Salut, c'est moi Saïzo, la chieuse ; I am back ! J'espère retrouver tous mes lecteurs, et tous mes reviewers dans cette nouvelle partie de la saga (africa, --), lol, mouais, cette partie s'intitule « Une quête de vengeance », en voici le chapitre premier.

Il avançait à pas pressés dans les geôles du sombre repaire, il venait d'être appelé par son maître. Il devait se dépêcher, il était en retard, et par les temps qui courraient, il était très dangereux, voire inconscient de provoquer la colère de Lord Voldemort. Il passa devant le cachot où cette stupide gamine s'était faite torturer il y avait deux ans de cela. Il s'arrêta un instant, observant la pièce vide. Pourquoi pensait-il à ça maintenant ? Ce n'était guère le moment, et puis, cette saleté d'enquiquineuse avait disparu depuis ce temps-là. Il ne l'avait jamais revue depuis ce fameux soir. Et c'était tant mieux : le sentimentalisme de cette fille était ridicule et … dangereux, songea-t-il en se souvenant de sa propre conduite. Il n'avait toujours pas compris comment il avait pu en arriver là ! Et très franchement, il se sentait libéré d'un poids depuis qu'elle avait disparu ; elle n'était plus sous sa responsabilité ; après tout, il n'avait jamais aimé jouer les baby-sitters. Il reprit sa progression dans les sous-sols…. Cependant, il ne pouvait s'empêcher de se demander, et chaque fois avec un poids d'origine indéterminé dans la poitrine, ce qu'elle était devenue. Après ce qu'elle avait traversé, elle avait sûrement dû se couper du monde sorcier, et essayer de se reconstruire…. ailleurs. Elle était tellement désemparée lorsqu'il l'avait quittée ; il avait conscience d'y être allé très fort, toutefois, même s'il savait qu'une partie de ses dires était fausse, il savait que c'était nécessaire. Il ne fallait pas qu'elle continue plus longtemps à faire fausse route en s'accrochant à lui, il n'était pas celui qui pourrait l'aider, il ne voulait pas l'être, et puis il ne le pouvait pas car…. elle ne savait pas, non elle ne le savait pas. Elle n'aurait pas réussi à reprendre un cours de vie normal. Mais, y était-elle parvenue ? Et puis, qu'est-ce que ça pouvait lui faire ? Il en était débarrassé et ne s'en portait que mieux, il avait l'esprit plus libre. Il s'était surpris à penser à plusieurs reprises, qu'elle était devenue trop envahissante.

Son anxiété augmentait au fur et à mesure qu'il avançait vers la salle de réunion. Qu'allait-il encore lui demander ? Il poussa la porte de chêne, et aussitôt s'agenouilla devant le haut fauteuil en velours noir du Seigneur des Ténèbres, tourné vers une immense cheminée en marbre de même couleur.

- Relève-toi, Severus, fit la voix sifflante à peine plus élevée qu'un murmure mais parfaitement audible de part le silence terrifié qui régnait dans la pièce.

Ce faisant, il remarqua que de nombreux mangemorts étaient déjà là. L'un d'entre eux se tenait à côté du bras de fauteuil droit de l'homme à tête de serpent, encapuchonné. Il réalisa à quel point il les avait fait attendre.

- Veuillez pardonner mon retard, commença Rogue.

- Je suppose que ce vieux fou avait une mission de la plus grande importance à te confier.

Il eut un rire à glacer le sang, mais lui, n'avait plus peur de ce rire, depuis le temps qu'il le côtoyait, il avait appris à distinguer les bons des mauvais signes du Lord.

- Dire qu'il te croit encore dans sa poche… ce n'est qu'une question avant que Poudlard, sa pseudo forteresse ne tombe, fit-il de sa voix sifflante. Pour ce faire, je vais avoir besoin de mes meilleurs mangemorts. C'est pour cela-même que je t'ai venir ce soir. Vous allez devoir unir vos forces. Je vous ai tous rassemblés ici, pour vous présenter enfin ce membre d'exception dont vous entendez parler depuis quelques mois.

Tous savaient pertinemment de qui il s'agissait, bien que personne ne l'ait jamais vu. Pas même lui. Tout ce qu'il savait de cet homme, c'était les louanges qu'en faisait le Lord. Tous ses mangemorts subissaient constamment la comparaison avec ce dernier. Un jour, il avait même suggéré au maître des potions de suivre son exemple, tant sa cruauté était grande : on disait qu'il torturait et tuait ses victimes avec un sang froid et un plaisir devenus légendaires au sein de la communauté des mages noirs. Leur animosité envers ce dernier n'en était que plus grande. Tous le détestaient cordialement tant le Seigneur des Ténèbres vantait ses mérites. Quant à lui, il éprouvait un dégoût profond envers cet individu qui tuait sans sommation les gens les plus innocents. Lors de la cérémonie d'initiation, chaque nouveau serviteur du Lord devait prouver son allégeance en supprimant une cible désignée par Voldemort lui-même. Ce sorcier, avait massacré un enfant, une fillette à peine âgée de six ans. La mission qu'il avait reçu de l'Ordre était de l'éliminer. Jamais on n'avait vu telle boucherie que depuis que le Lord le comptait dans ses rangs. Il semblait d'ailleurs jouir d'un certain prestige auprès de ce dernier, ce qui faisait que tous ses adeptes le jalousaient. Rogue soupçonnait d'ailleurs que ce soit pour cette raison qu'il le tenait éloigné des autres. Tout puissant qu'il était, il ne pourrait réchapper à la jalousie meurtrière de plusieurs dizaines de mangemorts.

- Vous pouvez retirer vos masques, reprit la voix caverneuse.

Tous s'exécutèrent hormis l'homme qui se tenait à ses côtés.

- C'est avec une grande fierté que je vais vous présenter mon délicieux mangemort, siffla-t-il avec un sourire horriblement malsain en accentuant sur l'avant-dernier mot de sa phrase. Montre ton visage ! intima-t-il au sorcier qui se tenait à ses côtés.

D'une main, il saisit son masque, lentement, et le retira, sa tête toujours inclinée vers l'avant de telle sorte qu'on ne pouvait distinguer ses traits. Lentement toujours, il fit glisser la cagoule vers sa nuque pour finalement relever son visage méprisant vers l'assemblée des adeptes qui avaient commencé à murmurer des commentaires surpris entre eux. Il mit un certain temps à réaliser qu'il s'agissait d'une femme. Pendant un instant, il crut être sujet à une hallucination en voyant se profiler le faciès de Bellatrix Lestrange…..non, …. C'était « Elle ». Sa respiration se coupa net comme s'il avait reçu un coup violent dans la poitrine, lorsqu'il la reconnut. Que faisait-elle dans cet endroit ? Il ne pouvait pas y croire. La jeune file si timide et sujette à la sensiblerie qu'il avait connu lors de sa scolarité à Poudlard, se tenait à présent debout, droite, devant lui, un air impérieux, l'orgueil était peint sur son visage, et ces deux ans d'absence semblaient avoir gravé sur son faciès un air de fière supériorité désemparant. Son visage était celui d'une enfant qui avait vieilli trop vite, elle paraissait bien plus adulte que lors de son ultime année d'école. Elle faisait également bien plus hautaine et arrogante qu'à l'époque, ses cheveux noués en catogan sur sa nuque, laissant échapper quelques mèches éparses qui lui donnaient un air sauvage, sournois. Elle faisait montre d'une assurance déconcertante. Il fit de son mieux pour ne pas paraître choqué ou surpris, mais il avait du mal à croire toutes les horreurs que Lord Voldemort se plaisait à lui attribuer. Et…. Ce qu'il avait encore plus de mal à comprendre, c'était ce qu'elle faisait dans les rangs de ce sorcier qu'elle prétendait tant haïr. Comment avait-elle pu échouer ici ?

- Je conçois que pour certains d'entre vous, les présentations n'ont nul besoin d'être faite, sourit-il d'un air machiavélique en lançant un regard sournois à Lucius Malefoy ainsi qu'au maître des potions. Pour les autres, voici Elodie Merson, une jeune recrue pleine de promesses, déclara-t-il avec un rire effrayant.

Le regard de cette fille avait changé en quelques mois, il n'y avait pas si longtemps, elle osait à peine poser ses yeux sur lui, et encore, c'était avec crainte, alors qu'à cet instant précis, elle le toisait avec tout le mépris que ses yeux bruns étaient capables d'exprimer. Ce regard lui était insupportable ; il le plongeait petit à petit dans l'irritation qui se mua en une colère noire et grandissante. Il ne savait d'ailleurs pas pourquoi il se sentait si irrité. Voldemort posa une main blanchâtre et monstrueuse sur celle de la jeune femme. Il aperçut l'espace d'une seconde, une moue de dégoût sur son visage, mais elle se reprit aussitôt.

Lorsque le Lord les laissa partir, il rejoignit son bureau à Poudlard. Les questions sans réponses affluaient dans sa tête… cette fille… il fallait absolument qu'il mette Dumbledore au courant. Il n'aurait rien pu leur arriver de pire. L'ennemi derrière lequel courrait désespérément l'Ordre depuis plusieurs mois, pour l'empêcher de nuire, était cette petite peste de Gryffondor prétentieuse. Même lui, qui faisait pourtant partie des agents de Voldemort, n'avait jamais réussi à mettre la main sur cet ennemi invisible dont il n'apprenait les sévices qu'une fois qu'ils étaient accomplis. Et maintenant, qu'ils l'avaient enfin trouvée, il fallait que ce soit elle. Pas tellement, personnellement, que ça l'aurait dérangé d'avoir à la tuer, mais…. Le directeur y verrait certainement une objection à présent. Toutefois, selon lui, cela ne changeait rien à la donne ; si elle continuait à agir de la sorte, il faudrait s'en débarrasser, et au plus vite.

- J'ai beaucoup de mal à croire ce que vous m'apprenez Severus !

- Croyez bien que je n'en suis pas enchanté non plus, monsieur le directeur !

- Comment cette enfant aurait-elle pu commettre de telles atrocités, dit le directeur le regard figé sur son bureau.

Le voir dans de tels états relevait du domaine de la rareté la plus extrême.

- Je refus de croire que cette petite qui a tant souffert à cause de Voldemort, se soit finalement rangée à ses côtés…. Etes-vous bien certain de ne pas vous être trompé ? demanda-t-il sans conviction.

- Allez plutôt poser la question à Lucius Malefoy ! Vous auriez dû voir sa tête lorsqu'il l'a reconnue.

- Dans ce cas, continua Dumbledore d'un ton tristement déterminé, nous n'avons pas le choix ! Menez à bien votre mission ! C'est malheureux à dire, mais si elle continue de tuer, il nous faudra agir ! J'ai du mal à croire qu'elle ait pu tant changer ! finit-il en passant une longue main aux doigts fins et noueux sur son visage las et ridé.

- Ce n'est pas tout, monsieur le directeur ! reprit Rogue, ce qui eut pour effet d'afficher sur son faciès une expression encore plus soucieuse. Les informations que Potter a eu l'imprudence de lui divulguer lors de son année d'étude ici, en font un réel danger. Je me demande d'ailleurs si ce n'est pas ce qui expliquerait la terrible avancée dans les plans du Seigneur des Ténèbres ces derniers temps.

Une faible lueur éclaira alors le visage du vieux mage.

- Si ce que vous envisagiez était vrai Severus, Voldemort serait déjà parvenu à ses fins depuis longtemps.

- J'avoue ne pas savoir monsieur le directeur ! Tout ce que je sais, c'est qu'elle n'est plus la même, quelque chose a profondément changé dans sa manière d'être, murmura-t-il en fronçant les sourcils.

- Severus, même si je conçois le fait que les changements dans son comportement sont assez conséquents, je tiens tout de même à lui accorder le bénéfice du doute.

- Sauf votre respect, je trouve ridicule cette manière de toujours accorder une seconde chance….. cette fille a commis nombre de crimes inqualifiables.

- Vous avez aussi bénéficié de ce côté un peu idiot de ma personne, se moqua-t-il.

- Vous n'étiez pas là, s'énerva-t-il sa lèvre supérieure tremblant dans un mouvement de rage incontrôlable, vous ne l'avez pas vue afficher cet air arrogant et supérieur devant les autres mangemorts !

Le vieux sorcier eut un sourire triste.

- Ca lui ressemble, dit-il l'air pensif…… Moi, je me souviens uniquement de l'expression de son visage lorsqu'on lui a annoncé le décès de sa famille, on ne devient pas ainsi sans une bonne raison, … n'est-ce pas, Severus ?

- Elle n'est pas la seule à avoir subi des pertes, vociféra-t-il. Ne serait-ce que le dernier jour de cours de cette année-là, une famille toute entière a été massacrée, et depuis, on recense de plus en plus ce genre de cas !

- Pour l'instant, reprit froidement Dumbledore, l'interrompant, surveillez-la uniquement, et si elle récidive, vous devrez être en mesure…. de la neutraliser. Je sais que ce n'est pas une tâche facile à accomplir pour vous, mais, je sais aussi que l'on ne subit pas des changements aussi significatifs sans une raison valable.

- Rien ne me ferait au contraire plus plaisir que de faire disparaître ce sourire arrogant de son visage !

Celui du vieux mage s'assombrit.

C'était les vacances scolaires d'hiver, depuis quelques jours déjà. Dumbledore lui avait demander de la retrouver pour la surveiller de près. Il traversait le repaire des Mangemorts à grandes enjambées, il ne la trouvait nulle part. Il décida de se renseigner auprès d'un partisan, qui lui déclara, avec un sourire carnassier, que la principale intéressée était en train de s'évertuer à faire parler leur toute dernière capture. D'après ce qui se disait, ses « méthodes » d'extraction verbale étaient assez efficaces et dissuadaient tous ceux qui en avaient été témoins, de conserver le moindre secret. Ces bains de sang avaient même réussi à écoeurer certains mangemorts. Les geôles ici, étaient encore plus sombres que celles de Poudlard. Dans les cachots les plus profonds, lui avait-on dit. Plus besoin d'indications ; au fur et à mesure qu'il avançait, les cris guidaient ses pas : il pressa le pas pour finalement ouvrir à la volée, la porte de la salle de torture, sur un spectacle à vomir. Au centre de la pièce, se trouvait un jeune homme enchaîné et recouvert d'héquimoses. Il régnait dans le cachot, une odeur pestilentielle de pourriture et de sang. Il le reconnut : il s'agissait d'un ancien élève de Poudlard, il était étudiant dans sa maison, cinq ans plus tôt. C'était un malfrat de premier ordre ; il n'aurait jamais songé à s'allier à Dumbledore. Il la soupçonnait de le torturer pour son seul plaisir. Il remarqua un long et épais filet de sang qui déchirait ses abdominaux : il avait été éventré. Malgré tout, il était encore vivant, et sanglotait d'une voix aigue, se tortillant en tous sens pour faire en sorte que ses tripes ne sortent pas de son corps. Sur le coup de la surprise, la jeune femme s'était retournée vivement, son visage et ses mains maculés du sang de sa victime. Elle le toisait à nouveau de son regard méprisant. Il s'était figé, ça faisait longtemps qu'il n'avait pas contemplé pareille boucherie. Voyant l'effet produit sur le nouvel arrivant, elle retourna à son occupation première avec un sourire mauvais.

- Je t'avais pourtant prévenu, lâcha-t-elle d'une voix lourde en donnant détachant le jeune homme qui s'écroula à même le sol. Tu aurais mieux fait de parler tant qu'il en était encore temps, ronronna-t-elle en lui donnant un coup de pied dans le ventre, l'enfonçant à moitié dans ses entrailles, sous le cri déchirant du jeune homme qui rejeta une gerbe de sang. Maintenant, reprit-elle d'une voix au timbre métallique, c'est trop tard !

Elle retira son pied du corps du prisonnier et s'accroupit près de lui, le tirant par les cheveux, lui susurra à l'oreille en lui mordant le lobe :

- Maintenant, tu vas mourir, lentement…. Et ne compte pas sur moi pour abréger tes souffrances…. Je ferai même tout mon possible pour te maintenir en vie le plus longtemps possible….. n'est-ce pas que je suis bonne ? dit-elle d'une voix enfantine à faire frémir. Je vais te laisser déguster…. Et…

Elle semblait réellement y prendre plaisir.

- Avada Kedavra, lança Rogue, mettant ainsi un terme à l'agonie de son ancien élève.

Dans un mouvement de colère, elle se retourna vers lui, ses yeux porteurs du germe de la folie, lançant des éclairs.

- Qu'avez-vous fait misérable ? cria-t-elle. Vous n'aviez pas à vous mêler de mes affaires !

Elle n'eut pas le temps de continuer, il la saisit violemment à la gorge et la plaqua au mur. Elle afficha un sourire ironique.

- Qu'est-ce qui vous prend ? Regardez ce que vous êtes devenue ! cracha-t-il en la jaugeant avec dégoût.

Son sourire s'accentua.

- Alors, on brutalise ses élèves maintenant professeur ? On prône le laxisme de nos jours à Poudlard. demanda-t-elle sarcastique.

- Abandonnez immédiatement cet air arrogant. Je ne suis plus votre professeur, je ne suis plus tenu de rien envers vous, lâcha-t-il en pressant plus fort, ce qui eut pour effet de provoquer une grimace de douleur sur le visage de la jeune femme.

Elle porta une main à ces doigts pour essayer de lui faire lâcher prise. Voyant qu'elle n'y arrivait pas, elle eu un petit rire nerveux.

- C'est cocasse, dit-elle. Vous passiez votre temps à me protéger lorsque j'étais étudiante, et maintenant, vous voulez me tuer, lança-t-elle sur un ton de défis. Et puis, pourquoi me demander d'effacer cet air arrogant de mon visage, quand on sait que c'est la seule leçon que j'ai tiré de votre enseignement ! ironisa-t-elle.

- Arrêtez ça immédiatement, siffla-t-il l'air menaçant. Vous n'êtes certes plus mon élève, mais ici-même, je n'en reste pas moins votre supérieur !

- Mes ordres me viennent directement du Lord, rit-elle. Vous aurez beau faire, vous n'avez pas la moindre autorité sur moi !

- Vous êtes allée trop loin Merson, je vous conseille vivement de saisir la chance que Dumbledore vous accorde, sinon, je me verrais dans l'obligation…. D'agir ! finit-il la voix guère plus élevée qu'un murmure, et tournant les talons.

- C'est ce que nous verrons, professeur ! entendit-il derrière lui.

Il ne se retourna pas. Elle avait tellement changé, c'était incroyable, sa personnalité n'était plus du tout la même. A quoi jouait-elle ? Que cherchait-elle ? Allait-il vraiment devoir la supprimer ? Il allait sérieusement falloir la surveiller, il fallait l'empêcher de continuer à sévir. Et cette lueur de folie dans ses yeux…. Elle était devenue un réel danger…. un véritable mangemort.

Alors, qu'en pensez-vous ? Je sais qu'il est très court, mais ce n'est que le prélude c'est pour ça ! Au fait, je voulais dire, que je suis en train de rédiger la réponse à vos reviews sur le 35ème chapitre de « un nouveau départ ». J'espère que vous avez aimé ! L'histoire promet d'être un peu plus sombre, et on aura dans cette partie de nombreuses réponses à des questions que vous vous posiez peut-être en première partie. En tout cas, je vous garantis ne chose, vous ne pouvez pas prévoir la fin !

Pour ceux qui veulent continuer à poster des reviews sur Un Nouveau Départ, y'a pas de problème, c'est pas parce que il y a marqué : fic terminée, que je ne les lis plus, bien au contraire. Et ça me fait toujours plaisir de voir qu'il y a de nouveaux lecteurs qui s'y intéressent.