Nom de l'auteur: Oximore

E-mail: blood-stonehotmail.fr

Titre de la fic: Terra Master

Résumé: Oula, alors Harry est un demi elfes dryade qui va par hazard rencontré un prince elfe silvestre des plus arrogant avec il va être plus où moins obligé de s'allier pour échapper à un Tom Marvolo Riddle plus libidineux que jamais aidé par sa mère et les Weasley, chef des dryades, la fée Hermione, le vampire Sirius, ect...

Personnages: Ceux de J.K.Rowling et tout les autres sont de mon petit cerveau, dont pas touche sans autorisation!!!

Couples: DragoXHarry, GinnyXHarry, SiriusXRemus et bien d'autres. ;-)

Rating: sans doute du NC-17 (M) mais comme d'habitude c'est pas pour tout de suite (c'est même pour dans très très longtemps lol).

Slash: oui

Genre: aventure, fantasy et romance, c'est un UA (univers alternatif) donc beaucoup de modifications par rapport à l'histoire de J.K.Rowling mis à par les persos et leur liens (même s'il sont revu à ma manière).

Disclamer: Nouvelle tragique, les personnages ne son pas à moi sauf quelques un. Attention, pour ceux qui connaissent j'utilise également dans cette fic des citations et des termes tirés de la série de romans Dune de Frank Herbert (absolument géniale). Mais l'histoire est de moi.

Note : Je suis à la recherche d'une courageuse bêta-lectrice pour cette fic, si quelqu'un se sent près à assumer ce boutot titanesque se serait avec un plaisir sans non au vu de ma nullité en orthographe!


TERRA MASTER.


Chapitre1: La grande tempête.


Harry, Ron, Ginny et les jumeaux parcouraient la forêt de Malkouth, forêt des elfes dryades, à la recherche d'une licorne depuis plusieurs jours.

Les Vestales du clan avaient annoncé l'arrivée dans peu de temps d'une grande tempête et le chef du clan, l'elfe dryade Weasley avait décidé de les envoyé en mission afin d'annoncer la nouvelle à toute les créature magique qui se trouvaient au Nord de la frontière avec la foret de Kether, la forêt des elfes silvestres, le clan elfique dominant des territoires de Muyao, le grand territoire elfique.

Ils avaient déjà prévenus toutes les créatures vivant sur ce territoire, les hamadryades, les peuples ailés, les satires avaient été prévenus -le moment le plus angoissant avait sans aucuns doutes été celui chez les satires, Harry, Ginny et les autres se demandant si les satires qui les somptemplaient avec concupiscence n'allait pas se concerter pour leur sauter dessus. Il ne leur restaient plus que les licornes à prévenir.

Comme à chaque hiver, les tempêtes de neige allaient revenir pour dévaster la forêt.

Personne ne pouvait survivre dans une tempête, elle était trop violente, tros dangereuse. Lorsqu'elle se déclanchait, la seul solution était de se terrer sour une des énormes racine des arbres gigantesque de la forêt.

Rapides et légers, les quatre elfes dryades avançat dans la neige qui recouvrait tout, bien au chaud dans leur tunique lamed, qui leur permettait de garder au maximum toute la chaleur de leur corps. Ils portaient en plus de cela de grandes capes de fourrure qui achevaient de les protéger du froid glaciale qui préscédaient les tempêtes.

-Mais où peuvent bien être passé ces foutues licornes!!! ruminait Ron en observant à droite et à gauche pour ne voir que l'immensité blanche de la forêt.

Ginny secoua sa cheveulure flamboyante -comme l'étaient celles de toutes les elfes dryades- et laissa échappé un rire cristallin.

-Ron, tu sais bien que les licornes n'aiment pas les gens bruyants! De plus elles ne se laisse jamais approché par les humains!

-Vraiment? Demanda Harry de sa voix flutée où perçait l'inquiétude. Je n'aurais peut être pas dû venir alors...

-Ne dis pas n'importe quoi, dirent les jumeaux, tu sais bien que les licornes t'ont toujours accepté! De plus, Ron est bien plus bruyant que toi, c'est à ce demandé si ce n'est pas plutôt lui le sang mélé!

Ron devint très rouge et bougonna quelques chose qui ressemblait à des reproches. Harry se rapprocha de lui avec sa légèreté habituelle et posa son bras autour des épaules de son ami.

-Ne les écoute pas! Lui dit-il de sa voix chantante à l'accent étrange. Tu sais bien qu'ils ne disent cela que pour t'ennuyer! Ils ne ratent jamais une occasion!

Un sourire vint éclairé le beau visage sans taches de rousseur de Ron et il hocha la tête. Il allait répondre à Harry lorsqu'un vent glaciale les transperça tous.

Il observèrent l'horizon et virent que la grande tempête était à quelques kilomètres à peine et se rapprochait dangereusement vite.

-Vite! On se donne tous la main! Il faut que nous restions groupés le temps que nous trouvions un abrît!!! hurlèrent les jumeaux en se donnant mutuellement la main et en prennant, l'un celle de Ron l'autre celle de Ginny.

Ginny tendit sa main vers Harry qui la prit en remettant, tout comme ses compagnons, la capuche de sa cape sur son visage et en resserant son lamed du mieux qu'il le pouvait. La peur déjà commençaient à se lover en eux sans qu'ils arrive à la retenir. Ginny se rememora quelques principes de base de son éducation de Vestale et parvint à faire revenir un peu de calme en elle mais elle fut la seule, et son calme était précaire.

A peine quelques minutes plus tard, ils étaient pris dans l'effroyable violence des grande tempête hivernale.

S'ils voulais survivre, ils devaient trouver un endroit où se cacher le plus vite possible. Ils commencèrent donc à avancer dans la tempête, sans voir se qui se trouvait devant eux tant la tempête était terrible. Ils manquèrent de se prendre plusieurs arbres, qu'ils ne repéraient qu'au dernier moment.

La tempête était arrivé beaucoup plus tôt que prévus.

Le vent atteindrait bientôt une puissance mortelle, environ sept cent ou huit cent kilometres heures. Des humains serait déjà morts. Mais ils étaient des dryades, et possédaient un lien avec le vent qui leur permettaient d'affronté sa colère. Cependant, ils ne supporteraient pas une telle puissance encore longtemps. Harrry serrait la main de Ginny de toute ses force, et celle ci faisait de même, mais le vent qui tentait de les séparer revenait encore et toujours à la charge, et leur résistance était chaque fois plus faible.

Cela ne faisait pas dix minute qu'ils étaient dans la tempête et leurs muscles étaient déjà douloureux. George cria quelque chose mais ni Ginny ni Harry ne l'entendirent, le vent qui hurlait dans leur oreille était beaucoup trop fort. Ginny se sentit tirée sur la droite et ce fut à ce moment là que tout se joua. Profitant de cet instant de relachement, le vent s'engouffra entre leur deux mains et Harry se retrouva brusquement à serré le vide.

-Harry!!! hurla Ginny à plein poumon, des millier de flocons de neige s'engouffrant immédiatement dans sa gorge et le vent manquant de l'étouffer.

Elle avait été stupide de crié mais cela avait été un reflèxe, le cri était sortit du plus profond d'elle même.Elle savait pourtant mieux que quiconque qu'il ne fallait pas ouvrir la bouche dans la tempête. De plus, cela ne servait à rien car le vent avait dû couvrir sa voix, et ce même si Harry se trouvait juste à côté d'elle. Elle ouvrit un peu les yeux pour regarder en espérant voir Harry mais elle ne vit rien d'autre que du blanc. Et la main qui serrait sa main droite continuait à la tirer vers un abris de racines.

De son côté, Harry était déboussolé.

Sans la main de Ginny, il avait perdu les autres. Et le vent lui brisait les tympan! Malgré son lamed, il sentait le froid terrifiant s'insinué lentement en lui. Il n'était qu'à moitié dryade, de se fait, il n'avait qu'une moitié de lien avec le vent. Combien de temps pourrait-il tenir seul dans la tempête? Son raisonnement lui parut soudainement stupide. Pourquoi cherchait-il à calculé ses chances de survit alors qu'aucun dryade n'avait jamais survécus seul dans la grande tempête de neige? Surtout un demi elfe tel que lui! Il n'avait aucune chance!

Harry sentit la peur, sa vieille amie, se glisser entre ses intestins et s'y loger. Il ouvrit ses yeux émeraude et tenta de regardé autour de lui. Peine perdue.

Blanc, blanc, blanc! Tout était blanc!

Il ne distinguait même pas ses propre pieds alors pour ce qui est d'appercevoir ses compagnons... Et il savait que ces derniers ne s'arrêteraient pas pour deux raisons.

La première était que même si Ginny avait crié lorsque leur mains s'était laché -ce qu'il était sur qu'elle avait fait- aucun de ceux qui les tiraient ne l'aurait entendu dans la tempête. La seconde était que de toute façon, ils ne pouvaient pas prendre le risque de partirent à sa recherche dans la tempête s'ils avaient apperçut un abrît, car ils risqueraient de se perdre à nouveau dans le chaos.

Harry était donc seul, totalement seul.

Mais se n'était pas la première fois, cela lui rappellait ses douze ans, la mort de son père, la peur, la solitude. Encore. Il avança, à l'aveugle, ignorant le froid qui remontait insidieusement de ses pieds vers ses genoux. Dans peu de temps il le savait, il ne sentirait plus la partie infèrieur de ses jambes. La peur sursauta violément en lui, tordant ses intestints, envahissant son esprit, perturbant son raisonnement, ses calculs de possibilités. Mais il se rappella les instructions de sa mère et la litanie des Vestales lui revint.

« Je n'aurais pas peur. La peur c'est la mort de l'esprit. »

Il continua à avancer, utilisant les quelques sens dont-il pouvait se servir dans cet enfer blanc, se forçant à ne pas paniquer par la privation des trois principaux, la vue, l'ouïe et l'odorat. Il ne pouvait se baser que sur le toucher, le goût était inutile ici. Il continuait à se répéter la litanie Vestale de sa mère, et la peur refluait, disparaissait progressivement, laissant son eprit clair, détaché de son corps.

« Je n'aurais pas peur, car la peur tue l'esprit. La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. J'affronterais ma peur. Je lui permettrais de passer sur moi, au travers moi. Et lorsqu'elle sera passer, je tournerais mon oeil intèrieur sur son chemin. Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi. »

Harry continua à avancer vers le nord. Il savait qu'il allait vers le nord. Comment il le savait, lui même aurait été bien incapable de le dire mais il le savait.

C'était ainsi depuis toujours, des choses lui venait parfois à l'esprit sans qu'il sache ni comment ni pourquoi, la seul chose qu'il savait était que c'était vrai. Et d'après ses calculs, puisque la tempête venait du nord, c'est en continuant dans cette direction qu'il pourrait en sortir le plus vite possible, puisque la tempête allait dans la direction opposé.

Maintenant, il ne sentait plus ses jambes des pieds jusqu'aux genoux. Et il savait que le froid allait continué à monter. Pourtant, il ne changea pas son allure, continuant à suivre le rythme du vent, comme le faisait les dryades.

Il fallait qu'il tienne. Il calcula mentalement le temps pendant lequel il pourrais aproximativement survivre, en tenant compte de sa résistance, de son poid, de se qu'il avait mangé et le mit en parallèle avec les durées moyennes des tempêtes. Ce serait juste. Très juste. Et s'il c'était trompé, ne serais-ce qu'un tout petit peu dans ses calculs il risquait de mourir, mais cela lui semblait plus intelligent que de se perdre à nouveau dans la tempête et d'épuiser ses chance en cherchant un abrit qu'il ne trouverait peut être pas. Mieux valait continuer.

« Je n'aurais pas peur, la peur c'est la mort assurée. J'affronterais ma peur, je la laisserais passer à travers moi. Je n'aurais pas peur, la peur c'est la mort assurée. J'affronterais ma peur, je la laisserais passer à travers moi! »

Il avait du mal à respirer, et tentait tant bien que mal de faire comme on le lui avait enseigné. Respirer entre deux hurlement du vent, jamais pendant, car alors le vent s'engouffrerait dans ses poumon pour l'étouffer. Il remonta le haut de son lamed sur son nez, ne laissant visible que ses yeux, afin d'éviter l'étouffement, même s'il se trompait dans ses respirations. Il continuait à utiliser son esprit de façon à ne pas sombrer dans l'inaction, et à s'endormir, ou à s'évanouir.

Les principes de survie que lui avait inculqué son père se mélangeait à l'éductation Vestales de sa mère, créant dans son esprit une alchimie étrange, presque effrayante, qui lui permettait de tout évaluer. Il se rappelait à présent les préceptes de survie de son père, sans arrêté d'avancer.

« Ne jamais rester inactif. L'inaction te conduirais à une perte d'attention qui pourrais t'être fatale. Préfère toujours l'action dans les moments critique, même la plus pèrilleuse action plutôt que tranquillité de l'esprit. Cela te conduirais à ta propre destruction. »

Harry ne sentait maintenant plus ses jambes ni ses bras.

Mais il continuait. Son esprit, lui, continuait à fonctionner et tant que cela durerait, il pourrait avancer. Car c'était l'esprit qui commendait au corps et non l'inverse, comme le pensait les humains et les faibles. Sa respiration avait perdue le rythme, il le savait, et cela reduisait ses chances de survit. En plus, si il survivait, il ne savait absolument pas où il allait se retrouver. Et si il sortait de la forêt des dryades?

Il secoua la tête.

Cela ne servait à rien de s'inquiété à se propos, il aurait tout le temps de le faire plus tard s'il survivait. Il calcula à nouveau le temps approximatif qu'il lui restait. Il avait déjà tenu vingt minutes. En moyenne, une tempête durait plusieurs jours mais elle se déplaçait très rapidement. Même si elle étaient énorme, elle étaient si rapide quand environ trois quart d'heure elle quittaient une zone. Et puisqu'il avançait en sens inverse, il lui restait environ un quart d'heure à tenir et se serait bon.

Il fallait juste qu'il tienne encore un peu.

Il savait se que signifiait le fait de ne plus sentir ses membres, de les forcer ainsi à continuer. Ils étaient en train de geler, de se nevroser, et ils seraient peut être morts une fois la tempête finie. S' il survivait à la tempête.

Il se demanda si Ginny et les autre étaient sauvés. Surement. Ils étaient de véritables dryades, et pas des demi-elfes comme lui. Et ils savaient qu'ils n'étaient pas repartis le chercher. Principes de survie avant tout. Il le savait mieux que quiconque pour les avoir déjà mit en principes lorsqu'il avait douze ans.

Le froid envahissait à présent sa poitrine. Il pensa à son père. Son pauvre humain de père mort pour le protéger lorsqu'il avait douze ans. Il avait donc du rejoindre sa mère chez les dryades, seul. Son parrain n'avait pas pu l'aider, il avait alors trop de problème. Puis il pensa à sa mère, si belle dryade. Elle avait tellement pleuré lorsqu'elle l'avait vu arrivé, à moitié mort de faim. Elle avait tout de suite compris que l'humain qu'elle avait aimé était mort. Qu'il ne lui restait plus que ce fils.

Longtemps, il en avait voulu à sa mère, persuadée qu'elle l'avait abandonnée, qu'elle ne voulait pas le voir. Pourquoi douze ans sans qu'elle se soucie de lui ou de son père? Parcequ'il était un simple sang-mélé? Mais lorsqu'il l'avait vu, il avait comprit pourquoi. Sa mère était une Vestale, elle ne pouvait pas quitter son clan pour vivre avec un humain. Et son père était un humain, la vie avec les elfes dryades lui avait été interdite.

Et son père l'avait prit avec lui, alors qu'il n'était qu'un bébé, refusant de le laisser dans le clan où il serait toujours vu que comme un sang mélé. Mais lorsqu'il était mort, Harry n'avait eu d'autre choix que de se refugier chez sa mère qui l'avait accueillit comme le messie. Elle avait été si heureuse de revoir son fils adoré, son bébé! Même si les gens murmuraient sur leur passage, même si on l'appellait le sang mélé, même si on le meprisait.

Et, par miracle, la famille qui dirigeait le clan, les Weasley, s'était pris d'une grande affection pour Harry. Il était le meilleur ami de leur sixième fils, Ron, et leur fille Ginny était quasiment sa compagne. Harry ne put s'empecher de penser que Ginny risquait de faire la gueule si son promit revenait avec deux ou trois membres en moins et cette idée le fit sourire malgré la situation dans laquelle il se trouvait.

Il refit un bref calculs. S'il ne c'était pas trompé, plus que cinq minute à tenir.

« Si je reste en vie, je jure que j'aurais quelques question à poser à mère sur le pourquoi de mes connaissances. Pourquoi moi, pauvre demi-elfe, réussirais là où aucun elfe véritable, silvestre où n'on, n'a jamais réussi? »

Et brusquement, il ne sentit plus ni le vent, ni le froid. La tempête était passée. Il se retourna et la vit qui fillait, continuant son chemin, et il sut qu'il ne c'était pas trompé. Il était épuisé mais vivant.

« Mais pour combien de temps? Se demanda t-il. »

Il regarda autour de lui mais ne reconnaissait rien. Il était en territoire inconnu. Sans doutes chez les elfes silverstre, le clan dominant des elfes de Muyao, qui habitaient la forêt de Kether, bien plus sure que celle de Malkouth, qui elle récoltait la plupart des catastrophes naturelles.

« Il ne faut pas voir les conditions de vie de la forêt de Malkouth comme une malédiction, lui disait toujours sa mère, au contraire, elles sont ce qui permet à notre peuple de se renforcer d'années en années. Ainsi, en nous accoutumant à vivre dans des conditions extrêmes, nous constituons un peuple extrêmement puissant, qui pourrait égaler la puissance des elfes silvestre. Car seul les forts survivent en Malkouth. »

Un léger rire le secoua. Apparement, les leçons de sa mère combinées à celle de son père avaient eu un résultat imprévus. Leur fils avait surpassé les plus puissants de chacuns de leur peuple, il avait survécu à la grande tempête. Il essaya de résister à la faiblesse qui s'emparait à présent de lui, il fallait qu'il trouve un abrit, il ne savait pas où il était, l'endroit n'était pas sur.

« Le sommeil est un état dangereux pour l'imprévoyant. »

Les paroles de son père raisonnèrent dans son esprit avant qu'il ne s'évanouisse dans la neige, à bout de forces.


Tadam! Voilà un premier chapitre qui commence en fanfare. Mais il fallait bien commencer pas quelque chose non? Alors, que penser vous de ce premier chapitre? Au fait, je m'inspire également des oeuvres de Pierre Bordage pour ce qui est des préceptes des parents de Harry, je n'ai pas la maternité de ces théories (mais je les approuve! -)! Dans le deuxième chapitre, on rencontre enfin Drago!

Voili voilou! J'espère que ça plaira, personnellement je prends beaucoup de plaisir à l'ecrire même si l'intrigue va être très complexe! Pour le M (lemon et compagnie, ce n'est pas du tout pour maintenant mais je mais tout de même le rating histoire de ne pas avoir de problème pour le language ou quoi que se soit d'autre.

Des rewiews pour savoir ce que vous en pensez seraient bienvenue