Voici le chapitre 11 ! L'attente à été longue donc je n'éterniserai pas mon discour: un petit désoler, un bonne lecture et autre laisser des reviews si vous voulez la suite +

p.s., les réponses aux reviews dans un chapitre spécial dans quelques jours !

Chapitre 11: L'unicité du Toagov

Une fois rendu au Palace, Salazar expliqua la situation au quatre autres sages, ainsi qu'à Sirius et Rémus. Merlin décida de se porter garant de l'entraînement de Harry sur ce point et le pria de le suivre, à la lisière de la forêt.

i - Vois-tu Harry, la puissance d'un mage réside dans sa magie, soit ce qu'il peut faire avec sa baguette. Mais lorsque le sorcier perd sa baguette, il peut encore utilisé d'autre forme de magie, la magie élémentaire par exemple. Mais il existe d'autre sorte de combat, soit le combat armé magique ou non, le combat à main nue, le combat de l'esprit, etc. Mais un seul atout commun peut être utilisé dans tous ces types de combat, l'esquive. Que se soit un sort, une bourrasque de vent, un coup de couteau, une flèche magique, un coup de poing ou une attaque mentale, avec une bonne agilité mais surtout des sens aiguisés, tu peux toutes les évités. C'est pourquoi, à partir de maintenant, on va travailler sur tes sens, ta forme physique, ton équilibre et ton agilité. Pour commencer, que sais-tu des sens, Harry.

- Et bien, je sais qu'il y en a cinq, la vue, l'odora, le goût, le toucher et l'ouïe. Je sais aussi que certain sont plus développer que d'autre, mais différemment chez chacun. Certain aussi sont privé d'un de ces sens, ou même plusieurs. Un aveugle ne voit pas, mais généralement, il entant beaucoup mieux. L'inverse avec un sourd, il voit nettement mieux et arrive à lire sur la bouche des gens aisément. C'est à peu près tout ce que je sais.

- C'est déjà ça. Sauf que tu as oublier un sens, qui est uniquement magique: l'aura-sensation, c'est-à-dire la capacité à ressentir les auras de tout ce qui nous entour et qui est magique. Une fois ce sens pleinement maîtrisé, les yeux fermé, tu arrivera à voir tout ce qui est magique, mais juste l'emprunte magique. C'est exactement ce que tu vois lorsque tu es en transe et que tu vois des filaments magiques, sauf qu'une fois ce sens complètement acquis, tu réussira à suivre à volonté ces filaments et lorsque tu rencontrera un mage, tu verra son corps uniquement d'une couleur, ou plusieurs pour les sorciers plus puissant. C'est ce qu'on appelle l'aura. Pour cette formation, je vais t'envoyer dans la forêt où tu devras te débrouiller seul, avec un sens brimés alternativement. C'est cette potion qui brimera un de tes sens mais qui aidera aussi à développer les autres beaucoup plus rapidement.

- Ça veut dire que vous allez m'envoyer dans cette forêt les yeux bandés ? Je vais me cogner contre un arbre, c'est sûr.

- Au début, oui, mais une fois que tu ne te fiera plus à ta vision et que tu utilisera pleinement les autres sens, tu va te rendre compte que c'est beaucoup plus facile que ça en à l'air. Et ensuite, se sera au tour d'un autre sens d'être brimé, jusqu'à ce que tu arrives à vivre avec que cinq sens au lieu de six. Pour ajouter de la difficulté, tu ne pourra utilisé ta magie, puisque je vais aussi la brimer. Commençons/i dit Merlin enjoué, en lui donnant la potion. Une fois qu'elle fut bue entièrement, il tapa une fois des mains, par le fait même il fit disparaître Harry pour le faire réapparaître en plein milieu de la forêt, complètement aveugle.

Harry, qui ne s'attendait pas à cela aussi subitement, essaya de se repérer un peu. Mais à chaque fois qu'il faisait plus de cinq pas, et ce dans n'importe qu'elle direction, il se heurtait à un arbre. Il en conclu donc qu'il était à l'intérieur d'un cercle d'arbres de cinq mètres de diamètre. Cherchant une sortie, il se mit à frôler les arbres en espèrent en trouvé une. Après plusieurs tours, il se rendit compte, bien malgré lui, qu'il n'y avait pas de sortie puisque ça faisait plusieurs fois qu'il tournait en rond. Alors, il alla s'asseoir au centre, à ce qu'il pouvait en juger, et il réfléchi plusieurs minute. Ne trouvant pas de solution, il commença à enrager envers Merlin, qui l'avait fait exprès, ça, Harry en était sûr. Une dizaine de minutes passa pendant que Harry fulminait contre ces ancêtres qui ne faisaient rien pour l'aider, loin de là. La froideur de la nuit commençait à l'envahir et il entendait des bruits d'animaux pas trop rassurants. Donc, il se coucha un petite boule, comme un chien sur un tapis, et se reposa, car il commençais à être très épuisé mentalement. Lorsqu'il se réveilla, le lendemain vers midi d'après ce qu'il pouvait sentir, le soleil lui réchauffant le corps, il était beaucoup plus calme et il réfléchi à ce que Merlin lui avait dit avant de l'envoyer dans cette prison végétale. Il avait six sens, mais un de brimé pour l'instant, alors il réfléchi à lequel il pourrait utilisé pour sortir de ce cercle. Le toucher, il l'avait déjà essayé, et ce ne fut guère concluant. L'ouïe, pas vraiment, puisqu'il le savait, les arbres ne parlent pas pour donner la bonne direction. Le goûter, non plus puisque licher un arbre pour vérifier son goût ne changerait pas grand chose, l'odora, non plus puisque tout sentait là même chose, le conifère! La vision, parfaite solution, si seulement il l'avait. Et finalement l'aura-sensation, ce ne sont que des arbres, ils n'ont pas d'aura. Donc vraiment désespérer, Harry se mit à frapper sur un arbre afin de faire sortir sa colère. Il frappait de plus en plus fort, sauf que l'arbre n'avait pas l'air décider de le laisser passer. Aucun changement n'arrivait, à part peut être la douleur aiguë qui commençait à se faire ressentir dans ses jointures. En frappant dessus, Harry entendit l'écho de se bruit se répercuter partout dans la forêt, prouvant qu'il était seul dans ce pétrin.

Alors qu'une idée germait dans sa tête, il se mit à crier très fort tout en écoutant l'écho. Après une quinzaine de minute à répéter ce petit manège, il réussissait, Merlin seul sait comment, et c'est le cas de le dire, à suivre l'onde sonore et à repérer ce qu'il y avait de solide aux alentour, où l'onde rebondissait. L'utilité de ce petit manège réside dans le fait que l'onde sortait du cercle et Harry pu enfin savoir où. Donc Harry grimpa dans cet endroit et sortit par le petit trou qui se situait à deux mètres du sol. Étant maintenant en plein milieu de la forêt, et non pas dans la prison végétale, Harry se surpris à entendre des milliers de sons qu'il n'avait jamais entendu auparavant. Un oiseau voler, une fourmis marcher, une loup courir, un ruisseau se déversant goutte par goutte, beaucoup plus loin dans la forêt, à ce qu'il pouvait entendre. Donc, légèrement assoiffer, il décida de suivre le son pour aller s'abreuver. Emettant de petits cris réguliers, Harry réussissait à repérer les obstacles puisque le son rebondissait sur ceux-ci. De temps à autre, grâce à son aura sensation, il voyait des plantes par terre, ou bien des animaux magiques, sauf que malheureusement, il ne pouvait leur parler, puisque ce pouvoir lui avait été enlevé, ainsi que tout les autres. Il trébucha mainte fois, sur de petites branches sur le sol qu'il n'avait pu repérer mais il arriva saint et sauf, à peine écorchée, au petit ruisseau. Il but à grande gorgé, afin de se rafraîchir et de s'abreuver. Maintenant, c'était au tour à son ventre de se plaindre, puisque celui-ci réclamait quelque chose à manger. Il vit, en se retournant, une plante de couleur argentée (vu avec son aura-sensation) et décida d'aller la cueillir. Le fruit de cette plante, Harry s'en souvenait, puisqu'il l'avait étudié en botanique, était en forme de grappe avec cinq couleurs différentes pour chaque petite grappe. Un des cinq endormait, l'autre engourdissait, l'autre empoisonnait, l'autre donnait des hallucinations et le dernier seulement était comestible, un seul grain servait à rassasier le plus féroce des estomacs.

Il prit donc une vingtaine de grain et commença à les renifler, afin de savoir lequel était le bon. Au premier coup, ils avaient tous la même odeur, mais après étude sérieuse, Harry parvint à en déceler un qui avait le goût de l'endorphine. Il le jeta donc par terre et recommença le petit manège, qui devenait de plus en plus facile puisque son odorat s'aiguisait au fur et à mesure. Lorsqu'il eu enfin découvert le bon, il le mangea immédiatement et il se sentit vraiment mieux, rassasier et plein d'énergie. Il continua donc son expédition dans la nature, afin de trouver la sortie, une fois pour tout.

Après une bonne heure de marche, Harry était maintenant très habile avec ce petit manège et il ne trébucha plus une seule fois. Son aura-sensation l'aidait aussi grandement. De temps à autre, il voyait des animaux, licorne, sombral, nifleur, etc. Lorsqu'il vu, par contre, un loup magique avancé dangereusement dans sa direction, il commença réellement à avoir peur. Ne sachant vraiment pas quoi faire, il paniqua et recula très lentement. Il trébucha néanmoins sur une branche ce qui paru plaire au loup. Harry se ressaisit et ramassa la branche, se leva et la prit comme unique arme. Lorsque le loup sauta vers lui, il pu entendre le son de sa patte frappant la terre, mais il vu (toujours grâce à l'aura-sensation) le loup arriver à très grande vitesse vers lui. Il brandit sa branche et frappa durement le loup sur la tête alors que ce dernier continuait sa course vers un arbre. Le choc fut violant et le loup tomba sur le sol, inconscient. Avant qu'il ne se réveille, Harry s'empressa de s'éloigner le plus possible. Lorsqu'il fut à une bonne distance du loup, il ressentit une douce chaleur au niveau de sa ses yeux et comme par miracle, il vu à nouveau. Super heureux de voir à nouveau, Harry se mit à crier et à danser, sauf que lorsqu'il se rendit compte qu'il n'entendait pas de son sortir de sa bouche, il paniqua légèrement. Il était maintenant muet puisque le petit raton laveur assis près de lui ne se retourna même pas lorsqu'il hurla. Il se laissa tomber par terre, plus du tout heureux et se cogna la tête accidentellement sur un arbre. Sauf que lorsqu'il se cogna la tête, il n'entendit pas de bruit. Il frappa donc par terre, pour vérifier, et il n'entendait toujours plus. Il était sourd et muet. Ne s'apitoyant pas sur son sort, puisqu'il savait que ça ne servirait à rien, Harry se mit en marche, afin de trouver un endroit pour dormir, puisque le soleil était sur le point de se coucher. Après une dizaine de minute de marche, il trouva enfin l'endroit désiré. Une grosse roche plate, recouverte de mousse, avec un petit ruisseau juste à côté et plusieurs plantes à grappes dont il s'était servit plus tôt dans la matinée pour se nourrir. Il s'y coucha, afin de se reposer et repenser à tout ce qui était arrivé. Le lendemain matin, vers neuf heures d'après la position du soleil, Harry avait réellement faim et soif donc il avança vers le ruisseau pour s'abreuvé, mais il sentit un quelque chose le pousser par en arrière et il trébucha tête première, dans le dit ruisseau.

Se cognant la tête par le fait même, il se dépêcha pour se relevé et se retourna rapidement afin de savoir qui était sont attaquant. Quand il vu le loup, le même que celui d'hier, le regardant avec un regard meurtrier, montrant les crocs et prêt à bondir à tout moment, il commença à avoir peur. Au moins, il avait sa vision, se dit-il, jusqu'à ce que le loup disparaisse par magie. Essayant de le repérer avec son aura-sensation, Harry se rendit compte qu'il avait aussi ce sens de brimé. Le loup lui bondit dessus, pour le faire trébucher, et il attendit que Harry se relève. À nouveau, le loup bondit sur Harry, qui tomba rudement sur le sol. Étalé sur le sol, Harry senti quelque chose de chaud lui couler le long du coup et lorsqu'il se rendit compte que s'était du sang, son sang, son estomac se contracta et il eu vraiment peur. Il se releva difficilement, se concentra pleinement et essaya d'utiliser un autre de ses sens. L'odora l'aida ce coup-ci, puisqu'il arrivait à sentir le loup à sa droite. Lorsqu'il sentit l'odeur s'approcher grandement, il s'écarta et pu sentir que le loup avait passé tout juste à côté. Harry s'empressa de prendre une grappe et il prit le petit fruit qui endormait et lorsque le loup bondit à nouveau sur lui, Harry sauta également sur lui et une fois que les deux furent par terre, le loup hurla puisque Harry faisait une pression sur sa gorge, ça il en était sûr même si il ne l'entendait pas. Le jeune Potter en profita donc pour y insérer la petite baie qui endort.

Ce fut instantané, le loup cessa de hurler, puisqu'il ferma la gueule, redevit visible et il s'endormit pour au moins un mois. Harry en fut très soulager, sauf que sa main formait un drôle d'angle, son dos était plein de sang et il avait une énorme douleur dans le bas du ventre. Son nez se mit à lui piquer ainsi que ses yeux, son crâne, sa peau et ses oreilles. Cela ne dura pas plus que dix secondes. Une fois terminer, Harry se rendit compte que Merlin n'y avait pas été de main faible cette fois-ci. Le seul sens, sur six, qui lui restait, à ce qu'il pouvait en juger, était le goûter. Le sens le moins important pour Harry, était en réalité le seul qui lui restait. Ne voyant pas du tout l'utilité de ce sens, Harry s'assit sur le sol, réfléchi et essaya d'atténué du mieux qu'il le put ses nombreuses douleurs. Son estomac criait famine et trouver quelque chose juste à manger avec un seul sens, ce n'est vraiment pas facile. Harry se rappela néanmoins qu'il y avait de petites baies tout près de lui, donc il essaya de les trouver. Sauf que lorsqu'il mit sa main sur le sol, il ne sentit malheureusement rien puisqu'il ne pouvait plus toucher. Donc il ouvrit la bouche, afin de laisser ses papilles gustatives tout le travail. Il goûtait à chaque petite parcelle d'air et certaine goûtait rien, alors que d'autre était humide, ou irritante pour la gorge. Connaissant parfaitement le goût de la baie, Harry s'y concentra fermement. Pendant plus de dix minutes, Harry suivait les parcelles d'air lui rappelant le goût tant désirer. Parfois, il pouvait se rendre compte qu'il y avait une branche, à cause du goût, mais aussi à cause qu'il rampait sur le sol. Se sentant tout près de la plante, puisque les parcelles d'air de cette baie était en très grand nombre, Harry se pencha encore plus et lorsqu'il ne fut qu'à quelque millimètre de la source de ce goût, il sortit la langue et y goûta réellement. Reconnaissant ce goût parmi des millions, Harry avala tout rond la petite baie, satisfaisant par le fait même son estomac et sa langue puisque celle-ci se mit à lui piquer, de même que ses yeux, ses oreilles et sa peau.

Harry, pas du tout près à passer un autre épreuve, se mit à se balader, en espèrent ne pas croiser un autre loup, ou encore pire, la meute au complet. Retrouvant la même clairière que la nuit précédant, Harry décida d'y faire halte afin de se reposer un peu. Un petit hamac en lierre s'offrait à lui et il ne put le refuser. S'y couchant et relaxant un peu, il ne vit pas le temps passer et il s'y endormit. Le lendemain, peut être vers onze heures, Harry se réveilla et décida d'aller à la rencontre d'une autre épreuve. Ne marchant que quelques secondes, il put entendre une voix vraiment étrange, à la fois roque, mélodique et lointaine. Il l'a suivit pendant quelques minutes, non pas qu'elle se déplaçait mais bien parce qu'elle était loin. Enfin arrivé au point d'où venait la voix, Harry identifier à qui elle appartenait. Non pas à un humain, encore moins à un loup mais plutôt à un sphinx. En rencontrer un pour la première fois, c'est vraiment époustouflant, beaucoup plus que dans les livres de soins aux créatures magiques ou bien dans les livres de l'Égypte ancienne. Lorsque le sphinx lui parla, avec cette même voix roque et mélodieuse, Harry ne put que l'écouter et se laisser bercer par la voix.

i « Jeune humain, confronter à un choix te voici. Quelque chose de très cher t'appartenant j'ai. Te le rendre, je peux. Si, et seulement si à mes trois questions tu réponds. La mort tu auras, si fausse réponse tu me donnes. Retourner sur tes pas tu peux. Mais faire le choix maintenant tu dois. Entendre mes questions le veut tu oui ou non. Par la suite, trop tard il sera pour changer de décision. »

/i Harry voulu répondre oui, sauf qu'aucun son ne sortit de sa bouche : il était toujours muet. Donc il hocha la tête et le sphinx sembla comprendre.

i « Première question que voici. Supposant que horloge il y a sous nos pieds, midi je suis et centre de l'horloge tu es. Quand la journée change, il y a un héro. Son voisin, être dans la mire il s'apprête. Devant ce dernier, un jaloux que voici. Le frère du jaloux, plus vieux de deux ans, quelque chose derrière son dos il a écrit. Ce quelque chose, si à le lire tu parviens, la réponse de la question première te sera révélé. »

/i

Harry, qui ne comprenait vraiment rien à ce charabia, se mit tout de même à le décortiquer.

i « Supposant que horloge il y a sous nos pieds, midi je suis et centre de l'horloge tu es »/i ce qui veux dire que je suis au centre d'un cercle … et que devant moi, où le sphinx est, c'est midi.

i

« Quand la journée change, il y a un héro » /i , la journée change à minuit, soit le chiffre douze. Mais qui est le héro, l'aiguille … non. Le chiffre douze, bien sur !

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« Son voisin, être dans la mire il s'apprête » /i , c'est logique, il y a deux voisins au chiffre douze, le onze et le un, mais celui qui s'apprête à être dans la mire … le un !

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« Devant ce dernier, un jaloux que voici » /i , devant le un, il y a moi, puisque je suis au centre … mais je ne fais pas partie de l'horloge … donc c'est le sept !

i

« Le frère du jaloux, plus vieux de deux ans » /i , le neuf, bien sûr !

i

« Quelque chose derrière son dos il a écrit » /i derrière le neuf, donc à ma gauche, je dois trouver quelque chose d'écris à ma gauche !

i

« Ce quelque chose, si à le lire tu parviens, la réponse de la question première te sera révélé »/i c'est exactement ça !

Harry s'avança donc vers sa gauche, mais il ne put décoller un pied du sol, cela aurait été trop facile, ce dit il. Il se concentra et scruta le mieux qu'il pouvait vers sa gauche mais plus il essayait, plus il voyait embrouillé. Maudite lunette, ce dit il. Il les enleva tout simplement et réessaya. Il ne parvenait à peine à voire les arbres mais en plissant les yeux, se concentrant et laissant aller librement sa magie en l'intérieur de lui, il commençait à discerner quelque chose. Ce quelque chose devint bientôt extrêmement clair, plus clair que cela n'avait jamais été. C'était comme si on lui enlevait une couche de verre sale qu'il avait par-dessus les yeux depuis sa naissance. Sur un arbre, à quelque dizaine de mètres de lui, des centaines de fourmis étaient alignés de façon à écrire un mot.

i Magie /i , se surprit à dire Harry, puisqu'il était maintenant capable de parler, et le picotement qu'il ressentit au yeux lui prouva bel et bien qu'il avait maintenant une vue parfaite, à en rendre jaloux un aigle !

i

« Deuxième étape nous passons. Magie tu ne peux utilisé, vision, aura-sensation, odorat, ouïe et goût non plus. Bois tu es, bois tu as, trouver ce qui t'appartiens tu dois. Clef pour la dernière étape tu auras, une fois que tu accompliras la deuxième étape. »

- Ouf/i se dit Harry, i c'est encore plus incompréhensible.

«Deuxième étape nous passons »/i ça au moins c'est clair.

i

«Magie tu ne peux utilisé, vision, aura-sensation, odorat, ouïe et goût non plus » /i , ça aussi puisque j'ai encore et une fois ressentit le désagréable picotement.

i

«Bois tu es, bois tu as, trouver ce qui t'appartiens tu dois » /i , encore une fois, c'est simple: je suis du bois, j'ai du bois et je dois trouver ce qui m'appartiens. Mais qu'est ce que je dis là, ça n'a aucun sens. Bois tu es … je suis du bois ? Non ! Je suis dans un bois, donc le sphinx a dit: Harry ES dans un bois ! Bingo ! Ensuite, i « Bois tu as » /i . Qu'est ce que j'ai en bois … ma baguette ! i Zut /i , dit-il, après avoir fouillé dans ses poches, je ne l'ai plus. i « Trouver ce qui t'appartiens tu dois » /i , ma baguette, je dois trouver ma baguette de bois dans le bois !

i

«Clef pour la dernière étape tu auras, une fois que tu accompliras la deuxième étape. » /i Ma baguette est la clef pour la dernière étape. C'est tout simple lorsqu'on y réfléchi !

Après ces réflexions, Harry senti quelque chose avec plein de pattes lui tomber dessus. Il fut horrifié, et un peu moins lorsqu'il se rendit compte que c'était des bouts de bois. Il s'assit à même le sol et commença à les toucher une par une. Certaine était trop grosse, longue, rugueuse, courbé et lorsqu'il les prenaient dans ses mains, il les lançait plus loin afin de ne pas prendre la même brindille de bois deux fois. Mais d'autre était de la même forme et avait le même toucher donc il les rassembla devant lui. Il en éliminait une par une, puisque certaine avait une légère bosse là, ou d'autre une mince fissure dans le bois qu'il se surprit à trouver. Lorsqu'il n'en resta que cinq, toute ayant exactement le même toucher et aussi parfaite les unes des autres, la longueur de chacune faisant la différence, Harry se rappela quelque chose qui datait de cinq ans. Lorsqu'il était venu acheter sa baguette avec Hagrid alors qu'il n'avait que onze ans, le marchand de baguette lui avait dit que la longueur de sa baguette égalait à la longueur de son avant bras moins la largeur de sa mains, donc il prit les baguettes une par une et ce fut seulement lorsqu'il prit la quatrième qui trouva la bonne. Il la leva, victorieux et sentit au même moment un crochet lui saisir par le nombril et il fut propulsé à des dizaines de kilomètres de là. Sa baguette était … un portoloin.

Un léger picotement au niveau de sa cicatrice lui fit comprendre qu'il venait de "gagner" son aura-sensation, et sa magie aussi puisque lorsqu'il tomba en pleine face, sa baguette tournilla et de minces étincelles y sortit. Mais le plus impressionnant fut que tout autour de lui, il y avait des plantes magiques. Lorsqu'il s'approcha un peu trop d'une, il comprit alors la complexité de l'épreuve: c'était des filets du diable. Il murmura un lumos solem et il vit un immense jet blanchâtre sortir de sa baguette pour percuter la plante. Au contacte, des étincelles vertes pâle furent projeter et une fumée verte foncé se dégagea de la plante. Puis, la branche qui l'avait saisit partit en fumé, sauf qu'elle fut immédiatement remplacé par une nouvelle. Il eu tout de même le temps de s'en éloigner afin de ne pas se faire prendre encore une fois. Il courut pendant dix bonnes minutes, puis il se rendit compte qu'il était dans un labyrinthe. Maintes fois il fut attaqué par les plantes, et il répéta le manège du lumos solem à chaque fois. Mais à force de le faire, il en vint capable d'éviter puis de prédire ce qu'allait faire la plante. Lorsqu'il arriva dans un cercle d'au moins dix mètres de diamètre, il s'assit en plein centre et ce concentra sur sa magie. Dès qu'il vu les fils qui sortait de son corps ainsi que tout ceux qui l'entourait, il se mit à en suivre un, le plus gros pour essayer de trouver une sortie sans bouger ne serait-ce qu'un millimètre. Mais avancé s'avéra plus difficile qu'il ne l'eut crut puisque plus il avançait, moins le fils était gros donc moins il y avait de magie. Il injecta donc de la magie dans ce fils. Le résultat fut désastreux, il parcourut d'un coup cinq bon mètres avant de se retrouver projeter sur un filet du diable. Puisque ce n'était que son "âme magique" qui se trouvait là, Harry donna une autre bonne dose de magie à la plante et elle partie en fumé. Donnant maintenant juste assez de magie pour avancé librement, Harry mit plus d'une heure avant de trouver la sortie, et ce, d'une autre manière. Plutôt que de suivre qu'un fil, Harry les suivit tout, mais inconsciemment puisqu'il laissa sa magie faire la job. Aussi stupide que cela puisse paraître, il trouve la sortie immédiatement. Il se leva, parcourût quelques couloirs et tournant qu'il fallu et sorti enfin du labyrinthe. En sortant, il vit deux auras droit devant lui, une avec un étonnant mélange de couleur, et l'autre, avec de l'or en très grande quantité mais aussi beaucoup de rouge. Lorsqu'il sentit un picotement un peu partout sur son corps, il pu voir Merlin et Godric, le regardant fièrement.

i « Enfin/i dit-il i , je peux maintenant utilisé mes six sens. Qu'est ce que je suis fatigué, j'ai épuisé beaucoup trop de magie.

- Si tu savais, mon pauvre Harry, ce qui t'attend, tu serait beaucoup moins soulagé d'avoir terminer/i dit Merlin en riant de bon cœur.

i

- Harry, que sait-tu du Taogov ? Pas grand-chose, d'après ce que ta mine me fait comprendre/i dit Godric avec un petit sourire sur le coin des lèvres. i Et bien, c'est simple, le Taogov est en fait les six sens.

T oucher

A ura-sensation

O dora

G oûter

O uïe

V ue.

Maintenant que tu as terminé cette petite épreuve, tu as réussis à unir ces six sens afin de les solidifier, développer et connaître. Tu va voir, ça va être vraiment très pratique pour ton futur. Maintenant, on va aller manger, se relaxer un peu et demain, à l'aube, je vais aller te chercher et je vais t'entraîner physiquement. Et félicitation en passant, c'était du beau boulot ! »