Je vous avez promis ;p…

Bonjour les gens ! Revoilà Eo pour une nouvelle fic, le fameux Heiderich 2, le prélude du « Heiderich » ! (publié APRES « Heiderich », admirez la formidable logique).

Donc, nous allons maintenant suivre, grâce à mon imagination débordante, l'adorable Alfons Heiderich de zéro à dix-sept ans. Dix-sept, hein, c'est bien ça ?

Alors, si je calcule bien… Et si mon quota d'invention me le permet… Je posterai ici même dix-sept one shots, courtes, parfois même très courtes (ahem… pas par paresse, mais certainement par manque d'idées, et encore plus certainement par manque DE TEMPS), relatant grands moments ou petites anecdotes de ce qui aurait pu être l'enfance et la vie de ce jeune allemand gentil naïf mignon et tout et tout.

On commence petit, très petit (dans les deux sens du terme, héhé)… Quelques lignes pour un grand moment, quand même ! lol.

Voilà voilà, et avant de vous laisser lire, le célèbre disclaimer obligatoire, forcément… Mais tout le monde sait, de toute façon, que je n'écris pas dans un but lucratif (cela dit j'aime être payée en reviews) et l'univers et les personnages de Fullmetal Alchemist ne m'appartiennent en aucune façon. Dommage ui…

Allez mes chers, le premier chapitre, après tout ce blabla fatiguant !


1/J'arrive.

Des cris.

Des hurlements.

Et lui, immobile, devant la porte, cette grande porte à double battants, brune et rouge, qui lui semble immense, tellement immense…

Il transpire. Des sueurs froides. L'angoisse lui tort les entrailles. Il se mord distraitement la lèvre, les yeux dans le vague. Il l'entend gémir de douleur de l'autre côté. Et ces gémissements lui déchirent les oreilles.

Pourquoi tant souffrir ? Pourquoi est-ce si difficile ?

Bon sang…

Et d'ailleurs, depuis combien de temps cela dure-t-il ? La trotteuse de la pendule tourne, tourne sans cesse, dans un tic-tac effréné, agaçant…

Oooh, Seigneur bien-aimé, ayez pitié. Faîtes qu'elle vive. Faîtes qu'il vive aussi. Après tant de mal, cela serait trop idiot…

Enfin, on lui ouvre. On lui dit qu'il peut la voir. L'infirmière affiche un grand sourire :

« Venez, Herr Heiderich. C'est un petit garçon. »