà vos 4 000 galions pour avoir gagné le tournoi. Au revoir professeur Dumbledore. »

« Enfin » s'exclama Harry. « Professeur Dumbledore, j'ai quelque chose à vous avouer. Je n'ai pas rencontré de vampires dans une sombre forêt, mais Voldemort bien vivant dans un cimetière. En première année, j'ai décidé de m'allier avec lui pour je ne sais quelle raison, surement pour un proverbe qui dit, il faut connaître ses amis, mais encore plus ses ennemis. J'ai donc espionné à mon compte. Il est de retour professeur. »

« Pourquoi ne l'avoir pas dit au ministre. » dit Dumbledore en se relevant soudainement, surpris par ce retournement.

« Car il ne l'aurait jamais cru, déjà qu'il aimerait bien me descendre pour les vampires, alors si je lui dis que pendant un moment, je me suis allié avec Voldemort, même pour l'espionner, je suis bon pour suivre le même chemin que Sirius. »

« Merci pour les risques que tu as pris, inconsidéré, mais très intelligent. Autrefois, il existait un ordre, qui contrait Voldemort dans ses actions, je vais réactiver le réseau et récolter des informations. »

« J'ai un autre problème, je dois tuer Maugrey, le vrai… » Il expliqua qui se cachait sous les traits de Maugrey ainsi que la mission, sa première, qui l'avait conduit à capturer le vrai Maugrey.

« Pour ne pas griller ta couverture, je pense qu'il est bon de faire une fausse mort à Maugrey, tu vas conduire le faux Maugrey hors de Poudlard, puis on réanimera Maugrey, et on le fera disparaître. Je contacterais la gazette pour qu'il mette un entrefilet dans les dernières pages annonçant la mort de Maugrey. J'ai quelques contacts avec le Ministère, on aura les papiers de décès rapidement. Vas-y Harry, tu as juste à faire échapper Croupton, je m'occupe du reste. » Dit Dumbledore en se levant.

« Bien Monsieur, merci professeur. »

Harry sortit du bureau, puis, quand il s'en fut éloigné :

« Comme sur des roulettes ! » s'exclama Harry en éclatant d'un rire démoniaque. Il évitait ainsi la mort de Maugrey, un ami depuis la première année, mais restait au courant avec Voldemort, et tenait une place importante au près de Dumbledore.

Croupton s'échappa avec Harry sous la cape d'invisibilité. Il redevint le vrai lui dans la forêt, avant de transplaner auprès de son maître, laissant à Poudlard toutes les affaires du vrai Maugrey. Le lendemain, on annonçait la mort idiote d'un professeur de DCFM dans une chute d'escalier. Il n y eut pas d'enquête, et le rire qu'il entendit le lendemain dans sa tête lui confirma que Voldemort était content de lui, tout comme Dumbledore qui avait, le croyait-il toutes les cartes en main, mais en fait, c'était Harry qui contrôlait tout le jeu.

Il tâtonna le sac de 4 000 gallions, qu'il donna généreusement aux Jumeaux, dont il avait entendu leur projet de magasin de farce et attrapes. Voilà de quoi largement subvenir au loyer futur. Maintenant, il allait innocenter Sirius, pour retrouver un semblant de famille, mais il voulait d'abord être émancipé, et vu ses notes parfaites, ils ne voyaient pas pourquoi il ne serait pas émancipé.

Un plan, une extermination…

TO BE CONTINUED…

NDA : Bonjour tout le monde, première info, ma bêta est en vac, donc désolé pour les fautes et trucs incompréhensif que vous avez lus. Ensuite, encore désolé pour le retard de ce chapitre, mon excuse, c'est que je travaillais le matin de 6 à 13H puis allait au code l'aprem, des journées bien rempli qui ne me laissait peu de temps pour écrire. Pour m'excuser, ce chapitre est donc plutôt long, alors j'espère que cela va vous faire plaisir. Voilà, merci de vos nombreuses reviews, et à bientôt dans :

HPMG : Livre 5 : Prise de Pouvoir :

Mellon.