Aucun de nous ne reviendra

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Amis du jour, bonjour !

Pour le retard, vous pouvez m'arracher une jam-... un br-... bon. Quelques cheveux. ¤fuit¤

Merci pour toute les reviews, ça fait chaud au cœur ') VOTEM.

Bref. Efrazel n'est pas encore morte. Mais ce n'est que partie remise. ¤grand sourire innocent¤

Ce chapitre sera relativement long ;) Yliana ne m'appartient pas, mais proviens tout droit de l'imagination d'une amie, avec qui j'ai co-écris une partie du chap :D Toute la partie où Yliana apparaît, en fait xD

Après ce chapitre, il restera en encore deux, voir trois, et après ce sera l'épilogue.

Vilà !

Bonne lecture !

Pegases.

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Chapitre 13 : Renaissance

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Je rêvais. Je flottais entre deux eaux, froide et noire. La souffrance avait disparue mais en entrouvrant les yeux, je ne voyais rien. Alors, je compris que j'étais morte.

Car au-delà des eaux profondes dans lesquelles j'étais plongées, un ange entra dans mon angle de vision, m'offrant au seul paradis dont j'eus envie.

- Efrazel ! suppliait-il, les mèches blondes encadrant son visage parfait tombant sur mes joues. Efrazel, dis n'importe quoi, dans n'importe quelle langue, mais parle !

Des mains légères passèrent sur ma tête, puis sur mes jambes, m'arrachant brusquement un cri d'agonie qui eut le bon côté de remettre au point mes yeux défaillant. Merveilleux. Est-ce que tous les anges ont l'apparence de Legolas ?

Une nouvelle vague de douleur me fit soudainement douter de ma nouvelle condition. Le paradis ne pouvait être aussi douloureux. Et l'Enfer aurait des allures de jardin de repos si les démons ressemblaient à Legolas.

- Je suis morte ? Demandais-je d'une voix pâteuse, mes tempes jouant joyeusement du tambour.

Des bras puissants me happèrent et je me retrouvais pressée contre un torse robuste. La douce odeur de sous-bois, de chevaux et de sang qui me monta au nez me renseigna aussitôt sur l'identité du concerné.

- Legolas ?

- Qui d'autre, idiote ! Je pensais... j'ai cru...

- Doucement, Legolas, elle n'est pas du tout remise de ses blessures.

- Aragorn ?

- Je suis très heureux de voir que vous me reconnaissez, Efrazel. Evitez de bouger, vous êtes en piteux état.

Je clignais des yeux, hébétée et perdue, quand je sentis sous mes doigts la douceur du tissu des draps. En toute logique, il n'y a pas de draps, et encore moins de lits au milieu d'un champ de bataille.

- Où sommes-nous ? Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Et mes hommes ? Et...

- Calmez-vous, sinon vous allez rouvrir vos plaies, intervint la voix d'Aragorn - je ne voyais en fait rien d'autre que la chemise de Legolas, qui me tenait toujours fermement contre lui.

- Mais...

- Nous sommes dans les maisons de guérisons du quatrième niveau de Minas Tirith. Nous avons gagné la bataille, et peu après, Legolas vous as trouvé sous le cadavre d'un des dragons que vous chevauchez. Il vous a ramené à fond de train jusqu'ici, où j'ai pus vous soignez rapidement. L'une de vos jambes est cassée, l'autre est hors d'usage pour le moment, votre dos n'était plus qu'une plaie et vous avez reçu un coup à la tête. Je dois reconnaître que vous êtes particulièrement robuste. Increvable, pour reprendre vos propos. Quant à votre armée, les blessés sont actuellement soignés, et les autres ramassent les morts. Tout va bien.

... ça fait beaucoup de chose à enregistrer. Mais restait la question la plus importante.

- Comment allez-vous ? Et Gandalf ? Et les hobbits ? Et Gimli ? Et Morquendi ?

- Je vais bien, Gandalf aussi, et Pippin et Gimli également. Merry est en train d'être soigné. Quant à votre ami, je l'ai croisé tout à l'heure, et en dehors d'un bras bandé et d'une plaie légère à la tête, il n'a rien.

Je me glissais doucement hors des bras de Legolas, rassurée. Tout allait bien dans le meilleur des mondes.

Et je retombais aussi sec dans une douce inconscience.

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Je dormais bien paisiblement, limite ronronnant, quand un cri de paon scandalisé déchira l'air et, accessoirement, mes tympans.

- ESPECE DE BLONDINET ALBINOS DECOLORE, VOUS DEVIEZ LA PROTEGER !

- Mais dame...

- ANTROPITHEQUE ARRIERE ! QUAND ON EST POLIS ON ATTEND QUE SES AÎNES LAISSENT LA PAROLE AVANT D'OUVRIR LA BOUCHE !!

Nom de Dieu, mais qui peut bien hurler comme ça ?! J'aimerais dormir moi ! Je me suis faites renversée par un dragon, j'ai besoin de récupérer, non mais oh !

- Mais laissez moi vous ex-

- ALLEZ DONC VOIR SUR LA MONTAGNE DU DESTIN SI VOTRE GRAND-MERE JOUE DU LUTH ET CREVEZ EN ROUTE, SURTOUT ! INFÂME ELFE DE FOIRE !

Hey, mais c'est ma réplique ça !

Je commençais à sortir de ma torpeur, un désagréable mal de crâne vrillant mes fragiles tempes.

- Je vous en supplie, ma dame, laissez moi voir Efrazel !

- PLUTÔT MOURIR A ERYN LASGALEN ! MORQUENDI, ENVOYEZ-MOI DEHORS CET INCAPABLE !

- Sauf votre respect, Madame Altaïr, je doute qu'Efrazel en soit ravis.

- ELLE DORT !

- Plus maintenant, grognais-je, ouvrant péniblement les yeux.

A peine eus-je le temps d'amorcer un mouvement pour me redresser qu'une tornade de cheveux noirs fondit sur moi, me clouant irrémédiablement sur mon lit. Non. Pitié. Dites-moi qu'il est impossible que ma catcheuse de mère soit ici.

- Ma petite fiiiiiiille ! Gémiiiit-elle, à mon plus profond désespoir.

Oui, c'était elle. Manquait plus que ça !

- Maman, tu es au courant du fait que j'ai eu la moitié des côtes broyées, n'est-ce pas ?

- Oui, oh mon Dieu, c'est un miracle que...

- Que je sois encore en vie, je sais, et j'irais encore mieux si tu cessais de tenter de faire recraquer mes côtes. Aragorn t'en voudrait.

- Oh ! Désolé !

Aaaah, je respire mieux !

Le visage de ma mère vint s'encadrer en gros plan devant moi. Je penchais un peu la tête sur le côté, histoire de voir qui était également là. Je repérais les longs cheveux noir corbeau de Morquendi, et ceux, bien plus clair, de Legolas.

- Maman ? Susurrais-je d'une voix doucereuse, les paupières papillonnantes.

- Ouiiiii ? Piaula-t-elle aussitôt, toute son attention portée sur moi.

- Aurais-tu l'extrême bonté de laisser Legolas approcher ? Oh, et pourrais-tu aussi m'expliquer ce que tu fais à Minas Tirith ?

A peine eus-je finis ma phrase que mon elfe était à mes côtés, ainsi que Morquendi, dont le petit sourire en coin n'annonçait rien de bon. C'était quoi le prochain problème ? Une horde d'elfe noir venu me faire la peau pour avoir batifolé avec le blond prince des elfes sylvains ?

Ma mère se renfrogna en voyant Legolas si près de son estropiée de fille, mais bien heureusement, elle daigna répondre à ma seconde question.

- Le roi Eressëa a envoyé des troupes en renfort. Je suis partie avant eux avec ton père.

- Il est ici aussi ? Mais où ?

- Eh bien...

Elle toussota, regardant l'air de rien la fenêtre. Okay. Je devine la suite.

- Tu as pris le wyvern d'Amaurëa et tu es venue ici à fond de train avant tous le monde, manquant de tuer la pauvre bête, hein ?

- Mais non ! Protesta-t-elle avec véhémence, ses joues se colorant d'une délicate nuance de rouge.

- Maman. Amaurëa te massacrera si sa wyvern est en train d'agoniser dans les rosiers de la cité.

- Mais elle va bien ! Elle était juste un peu essoufflée...

- Un peu ?

- Bon d'accord, elle était au bord de l'asphyxie. Mais elle va bien ! De toute façons, ton frère va venir avec les renforts, c'est Morquendi qui doit aller les chercher.

Je me tournais vers le concerné, lequel était d'ailleurs déjà en train de sortir. Il se retourna en attendant ma mère le mentionner et me souriat.

- Ils sont déjà près de la cité. Tu viens avec moi ? Tu n'auras qu'à m'attendre devant les portes.

J'acquiesçai vigoureusement, bondissant hors du lit... et manquant de m'écraser lamentablement. Mon nouveau chevalier servant en titre me rattrapa tout juste avant que n'aille baver amoureusement sur la pierre.

- Rappelle-toi que tes blessures ne sont pas tout à fait remises !

- La belle affaire. J'ai vu pire.

Prudemment, je me redressais, testant l'un après l'autre mes membres. A part une certaine raideur dans les jambes, j'étais en assez bon état. Et avant que ma mère ne puisse me plaquer sur mon lit, je m'empressais de fuir derrière Morquendi, Legolas sur mes talons. J'attrapais au vol mes bottes et les enfila en sautillant vaillamment derrière Morquendi, qui dut s'arrêter plusieurs fois pour m'attendre.

- Ma chère, qu'elle distinction, quelle classe, quelle...

- Tais-toi et marche, grommelais-je, clopinant aussi vite que je le pouvais.

- Et quelle amabilité !

- Je te hais.

- A ton service !

Ne daignant pas répondre, je le dépassais, la tête haute et la démarche aussi leste que me le permettais ma patte folle. Un rire étouffé derrière moi m'informa qu'une alliance masculine venait d'être scellée. Et merde.

Clopin-clopant, nous atteignîmes le premier cercle, où un écuyer attendait Morquendi, les rênes de son cheval enroulé autour du poignet. Mon ami le remercia d'un signe de tête et sauta avec légèreté en selle, rassemblant ses rênes avant de piquer des deux et de filer par les portes ouvertes. Effectivement, on voyait au loin la mince ligne de l'armée qui se rapprochait.

En fait, je me demandais aussi si l'autre de mes meilleurs amis, Yliana Mar'iposa, serait là. Dans le principe, son chef de division ne l'envoyait que peu en mission, à cause de sa nette tendance à ignorer royalement tout ordre ne l'intéressant pas. Mais bien entendu, la concernée allait dans les missions qu'elle voulait, endurant stoïquement à son retour les rugissements scandalisés de ses supérieurs hiérarchiques.

Un quart d'heure plus tard Morquendi revenait au grand trot, l'armée le suivant docilement. Il mit pied à terre à côté de moi, repoussant les quelques mèches qui s'étaient collées sur son front. Ne voyant pas mon amie, je l'interrogeais, arquant un sourcil :

- Et Yliana ?

- Son chef de division n'a pas voulu qu'elle vienne, m'annonça-t-il, grimaçant légèrement.

- Tu es prêt à parier combien qu'elle est dans le tas ?

- Il y a peu de chance, tous les soldats ont été contrôlés...

Une voix claire et chantante le coupa dans sa phrase, répliquant d'un ton narquois :

- Je ne respecte jamais les ordres, vous l'apprendrez bien assez vite.

AHA ! Je le savais !

Décochant un grand sourire triomphant à Morquendi, qui en restait comme deux ronds de flans, je clopinais vers la silhouette élancée d'Yliana. Ses courts cheveux noirs striés de mèches blanches se dressaient en épis à l'arrière et sur les côtés de son crâne, elle possédait toujours cette grâce nonchalante et féline qui l'avait sauvé plus d'une fois d'un estoc vicieux, ses yeux vifs et alertes passaient de l'armée à moi à une vitesse surprenante, et comme je le pensais, elle s'était encore une fois joué des ordres qu'elle avait reçus.

- Je le savais, que tu serais là, lui dis-je, croisant les bras une fois arrivé devant elle, un sourire en coin aux lèvres.

Elle esquissa à son tour une ombre de sourire.

- Evidemment...

Morquendi, resté un peu à l'écart, semblait toujours réfléchir au fait qu'Yliana avait filé entre les mailles de sa surveillance.

- Mais comment avez-vous...

- Laisse tomber, Morqu, l'avertis-je, devinant qu'Yliana ne dirait rien, avant de me retourner vers la concernée. Je suis vraiment ravie que tu sois là. Et je suis persuadée que tu sautille d'impatience à l'idée d'aller crapahuter gaillardement du côté du royaume de Sauron et de ses légions, hein ?

Elle hocha à nouveau la tête. J'oubliais de vous préciser qu'Yliana a une certaine tendance à parler relativement peu. Il était rarissime qu'elle enchaîne plus de trois phrases. Et encore.

- Tu me connais bien. Je commençais à rouiller à force de ne rien faire.

- Tu sais aussi qu'il y a toute les chances que nous mourrions dans d'atroces souffrances, en crachant tripe et boyaux ?

- Que pourrait-il y avoir d'autre là où tu te trouve ? Répliqua-t-elle avec un petit sourire goguenard.

- J'avoue. Mais la vie est tellement ennuyeuse, sinon.

Un mouvement près de moi me fit me retourner, pour découvrir Legolas, qui s'était rapproché entre-temps. Il salua Yliana à la manière elfe, s'inclinant légèrement, une main près du cœur. Ahem. J'avais oublié ce détail. C'est-à-dire mettre Yliana au courant de l'identité de mon nouveau compagnon.

Yliana s'était contenté d'hausser les sourcils, visiblement surprise, en détaillant Legolas. Elle me lança un regard interrogateur, sans rien dire d'autre.

- Hrrrmm, Yli, le prince des elfes sylvains, ça te dit quelque chose ? Lui demandais-je, m'éclaircissant la gorge.

- Legolas Greenleaf, fils de Thranduil et prince des Forêts du Nord non ? Débita-t-elle, l'air songeur, une main appuyée sous le menton.

- Oui. Tu en penses quoi ?

- Que veux-tu que j'en pense ?

- J'en sais rien, tu pourrais avoir envie de lui crever les yeux, de le mépriser, de détester sa race...

En fait, Yliana n'était pas exactement une elfe noire, mais une semi-elfe. Il était donc plus que probable qu'elle se moque de la race de Legolas comme de l'an 40.

- Je croyais que tu me connaissais mieux que ça, Efrazel. Bref, bonjour prince Legolas.

Ignorant l'air estomaqué de Legolas, qui était visiblement stupéfait qu'une elfe noire connaisse si parfaitement son identité, je repris :

- Juste pour m'assurer que notre ex-roi tyran et taré ne t'avait pas contaminé avec ses idées raciales ultrapoussée. Je te présente donc Legolas, mon... hrrrmmm, disons, fiancé non-officiel.

Elle manqua de s'étouffer avec sa salive, me fixant avec des yeux plus ronds qu'une orange bien mûre.

- Je te demande pardon ? Tu peux me répéter ça ?

Bonne chose, elle ne tenta pas de m'étrangler, ni moi, ni Legolas.

- Moi être avec Legolas Greenleaf. Moi savoir que moi me faire charcuter mais moi suicidaire. Toi comprendre moi ?

- Tu es une grande fille, tu fais ce que tu veux Efrazel. Tous mes vœux de bonheur.

Je sens comme une once de sarcasme dans cette voix... Hey, où est-ce qu'elle va ?

Laissant aussi sec mon cher et tendre ainsi que Morquendi, je rejoignis Yliana de toute la vitesse de mes jambes boiteuses.

- Tu m'abandonnes déjà ?

- Je vais voir la situation par moi-même, voilà tout. Tu boites comme un chien galeux, ajouta-t-elle, se tournant vers moi. Il t'est arrivé quoi ?

- Un wyvern à demi-crevé m'est tombé en plein dessus alors que j'étais sur le champ de bataille, et le choc a été assez rude. Bon, en fait, j'ai faillie mourir très indignement asphyxié dans la bave de wygern mais Legolas m'a gracieusement tiré de là.

- Poison ?

Gné ?

- Pardon ?

Elle me regarda de travers, l'air de dire "l'amour ne te rendrait pas idiote, des fois ?" avant d'articuler soigneusement :

- As-tu-é-té-vic-ti-me-du-poi-son ?

Aaaah ! Oui, je sais, je suis un tantinet longue à la détente. Et pas qu'un peu à vrai dire.

- Dieu merci, non. Mais le coup à la tête m'a irrémédiablement ôté une centaine de neurones.

- Vraisemblablement... Tu as eu de la chance, le poison des wyverns est mortel.

- Aragorn a traité tout le monde contre le poison, à ce que j'ai compris, à cause du Roi-Sorcier d'Angmar qui avait débarqué en milieu de bataille. Pour la bataille, tu seras à cheval ou à pied ?

Histoire que je sache si je pouvais compter sur un ange gardien de plus. On ne sait jamais. Surtout en étant à demi-morte.

- Peu importe. Tu sais que je suis aussi bonne cavalière que fantassin, me répondit-elle d'un ton neutre, continuant sa marche vers le dernier cercle.

- A cheval tu as plus de chance d'arriver la première pour tailler dans le tas, à pied tu as moins de risques d'être gênée. Pour ma part, j'ai trois jours pour me recoller la jambe, chasser le tambour qui joue joyeusement dans mes tempes et réussir à guérir mon dos sanguinolent.

- Tout va bien dans le meilleur des mondes, alors.

- Oh oui, je vais aller crever gaillardement face à des orques puants et grasseyant. Que demande le peuple ?

Nous continuâmes notre route, bavardant à battons rompus tout le long du chemin. Quand enfin nous atteignîmes les portes de la salle du trône, il me fallut réunir toute ma volonté pour éviter de souffler comme une forge, exténuée que j'étais. Reprenant ma respiration, j'ouvris en grand les portes, coupant net la conversation qui avait lieu. Avec un grand sourire et en ignorant royalement les mines surprises de mes compagnons, j'énonçais tout en avançant vers eux :

- Aragorn, sieur Gandalf, sieur Gimli, sieur Eomer, j'aimerais vous présenter une recrue de grande qualité.

J'aurais presque pu entendre les yeux d'Yliana rouler vers le plafond.

- Abrège les présentations s'il te plait. Je te rappelle que la situation est grave.

Sans blague ?

- Bien, chef, m'inclinais-je, désignant un à un les membres présents. Aragorn, Gandalf, Gimli, Eomer, je vous présente Yliana Mar'iposa, soldat dans l'armée Urulokienne.

- Enchanté, Dame, la salua respectueusement Aragorn qui avait repris entre-temps ses esprits.

- Yliana suffira. Quel est le plan ?

- Très simple : Nous nous masserons tout d'abord devant la porte. Ensuite, moi, Gandalf, Legolas et Gimli, ainsi qu'Eomer et Morquendi, iront en avant pour appeler la Bouche de Sauron. Après... advienne que pourra, il faudra avant tout provoquer le combat.

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Voilà !

Et bonnes fêtes à touuuus !

J'ai finis le chapitre cette nuit, en cadeau de nouvel An ;)

Basouille et à l'année prochaine !

Pegases