Bonsoir ô noble populace ! Bienvenue dans mon humble royaume, je vous en prie, asseyez vous, j'ai à vous parler.
Comme vous l'aurez sans doute devinez, ceci est une nouvelle fic à chapitre. Et oui encore une, mais ne commencez pas à lever les yeux aux ciel, pour celle-ci, le plan est établi, les chapitres écrits à l'avance ! Enfin, en partie...X) Voici donc un petite participation au fandom de HP, et des Animaux Fantastiques, rayez la mention inutile. Il n'y a définitivement pas assez de Grindeldore en ce bas monde, aussi j'ai essayé de remédier comme j'ai pu à cet état de fait. J'espère que ça sera à la hauteur, soyez indulgents fan de Grindeldore please OTL
Il y a une petite particularité à cette fic : il s'agit d'un récit épistolaire. Donc, se sont des lettres, des tonnes et des tonnes de lettres. Si vous pouviez me donner votre avis sur le format, ça m'aiderais bien, c'est la première fois que je fais un récit pareil, des retours ne seraient pas de trop ^^
N'hésitez doc pas à laisser une petite review (si si je vous jure, c'est possible, y a un bouton en bas de la page pour ça !) pour me donner votre avis, et je vais vous laisser avec le prologue. Bon il est court, mais je vous jure après c'est plus long !
Je finis sur une petite dédicace spéciale à toutes les membres du discord qui ont lus, encouragées, et appréciées la naissance de cette fic, applaudissez fortement Zofra, Ahriall, Anil et Pigeon, sans qui j'aurais sans doute jeté l'éponge tant j'étais pas sur de moi au départ ! Groooos hug pour vous les filles.
Petit disclaimer vite fait également : je ne fais qu'emprunter les personnages de J.K. Rowling, pour mon seul amusement.
Sur ce, bisous et bonne lecture !
Correspondance intempestive
Prologue :
Minerva McGonagall,
Directrice de Poudlard,
Poudlard, Ecosse, Royaume-Unis
Norbert & Porpentina Dragonneau 25 mai 2002
Comté de Dorset
Angleterre, Royaume-Unis
« Monsieur, Madame Dragonneau
Je suis Minerva McGonagall, actuelle ( et toute nouvelle ) directrice de Poudlard. J'étais, et je demeure une amie fidèle à notre défunt directeur, et plus grand sorcier de notre siècle, Albus Dumbledore. Il m'a souvent parlé de vous, et des immenses services que vous lui avez rendu dans la première moitié du siècle dernier. Outre votre évidente renommé en tant que magizoologiste de génie, j'ai eu droit au portrait de votre jeunesse, et de vos déboires, qui n'étaient pas sans me rappeler ceux de certains de mes élèves. Si je me permets de vous écrire aujourd'hui, c'est pour vous confier une liasse de papier ma foi, inhabituelle.
Je l'ai découverte en faisant la poussière dans le bureau du directeur, mon bureau donc. Albus n'avait cure du ménage, et refusais absolument de laisser quiconque s'approcher avec un plumeau de ses affaires. Je commence à me demander si ce n'était pas pour éviter d'avoir à expliquer les divers secrets dissimulés dans tous les recoins pleins de toiles d'araignées. J'ai trouvé cette énième découverte compressée, derrière près de huit tableaux différents. Les directeurs en peinture s'étaient bien gardés de me le signaler, jusqu'à ce que je les décroche. Il s'agit de lettres, pour la plupart, ou d'articles de journaux. Les dates auquel elles correspondent m'ont interpellé. A cette douce époque des années vingt, je crains d'avoir été qu'un vague désir dans l'esprit de mes parents, et il a par la suite refusé de me conter la triste histoire de sa jeunesse. C'est pourquoi je sollicite votre avis éclairé, ainsi que peut être celui de votre épouse, pour me raconter ce que nul autre que vous n'aurait pu voir à cette époque. Le livre de cette peste de Rita Skeeter ne lui rend pas justice, et la plupart des personnes l'ayant connu à l'époque sont décédées, ou sont victimes de leur grand âge. Je vous sais, il me semble, parfaitement lucides et cohérent.
Je vous prie donc, avec tout mon respect de bien vouloir me donner des éclaircissements sur cette période, qui me semble si lointaine, et dont je sais si peu de choses.
Je vous salue, vous et votre épouse
Respectueusement
Minerva McGonagall