200 km/h dans le mauvais chemin

Disclaimer : Konnichiwa mina-san ! (= salut à tous) Voici ma nouvelle fict ! Bon, c'est pas le style " Je t'aime, tu m'aimes, nous nous aimons… ". C'est du style " sado-masochiste ", donc si vous n'aimez pas, ne lisez pas. Au fait, je n'ai pas dit qui est le narrateur, vous le découvrirez à la fin de l'histoire ! Au fait, prêtez une TRÈS grande importance aux " lyrics " qu'il y a à la fin du fict, ainsi qu'au début.

Avant que vous me posiez la question, oui, je vais probablement écrire une nouvelle fict. Peut-être bien de Enrique x Olivier, c'est trop chou ^_^

Maintenant, je vous laisse à votre lecture.

See ya !

***

This was an accident, not the kind were sorrow sounds,

Never even noticed were suddenly crumbling.

Tell me how you've never, felt delicate or innocent,

Do u still have doubts that us having faith makes any sense.

Tell me nothing ever comes rationale or breaking down.

Still somebody loses cause theirs no way to turn around,

Staring at your photograph everything now in the past

Never felt so lonely I wish that you could show me love.

Show me Love, Show me Love, Show me Love, Show me Love,

Show me Love, Till you open the door.

Show me Love, Show me Love, Show me Love,

Show me Love, Show me Love, Till I'm up off the floor.

Show me Love, Show me Love, Show me Love, Show me Love,

Show me Love, Till its inside my pores.

Show me Love, Show me Love, Show me Love,

Show me Love, Show me Love, Till I'm screaming for more.

Random acts of mindlessness, common place occurrences,

Chances of surprises, another state of consciousness'

Yell me nothing ever comes rationale or breaking down

Still somebody loses cause theirs no way to turn around,

Tell me how you've never felt delicate or innocent,

Do you still have doubts that us having faith makes any sense,

You play games I play tricks, girls and girls but you're the one,

Like a game of pick up sticks played by fucking lunatics.

Show me Love, Show me Love, Show me Love, Show me Love,

Show me Love, Till you open the door.

Show me Love, Show me Love, Show me Love,

Show me Love, Show me Love, Till im up off the floor.

Show me Love, Show me Love, Show me Love, Show me Love,

Show me Love, Till its inside my pores.

Show me Love, Show me Love, Show me Love,

Show me Love, Show me Love, Till im screaming for more.

Show me Love, Show me Love, give me all that I want.

Show me Love, Show me Love, give me all that I want.

Show me Love, Show me Love, give me all that I want.

Show me Love, Show me Love, till im screaming for more...

C'était une journée particulièrement pluvieuse, comme on a l'habitude d'en avoir à Moscou. Je suis posté devant la fenêtre et j'essais d'effacer ces affreux souvenirs, comme l'eau de pluie essaie d'effacer les dessins à la craie que les enfants ont faient dans la rue. Mais c'est impossible. Je relève la tête. Il est là, dans la même pièce que moi et regarde par la fenêtre. Son visage n'exprime aucune émotion. Mais je sais qu'il pense à la même chose que moi...

***

Flash back, trois ans auparavant...

***

Des cris de joie. Des applaudissements. Tout ça ne sent pas bon.

- C'était très bien joué, Tala, dit un jeune garçon avec une casquette

- Merci, répond le concerné, affichant un sourire forcé

- T'étais fort, mais pas assez pour moi !

Sur ce, le jeune s'en va rejoindre ses amis. L'ex-champion le regarde s'en aller sans rien dire. Il est inquiet, mais son visage ne laisse rien paraître. Il sait que quelque chose de mal va arriver.

- Tu devrais avoir honte, Tala...

Le jeune homme se retourne. Devant lui se tient son "tuteur". Il le regarde avec un sourire mauvais. Il a une idée malsaine derrière la tête. Puis, il continue:

- Une punition t'attend, et tu ne pourras pas y échapper. Je suis désolé pour toi, mais je croyais t'avoir mieux éduqué que ça. Je ne supporte pas la défaite. Après ta correction, tu vas voir que tu n'auras pas seulement perdu un simple match. Ah, ah.

Sur ce, il se retourne et s'en va. Tala lui lance un regard mauvais. Il n'a pas peur de ce vieux fou. Après tout ce qu'il lui a fait subir, c'est comprenable.

Alors revenons où nous en étions. C'était quelques jours après la défaite de Tala. Je marchais sans aucun but jusqu'à ce que j'entende des bruits. Subtilement, j'ai marché jusqu'à la porte d'où ils provenaient. J'ai tendu l'oreille pour mieux entendre.