Bonsoir tout le monde!

Comment allez-vous?

Tout d'abord, je vous souhaite à tous un Noyeux Joel et/ou un Happy Hanoucca!

Ensuite, je tiens à vous dire que voici la fin de ma fic qui, je l'espère, vous plaira car elle m'a pris beaucoup de temps!

En tout cas, soyez francs, je compte sur vous!

Enjoy!


Epilogue

-Bonne nuit maman !

-Bonne nuit mon ange !

Elle se pencha et embrassa son fils sur le front. Elle le borda et souffla la bougie qui faisait veilleuse. Sortant à pas de loup, elle prit la direction de sa propre chambre.

-Hermione ?

L'interpellée se retourna au moment où elle allait ouvrir la porte. Personne. Elle n'avait pas reconnue la voix et pourtant, quelque chose lui disait qu'elle l'avait déjà entendue quelque part.

-Hermione ?

Cela venait du rez-de-chaussée. Se mouvant sans bruits malgré ses huit mois de grossesse, la jeune Mrs Jedusor descendit les marches avec précautions. Le hall d'entrée était vide. Elle avait couché ses trois enfants et savait que Tom dormait depuis un moment déjà, épuisé par sa journée de labeur. Qui cela pouvait-il bien être ?

-Hermione ?

Elle tourna sur elle-même mais rien ne lui apparaissait. Son cœur cognait avec une force inouïe, ses muscles se tétanisaient, un frisson glacé la parcourant de toutes parts.

-Qui… Qui est là ? appela-t-elle en tremblant

Personne ne lui répondit. Elle fit un pas de plus en avant, incapable de se résigner à remonter les marches. Ce serait tourner le dos à l'inconnu et ça, elle ne le pouvait pas. Elle réitéra sa question mais aucune réponse ne faisait écho. La grande porte d'entrée s'ouvrit alors dans un grand fracas, une bourrasque glacée envahissant la jeune femme.

Elle poussa un hurlement, plaçant ses mains devant elle pour se protéger de cette force qui la poussait en arrière. Elle sentit son être entier s'agiter de convulsions avant qu'elle ne tombe, inerte, sur le sol. A peine son corps eut-il percuté la surface dure et froide du carrelage que le vent cessa et que les portes se refermèrent.

Dans son inconscience, Hermione se mit à penser à un tas d'éléments. De petites choses sans importances qui, pourtant, l'interloquaient désormais. Lorsqu'elle avait vécu la Grande Bataille, Voldemort n'avait pas voulu la tuer. Alors pourquoi dans les souvenirs qu'elle a montré à tout le monde, le mage noir n'avait pas hésité une seule seconde à pointer sa baguette sur elle ?

Autre élément. Comment se faisait-il que la Commission ait accepté aussi facilement la requête d'Hermione pour qu'ils deviennent Moldu et que Tom n'en ait jamais voulu à Dumbledor ? Qu'il n'ait jamais sut que l'idée venait d'elle ? Qu'il guérisse aussi vite lorsqu'elle lui avait planté le couteau ?

Les questions se succédèrent en une valse particulièrement rapide qui lui souleva le cœur. Hermione rouvrit alors les yeux, non pas dans sa maison, mais dans une cave. Ses poignets étaient attachés au plafond, son corps étant suspendu dans le vide. Sa tête avait beau contenir une migraine insoutenable, elle ne mit pas longtemps avant de comprendre sa situation. Elle n'avait pas vingt-cinq ans mais dix-sept, depuis peu. Elle n'avait jamais vécu la Grande Bataille pour la simple et bonne raison que celle-ci n'avait pas eu lieu.

Elle n'aimait pas Tom, mais Ron. Même si ce dernier l'ignorait encore. Dumbledor ne pouvait pas lui être venu en aide puisqu'il était mort à la fin de la sixième année. Les détails lui revinrent alors : le mariage de Bill et Fleur, leur arrivée à Godric's Hollow, le piège des Mangemorts, Malefoy qui la capture…

Elle tourna la tête pour évaluer les lieux et vit Draco Malefoy, endormit sur une chaise, sa baguette lui échappant des mains. Il lui avait lancé un sortilège d'illusion… mais dans quel but ? En tous cas, le fait qu'il se soit endormi a rompu le sortilège et Hermione en avait assez des questions, elle voulait des réponses !

-Malefoy ! appela-t-elle, Malefoy !

Le jeune qui ronflait paisiblement eut un sursaut puis bondit sur ses pied en un bond spectaculaire, tournant la tête dans tous les sens, à l'affût de son adversaire. Hermione en aurait rit si sa situation n'était pas aussi critique.

-Je suis là ! précisa-t-elle

Il tourna vers elle un air hagard, vite remplacé par de la panique. Il recula, ses yeux écarquillés posés sur la jeune fille. Il buta vite contre sa chaise, tombant à la renverse. Il s'assit alors au sol et, se recroquevillant, commença à pleurer. Hermione le regarda, désespérée. C'est alors qu'elle se remémora un élément :

-Draco ? tenta-t-elle, tu es amoureux de moi ?

Il releva des yeux baignés de larmes, l'air complètement perdu. Hermione décida de l'aider un peu :

-C'est toi qui m'a soumis au sortilège d'Illusion. La raison je l'ignore mais notre histoire… celle que tu m'as fait vivre… c'est parce que tu aurais voulu que ça arrive ?

Il se redressa, un air supérieur plaqué sur son visage. Il replaça ses mèches, essuya ses larmes et bomba le torse :

-Tu rêves, Sang-de-Bourbe !

Elle le fixa en haussant un sourcil. Attitude typiquement Malfoyienne. Elle ne releva même pas mais s'accrocha à son idée première qui était peut-être son seul ticket de sortie :

-Je peux t'aider ! souffla-t-elle

-M'aider ? s'exclama Malefoy avec un rire hautain, il me semble pourtant que c'est toi qui as besoin d'aide !

-Ce n'est pas moi qui chiale comme une fillette de deux ans ! s'énerva Hermione

Il lui lança un regard noir et éleva sa baguette pour la pointer, droit sur la tempe de la jeune captive.

-Ne t'avise pas de jouer la maligne, Granger ! siffla-t-il dangereusement

Elle ferma les yeux pour rassembler ses esprits. S'emporter ne menait nulle part. Elle rouvrit alors les yeux et, d'une voix précipitée, elle confia :

-Je sais que tu es en mauvaise posture parce que ton père a raté le coup avec la prophétie et que tu as toi-même été incapable de tuer Dumbledor. De plus, je me doute bien que l'utilisation du sortilège d'illusion était censée me tirer des informations…

Elle guetta alors sa réaction, dans l'espoir d'avoir visé juste. Quand elle vit une grimace agacée déformer les traits du Serpentard, elle sut qu'elle était dans le mille.

-Or tu as échoué ici aussi, acheva-t-elle

-Bien, bien, que proposes-tu ?

Elle lui fit un sourire, consciente d'avoir remporté une partie de la victoire.

-Quelles informations me voulais-tu ?

Il la regarda avec scepticisme :

-Parce que tu crois que je vais te le dire ne plus ?

-Tu ne comprends pas ! Dis-moi ce que tu voulais savoir et je te donne d'autres informations. Tu les rapportes à ton maître, il t'ordonne de me tuer et voilà notre porte de sortie !

-Je ne vois pas en quoi !

-Fais moi confiance !

-Et pourquoi donc ?

Elle hésita un instant et abaissa sa dernière carte :

-Parce que tu m'aimes et tu as bien vu que c'était réciproque…

Il recula, comme si elle lui avait planté une épée droit dans le cœur :

-Tu… Tu es pourtant partie…

Il baissa les yeux, lui cachant sa plus grande faiblesse : l'amour qu'il lui portait.

-La situation l'exigeait ! expliqua précipitamment Hermione, mais dans la réalité c'est différent. Je peux rester maintenant…

Il releva les yeux, réfléchissant à plein régime. Hermione, de son côté, sentait la victoire proche. Tout ce qu'elle espérait c'est que Malefoy ne la pousse pas plus à bout car elle n'avait pas eu le temps de consolider son mensonge. Amoureuse de Malefoy, et puis quoi encore ? Elle aimait Ron et ce depuis tant d'années qu'elle-même ne pouvait plus les compter !

-Bien… articula lentement Draco, il voulait savoir pour la prophétie…

Hermione le fixa, pas certaine de tout comprendre :

-Je cerne la fin mais pas les moyens… avoua-t-elle

Il la regarda, aucune émotion ne transparaissant sur son visage :

-On a d'abord essayé avec Potter en le torturant mais par un moyen qui nous échappe encore, il a disparu de sa cellule entre deux tortures. Alors on a tenté avec Weasley, toujours en torturant. Il était coriace, trop coriace. On a eut beau menacer, blesser, rien ne sortait de sa bouche, si ce n'est ton prénom…

Hermione sentit son cœur se serrer d'une joie coupable mélangée à une appréhension sans nom. Elle se força pourtant à ne rien laisser transparaître, tant la suite du récit lui était cruciale.

-Ils l'ont laissé croupir dans une cellule, espérant que suite à la douleur de ses blessures non soignées, il souffrirait tant qu'il vous trahirait. Mais lui aussi a disparu.

La Gryffondor se retint de pousser un soupir de soulagement. Mais les questions continuaient de se bousculer dans son esprit :

-Pourquoi ne pas m'avoir torturé ? Et à quoi rimait toute cette histoire avec Tom… euh je veux dire, Voldemort ?

Draco ne releva pas son erreur mais la regarda plutôt avec amusement :

-J'allai y venir ! Tu réfléchis trop ! Le fait est que la torture n'a pas marché sur tes amis, bien au contraire. C'est le manque de vigilance dans ce genre de procédure qui leur a permis de s'échapper. Alors si on ne peut pas vous enfermer physiquement, Rogue a eu comme idée de tenter de vous enfermer mentalement. Enfin, de t'enfermer, toi, puisque tes amis t'ont faussé compagnie.

Il prit son souffle, l'air beaucoup plus calme. Il était persuadé qu'il venait de semer de la haine dans le cœur d'Hermione envers St Potter et son lèche-botte de Weasley.

-Quant à l'histoire avec Jedusor… Il fallait trouver ton point faible. C'est le maître lui-même qui a eu l'idée de ce mélodrame. Comme tu as pu le remarquer, il possédait une beauté plutôt captivante. Le but était que tu sois isolée face à lui, d'où la mort de tes proches et le retour dans le temps. Il fallait que tu sois désarçonnée avec, pour seule préoccupation, le Mage Noir.

-Ingénieux, reconnu Hermione, vous m'avez mis dans un contexte où je n'avais plus rien a perdre, donc autant que je lâche mon secret. Voilà pourquoi il était si docile à mon contact. S'il ne devenait pas Mage Noir et que j'en avais l'assurance, je pouvais bien lui parler de la prophétie, ça ne m'engageait à rien… Il y a cependant une faille à ce plan…

-Laquelle ?

Hermione releva les yeux, de l'assurance dans le mensonge qu'elle proféra :

-Je ne sais rien à propos d'une quelconque prophétie !

Des applaudissements provinrent alors de l'entrée de la cellule… dans laquelle se tenait Voldemort lui-même. Plus il avançait, plus Draco reculait. L'ombre gagnait sur la lumière :

-Aussi lâche que ton père, siffla le mage noir, et tous comme lui, tu mérites d'être châtié : Avada Kedavra !

Un jet vert percuta la poitrine du jeune Malefoy dont le corps fit un tour complet avant de retomber, inerte, contre le sol. Hermione n'avait pas hurlé. A vrai dire, elle avait si violement mordu sa langue pour se retenir qu'elle sentit sans plus tarder un goût métallique envahir sa bouche.

Elle mit quelques minutes avant de pouvoir détacher son regard de la masse inerte qu'était désormais Draco pour se rendre compte que Voldemort la fixait. Elle croisa ses yeux rouges juste avant qu'il ne la saisisse brutalement par le menton et l'embrasse avec force.

-Bienvenu parmi les tiens ma douce ! souffla-t-il au plus près de ses lèvres

Hermione cru que son cœur allait sortir de sa poitrine tant il battait avec force. Elle était complètement perdue ! Le temps du baiser, elle avait été replongée dans le sortilège d'Illusion et avait eu l'impression d'embrasser Tom Elvis Jedusor, son époux… l'homme qu'elle aimait.

Elle croisa alors son regard rouge sang et sentit son cœur manquer un battement. S'insultant, jurant contre elle-même, elle se rendit compte qu'en fin de compte, que ce soit Tom ou Voldemort, elle avait le descendant de Serpentard dans le sang…

A peine eut-elle cette pensée que ses chaînes disparurent et elle tomba lamentablement sur le sol, aux pieds du Lord. Ce dernier se pencha vers elle et, le visage dénué d'émotion, lui souffla :

-Tu m'appartiens, Hermione, ce que tu as vécu, je l'ai aussi vécu…

Elle leva les yeux et planta son regard dans le sien :

-Si tu as vécu ce que j'ai vécu… Tu m'appartiens tout autant…

Il cilla et ses yeux formèrent alors deux fentes menaçantes. Il lui prit le poignet et la força à se relever. Lorsqu'ils furent face à face, il colla son corps au sien et lui murmura :

-Je ne te dégoûte pas ? Tu n'es pas révulsée par ce que je suis devenu ?

Hermione prit le temps de réfléchir, peser ses mots avant de lui répondre :

-J'ai appris à t'aimer malgré moi, malgré les autres, malgré ta magie… Bien sûr que les crimes qui entachent tes mains me dégoûtent mais l'époque dans laquelle tu m'as projeté ne t'était pas synonyme de blancheur non plus… Et pourtant je suis tombée amoureuse…

Elle libéra son poignet d'un coup sec et, avec lenteur, passa une main sur le visage du mage noir. Il recula en un premier temps puis, comme une bête apeurée, reprit place au creux de sa paume. Mais il gardait les yeux ouverts et le visage impassible.

Elle était belle, de grands yeux brillants d'un éclat de miel, de longs cheveux aux boucles dessinées, un corps à damné les saints, et une jeunesse qui s'ouvrait comme une rose du plus bel éclat. Oh il ne l'aimait pas ! Voldemort n'aimait personne.

Disons qu'il appréciait sa présence et qu'elle n'était pas de ces femmes à toujours réclamer l'attention. Pour le reste du Monde, elle fut déclarée morte. Ironie du sort : elle apportait la vie au sein des mangemorts. Jamais loin de Voldemort, elle était comme son ombre et pourtant oeuvrait pour la lumière.

Elle retenait les éclats de colère du Lord et le conseillait en justice. Elle était le bandeau de l'impartialité. En contre-partie, il la laissait l'aimer. Et c'est ce qu'elle faisait. Elle aimait sans retour mais n'en demandait pas plus. Elle l'avait sondé mieux que personne, le connaissait mieux que quiconque et ça suffisait amplement à nourrir son cœur.

Lorsque, un an plus tard, il s'apprêtait à aller combattre contre Harry Potter, il vint la voir, la nuit d'avant, dans sa chambre. Sans qu'aucun mot ne fut échangé, elle sut. Ils firent l'amour comme ils ne l'avaient jamais fait dans leur futur illusoire. Ils le firent avec le meilleur d'eux-mêmes et, à leur plus grand étonnement, ce fut de la tendresse qui en ressortit…

Il fut vaincu. A des kilomètres du champ de bataille, Hermione sentit son cœur se briser et se mit à pleurer autant que son corps le lui permettait. Deux jours plus tard, les Aurors débarquèrent dans sa chambre et, brisant les rangs, surgit un grand roux qu'elle se rappelait avoir aimé autrefois. Il courut vers elle, un large sourire lui éclairant le visage :

-Hermione ! s'écria-t-il en la prenant dans ses bras, je savais que tu étais vivante ! Personne ne voulait me croire mais je le savais !

Elle ne répondit pas, sa peine lui enserrant la gorge. Il prit son silence pour le résultat d'une année de traumatisme. Par-dessus son épaule, apparut alors Harry qui, lorsqu'il la vit, écarquilla les yeux avant de sourire à son tour et de se précipiter vers elle.

A peine l'eut-il touché qu'Hermione se raidit, ses muscles dégoûtés par ce contact. Il était celui qui lui avait tout enlevé. Elle avait trouvé une paix, un équilibre et il lui avait tout arraché. Ron se retira de l'étreinte et Harry en profita pour chuchoter à la jeune fille :

-Tu dois certainement m'en vouloir, j'ai tué l'homme que tu aimais… Ne me regarde pas comme ça, nous avions nos indics ! Je suis le seul au courant, avec notre informateur, de ce qui te liait à Voldemort. Si nous l'avions dit à Ron, il serait venu tête baissée ici et toi comme moi savons qu'il n'aurait pas tenu bien longtemps !

Elle croisa son regard émeraude et y lut une grande… compassion ? Elle eut alors le sentiment qu'il était le seul capable de la comprendre. Non pas qu'il savait ce que c'était de vivre cette situation, mais il savait ce qu'elle avait vécu et c'était amplement suffisant…

-Oh Harry ! s'écria-t-elle

Elle se jeta à son cou et serra fort le jeune homme contre elle. Elle avait l'impression d'être anesthésiée, comme incapable de ressentir quoi que ce soit à nouveau, autant physiquement que mentalement. Alors elle le serra autant qu'elle put pour ressentir sa chaleur et sa rédemption. Il l'étreignit en retour et, dans un souffle près de l'oreille, lui dit :

-On va repartir à zéro Hermione, tout est fini…

Oui, tout était fini. Elle avait vécu deux vies auprès du même homme et devait en vivre une troisième sans lui… Alors oui, tout était fini… ou peut-être bien, qu'au contraire, tout commençait…


Alors?

Je tenai à vous transmettre un message que j'ai écris pour mes lecteurs du site officiel mais qui est tout aussi valable pour vous. En effet, vous ne pouvez savoir quel bien ça me fait de recevoir vos reviews. Mais lisez plutôt :

Je ne sais pas quoi dire...

Si ce n'est un grand merci! Je ne vois pas quoi dire d'autre.

Vous avez toujours été là pour moi, et pourtant, je ne l'ai jamais vraiment mérité. Vous m'avez donné confiance en moi, m'avez appris à me nourrir de ma passion.

En clair, vous m'avez appris à vivre. Je vous serai à jamais reconnaissante et je crois que je n'arriverai jamais à vraiment vous exprimer ma reconnaissance comme il se doit. Pourtant elle est là, présente derrière chaque mot que j'écris, derrière chaque phrase que j'imagine, derrière chaque pas qui me fait avancer.

Qu'ajouter?

Rien. iL n'y a rien à ajouter. Parce qu'il n'y a rien à dire, mais tout à ressentir.

Merci

Chaque souffle, chaque mot que je produis vous ont été dédiés, le sont encore et le seront toujours...

Voilà, je trouvai important de vous le transmettre.

Cette fic s'achève mais il est vraiment vitale pour moi que notre collaboration continue! Ah ui, et j'oubliai! N'oublions pas Mr Review, l'altruiste du père noël! Lool!

Gros Bisoussss

Jess